8 mars

OA - Liste

vers la Une


A l’occasion de la « Journée internationale des femmes » (définition ONU) ou de la journée célébrant les combats pour les droits des femmes, voici une liste (non-exhaustive) de signatures féminines référencées par l’Observatoire dans le cadre des thématiques traitées dans notre veille documentaire:

2024

Dans une lettre ouverte consultée par Euractiv jeudi (15 février), plus de 200 économistes ont appelé la Commission européenne à revoir la manière dont elle calcule ses prévisions économiques et à mieux intégrer les facteurs environnementaux critiques dans ses modèles de référence.

2023

Les économistes sous-estiment les impacts économiques du changement climatique, ce qui n’incite ni le secteur financier...
Le sommet du G20 s’ouvre ce week-end en Inde. Les chefs d’États des pays les plus industrialisés se réuniront à New Dehli. Près de 300 millionnaires, économistes et représentants politiques de la quasi-totalité des pays du G20 ont demandé, dans une lettre ouverte adressée aux chefs d’État participant au sommet économique, un nouvel accord international sur l’impôt sur la fortune. Les signataires, parmi lesquels Yves Leterme, Thomas Piketty et Bernie Sanders, veulent "empêcher que l’extrême richesse continue d’affecter notre avenir collectif".
Une présentation des points clés de l’équation énergétique que nous devons résoudre dans les années à venir par Jacques Rigaudiat.
Comment se nourrir ? se loger ? s’éduquer ? se cultiver ? se soigner ? comment produire et travailler ensemble ? Partir de ces besoins, c’est envisager, au-delà des seules politiques économiques, les voies démocratiques concrètes de cette véritable bifurcation sociale et écologique que la société doit mener. Partir de ce dont nous avons vraiment besoin, c’est sortir de l’économisme coupé de la réalité sociale et fonder l’économie sur les valeurs humaines auxquelles nous tenons pour vivre ensemble.
Dans une tribune publiée ce mardi, élus européens et experts financiers appellent à la création d’une taxation progressive afin de financer «des investissements nécessaires à la transition écologique et sociale».
Les deux types d’experts parlent, depuis trente ans, deux langues différentes, les premiers abordant le sujet par les prix, les seconds raisonnant par les quantités, dans un monde aux ressources finies.

2022

Antonin Pottier, auteur de "Comment les économistes réchauffent la planète" était invité à présenter son ouvrage le 21 septembre à l'AFD. Vous craignez le réchauffement climatique ? Les vagues de chaleur à répétition, les sécheresses interminables, la fonte de la banquise ? "Vous avez tort ! Le changement climatique c’est 1 % de pouvoir d’achat en moins dans un siècle, alors que le marché le multipliera par sept : ayez confiance !" C’est du moins ce que disent les économistes. Antonin Pottier dévoile les présupposés de ce discours économique : marchés parfaits qui orientent les investissements, individus qui optimisent leurs décisions dans un univers complètement connu, nature infiniment généreuse. Cette vision du monde est logée au cœur des modèles et des méthodes des économistes. Elle déforme la réalité et fait prendre des décisions surprenantes, comme celle de créer un marché mondial du carbone pour sauver le climat. Elle aboutit surtout à entraver toute action effective contre le changement climatiqu
Dans son livre choc et pédagogique, "Ralentir ou périr, l'économie de la décroissance" (Seuil), Timothée Parrique démontre les limites écologiques, sociales ou même économiques de la croissance. Selon le chercheur à l’Université de Lund, en Suède, "il faut abandonner l’idée du PIB comme un bouton magique qui viendrait résoudre tous nos problèmes". Le spécialiste d'économie écologique estime en outre que "la croissance verte est un mythe" et que les entreprises doivent "abandonner cette obsession pour la valeur financière".
Les États-Unis ont officiellement connu deux trimestres successifs de repli du PIB, ce qui correspond à la définition la plus communément admise d’une récession. Mais pas aux États-Unis où cette décision appartient à huit économistes d’un petit organisme indépendant appelé le Comité de datation des cycles économiques.
Si votre entraîneur de course à pied vous disait que vous allez améliorer de 10% vos performances chaque année, vous auriez raison d’émettre quelques doutes : on ne peut pas progresser indéfiniment. C’est pourtant ce que nous font croire gouvernements et économistes quand ils nous parlent de la croissance économique.
Est-il possible de faire croître l'économie tout en diminuant les émissions de gaz à effet de serre ? Certains économistes remettent en question la possibilité d'un tel découplage et prônent la décroissance pour préserver la planète.
De plus en plus contesté, même par les économistes classiques, l’indicateur de croissance phare, le PIB, utilisé notamment pour construire la loi de finance, pourrait être détrôné. Outre-Rhin, le ministre de l'Économie et du climat veut ajouter une trentaine de nouveaux indicateurs pour apprécier plus finement l’état du pays et ainsi optimiser les investissements pour atteindre bien-être et neutralité carbone. D’autres pays ont déjà franchi ce pas.
L'étude annuelle, « BP Statistical Review of World Energy 2020 », est parue au mois de juin dernier. Pour la 69ème année consécutive, l'équipe d'économistes et de statisticiens de BP, a recueilli, vérifié et analysé les statistiques de l'énergie, en provenance du monde entier. Cette étude fournit aux chercheurs, aux entreprises, aux médias et aux politiques, une base de données mondiale exhaustive, sans équivalent.
Vous craignez le réchauffement climatique ? Les vagues de chaleur à répétition, les sécheresses interminables, la fonte de la banquise ? « Vous avez tort ! Le changement climatique c’est 1 % de pouvoir d’achat en moins dans un siècle, alors que le marché le multipliera par sept : ayez confiance ! » C’est du moins ce que disent les économistes.