Transition énergétique ?

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2024

Financement insuffisant, raccordement trop lent, infrastructures inadaptées: trop d'obstacles entravent la transition des énergies fossiles vers les énergies renouvelables, conduisant à aggraver la crise climatique, estime jeudi un rapport du réseau d'experts sur les énergies renouvelables REN21.
Temps de lecture : 12 minutes Il semble que la Cour Fédérale des Comptes, organe indépendant de contrôle financier et l’une des plus hautes autorités fédérales, soit indispensable non seuleme…
La part de l'économie britannique consacrée à la transition énergétique a progressé de 9% l'an dernier, dopant une économie par ailleurs atone, mais davantage de stabilité politique et d'investissements sont nécessaires, selon un rapport publié mardi.

2023

Selon la direction générale du Trésor, la décarbonation de l’économie sera globalement positive à l’économie française malgré un ralentissement potentiel de la croissance à court terme.
Les compagnies pétrolières d'Etat, qui contrôlent la moitié du pétrole et du gaz dans le monde, ignorent pour la plupart le risque associé à la transition énergétique sur leurs activités souvent cruciales à l'économie locale, selon un rapport du Natural Resource governance institute (NRGI) publié mardi à deux jours de la COP28.
En 2022, les énergies renouvelables ont compté en France pour 14% de la consommation d’énergie primaire (contre 8,8 % dix ans plus tôt) mais pour 20,7% de la consommation finale brute d’énergie selon les règles de calcul européennes(1) (
Le rapport d'information ci-après, déposé en commission des finances, de l'économie générale et du contrôle budgétaire à l'Assemblée nationale, s'intéresse au financement de la transition énergétique « selon deux angles complémentaires : le développement du service public de la rénovation de l’habitat autour du
Le rythme de la transition énergétique au Royaume-Uni est d'une "lenteur inquiétante", déplore mardi dans un rapport le CCC, l'organisme indépendant chargé de conseiller Downing Street sur le passage à la neutralité carbone.Il appelle le gouvernement à des actions "plus audacieuses et à refaire du climat une "priorité".

2022

Les fossiles continuent de dominer largement le secteur de l’énergie, en dépit de la hausse inédite des capacités de production de l’éolien et du solaire.
Un récent rapport de l’AIE prévoit que la transition énergétique va multiplier par six d’ici 2050, la demande mondiale de métaux (https://www.iea.org/reports/the-role-of-critical-minerals-in-clean-energy-transitions). Il s’agit d’une moyenne : l’AIE estime que la multiplication de la demande variera de 20 à 40 pour le lithium, le graphite, le cobalt (voir à ce sujet, le dernier documentaire de Thierry Michel sur les guerres au Congo) et le nickel. Il sera de 7 pour les terres rares, dont l’approvisionnement est déjà critique. On va donc passer d’un système énergétique dépendant des fossiles à un autre dépendant des ressources naturelles.
Dans le rapport ci-après publié le 25 avril dernier, Eurométaux (association européenne des producteurs de métaux) estime que l'Europe aura en particulier besoin, pour atteindre la neutralité carbone en 2050, de 35 fois plus de lithium à l'horizon 2050 (près de 800 000 tonnes par an) qu'à l'heure actuelle, mais aussi de 2 fois plus de nickel (400 000 tonnes en 2050) ou encore de 35% de plus de cuivre (1,5 million de tonnes en 2050). Ledit rapport, rédigé par des chercheurs de l'Université belge KU Leuven, avertit ainsi que « l'Europe pourrait être confrontée à des problèmes de pénurie vers 2030 pour son approvisionnement en lithium, cobalt, nickel, terres rares et cuivre »(1). Les chercheurs associent à leur alerte une « bonne nouvelle » : 40 à 75% des besoins de métaux pourraient être couverts par le recyclage à l'horizon 2050 si l'Europe investit rapidement dans les infrastructures et relève entre autres ses taux de recyclage obligatoires.
Un nouveau rapport publié par Eurométaux, l’association européenne des producteurs de métaux, alerte sur le fait que l’Union européenne pourrait se retrouver en risque sur sa transition énergétique d’ici 2030. À cet horizon, plusieurs matériaux risquent de faire l’objet d’une pénurie mondiale en raison de l’essor mondial des énergies renouvelables et des véhicules électriques. L’UE doit rapidement organiser son approvisionnement afin d’atteindre ses objectifs climatiques.
Lithium, cobalt, nickel... l'Union européenne doit organiser rapidement son approvisionnement en métaux pour la transition énergétique, faute de quoi des difficultés s'annoncent dès 2030, menaçant ses objectifs en matière d'autonomie comme de climat, alerte un rapport publié lundi.
Des actifs dans les hydrocarbures équivalant aujourd'hui à des fortunes risquent de perdre rapidement toute valeur en raison de la lutte contre le réchauffement climatique, selon des spécialistes qui appellent entreprises et pays producteurs à accélérer leur transition énergétique. "Limiter le réchauffement à 2°C ou 1,5°C va faire s'échouer des actifs liés aux énergies fossiles, notamment les infrastructures et les ressources fossiles non utilisées", mettent en garde les experts de l'ONU pour le climat (Giec) dans leur dernier rapport paru lundi. L'impact économique pourrait se chiffrer en "milliers de milliards de dollars", soulignent-ils.
La transition écologique engendrera une hausse de l'activité économique dans tous les scénarios de neutralité carbone à 2050, souligne mardi un rapport de l'Ademe, qui relève que "la sobriété n'est pas synonyme de décroissance".
En 2030, l'Europe ne produira pas plus de 30% de ses besoins en minerais stratégiques pour les batteries électriques de la transition énergétique, tels que lithium, cobalt ou nickel qu'elle sera obligée d'importer largement, indique lundi un rapport remis au gouvernement français.

2021

Dans son dernier rapport, l’Agence internationale de l’énergie pointe les retards de la France en matière de transition. Elle appelle notamment à plus d’investissements dans les énergies renouvelables et à clarifier ses mesures sur l’après nucléaire.
Malgré son prestige international sur les questions relatives à l’énergie et au climat, la France doit accentuer ses efforts pour atteindre ses objectifs, souligne l’Agence internationale de l’énergie (AIE) dans un rapport publié ce 30 novembre(1).
Depuis la signature des accords de Paris en 2015, la transition vers une économie et des énergies plus propres a progressé, mais trop lentement pour limiter le réchauffement à 2 °C, a fortiori à 1,5 °C, par rapport à la fin du XIXe siècle. En août, le dernier rapport du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) mettait déjà en garde contre le risque d’atteindre le seuil de plus 1,5 °C autour de 2030, dix ans plus tôt qu’estimé dans sa précédente estimation en 2018, menaçant l’humanité de désastres sans précédent.
L'agence lance "de sérieux avertissements devant la direction que le monde prend", dans son rapport annuel publié à deux semaines de l'ouverture de la COP26 de l'ONU à Glasgow.


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