Valérie Masson-Delmotte

OA - Liste

2024

La Commission européenne a annoncé lundi l'ouverture d'une enquête approfondie pour vérifier si le soutien public de la Belgique à la prolongation du nucléaire est conforme aux règles de l'UE en matière d'aides d'Etat.L'an dernier, l'Etat belge a conclu un accord avec le groupe français Engie, l'exploitant de ses centrales, pour prolonger de dix ans la durée de vie des réacteurs Doel 4 et Tihange 3, situés respectivement près d'Anvers (nord) et de Liège (est).
Le formateur fédéral Bart De Wever (N-VA) a informé Engie qu'il voulait parier "au maximum" sur l'énergie nucléaire, rapportent L'Echo et De Tijd jeudi. L'intention est que Doel 4 et Tihange 3 restent ouvertes plus longtemps que la prolongation de 10 ans convenue précédemment.
Une concertation s'ouvre au public à partir de jeudi et jusqu'au 30 juin sur les conditions de sûreté de la poursuite d'exploitation par EDF des 20 réacteurs de 1.300 MW, lorsque ceux-ci dépasseront 40 ans de service."L'objectif est d'associer le public aux enjeux et objectifs de sûreté liés à la poursuite de fonctionnement des réacteurs concernés au-delà de 40 ans", a indiqué le Haut comité pour la transparence et l'information sur la sécurité nucléaire (HCTISN).

2023

L'accord a été validé en kern cette nuit, a confirmé David Clarinval au micro de LN24 ce mercredi matin.
La COP28, censée se terminer mardi, semble bien partie pour jouer les prolongations alors qu'un compromis sur les énergies fossiles est encore loin de se dégager à Dubaï, le dernier projet d'accord mis sur la table étant jugé par beaucoup trop faible pour répondre à la crise climatique.
Face à certains manquements à la réglementation européenne, l’association de défense de la santé humaine et environnementale demande à la Commission de réévaluer les prolongations d’approbation de cinq pesticides.
Les tractations de la COP28 se poursuivent de nuit mardi à Dubaï dans l'attente d'un nouveau projet d'accord par la présidence émiratie, désireuse de parvenir à un consensus inédit sur les énergies fossiles dont l'Arabie saoudite et ses alliés exportateurs de pétrole refusent d'acter la sortie.Depuis 24 heures, le président émirati de la COP28, Sultan Al Jaber, s'évertue à sauver une COP qu'il avait annoncée comme "historique" et capable de sauver l'accord de Paris sur le climat et son objectif de limiter l'élévation de la température mondiale à 1,5°C.
Les tractations de la COP28 se poursuivent de nuit mercredi à Dubaï dans l'attente d'un nouveau projet d'accord par la présidence émiratie, désireuse de parvenir à un consensus inédit sur les énergies fossiles dont l'Arabie saoudite et ses alliés exportateurs de pétrole refusent d'acter la sortie.
Le dossier sur la prolongation de la durée de vie des centrales nucléaires en Belgique connaît un nouveau rebondissement.
Pour le Premier ministre Alexander De Croo, le gouvernement suivant devra "envisager une prolongation de 20 ans de Doel 4 et Tihange 3" et "analyser consciencieusement le besoin d'agir sur Tihange 1."
« Si les évaluations européennes reposaient sur la science, le glyphosate serait interdit depuis des décennies » L’Efsa, l’Autorité européenne de sécurité des aliments, estime que l’herbicide le pl…
Pour éviter un black-out hivernal, le gouvernement autorise les centrales à charbon à fonctionner plus longtemps. Une décision inadmissible pour Nicolas Nace, chargé de campagne pour la transition énergétique chez Greenpeace.
Le gouvernement fédéral et Engie ont confirmé vendredi soir le scénario "Flex-LTO", qui prévoit un redémarrage de Doel 4 et Tihange 3 à l'hiver 2025, comme scénario privilégié par les deux parties, a annoncé le cabinet de la ministre de l'Energie Tinne Van der Straeten.
Après plusieurs mois de négociation, le gouvernement fédéral et Engie sont parvenus à un accord sur le nucléaire. La prolongation de deux réacteurs, Doel 4 et Tihange 3, pour dix ans est actée. Les conditions en sont fixées.
Une issue semble avoir été trouvée sur l’épineux dossier du nucléaire belge.
L'Autorité de sûreté nucléaire (ASN) demande à EDF de lui transmettre "rapidement" des éléments permettant de justifier au regard de la sûreté l'hypothèse d'une prolongation des réacteurs actuels "jusqu'à 60 ans et au-delà", selon un avis publié mercredi.Alors que les centrales nucléaires françaises ont entre 30 et 40 ans de moyenne d'âge, le gouvernement veut prolonger le plus possible celles qui peuvent l'être, dans le cadre de son vaste plan de relance de la production d'électricité nucléaire.
La prolongation des centrales nucléaires au-delà de 60 ans, espérée par EDF et par le gouvernement, passera-t-elle le test climatique ? L'Autorité de sûreté nucléaire exige que les impacts à long terme du changement climatique soient désormais inclus dans les documents que doit lui fournir l'énergéticien en vue de prolonger ses réacteurs. Partage de la ressource en eau, prévisions à la baisse de la production d'électricité, impacts sur les milieux naturels, tout autant d'enjeux qui devront être intégrés.
Un kern a été convoqué pour présenter le résultat des négociations avec Engie.
Le gouvernement belge et Engie ont annoncé lundi la signature d'un accord qui doit concrétiser la prolongation pour dix ans, à compter de novembre 2026, de deux des sept réacteurs nucléaires exploités en Belgique par le groupe français.Les deux parties négociaient âprement depuis des mois les conditions de cette prolongation décidée en mars 2022 par la Belgique pour garantir son approvisionnement en énergie au-delà de 2025, sur fond d'incertitudes liés à la guerre en Ukraine.

2022

L'Autorité de sûreté nucléaire (ASN) a, par la voix de son directeur général, Olivier Gupta, invité mercredi EDF à œuvrer pour apporter la preuve que ses réacteurs seront à même d'être prolongés au-delà de 50 ans. Les plus vieux parmi les 56 réacteurs français en service commenceront à atteindre ce seuil dès 2030.


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