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2024
01 August 2024 – Humanity is facing its greatest emergency, a crisis consisting of many, interlinked, catastrophic risks, the Roundtable on the Human Future has declared. At present humanity has no way to deal with such a crisis – and a global plan of action is urgently needed, it said.
2023
Plusieurs organisations représentant 46,3 millions de professionnels de santé à travers le monde adressent ce mercredi 1er novembre une lettre au président de la COP 28. Ils réclament une transition énergétique juste pour «sauver des vies».
2021
Avez-vous bien lu nos mises en garde ? C’est la question que posent en substance plus de 200 climatologues, dont le Belge Jean-Pascal van Ypersele, qui appellent la COP26 à agir immédiatement et massivement contre le réchauffement.
Bien connu des lecteurs de Futura, l'astrophysicien Aurélien Barrau, en compagnie de l'actrice Juliette Binoche, est à l'origine d'un appel signé par 200 scientifiques et artistes, largement relayé par les médias. Son sujet n'est rien de moins que la survie de l'humanité à l'échelle de quelques décennies seulement, une urgence dont doivent se saisir les politiques avec l'aide de leurs concitoyens.
Un collectif, parmi lesquelles Nicolas Hulot, Jane Goodall et Audrey Azoulay, appelle à s’organiser pour que cesse la destruction des conditions d’habitabilité de la planète, notre « maison commune ».
Tribune de 400 scientifiques et universitaires : « Que les décideurs politiques ouvrent le débat sur l’effondrement de la société pour que nous puissions commencer à nous y préparer » - Nous sommes des scientifiques et universitaires de plus de vingt pays et nous appelons les décideurs politiques à s’engager ouvertement face au risque de bouleversements, voire d’effondrement, de nos sociétés. Cinq ans après l’accord de Paris de 2015 sur le climat, nous n’avons pas réussi à réduire nos émissions de carbone, et nous devons maintenant faire face aux conséquences.
2020
En tant que scientifiques et universitaires du monde entier, nous appelons les décideurs politiques à s’engager ouvertement face au risque de perturbation, voire d’effondrement, de nos sociétés. Cinq ans après l’accord de Paris sur le climat, nous n’avons pas réussi à réduire nos émissions de carbone, et nous devons maintenant en tirer les conséquences.
A public letter signed by over 250 scientists and scholars from 30 countries, calls on policy makers to engage more with the growing risk of societal disruption and collapse due to damage to the climate and environment. The letter invites focus on how to slow, prepare for, and help those already suffering from, such disruptions. The signatories are specialists in a range of subject areas that relate to this challenge, who commonly believe it is time to listen to all the scholarship on humanity’s predicament.
En tant que scientifiques et universitaires du monde entier, nous appelons les décideurs politiques à s'engager ouvertement face au risque de perturbation, voire d'effondrement, de nos sociétés. Cinq ans après l'accord de Paris sur le climat, nous n'avons pas réussi à réduire nos émissions de carbone, et nous devons maintenant en tirer les conséquences.
Une opinion de plus de 50 anciens ministres, Premiers ministres, Présidents et secrétaires généraux dont Ban Ki-moon, Yves Leterme et Willy Claes. Retrouvez la liste complète des signataires au bas de l'article.
Les plus éminents climatologues et biologistes du monde entier estiment que nous nous dirigeons vers l’effondrement de la civilisation, et qu’il est peut-être déjà trop tard pour changer de cap.
Une opinion signée par plus de 250 scientifiques
2019
En 1992, 1 575 éminences scientifiques, dont près de 100 prix Nobels, signent ensemble un texte fondateur.En 2017, le Professeur émérite William Ripple, biologiste et écologue de renom, publie dans BioScience – journal scientifique de référence en biologie – un article intitulé « Mise en garde des scientifiques du monde à l’humanité : deuxième avertissement ». Un troisième avertissement - L’appel des 15 000 scientifiques illustre leur rôle fondamental dans notre société contemporaine. Un rôle qui consiste non seulement à décrire et expliquer le monde qui nous entoure, mais aussi à lancer l’alerte. Les scientifiques ont le devoir de prendre la parole dans l’espace public et dans la sphère politique, en toute indépendance. Fort de l’impact du « deuxième avertissement », le Professeur Ripple a publié le 5 novembre 2019 dans la revue BioScience une nouvelle étude co-signée par 11 258 scientifiques de 153 pays et intitulée « Mise en garde des scientifiques du monde sur l’urgence climatique ».
Trois membres de l’Institut Momentum appellent à assumer l’effondrement systémique global qui vient pour préparer l’avènement d’une société « résiliente ».
Selon des scientifiques australiens, il pourrait nous rester que très peu d’années à vivre. Le Giec relativise
Beaucoup plus vite que prévu. Selon des chercheurs australiens réputés, la fin de notre civilisation pourrait avoir lieu en 2050, à cause du changement climatique.
2018
« On est obligés de la faire, la Troisième Révolution ? » demanderont quelques esprits réticents et chagrins. Oui. On n'a pas le choix, elle a déjà commencé, elle ne nous a pas demandé notre avis. C'est la mère Nature qui l'a décidé. " 🌎 🌍 🌏 Charlotte Gainsbourg nous raconte la 3ème Révolution. Ce texte a été écrit par Fred Vargas, en 2008. Depuis, la situation s'est encore aggravée.
Le physicien américain juge que « notre mode de vie gourmand en biens matériels et en énergies fossiles n’est pas soutenable ».
Une énergie considérable est déployée pour le répéter : « L’ère de l’énergie bon marché est terminée », alertent des biophysiciens finlandais dans un rapport remis aux Nations unies le 14 août 2018. Mais plutôt que de seulement reprendre ce constat à d’autres scientifiques, ils en tirent une conclusion sans appel : le modèle économique issu de l’ère industrielle arrive lui aussi à son terme. « Pour la première fois dans l’histoire de l’humanité », nous nous tournons vers « des sources d’énergie moins efficientes », ce qui signifie que sa production nécessitera à l’avenir « plus d’efforts ».
2017
Plus de 15 000 scientifiques de 184 pays alertant l’opinion mondiale sur l’état de la planète et conjurant l’humanité d’agir vite pour « éviter une misère généralisée et une perte catastrophique de biodiversité », c’est historique, non ? Franck Courchamp1 : C’est effectivement du jamais-vu. La première mise en garde de ce genre, formulée en 1992 à l’issue du Sommet de la Terre à Rio, n’avait rassemblé que 1 700 signataires dont, il est vrai, une centaine de prix Nobel. Le présent manifeste a été rédigé par huit spécialistes internationaux du fonctionnement des écosystèmes et a paru le 13 novembre dans la revue BioScience. Il a été initié par le biologiste de la conservation américain William Ripple, qui a mis en évidence le déclin dramatique de presque tous les grands carnivores et tous les grands herbivores, des animaux qui jouent pourtant un rôle crucial dans l’équilibre des milieux naturels.
Il y a vingt-cinq ans, en 1992, l’Union of Concerned Scientists et plus de 1 700 scientifiques indépendants, dont la majorité des lauréats de prix Nobel de sciences alors en vie, signaient le « World Scientists’Warning to Humanity ». Ces scientifiques exhortaient l’humanité à freiner la destruction de l’environnement et avertissaient : « Si nous voulons éviter de grandes misères humaines, il est indispensable d’opérer un changement profond dans notre gestion de la Terre et de la vie qu’elle recèle. »
Vingt-cinq ans après une première mise en garde d'une majorité de lauréats du prix Nobel, plus de 15.000 scientifiques de 184 pays lancent, dans une déclaration publiée lundi, un avertissement face aux risques de déstabilisation de la planète faute d'actions pour préserver l'environnement et les écosystèmes.
Editorial du « Monde ». Dans un appel d’une ampleur inédite publié lundi 13 novembre par la revue BioScience, plus de 15 000 scientifiques de toutes les disciplines et de 184 pays enjoignent aux responsables politiques et aux décideurs de tout mettre en œuvre pour freiner la destruction de l’environnement. Si celle-ci se poursuit au rythme actuel, les auteurs mettent en garde contre un déclin irrémédiable des bienfaits de la nature pour l’homme, une dégradation des conditions de vie à la surface de la Terre et, en définitive, une misère galopante
The Alliance of World Scientists (AWS) provides the collective international voice of thousands of scientists regarding the global climate crisis and environmental trends with the intent to turn accumulated knowledge into action.
Mise en garde des scientifiques du monde à l'humanité : deuxième avertissement William J. Ripple, Christopher Wolf, Mauro Galetti, Thomas M Newsome, Mohammed Alamgir, Eileen Crist, Mahmoud I. Mahmoud, William F. Laurance Et 15 364 scientifiques signataires de 184 pays (l’ensemble des signataires est listé en annexe S2)
En 1992, plus de 1700 scientifiques, y compris la majorité des lauréats du prix Nobel, ont écrit un avertissement urgent à l’humanité dans son ensemble. Le message était simple : si nous ne prenons pas des mesures drastiques, la misère humaine prévaudra et notre planète sera « irrémédiablement mutilée ». Vingt-cinq ans plus tard, peu de choses ont changé. À présent, les scientifiques donnent une seconde chance à l’humanité. L’article, « Avertissement des scientifiques du monde à l’humanité : un deuxième avis » prévient que les humains sont en collision avec le monde naturel et que si des mesures immédiates ne sont pas prises, nous ne pourrons pas éviter des dommages substantiels et irréversibles sur la Terre.
Vingt-cinq ans après une première mise en garde d'une majorité de lauréats du prix Nobel, plus de 15.000 scientifiques de 184 pays lancent, dans une déclaration publiée lundi, un avertissement face aux risques de déstabilisation de la planète faute d'actions pour préserver l'environnement et les écosystèmes.
Il y a vingt-cinq ans, l'Union of Concerned Scientists et plus de 1700 scientifiques indépendants, dont la majorité des lauréats scientifiques du prix Nobel d’alors, ont scellé l'Avertissement des scientifiques du monde à l'humanité de 1992 (voir le texte en annexe S1). Ces scientifiques s’adressaient à l'humanité afin d’endiguer la destruction de l'environnement et avertissaient « Si nous voulons éviter une misère humaine à grande échelle, il est indispensable d’assurer un changement profond de notre gestion des ressources et de la vie sur Terre ».
En 1992, les plus grands scientifiques du monde lançaient un « avertissement à l’humanité » pour en finir avec la destruction de l’environnement. Vingt-cinq ans plus tard, force est de constater que nous n’avons pas tenu compte de leur alerte. Et bientôt, il sera trop tard. Des actions urgentes peuvent être mises en œuvre pour que l’humanité prenne le chemin de la soutenabilité. Mais le temps presse…
Il y a peu en Espagne, le manifeste "Le dernier appel" a été lancé par plus de 250 chercheur-e-s, militant-e-s, syndicalistes, politiques de différents partis, etc., afin d’alerter sur l’effondrement écologique et social à venir si rien n’est fait pour y remédier.
1992
https://www.ucs.org/resources/1992-world-scientists-warning-humanity - Some 1,700 of the world's leading scientists, including the majority of Nobel laureates in the sciences, issued this appeal in November 1992. The World Scientists' Warning to Humanity was written and spearheaded by the late Henry Kendall, former chair of UCS's board of directors.