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Un rassemblement s’est tenu dans le calme mercredi 28 août, alors que les derniers jours ont été marqués par de multiples incidents sur le chantier.
L’épidémie actuelle de mpox fait l’objet d’une alerte mondiale. En cause : la découverte d’un nouveau clade et le manque de vaccins en Afrique. En France, des questions se posent sur la stratégie vaccinale.
Madrid a annoncé faire un don représentant 20 % de son stock et a encouragé ses homologues européens à faire de même.
Le clade 1b est à l’origine de l’épidémie de mpox actuelle, considérée depuis le 14 août comme une urgence mondiale de santé publique par l’OMS. Voici ce qu’il faut savoir à son sujet.
Ce premier cas de mpox détecté chez un voyageur de 30 ans de retour d’Ouganda, pays touché par un variant du virus récemment apparu en Afrique.
Le jeudi 22 août, les autorités sanitaires thaïlandaises ont annoncé qu’un Européen était porteur du clade 1b de la mpox. Il s’agit du premier cas confirmé en Asie de ce nouveau variant potentiellement plus dangereux et contagieux.
L'épidémie de mpox en cours en Afrique en a déclenché une autre, mondiale celle-ci : une déferlante d'infox, sur fond d'homophobie et de conspirationnisme, après le déclenchement par l'OMS, mi-août, de son niveau d'alerte sanitaire le plus élevé.
En France, 232 sites de vaccination sont d’ores et déjà ouverts pour faire face à l'épidémie de mpox, a indiqué mardi le Premier ministre démissionnaire Gabriel Attal, tout en promettant 100 000 doses de vaccins aux pays les plus touchés.
« Pandémie », implication de Bill Gates, manipulations en laboratoire ou complot des Big Pharma… L’urgence de santé publique déclarée par l’Organisation mondiale de la santé ravive les obsessions des complotistes.
Les Philippines ont fait état lundi d'un premier cas de mpox sur leur territoire depuis le début de l'année, mais les autorités doivent encore déterminer s'il s'agit d'un cas de sous-type clade 1b jugé plus dangereux.
L’OMS a recommandé lundi aux pays touchés par le variant du virus mpox récemment apparu en Afrique de lancer des plans de vaccination dans les zones où des cas sont apparus.
L'AIEA a averti samedi que la sécurité à la centrale nucléaire ukrainienne de Zaporijjia, la plus grande d'Europe, occupée par les Russes dans le sud du pays, se "détériorait", après une frappe de drone à proximité.
Frédéric Valletoux chiffre ce dimanche 18 août à «150 000 personnes» le nombre de vaccinés dans l’Hexagone depuis la première vague de mpox en 2022. La vaccination reste pour l’instant réservée au «public le plus exposé».
Plus agressif que le variant à l’origine de l’épidémie de 2022, clade 1b a déjà fait des centaines de morts en Afrique. Mais le maillage sanitaire et les stocks de vaccins disponibles en Europe limitent les risques pour la population.
L'OMS doit publier prochainement les premières recommandations de son comité d'urgence sur le mpox mais l'organisation et les ONG de santé appellent d'ores et déjà les fabricants de vaccins à accroître largement leur production.
Le continent africain fait face à une résurgence d’une nouvelle souche du virus, détectée en RDC et baptisée « clade 1b », plus mortelle et plus transmissible que les précédentes. Des cas ont également été détectés en Suède et au Pakistan.
Le continent fait face à la propagation d’une nouvelle souche du virus, détectée en RDC en septembre 2023, plus mortelle et plus transmissible que les précédentes.
L'Organisation mondiale de la santé (OMS) a déclenché mercredi son plus haut degré d'alerte au niveau international face à la résurgence des cas de mpox en Afrique. Identifiée en 1958, cette maladie n’a rien de nouveau. Pourquoi suscite-t-elle de nouvelles inquiétudes ? France 24 fait le point.
L’OMS a déclenché mercredi son niveau d’alerte le plus élevé. Pékin va renforcer ses contrôles vis-à-vis des personnes et des biens susceptibles d’avoir été en contact avec la variole du singe.
L’OMS s’inquiète de la flambée d’un variant plus contagieux et plus dangereux du virus de la mpox, auparavant appelée “variole du singe”. Les cas se multiplient en Afrique, dans des pays qui n’avaient jamais connu la maladie. Un premier cas a été annoncé en Suède, un autre au Pakistan.
L’OMS décrète le plus haut niveau d’alerte contre l'épidémie de mpox (anciennement variole du singe) et déclenche ainsi les mesures conçues pour éviter que cela évolue en pandémie mondiale.
Il s’agit du plus haut niveau d’alerte de l’agence onusienne, déclenchée pour la deuxième fois en deux ans pour cette maladie d’origine virale.
L'Organisation mondiale de la santé a déclenché mercredi son plus haut niveau d'alerte sanitaire au niveau international face à la résurgence des cas de variole du singe (ou mpox pour Monkeypox) en Afrique.
Le laboratoire pharmaceutique danois Bavarian Nordic, dont le titre bondissait jeudi au lendemain de la décision de l'Organisation mondiale de la Santé (OMS) de déclencher son plus haut degré d'alerte face à la résurgence des cas de mpox (variole du singe), s'est dit prêt à produire jusqu'à 10 millions de doses de vaccins d'ici 2025.
La Belgique a facilité le don de 215.000 doses de vaccin contre le mpox, la variole du singe, par l'autorité européenne de préparation et de réaction en cas d'urgence sanitaire (HERA) à l'organisation CDC Afrique. Les ministres démissionnaires de la Santé Frank Vandenbroucke et de la Coopération au Développement Caroline Gennez l'ont annoncé mercredi.
a variole du singe continue de se propager dans le monde. Selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS), 934 nouveaux cas ont été enregistrés en juin, soit une légère diminution par rapport au mois précédent. Mais l’OMS suppose que le nombre réel de cas est plus élevé parce que moins de personnes sont testées et que tous les cas ne sont pas déclarés.
L’organisme africain a dénombré quelque 38 465 cas de mpox depuis janvier 2022 ainsi qu’une augmentation de 160 % des cas cette année par rapport à 2023.
Alors que 511 personnes sont mortes dans le pays depuis le début de l’année, une nouvelle souche, transmissible entre humains, notamment par des rapports sexuels, se diffuse dans les pays voisins.
L'Organisation mondiale de la santé (OMS) a confirmé la prochaine convocation d'une réunion de son comité d'urgence autour de l'épidémie de mpox, aussi appelé "variole du singe". Le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus, directeur général de l'OMS, a confirmé l'information lors d'un point presse à Genève, en Suisse.
Na een jarenlange strijd om het leven in de zogenaamde Volta Grande (Grote Bocht) van de Xingu-rivier, een stuk dat wordt ontwaterd door de Belo Monte-megadam in het Braziliaanse Amazonegebied, ligt er mogelijk een oplossing op tafel. “Maar terugkeren naar het verleden kan niet meer.”
Le séquençage de virus de la Mpox (naguère appelée variole du singe) provenant de personnes infectées en Ouganda et au Kenya a confirmé qu’il s’agissait de la même souche que celle qui circule en République démocratique du Congo. Elle est plus létale que celle qui a provoqué une épidémie mondiale en 2022.
La manifestation du 25 mars 2023 à Sainte-Soline contre les mégabassines fait déjà date dans l’histoire des luttes écologiques et sociales. En dépit du récit politique et médiatique dominant qui a présenté les manifestant·es comme de violent·es « écoterroristes », l’ampleur du nombre de personnes mobilisées, leur détermination et la convergence de leurs luttes confirment la montée en puissance d’une résistance politique à la destruction du vivant. Ce livre contribue à la production d’un contre-récit décrivant ce qu’il s’est réellement passé autour de ce village des Deux-Sèvres.
Mathis Wackernagel est l’économiste à l’origine du concept d’empreinte écologique qui permet de mesurer la pression qu'exerce l’humanité sur les ressources naturelles. Cette année, toutes les ressources régénérées par la planète en une année seront consommées dès le 1er août. Ce « jour du dépassement » symbolise ainsi la consommation déraisonné de ressources naturelles par l’espèce humaine. Dans cet entretien avec GoodPlanet Mag’, Mathis Wackernagel revient sur le concept d’empreinte écologique qu’il a co-créé, sur l’évolution du jour du dépassement au fil des années mais aussi sur l’impact de la croissance démographique et du numérique sur les ressources naturelles.
À compter de ce 1er août, l’humanité a consommé l’ensemble des ressources que la Terre peut générer en une année. Ce « jour du dépassement » illustre l’immense pression que les humains infligent continuellement à la planète. Calculée tous les ans par l’ONG Global Footprint Network, la date de ce jour symbolique signifie qu’environ 1,75 Terre serait nécessaire pour couvrir le mode de vie actuel de l’humanité. En d’autres termes, lors des 5 prochains mois, les ressources naturelles consommées par l’activité humaine ne pourront être régénérées par la planète bleue, créant des tensions qui s’accumulent année après année. « Bien que cela puisse sembler contre-intuitif, actuellement il est possible de consommer plus que ce que la nature régénère, dans la mesure où nous pouvons par exemple couper les arbres plus rapidement qu’ils ne repoussent, surexploiter les stocks existants de poissons, etc. De cette manière, comme en comptabilité financière, on peut dépenser plus que ce que l’on gagne », explique Mathis Wackern
Dans son édition spéciale du 26 juillet, la revue spécialisée “Science” se penche sur l’avancée des connaissances en matière de pollution atmosphérique et en particulier sur ses répercussions sur la santé humaine.
L’Organisation Mondiale de la Santé est inquiète, elle estime même que c’est une menace pour la santé mondiale : les cas de variole du singe, aussi appelée MPOX, augmentent de manière exponentielle en République démocratique du Congo. Une nouvelle souche plus dangereuse a déjà fait plusieurs centaines de victimes dans le pays.
L’association écologiste Legambiente rapporte une augmentation, en 2023, de 15,6 % des infractions liées à l’« écomafia » par rapport à 2022, une augmentation en partie liée à l’augmentation des contrôles policiers.
Or, il y a des circonstances, par exemple, ce qu’on appelle la « capacité de charge d’une espèce par rapport à son environnement », qui font que quand on dépasse les limites et qu’on produit du réchauffement climatique, la montée des eaux des océans, la disparition des espèces animales : baisse de la biodiversité, ce qu’il faudrait dire aux gens sur comment on va arranger les affaires, c’est des choses que les gens n’ont pas envie d’entendre.
La plus haute juridiction de Serbie ajoute qu’il revient bien au gouvernement « de décider de l’avenir du projet en question, dans le respect de la constitution et de la loi », tandis que plusieurs centaines de militants se sont rassemblées jeudi devant elle.
L'Organisation mondiale de la Santé (OMS) a mis en garde jeudi contre la menace pour la santé mondiale que représente la "variole du singe", appelée Mpox selon la nouvelle terminologie de l'OMS, exprimant son inquiétude concernant une poussée épidémique d'une nouvelle souche plus mortelle du virus en République démocratique du Congo.

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