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Riches

2025

La sociologue Monique Pinçon-Charlot s’attelle, dans son dernier ouvrage, en forme de miscellanées, aux liens entre la destruction de l’environnement et l’appétit pour le profit.
L’administration Trump souhaite un accord avec Kiev donnant un accès aux minerais ukrainiens pour les entreprises américaines. Washington espère ainsi compenser son important soutien militaire et financier à l’Ukraine depuis le début de la guerre avec la Russie. De quels minerais s'agit-il ? Le pays possède-t-il aussi des terres rares ? France 24 fait le point sur les ressources ukrainiennes.
La richesse des milliardaires a augmenté de 314 milliards de dollars en janvier dernier, alerte lundi Oxfam Belgique.
Méfiez-vous des chiffres. Pour impressionnants qu’ils soient, les données sur la fortune financière peuvent nous tromper. Aussi riches soient-ils, les milliardaires n’ont pas le poids qu’on imagine.
Les riches continuent de s’enrichir. Cela ne fait aucun doute. Mais ce que l’on oublie souvent de dire, c’est comment ils y parviennent, non seulement par l’exploitation habituelle, mais aussi en conduisant activement le monde vers la catastrophe tout en se protégeant des retombées.
Elon Musk has achieved astonishing power in Trump’s administration – and spent the weekend wielding it
Une note de la Direction générale des finances publiques révélée par «le Monde» montre que les revenus des 0,1 % des ménages français les plus aisés se sont envolés de 119 % entre 2003 et 2022. De quoi creuser encore les inégalités.
En quelques jours, les grands patrons français ont gagné autant que leurs employés en un an, tout en épuisant leur budget carbone annuel.
Les flammes qui ravagent les quartiers de stars, en banlieue de Los Angeles, provoquent une onde de choc dont la portée symbolique est colossale.
En seulement dix jours, les 1 % les plus riches de la planète ont émis, chacun, plus de 2 tonnes de CO₂. Soit la totalité du budget carbone annuel dont dispose chaque humain si l’on veut contenir le réchauffement climatique.

2024

Les pays riches ont enfin abattu leurs cartes à la conférence sur le climat de l'ONU à Bakou en proposant 250 milliards de dollars par an pour l'action climatique dans les pays en développement, selon un projet d'accord. Ce dernier est jugé "inacceptable" par les pays africains et fustigé par les ONG engagées dans la défense de l'environnement. Les négociations se poursuivent vendredi soir.
Près d’un tiers des pays de l’OCDE ont enregistré une nette augmentation de l’immigration légale l’année dernière. Une tendance qui reflète la forte demande de main-d’œuvre dans les pays les plus prospères, explique le “Financial Times”.
A deux jours de la fin de la COP29 à Bakou, les pays riches se voient réclamer entre 440 et 900 milliards de dollars par an d'aide climatique pour le monde en développement, ont rapporté mercredi les ministres chargés de débloquer les négociations.Les pays développés sont pour leur part toujours silencieux sur le montant qu'ils sont prêts à contribuer, au-delà de leur promesse précédente de 100 milliards annuels, pour le "Nouvel objectif collectif quantifié" (NCQG selon son sigle anglais) de finance climatique que doit établir la conférence de l'ONU.
Vingt-cinq pays, riches pour la plupart, se sont engagés mercredi à la COP29 à ne plus ouvrir de centrale au charbon, dans l'espoir d'emmener d'autres pays vers la fin du charbon.Le Royaume-Uni, qui vient de fermer sa dernière centrale au charbon, le Canada, la France, l'Allemagne et l'Australie, très gros producteur de charbon, ont signé cet appel volontaire pendant la conférence sur le climat de l'ONU en Azerbaïdjan. La Chine, l'Inde et les Etats-Unis n'y sont pas.
Au sommet du G20 à Rio de Janeiro, les négociations climat ont fait du surplace lundi après la COP29 de la semaine passée. Le président brésilien, à la tête du forum, a cependant réussi à lancer une Alliance globale contre la faim et a obtenu un engagement commun à coopérer pour une taxation effective des plus fortunés.
Le sommet des plus grandes économies de la planète s’est ouvert lundi sous la houlette du président brésilien de gauche. Celui-ci a notamment réussi à mettre sur orbite son Alliance globale contre la faim et la pauvreté et a convaincu ses homologues d’endosser l’idée d’une coopération pour taxer les plus fortunés.
Les dirigeants du G20 ont endossé lundi l’idée de coopérer pour taxer "effectivement" les personnes très fortunées, une initiative que poussait le président brésilien Lula et saluée comme une avancée "historique".
Le déclin brutal de l’environnement n’était pas censé être le fruit de la politique agricole commune. Et pourtant, c’est le cas, assène cette journaliste du quotidien britannique “The Guardian”.
Du 11 au 22 novembre, la COP29 s’est donné pour objectif de trouver les financements nécessaires aux pays plongés dans la crise climatique. Aux premières loges, le continent africain subit de plein fouet des changements climatiques désastreux dont il n’est pas responsable, note “Le Djely”. Le titre guinéen appelle dès lors à un sursaut africain sur ces questions, tout en dénonçant l’impuissance de ces grands raouts climatiques.
La COP29 a démarré le 11 novembre en Azerbaïdjan. Le montant et le financement du fonds à destination des pays les plus vulnérables au changement climatique sera au cœur des négociations.
Utilisés par moins de 0,01 % de la population dans le monde, les avions d’affaires ont vu leurs émissions augmenter de 46 % depuis 2019, selon une étude publiée ce jeudi 7 novembre.
“Si vous gagnez 10 000€ par mois, c’est un problème pour le climat”. En général, expliquer ce qu’est le changement climatique et ses impacts ne fait pas vraiment débat. Mis à part les climatosceptiques opportunistes, tout le monde s’accorde à dire que c’est un problème et qu’il faudrait le régler. En revanche, lorsque l’on discute des solutions, et surtout de justice sociale et climatique, c’est souvent là que ça commence à gronder.
En Colombie, où se tient le sommet mondial sur la biodiversité, les négociations entrent dans leur dernière phase. Et se bloquent sur le financement et le partage des ressources génétiques.
Les émissions de carbone des plus riches, qui incluent des yachts de luxe, des jets privés et des investissements dans des industries polluantes, compliquent de plus en plus la limitation du réchauffement climatique à 1,5 °C. Selon un rapport d’Oxfam, si l’ensemble de la population mondiale émettait des gaz à effet de serre au même rythme qu’un milliardaire moyen, le budget carbone restant pour respecter la limite de 1,5 °C serait épuisé en moins de deux jours.
Les 50 milliardaires les plus riches du monde engendrent des émissions de CO2 démesurées, par rapport à celles des plus pauvres.
Le nouvel objectif de finance climatique mondiale, qui sera âprement débattu lors de la COP29 à Bakou, devra avoir un solide socle de financements publics "en son coeur", a pressé jeudi le patron de l'ONU Climat, Simon Stiell, en direction des pays développés.Cette année, la COP (11-22 novembre) doit se conclure par un nouvel objectif pour la finance dans les pays en développement ("Nouvel objectif collectif quantifié", ou NCQG selon son sigle anglais).
En dix-sept ans, les riches n’ont rien appris, rien compris, rien changé. Ils se gavent. Les milliardaires ont multiplié leur fortune, la catastrophe écologique s’amplifie, la crise sociale est mondiale. Le lien entre ces phénomènes ? Les inégalités. On n’évitera pas le désastre climatique si l’on ne ramène pas les ultra-riches à la raison. C’est ce qu’explique ce livre détonnant, où une analyse implacable se combine à un dessin complice et surprenant.
On estime que les émissions de carbone des 1 % les plus riches de la planète sont équivalentes à celles des deux tiers les plus démunis de la planète.
C'est un accord historique que viennent de trouver les pays du G20 pour renforcer la taxation des milliardaires au niveau international.
Un projet de taxe mondiale des personnes les plus fortunées, soutenu notamment par la France, l’Espagne, l’Afrique du Sud et la Colombie, mais combattu par les Etats-Unis, est au menu du sommet du G20 au Brésil.
Dans une lettre ouverte envoyée ce jeudi 11 juillet aux pays du G20, d’ex-chefs d’Etat et de gouvernement défendent l’idée d’un accord mondial visant à taxer les ultra-riches, afin de lutter contre l’évasion fiscale.
Qu’il s’agisse de son programme ou des votes de ses députés, le Rassemblement national est clairement engagé contre l’écologie. Populiste, le parti d’extrême droite s’oppose à toutes mesures favorables au climat ou au vivant. Un oubli vaut parfois mille mots. Quatre jours à peine après la dissolution de l’Assemblée nationale par le président Emmanuel Macron, le Rassemblement national avait déjà finalisé ses professions de foi, synthétisant les ambitions du parti pour les trois années à venir. Sans (...)
Pour la première fois, les économies les plus riches ont tenu en 2022 leur promesse annuelle de financement de l’adaptation au changement climatique des pays les plus vulnérables. C’est deux ans plus tard que prévu. Et c’est loin d’être suffisant.
Les pays riches ont atteint en 2022 leur objectif d’aide climatique annuelle de 100 milliards de dollars pour les pays plus pauvres, avec deux ans de retard sur l’engagement pris en 2009.
Le constat n’est pas nouveau, les pistes pour le dépasser le sont davantage. Les riches polluent. Que l’on se place à l’échelle d’un pays ou d’un individu, ceux qui brassent le plus d’argent contribuent largement au réchauffement de la planète, et par conséquent, au dérèglement de son climat. Et chaque année, des ONG comme Oxfam nous le rappellent.
En France, le constat semble clair : 63 milliardaires émettent davantage de gaz à effet de serre que la moitié de la population. A l’échelle mondiale, la tendance est similaire : les 1 % les plus riches polluent autant que les 66 % les plus pauvres, selon Oxfam. Ces chiffres évoquent la responsabilité des plus fortunés dans le changement climatique et sous-entendent que leur empreinte carbone est particulièrement alourdie par les énergies fossiles. Mais qu’en est-il vraiment ?
De nombreux rapports montrent que les populations les plus riches émettent davantage de gaz à effet de serre que les plus pauvres. Ce constat doit pourtant être nuancé pour organiser au mieux la lutte contre le changement climatique.
Monique PINÇON-CHARLOT est sociologue spécialisée sur l'étude des classes supérieures, et ancienne directrice de recherche au CNRS. Elle a publié, avec Michel Pinçon, de nombreux ouvrages consacrés à ce sujet comme « Sociologie de la bourgeoisie » (La Découverte, 2016), « La violence des riches » (Zones, 2013) ou encore « Le Président des ultra-riches : Chronique du mépris de classe dans la politique d’Emmanuel Macron » (La Découverte, 2022). Plus récemment, en 2023, elle a publié « Le Méprisant de la République » dans lequel elle complète l'analyse de la politique complaisante du président de la République à l'égard des classes les plus riches de la société. Dans cette interview par Olivier Berruyer pour Élucid, elle présente le résultat de ses années de recherches, et de ses enquêtes de terrain, grâce à son infiltration dans ces cercles très fermés et secrets d'ultras riches. Qui sont-ils et comment fonctionnent-ils vraiment ?
Plusieurs morceaux de la côte ouest des Etats-Unis se sont effondrées après les pluies diluvienne de la semaine passée. Certains multi-millionaires se retrouvent désormais les pieds presque dans l’eau.
Quand les plus pauvres suffoqueront sous 40°C dans un épais nuage de pollution, où seront les ultra-riches ? A priori dans leurs bunkers. Ce marché est florissant à mesure que la crise climatique et autres tensions géopolitiques s’accélèrent. Le patron de Facebook (Meta) est en première ligne : il est en train de construire secrètement un bunker sur l’île hawaïenne Kauai.




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