8 mars

OA - Liste

vers la Une


A l’occasion de la « Journée internationale des femmes » (définition ONU) ou de la journée célébrant les combats pour les droits des femmes, voici une liste (non-exhaustive) de signatures féminines référencées par l’Observatoire dans le cadre des thématiques traitées dans notre veille documentaire:

2024

Face à la résistance farouche des partisans de l'extraction minière sous-marine, les opposants à cette activité controversée ont essuyé un revers vendredi à l'Autorité internationale des fonds marins (AIFM), échouant à faire un premier pas vers un éventuel moratoire.
Partis de Besançon le 22 juin, des militants de l’association Génération lumière ont rallié Strasbourg à pied pour sensibiliser l’opinion aux conséquences de l’extractivisme minier en République démocratique du Congo. Strasbourg (Bas-Rhin), reportage « Est-ce que vous pouvez me dire ce que c’est que l’extractivisme ? Parce que moi je ne connais pas du tout… » Sur le parvis de la gare de Strasbourg, l’atelier pancartes de la marche pour la paix en République démocratique du Congo (RDC) interpelle les passants. (...)
La multinationale française Imerys souhaite ouvrir une nouvelle fosse d’extraction dans sa mine à ciel ouvert, située à Glomel, en Bretagne. Plusieurs associations dénoncent des conséquences majeures sur l’eau. Glomel (Côtes-d’Armor), reportage « Regardez ce qu’Imerys a fait du périmètre de protection de notre captage d’eau potable », commente Jean-Yves Jégo, conseiller municipal de Glomel et membre de l’association Douar Bev (« Terre vivante »). Il faut dire que la vue est spectaculaire. Au milieu des (...)
À propos de : Celia Izoard, La ruée minière au XXIe siècle, Seuil
Enregistrements des 2 premières soirées "Boulimie minière: changer de régime": Boulimie minière, épisode 1: "L'extractivisme minier, pour quoi faire ?"
Si la tendance se maintient, l’extraction des ressources planétaires augmentera de 60 % d’ici 2060. Une croissance démesurée qui n’est pas soutenable, selon un nouveau rapport des Nations unies. Explications.
Ce mardi 9 janvier, le parlement norvégien s'est prononcé en faveur de la prospection minière de ses fonds marins, en vue d'une éventuelle exploitation commerciale qui fera l'objet d'un second vote. Ce qui ferait du pays nordique le premier à se lancer dans cette industrie hautement controversée.
Cobalt, manganèse, zinc, cuivre, lithium… Des minerais et métaux rares gisent au fond des océans, attisant les convoitises de certains États et entreprises. La Norvège a fait mardi un premier pas vers leur exploitation en ouvrant ses fonds marins à la prospection minière. Scientifiques et ONG alertent sur les risques pour l'environnement et le climat.
Une victoire en demi-teinte. Par 80 voix contre 20, le parlement norvégien a autorisé l’exploration minière des fonds marins en mer Arctique, mardi 9 janvier. Quant à leur exploitation, ce n’est pas encore à l’ordre du jour, ce que saluent les défenseurs de l’environnement mobilisés depuis plusieurs jours.

2023

La présente conférence a pour objectif de poursuivre les travaux en ce sens, en abordant la thématique cruciale de l’extraction des ressources : quelles sont les opportunités en Europe et en Belgique ? Quelles en sont les limites ? Comment minimiser les impacts environnementaux ? Comment garantir des conditions optimales pour les travailleurs et riverains ? La « mine durable » existe-t-elle ? L’exploitation minière en eaux profondes est-elle l’avenir ?
Pour les batteries de leurs voitures électriques, BMW et Renault mettent en avant un cobalt « responsable ». Au sud du Maroc, l’extraction de ce métal a empoisonné les oasis et menace les ressources en eau de toute une région.
Un premier projet de mine de ce métal, utilisé pour la fabrication de batteries électriques, avait été accepté en mai.
Des négociations s'achèvent à Kingston sur la potentielle exploitation des fonds marins dans les eaux internationales. La France se positionne en fer de lance de la défense du plancher océanique et de ses écosystèmes.
Grande comme trois fois la France mais peuplée de 3 millions d’habitants, la Mongolie entend s’engager sur la “voie de la prospérité”. Le Premier ministre Luvsannamsrain Oyun-Erdene a lancé plusieurs réformes économiques pour convaincre les investisseurs étrangers d’exploiter les immenses ressources minières d’un pays longtemps fragilisé par la corruption, raconte l’envoyé spécial du “Financial Times”.
L’exploitation minière des profondeurs de l’océan pourrait devenir réalité d’ici à 2025. La possibilité d’une «pause de précaution», défendue par de plus en plus d’Etats, est débattue en Jamaïque, au siège de l’AIFM.