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Virus

2025

Des cas de fièvre hémorragique ont été détectés dans le sud du pays, après une alerte lancée par le directeur d’un hôpital. L’homme a depuis été suspendu de ses fonctions par le ministère de la santé.
Dans l’État de Washington, un patient hospitalisé vient de contracter une forme de grippe aviaire jusqu’ici totalement inconnue chez l’humain. Cette découverte, annoncée le 14 novembre par les autorités sanitaires américaines, marque un tournant inédit dans l’épidémie qui touche les élevages depuis plusieurs années. Mais faut-il vraiment s’inquiéter de ce nouveau venu dans la famille des virus grippaux ?
Les autorités éthiopiennes ont confirmé l'apparition d'une épidémie du virus de Marburg dans le sud du pays, a indiqué samedi l'agence sanitaire de l'Union africaine (Africa CDC). Le virus de Marburg, qui provoque une fièvre hémorragique hautement infectieuse, est transmis par certaines espèces de chauves-souris et appartient à la même famille qu'Ebola. Son taux de mortalité peut monter jusqu'à près de 90%.
Cela ressemble au scénario d’un film de science-fiction. Et pourtant, c’est une expérience bien réelle menée à l’Université de Stanford. Des chercheurs ont récemment annoncé avoir utilisé une intelligence artificielle pour générer, à partir de zéro, le génome complet d’un virus et donner vie à des particules virales fonctionnelles. Rassurez-vous, il ne s’agit pas d’un virus humain mais de bactériophages, ces virus inoffensifs pour nous qui ciblent uniquement les bactéries. Cette avancée spectaculaire ouvre des perspectives fascinantes pour la médecine et l’agriculture, tout en soulevant des questions brûlantes sur la biosécurité.
Alors que le monde se remet de la pandémie de COVID-19, des chercheurs viennent d’identifier une nouvelle souche de coronavirus chez des chauves-souris brésiliennes. Nommé BRZ batCoV, ce virus partage un élément clé avec le SARS-CoV-2, qui pourrait lui permettre de franchir la barrière entre espèces.
Malgré les mesures de protection et de confinement, puis l’obligation, depuis 2023, de vacciner les animaux, la profession reste inquiète sur la persistance du virus, qui décime les populations de canards d’élevage. Cela, en pleine période de production du foie gras.
Dengue, paludisme ou encore virus du Nil occidental : la hausse des températures et l'évolution des pluies liées aux dérèglements climatiques influencent la transmission des maladies infectieuses au départ tropicales, alerte le Lancet Countdown.
Un variant surnommé « Frankenstein » : quand le virus brouille les pistes L’émergence du variant « Frankenstein » marque une nouvelle étape dans l’évolution du coronavirus. Son surnom évocateur n’est pas dû au hasard : il s’agit d’un variant composite, fruit de multiples recombinaisons entre différentes souches. Ce brassage génétique lui confère une physiologie singulière, parfois imprévisible.
Une équipe californienne a utilisé l’intelligence artificielle pour concevoir des génomes viraux avant qu’ils ne soient construits et testés en laboratoire. Ensuite, des bactéries ont été infectées avec succès par plusieurs de ces virus créés par l’IA, prouvant ainsi que les modèles génératifs peuvent créer des gènes fonctionnels. « La première conception générative de génomes complets. »
A California outfit has used artificial intelligence to design viral genomes before they were then built and tested in a laboratory. Following this, bacteria was then successfully infected with a number of these AI-created viruses, proving that generative models can create functional genetics. "The first generative design of complete genomes." That's what researchers at Stanford University and the Arc Institute in Palo Alto called the results of these experiments. A biologist at NYU Langone Health, Jef Boeke, celebrated the experiment as a substantial step towards AI-designed lifeforms, according to MIT Technology Review. "They saw viruses with new genes, with truncated genes, and even different gene orders and arrangements," Boeke said.
Dans un contexte actuel de résistance des bactéries aux antibiotiques, la recherche d’alternatives bat son plein. En France, des scientifiques ont focalisé leur attention sur la phagothérapie, c’est à dire le recours à des virus bactériophages. Le fait est que cette méthode est loin d’être une nouveauté, puisque datant de la première moitié du XIXe siècle.
On parle souvent du VIH, du COVID-19 ou du VPH. Mais derrière ces acronymes familiers, il existe un virus plus silencieux, plus discret, mais tout aussi menaçant. Le HTLV-1, découvert en 1980, infecte des millions de personnes à travers le monde, et jusqu’à récemment, il échappait à toute tentative de traitement. Une récente avancée scientifique pourrait toutefois changer la donne.
Affublés de cornes, des lapins "zombies" ont été aperçus aux États-Unis. Selon certains internautes, ces symptômes spectaculaires auraient été causés par un nouveau virus inquiétant. En réalité, les animaux ont été infectés par un virus courant découvert dans les années 30.
Le Centre européen de contrôle des maladies évoque 27 épisodes de transmission du chikungunya pour le moment en 2025. Changement climatique oblige, « une transmission plus longue, plus répandue et plus intense de maladies véhiculées par les moustiques devient la nouvelle normalité », selon sa directrice.
Transmis à l'homme par certains moustiques, le virus du Nil occidental peut entraîner, dans ses formes les plus graves, des atteintes neurologiques irréversibles. Longtemps considéré comme lointain, il gagne du terrain en Europe sous l'effet conjugué des oiseaux migrateurs et du réchauffement climatique.
C’est un virus transmis par le moustique. Pas le moustique tigre, mais l’espèce la plus commune, le "Culex", le moustique domestique dont il existe différentes sous espèces. Il infecte d’abord les oiseaux migrateurs, qui servent de réservoir, puis peut être transmis à l’humain. Introduit en Europe par des oiseaux migrateurs en provenance d’Afrique, ce virus circule localement dans des régions qui se rapprochent du nord de l’Europe. En Italie, 9 personnes en sont décédées depuis le début de l’année.
En 2025, près d'une dizaine de personnes ont perdu la vie en Italie des suites du virus du Nil occidental, un pathogène propagé par les moustiques dans les zones chaudes d'Europe.
Ce phénomène pourrait avoir des conséquences démographiques et économiques lourdes pour la Russie sur le long terme.
Des travaux de l’Institut Pasteur, publiés le 22 juillet, montrent que le virus du Covid-19 peut se loger pendant plus de 80 jours dans une partie du cerveau, s’accompagnant de signes de «dépression, de troubles de la mémoire et d’anxiété».
Depuis le début de l’été, un nombre record de cas autochtones d’infections par le virus chikungunya a été recensé dans l’Hexagone. Voici ce qu’il faut savoir de ce virus, propagé par les moustiques appartenant au genre Aedes, comme le moustique tigre Aedes albopictus.




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