8 mars

OA - Liste

vers la Une


A l’occasion de la « Journée internationale des femmes » (définition ONU) ou de la journée célébrant les combats pour les droits des femmes, voici une liste (non-exhaustive) de signatures féminines référencées par l’Observatoire dans le cadre des thématiques traitées dans notre veille documentaire:

2024

Entre réalités statistiques, narratifs politiques, angoisses anthropologiques et perspectives écologiques, il existe de multiples grilles de lecture relatives à cette question fondamentale.
Nouveau "TALK" sur LIMIT avec Serge Zaka, ingénieur agronome, docteur en agro-climatologie et chasseur d'orages. À la suite de sa forte médiatisation en télévision, il se rend compte de la forte présence des discours climato-négationistes dans l'espace public, en particulier sur les réseaux sociaux. Il investit alors de plus en plus de temps dans la vulgarisation à destination du public et la lutte contre les thèses fallacieuse des climato-sceptiques. Avec Serge nous abordons L'impact du changement climatique sur l'agriculture, l'alimentation et les espèces vivantes avec une grande question, est-il possible de nous adapter ?
Le principe de légalité ne peut pas toujours l’emporter. Pensons à ces personnes arrêtées, maltraitées et massacrées dans le respect de lois qui le permettent ou l’imposent. Le “maître de l’au-delà du droit” se nomme l’éthique. En perpétuelle évolution, il dévoile aussi la versatilité du droit.
Plusieurs études et rapports démontrent que les citoyens sont préoccupés par la crise climatique et pensent que les gouvernements doivent et peuvent en faire plus. Le gouvernement de la Région flamande s’est pourtant pourvu en cassation contre l’Arrêt climat, soutenant que l’objectif de réduction de 55 % à l’horizon 2030 serait infaisable et impayable, ce qui est totalement faux.
‘Niemand is gebaat bij een feitenvrij klimaatbeleid’, schrijven de initiatiefnemers van de Klimaatzaak naar aanleiding van het nieuws dat Vlaanderen als enige gewest in cassatieberoep gaat tegen het Klimaatarrest. ‘Zou de Vlaamse regering de eigen rapporten lezen?’
Ma compagne et moi avons une petite boutique bio depuis 2002. Nous y proposons des vêtements, de l’alimentation et de l’artisanat local ou du sud. Le 25 janvier dernier, nous avons participé à une rencontre entre des acteurs du monde paysan et d’autres acteurs de la société civile. Nous avons envoyé aux personnes de nos réseaux, aux client·es de notre magasin, un résumé de cette rencontre. Nous avons contacté quelques magasins bio que nous connaissons pour leur demander de relayer l’information auprès de leur client·es également. Trois d’entre eux l’ont déjà fait. Le résumé que nous avons envoyé se trouve ci-dessous.
Le « Moscou-Paris », un flux polaire venu de Sibérie, glace la France. Après un hiver doux, le gel risque d’être fatal pour les végétaux, explique Serge Zaka, agroclimatologue, car « ils ont oublié de sortir leurs boucliers ».

2023

Le 30 novembre, la Cour d’appel de Bruxelles a rendu son verdict: la Belgique est condamnée à réduire ses émissions de gaz à effet de serre d’au moins 55% d’ici à 2030. Les enseignements que l’on peut en tirer sont évidemment nombreux.
Serge Zaka, ingénieur agronome, docteur en agroclimatologie.
Sécheresses, canicules, pluies diluviennes : le changement climatique va bouleverser la géographie agricole du pays. D’où cette question : à quoi pourrait ressembler l’agriculture française en 2050 ? Pour y répondre nous recevons Serge Zaka, docteur en agroclimatologie, chercheur indépendant, et conférencier qui explore l’impact du changement climatique sur l’agriculture. Interview réalisée par Maxime Thuillez
Télécharger le PDF Serge Zaka docteur en agroclimatologie, est chercheur-modélisateur dans le même domaine, il étudie l'impact du changement climatique sur l'agriculture. C’est donc l’une des très rar
Le défi de l’adaptation agricole : Agroclimatologie, Canicule Marine, Mega feux, Adaptation, et la guerre de l’influence Serge Zaka est docteur en agroclimatologie, chasseur d’orages et depuis quelques années le cauchemar des climatosceptiques sur les réseaux sociaux. Dans cet épisode, il nous explique ce qu’est l’agroclimatologie, et quels sont les grands enjeux autour de l’agriculture du faire du dérèglement climatique en cours. Nous parlons de météo, de climat, d’agriculture donc mais auss...
Agroclimatologue et lanceur d'alerte, le chercheur de Montpellier se bat au quotidien contre les climatosceptiques qui remettent en question la réalité du réchauffement climatique et ses impacts sur notre environnement. Avec...
Les températures caniculaires en Europe du Sud font craindre des pertes de rendements agricoles. Au-delà de 43°C, les cultures peuvent perdre leurs fleurs, feuilles et fruits, prévient le climatologue Serge Zaka.
Les rendements de blé sont en en 2023. Comment est-ce possible avec la sécheresse agricole de mai/juin ? Aucun paradoxe ! C'est cohérent avec les études scientifiques.
La Terre a connu, entre le lundi 3 et le jeudi 6 juillet 2023, ses journées les plus chaudes jamais enregistrées par les météorologues. Si la température moyenne du globe inquiétait déjà en début de semaine lorsqu’elle avait atteint 17,01 °C, elle a battu tous les records quatre jours après avec 17,23 °C. Mais à quoi sont dues ces hausses qui n’en finissent plus ? Serge Zaka, agroclimatologue, nous aide à y voir plus clair.
Un texte russe, présenté avec toute la solennité qui importe pour lui donner sa signification, qui envisage l’emploi du nucléaire par la Russie. • On le prendra notamment comme un avertissement solennel aux élites occidentales, écrit d’ailleurs sur un ton pessimiste qui indique bien le peu d’espoir qu’il soit entendu. • L’hypothèse est d’ailleurs présentée non pas comme conditionnelle, mais comme une fatalité nécessaire et inévitable, et comme un cas permettant, avec un peu de nucléaire, d’éviter la guerre totale. • Le texte est du professeur Karaganov.
Quelque 2,3 milliards de passagers ont été transportés par les airs en 2021, contre 4,5 milliards en 2019, la dernière année pleine avant la pandémie de Covid-19, selon des chiffres préliminaires de l'Organisation de l'aviation civile internationale (OACI).
Résumé : Faire le bilan de vingt ans de décroissance, c’est bien sûr prendre acte de l’avancée de l’idée dans la société et des initiatives de mise en œuvre du projet dans les pratiques, ce qui en constitue l’actif. Mais c’est aussi rendre compte du passif. Celui-ci concerne non pas tant le fait que le projet n’ait pas abouti globalement, que l’examen des diverses stratégies mises en œuvre pour sa neutralisation, voire sa tentative de récupération, cela afin de mieux apprécier où nous en sommes. Comme au niveau des mesures concrètes, en effet, les choses n’ont pas beaucoup bougé, il importe donc d’identifier plus précisément les adversaires d’un programme politique de décroissance et les obstacles à la réalisation d’une société écocompatible.
Chercheur passionné par les orages et la vulgarisation scientifique, Serge Zaka s’est donné pour mission de faire reculer les climatosceptiques, ces « semeurs de doute ». [Série 3/4] [Série 3/4] Vous lisez la série « Crise écologique : la révolte des scientifiques ». Pour ne pas rater le prochain épisode, abonnez-vous à notre lettre d’info. Montpellier (Hérault), reportage On le croirait surgi d’un film. Chapeau de cow-boy et bracelets de cuir, Serge Zaka a pourtant les pieds sur terre et le regard (...)
Serge Latouche est professeur émérite d’économie. Il revient avec nous sur le concept de décroissance, qu’il a contribué à forger.
L'agroclimatologue Serge Zaka s'inquiète : l'année 2022 s'est achevée comme la plus chaude depuis le début des mesures, avec un recul de plusieurs siècles pour certains pays. Dans la continuité, 2023 a commencé avec une douceur extrême, qui ne sera pas sans conséquences... 

2022

Le principal penseur de la décroissance français s’exprime sur le site de QG, 50 ans après la publication du rapport Meadows. Si la conscience de la finitude du monde progresse, rien de décisif n’est selon lui mis en place, notamment parce que les gouvernements redoutent une forte montée des tensions sociales si un changement de paradigme véritable était mis en place. Le capitalisme a atteint une telle puissance qu’il n’y a que lui-même qui peut se détruire. Seule lueur d’espoir, il est bien parti pour cela selon l’auteur de « Pour en finir avec l’économie »
“De tijd is voorbij om toeschouwer te zijn.” — Serge de Gheldere
Touchés par les actions qui se multiplient dans les musées d’art, quatre enseignants-chercheurs refusent d’opposer nature et culture. Ils se déclarent solidaires de cette jeunesse et de la justesse de ses actions. Voici pourquoi.
J’ai reproduit une interview de Serge Latouche parue dans le journal La Décroissance d’octobre 2022 (n° 193). Contrairement aux déclarations naïves d’un certain nombre d’éco-influenceurs se réjouissant des rationnements à venir qui seraient synonymes (selon eux) d’une « prise de conscience », dans le monde politique, des limites planétaires, Serge Latouche estime au contraire que ces discours sont de « l’enfumage ». L’historien des techniques et sciences Jean-Baptiste Fressoz a également démonté à maintes reprises ce mythe de la « prise de conscience » écologique[1], tout comme l’historien François Jarrige[2].
La chaleur actuelle n'est pas sans conséquences importantes pour le vivant. Agroclimatologue chez ITK à Montpellier, Serge Kaza alerte sur un phénomène qu'il ne faut pas prendre à la légère car il risque de se reproduire dans les années à venir. Interview.
Des expérimentations d’introduction à Paris de telles essences exotiques pourraient ainsi permettre d’évaluer leurs potentialités d’acclimatation dans nos villes et les services écologiques qu’elles seraient susceptibles d’y assurer, en particulier dans le contexte du changement climatique actuel. Cette diversification des essences dans les villes apparaît d’autant plus cruciale que plus de 70 % des espèces actuelles de nos villes, dont toutes les essences indigènes en Île-de-France, seront en situation de risque par rapport au changement climatique d’ici à 2050 à Paris et dans les autres grandes villes françaises.
Une conversation avec un voisin de quartier ou une plongée dans la bouillasse des réseaux sociaux suffisent à convaincre de ce que toute la science sociologique et sondagière ne fera que confirmer : jamais la conscience de la catastrophe en cours n’a été aussi omniprésente et aussi intense, et jamais elle ne s’est accompagnée d’un si profond sentiment d’impuissance.
Plus de cinquante spécialistes des questions environnementales, parmi lesquels Samuel Cazenave, Jean Jouzel, Valérie Masson-Delmotte, Serge Tisseron ou Ophélie Gaillard, expliquent, dans une tribune au « Monde », qu’il faut réviser les attributions du ministre de l’éducation nationale et de la jeunesse, qui ne font aucune mention à l’éducation à la transition écologique.