8 mars

OA - Liste

vers la Une


A l’occasion de la « Journée internationale des femmes » (définition ONU) ou de la journée célébrant les combats pour les droits des femmes, voici une liste (non-exhaustive) de signatures féminines référencées par l’Observatoire dans le cadre des thématiques traitées dans notre veille documentaire:

2024

C'est un accord historique que viennent de trouver les pays du G20 pour renforcer la taxation des milliardaires au niveau international.
Un projet de taxe mondiale des personnes les plus fortunées, soutenu notamment par la France, l’Espagne, l’Afrique du Sud et la Colombie, mais combattu par les Etats-Unis, est au menu du sommet du G20 au Brésil.
Dans une lettre ouverte envoyée ce jeudi 11 juillet aux pays du G20, d’ex-chefs d’Etat et de gouvernement défendent l’idée d’un accord mondial visant à taxer les ultra-riches, afin de lutter contre l’évasion fiscale.
Qu’il s’agisse de son programme ou des votes de ses députés, le Rassemblement national est clairement engagé contre l’écologie. Populiste, le parti d’extrême droite s’oppose à toutes mesures favorables au climat ou au vivant. Un oubli vaut parfois mille mots. Quatre jours à peine après la dissolution de l’Assemblée nationale par le président Emmanuel Macron, le Rassemblement national avait déjà finalisé ses professions de foi, synthétisant les ambitions du parti pour les trois années à venir. Sans (...)
Pour la première fois, les économies les plus riches ont tenu en 2022 leur promesse annuelle de financement de l’adaptation au changement climatique des pays les plus vulnérables. C’est deux ans plus tard que prévu. Et c’est loin d’être suffisant.
Les inégalités ne sont pas seulement financières. Alors que les cinq plus grosses fortunes au monde ont doublé depuis 20 ans, un nouveau rapport pointe l’impact climatique des placements des plus riches. Résultat : les 10% les plus riches ont une empreinte carbone bien supérieure à ce qui avait été calculé jusqu’ici.
Les pays riches ont atteint en 2022 leur objectif d’aide climatique annuelle de 100 milliards de dollars pour les pays plus pauvres, avec deux ans de retard sur l’engagement pris en 2009.
À l'heure de l'urgence climatique, les ultra-riches ont mauvaise presse. Des trajets Paris-Londres en jets privés de Bernard Arnault au tourisme spatial de Jeff Bezos, les modes de vie carbonifères des élites économiques sont de plus en plus pointés du doigt. Les actions symboliques, les rapports et les articles de presse se multiplient pour dénoncer leur escapisme. À l'image de ces milliardaires qui, en pleine crise Covid, envoyaient des selfies depuis leurs ranchs en Patagonie ou leurs îles privées aux Caraïbes, les ultra-riches sont accusés de fuir leurs responsabilités. Or, loin d'être des observateurs passifs et détachés ou des preppers haut de gamme, les élites économiques sont des acteurs clés du débat climatique international. Elles sont les promoteurs acharnés du capitalisme vert, un projet politique taillé sur mesure et qui garantit leurs intérêts de classe dans un monde en surchauffe. Ce livre est le premier à en exposer non pas uniquement les mots d'ordre (qui sont déjà assez connus), mais le
Conférence d'Edouard Morena au festival Alternatiba Léman, lundi 28 août 2023. Depuis une vingtaine d’années, les élites économiques orientent le débat climatique dans le sens d’un remplacement du capitalisme fossile par un capitalisme vert. Ce projet politique taillé sur mesure, garantit leurs profits dans un monde en surchauffe. De la Silicon Valley à la City, en passant par les beaux quartiers de New-York et de Genève, les ultra-riches partagent une même conscience climatique de classe. Comment cette « jet-set climatique » est-elle organisée et quelles sont les stratégies qu’elle met en œuvre? Nous en avons discuté avec Édouard Morena, chercheur en science politique et auteur de "Fin du monde et petits fours. Les ultra-riches face à la crise climatique" (La Découverte). Il a notamment enquêté sur les réseaux de fondations philanthropiques, d’ONG et de cabinets de conseil qui ont imposé l’idée que les entreprises et les investisseurs privés étaient les seuls acteurs légitimes face à la crise climatique e
Le constat n’est pas nouveau, les pistes pour le dépasser le sont davantage. Les riches polluent. Que l’on se place à l’échelle d’un pays ou d’un individu, ceux qui brassent le plus d’argent contribuent largement au réchauffement de la planète, et par conséquent, au dérèglement de son climat. Et chaque année, des ONG comme Oxfam nous le rappellent.
Monique PINÇON-CHARLOT est sociologue spécialisée sur l'étude des classes supérieures, et ancienne directrice de recherche au CNRS. Elle a publié, avec Michel Pinçon, de nombreux ouvrages consacrés à ce sujet comme « Sociologie de la bourgeoisie » (La Découverte, 2016), « La violence des riches » (Zones, 2013) ou encore « Le Président des ultra-riches : Chronique du mépris de classe dans la politique d’Emmanuel Macron » (La Découverte, 2022). Plus récemment, en 2023, elle a publié « Le Méprisant de la République » dans lequel elle complète l'analyse de la politique complaisante du président de la République à l'égard des classes les plus riches de la société. Dans cette interview par Olivier Berruyer pour Élucid, elle présente le résultat de ses années de recherches, et de ses enquêtes de terrain, grâce à son infiltration dans ces cercles très fermés et secrets d'ultras riches. Qui sont-ils et comment fonctionnent-ils vraiment ?
En France, le constat semble clair : 63 milliardaires émettent davantage de gaz à effet de serre que la moitié de la population. A l’échelle mondiale, la tendance est similaire : les 1 % les plus riches polluent autant que les 66 % les plus pauvres, selon Oxfam. Ces chiffres évoquent la responsabilité des plus fortunés dans le changement climatique et sous-entendent que leur empreinte carbone est particulièrement alourdie par les énergies fossiles. Mais qu’en est-il vraiment ?
De nombreux rapports montrent que les populations les plus riches émettent davantage de gaz à effet de serre que les plus pauvres. Ce constat doit pourtant être nuancé pour organiser au mieux la lutte contre le changement climatique.
L’initiative «pour l’avenir» des jeunes socialistes, déposée ce jeudi à la Chancellerie fédérale avec plus de 140 000 signatures, instaurerait un impôt de 50% sur les successions dépassant un montant exonéré de 50 millions de francs pour un «financement socialement équitable de la protection du climat»
Plusieurs morceaux de la côte ouest des Etats-Unis se sont effondrées après les pluies diluvienne de la semaine passée. Certains multi-millionaires se retrouvent désormais les pieds presque dans l’eau.