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2024

La concentration de bactérie E. coli dans la Tamise, en Angleterre, a atteint un niveau "alarmant" à cause de rejets d'eaux usées, dénonce vendredi le groupe River Action, à quelques jours d'une célèbre compétition d'aviron qui doit avoir lieu sur ce fleuve. La pollution des rivières au Royaume-Uni s'est imposée comme l'un des sujets-phare de la campagne pour les élections législatives du 4 juillet. Selon le groupe River Action, qui demande "une action urgente" au prochain gouvernement britannique, la régate royale d'Henley ne va pas être épargnée. Cette course d'aviron est un rendez-vous prisé de l'aristocratie anglaise qui se déroule chaque année début juillet, sur la Tamise, à l'ouest de Londres.
Le quotidien australien “The Sydney Morning Herald” révèle que l’eau potable du robinet d’un grand nombre d’endroits contient une quantité importante de polluants éternels.
Des concentrations trop élevées de cette substance ont été relevées en Wallonie et en Flandre et affectent la potabilité de l'eau.
Selon une étude réalisée dans dix pays de l’Union européenne et menée par les organisations partenaires du Pesticide action network Europe, La Mehaigne serait le troisième cours d’eau le plus pollué d’Europe en TFA, un produit chimique éternel qui fait partie de la famille des PFAS.
Les PFAS sont dans le viseur du législateur. Mais il y a un verrou : il ne s’agit pas seulement de surveiller une poignée de composés connus, mais de considérer des millions de molécules différentes.
Révélations exclusives sur une contamination aux PFAS ignorée - En février 2024, une recherche conjointe du Réseau européen d'action sur les pesticides (PAN Europe) et de ses membres a révélé une forte augmentation de la contamination des fruits et légumes européens par des pesticides appartenant au groupe chimique problématique des PFAS, également connus sous le nom de "forever chemicals" (polluants éternels). Le présent rapport se concentre sur leur produit de dégradation final, l’acide trifluoroacétique (TFA), un produit chimique très persistant.
Sophie Ressouche, spécialiste de la nappe où est pompée l’eau de Perrier, explique comment des contaminations ont pu se produire.
Les bases aériennes belges sont-elles à l’origine de pollutions locales aux PFAS ? L’enquête d’Investigation et de Décrypte révèle des niveaux élevés de contamination dans le sol et les eaux de certains quartiers militaires, mais aussi dans les puits et les robinets de civils. C'est le cas à Beauvechain où la teneur en PFAS dans l'eau potable est dix fois au-dessus des recommandations sanitaires.
Cette nouvelle réglementation doit permettre de réduire l'exposition aux PFAS d'environ 100 millions de personnes.
Le constructeur de l'Oosterweel, Lantis, défend son approche de la contamination par les PFAS sur le site du nouveau tunnel de l'Escaut à Anvers.
Les associations s’appuient notamment sur une récente étude de l’Institut flamand pour la recherche technologique (Vito) pour étayer leur argumentation.
De nouvelles analyses de Générations futures mettent au jour une lourde pollution par ces substances chimiques près d’une usine du groupe Solvay, dans le Gard. Les concentrations dans l’eau potable de deux communes sont inquiétantes.
Une nouvelle étude montre que les taux de pollution aux micro-plastiques sont 100 à 1000 fois plus élevés qu’on ne le pensait jusque là. Des résultats qui tranchent avec l'image d'un produit pur et sain véhiculé par les industriels.
L'eau des bouteilles en plastique contient jusqu'à 100 fois plus de minuscules particules de plastique qu'estimé jusqu'ici, selon une nouvelle étude publiée lundi.
En utilisant une technique novatrice, les scientifiques de la revue « PNAS » ont comptabilisé en moyenne 240 000 fragments de plastique détectables par litre d’eau, après avoir testé le produit de trois marques populaires. Ce qui soulève des questions sur les conséquences pour la santé.
Selon une nouvelle étude parue dans une revue américaine, la pollution aux nanoparticules dans l’eau en bouteille est 100 fois plus élevée qu’estimée auparavant. Un coauteur de l’étude «ne recommande pas de ne pas boire d’eau en bouteille quand c’est nécessaire».
Dans des bouteilles d’eau achetées au supermarché aux États-Unis, des chercheurs ont détecté une quantité importante de plastiques, dont 90 % sont de taille nanométrique.
Ils pèsent moins de 10% du poids de la pollution plastique en mer mais représentent 90% des objets qui s’y trouvent. Ce sont les microplastiques. Depuis des décennies, ces minuscules fragments de plastique ont colonisé tout l’environnement, de l’atmosphère aux sols en passant par la chaîne alimentaire et l’eau en bouteille. Et ce, à des quantités bien plus importantes que celles estimées jusqu’à présent. C’est ce que révèle une étude publiée ce lundi 8 janvier 2024 dans la revue PNAS.

2023

Nous sommes tous contaminés aux perturbateurs endocriniens. En cause : le plastique, une bombe sanitaire négligée par les pouvoirs publics.
Le monitoring mené par la Société wallonne des eaux (SWDE) dans le cadre de la recherche de PFAS se poursuit.
L'eau du robinet est impropre à la consommation dans certains villages des communes de Nandrin, Modave et Tinlot. Ils sont touchés par une pollution aux PFAS, ces polluants éternels. C'est ce que viennent de révéler les derniers résultats des échantillons prélevés dans le cadre d'un monitoring réalisé à l'échelon wallon.
Une distribution d'eau potable a débuté vendredi dans plusieurs villages des entités de Modave, Nandrin et Tinlot, en province de Liège, en raison de la non-potabilité de l'eau de distribution décrétée après une suspicion de pollution aux PFAS, a annoncé le bourgmestre nandrinois Michel Lemmens à l'agence Belga.
En pleine polémique sur les PFAS, il a été question de la société Renewi ce lundi soir au conseil communal de Liège. Des données inquiétantes en matière de contamination aux PFAS ont en effet été révélées concernant les eaux de rejet de cette société de gestion de déchets installée à Wandre.
Après la ministre wallonne de l'Environnement Céline Tellier mardi, c'était au tour du Comité de direction de la Société wallonne des eaux (SWDE) d'être entendu, ce vendredi matin, sur la pollution aux PFAS de l'eau de distribution.
Les explications des quatre membres du comité de direction de la Société wallonne des eaux (SWDE), vendredi matin en commission du parlement wallon, sont loin d'avoir répondu à toutes les questions qui entourent la pollution aux PFAS de l'eau de distribution au sud du pays, ont pointé, au terme de ces auditions, de nombreux députés wallons.
Voilà près d’une semaine qu’une enquête d'#Investigation et de Décrypte a révélé que plusieurs communes de Wallonie présentaient des teneurs élevées en PFAS dans l’eau potable, sans que les autorités interviennent avant mars 2023. Pointée par de nombreux élus de l’opposition, la ministre wallonne de l’Environnement, Céline Tellier, a dû répondre de cette situation en Commission de l’Environnement au Parlement wallon ce mardi matin. Dans son argumentaire, elle insiste notamment sur la chronologie des évènements et les échanges d’informations entre son cabinet, le Service public de Wallonie (SPW) et la Société wallonne des eaux (SWDE) à propos du cas de Chièvres.
12 000 Hennuyers ont bu pendant un an et demi une eau contaminée aux PFAS, une substance très toxique. Les autorités politiques et administratives étaient informées d'une contamination de l'eau dans le Hainaut. En atteste ces courrier de la ministre flamande Zuhal Demir (N-VA) que nous avons pu consultés.
Alors que la révélation par la RTBF, dans son émission #Investigation, d’une contamination au PFAS de l’eau potable dans une douzaine de localités wallonnes continue de créer des remous, les interrogations sur les procédures de contrôle de l’eau de ville se multiplient. Qui s’assure au final que l’eau potable est bien potable ? Quels contrôles sont effectués ? Quel est le cadre légal qui entoure la distribution d’eau en Wallonie ? On fait le point.
Le dossier PFAS ne cesse de rebondir. Le magazine #Investigation a proposé ce mercredi 8 novembre une enquête qui a révélé l’existence de PFAS (dit aussi "polluants éternels") dans l’eau potable de communes comme Chièvres ou Ath dans des proportions trop élevées par rapport aux normes recommandées.
Le 08 novembre, le magazine Investigation de la RTBF faisait état d’une alarmante contamination de l’eau du robinet en Hainaut par des PFAS, les ‘polluants éternels’, substances chimiques que l’on retrouve un peu partout et dont l’une des caractéristiques est d’être quasiment indestructibles. L’émission pointe, à raison, un manque de transparence de la SWDE (Société wallonne des eaux) qui aurait manqué de proactivité dans sa communication vers les citoyen·nes concerné·es. Canopea estime que plus fondamentalement, la responsabilité principale incombe aux entreprises qui ont mis ces substances sur le marché sans une évaluation suffisante de leur impact environnemental.