Arthur Keller

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Sharp declines in critical mineral prices mask risks of future supply strains as energy transitions advance - News from the International Energy Agency
Le chef de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) a appelé mardi l'Iran à appliquer des "mesures très concrètes et tangibles" afin de répondre aux inquiétudes de la communauté internationale sur l'avancement de son programme nucléaire.
"Nous nous approchons dangereusement d'un accident nucléaire" à Zaporijjia, a alerté lundi le patron de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), notant qu'il était "impossible" de savoir qui était responsable des récentes attaques contre la centrale nucléaire ukrainienne.Le site de Zaporijjia (ZNPP), occupé depuis mars 2022 par la Russie dans le sud de l'Ukraine, a subi une série d'attaques de drones à partir du 7 avril, Moscou et Kiev se rejetant mutuellement la responsabilité.
Les récentes attaques sur la centrale nucléaire ukrainienne de Zaporijjia peuvent "marquer le début d'un nouveau front de guerre extrêmement dangereux", s'est alarmé jeudi le directeur général de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA).Elles "nous ont fait entrer dans une phase cruciale" du conflit, a déclaré Rafael Grossi à l'ouverture d'une réunion à Vienne des 35 membres du Conseil des gouverneurs, convoquée en urgence à l'appel de la Russie et de l'Ukraine.
Donderdag 21 maart had in Brussel een top over kernenergie plaats, georganiseerd door premier De Croo en het Internationaal Atoomenergieagentschap (IAEA). Kernenergie is een erg controversieel onderwerp en dat was die donderdag ook duidelijk.
Le directeur de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) Rafael Grossi a mis en garde mercredi la Russie contre tout redémarrage précipité de la centrale nucléaire de Zaporijjia, occupée par les forces de Moscou dans le sud de l'Ukraine.M. Grossi est en visite en Russie, où il doit rencontrer le président Vladimir Poutine pour la première fois depuis 2022 et évoquer notamment la situation "précaire" de la centrale nucléaire de Zaporijjia, la plus grande d'Europe.
Le directeur de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) Rafael Grossi a mis en garde mercredi la Russie contre tout redémarrage précipité de la centrale nucléaire de Zaporijjia, occupée par les forces de Moscou dans le sud de l'Ukraine.
A new record high, but is there light at the end of the tunnel?
Selon l’Agence internationale de l’énergie atomique, Téhéran a fortement augmenté ces derniers mois son stock d’uranium enrichi. Ses stocks s’élèvent désormais à plus de 27 fois la limite autorisée par l’accord international de Vienne.
Le patron de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) Rafael Grossi a appelé vendredi à "une retenue militaire maximale" après une série de fortes explosions survenues ces derniers jours près de la centrale nucléaire ukrainienne sous contrôle russe de Zaporijjia, la plus grande d'Europe. Ce site, pris par les forces russes en mars 2022, dans la foulée du déclenchement le 24 février de l'invasion de l'Ukraine, se trouve dans une zone de combat et Moscou et Kiev s'accusent mutuellement de compromettre sa sécurité.
Le chef de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), Rafael Grossi, a dit mardi avoir de "nombreuses questions" à poser aux Russes, qui contrôlent la centrale nucléaire de Zaporijjia, à la veille de sa visite sur place.Le responsable a également regretté que ses experts, dont certains sont présents en permanence à Zaporijjia, n'aient qu'un accès "partiel" à la centrale, même si celui-ci "s'élargit progressivement". "Il y a encore des parties de la centrale que nous n'avons pas pu visiter", a indiqué M. Grossi lors d'un point-presse à Kiev.
La centrale nucléaire ukrainienne de Zaporijjia, aux mains des forces de Moscou, a décidé d'interdire l'accès à tout employé de l'opérateur ukrainien Energoatom, a indiqué jeudi l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA).Le directeur général de l'instance onusienne, Rafael Grossi, attendu sur place la semaine prochaine, "va soulever la question cruciale du personnel et demander des informations au sujet de cette nouvelle annonce", selon un communiqué.
L'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) n'a pas eu accès récemment aux salles de réacteurs de la centrale nucléaire ukrainienne de Zaporijjia (Sud) pour des raisons de "sécurité", a affirmé vendredi Moscou qui occupe le site depuis près de deux ans.Aux mains des forces de Moscou depuis mars 2022, la centrale, la plus grande d'Europe, a été touchée à plusieurs reprises par des coupures de courant liées aux combats et l'armée russe accuse régulièrement l'Ukraine de la menacer.
L'AIEA a déclaré mercredi n'avoir pas eu accès aux salles de plusieurs réacteurs de la centrale nucléaire ukrainienne de ZapMRorijjia, touchée par des coupures de courant à répétition. Les experts de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) "ne peuvent toujours pas accéder à toutes les parties du site" dans le sud de l'Ukraine, a indiqué l'agence onusienne dans un communiqué.
Le directeur général de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), Rafael Grossi, plaide pour débloquer les financements publics internationaux en faveur de l'atome. Il estime aussi que disqualifier cette énergie en raison des errements de certains projets serait "une erreur", dans un entretien à l'AFP à la COP28.Une certain nombre de grands pays doivent appeler samedi à la COP28 à tripler les capacités de production nucléaire mondiales d'ici 2050 pour limiter le réchauffement climatique.
Les dangers se multiplient autour des centrales nucléaires ukrainiennes du fait de la proximité des combats et des coupures d'électricité, s'est inquiété mercredi le directeur général de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), Rafael Grossi."Il y a un tas de dangers qui se multiplient et qui sont là jusqu'à la fin du conflit", a déclaré M. Grossi devant la presse, en marge d'une visite du site prévu pour l'enfouissement de déchets radioactifs à Bure (Meuse), dans l'est de la France.
Le directeur général de l'AIEA, Rafael Grossi, s'est dit "rassuré" lors d'une visite mercredi du laboratoire de l'Andra à Bure (Meuse), sur le site visant à accueillir un centre d'enfouissement des déchets hautement radioactifs."Je suis très rassuré par ce que je vois, je le savais, mais en tant que directeur général de l'AIEA (Agence internationale de l'énergie atomique) il fallait que je vienne et que je puisse me faire ma propre idée", a-t-il déclaré lors d'un point presse.
L'énergie nucléaire a encore du chemin à faire pour concrétiser sa renaissance, même si elle n'est plus "tabou" en particulier dans l'arène des négociations climatiques, a déclaré mardi le patron de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA)."A la fin de cette semaine, la COP28 commence. Nous revenons de loin dans ces importantes réunions internationales", a dit Rafael Mariano Grossi devant responsables et professionnels du nucléaire réunis au World Nuclear Exhibition (WNE), le salon du nucléaire civil organisé près de Paris.
Global carbon dioxide emissions from energy use and industry could peak as soon as this year, according to Carbon Brief analysis of figures from the IEA.
Selon une étude parue dans la revue Nature Climate Change, rien n’empêchera la fonte glaciaire du pôle Sud. Un processus qui ne pourra plus être inversé, même en respectant la limite de 1,5 degré de l'Accord de Paris.
L'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) table sur une forte augmentation de la capacité de production nucléaire au cours des trois prochaines décennies sur fond d'urgence climatique, selon un communiqué publié lundi.
De hoop om de ergste gevolgen van de klimaatverandering te vermijden blijft leven, met dank aan het fenomenale succes van hernieuwbare energie. Dat blijkt uit nieuwe cijfers van het Internationaal Energieagentschap (IEA).
De wereldwijde vraag naar fossiele brandstoffen zal nog voor 2030 beginnen te dalen. Dat zegt Fatih Birol, topman van het Internationaal Energieagentschap (IEA). ‘Elektriciteit en brandstoffen met een lage uitstoot staan steeds meer in voor de stijgende energiebehoeften van de wereld.’
Forecast downturn still ‘nowhere near steep enough’ to limit temperature rise to 1.5C, says watchdog
Global coal consumption climbed to a new all-time high in 2022 and will stay near that record level this year as strong growth in Asia for both power generation and industrial applications outpaces declines in the United States and Europe, according to the IEA’s latest market update.
L'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) a regretté jeudi de n'avoir pas pu inspecter les toits de la centrale nucléaire de Zaporijjia, où l'Ukraine soupçonne les forces russes, qui occupent le site, d'avoir placé des mines ou des explosifs.Les experts de l'instance onusienne, présents sur place, "attendent toujours d'avoir accès aux toits des bâtiments des réacteurs", a déclaré le directeur général Rafael Grossi dans un communiqué.
Russes et Ukrainiens mettent en garde contre une attaque sur la centrale.
Le gouvernement japonais envisage de commencer dès le mois d'août à déverser dans l'océan Pacifique les eaux contaminées provenant de la centrale nucléaire sinistrée de Fukushima, après que l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) a donné mardi son feu vert au projet.
L'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) a réclamé mercredi d'avoir accès à l'ensemble des bâtiments de la centrale nucléaire ukrainienne de Zaporijjia (sud), occupée par les troupes russes, pour "confirmer l'absence de mines ou d'explosifs sur le site"."Alors que la tension et les activités militaires s'accentuent dans la région, nos experts doivent pouvoir vérifier les faits sur le terrain", de manière "indépendante et objective", a déclaré le directeur général Rafael Grossi dans un communiqué.
L’Agence internationale de l’Energie estime que «la transition vers une économie de l’énergie propre s’accélère» et prévoit un pic de la demande de cette énergie fossile.
L'AIEA a réitéré dimanche, face à des données divergentes, sa demande d'accès au site où est mesuré le niveau de l'eau du réservoir utilisée pour refroidir les réacteurs de la centrale nucléaire de Zaporijjia, dans le sud de l'Ukraine.Les experts de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), présents de manière permanente sur place, "ont besoin d'y accéder pour clarifier la raison de l'écart significatif observé entre diverses mesures", selon un communiqué de cette instance onusienne.
De wereld hinkt ver achterop bij de doelstelling om iedereen tegen 2030 toegang te geven tot betaalbare en duurzame stroom. Wereldwijd moeten nog altijd 674 miljoen mensen het zonder stellen, blijkt uit een rapport van verschillende VN-instellingen en het Internationaal Energieagentschap (IEA).
L'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) et la Russie ont estimé mardi que la centrale nucléaire Zaporijjia, occupée par Moscou, n'était pas menacée après la destruction partielle d'un barrage hydroélectrique, l'Ukraine affirmant au contraire l'existence d'un risque croissant de catastrophe.La Russie et l'Ukraine s'accusent mutuellement d'avoir fait exploser le barrage de Kakhova sur le fleuve Dniepr, dans la partie occupée par la Russie de la région ukrainienne de Kherson.
La centrale nucléaire ukrainienne de Zaporijjia n'a plus d'alimentation externe de secours depuis trois mois, ce qui la rend "extrêmement vulnérable", a averti samedi le directeur de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), Rafael Grossi.
L'Iran a nettement accru ces derniers mois son stock d'uranium enrichi, poursuivant son escalade nucléaire, selon l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) qui note cependant des "progrès" dans la coopération.Dans deux rapports confidentiels consultés mercredi par l'AFP, à quelques jours d'une réunion du Conseil des gouverneurs, l'instance onusienne fait état de plusieurs avancées.
Le directeur de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) a appelé mardi devant le Conseil de sécurité de l’ONU la Russie et l’Ukraine à soutenir cinq "principes concrets" pour assurer la sécurité de la centrale ukrainienne de Zaporijjia et éviter un "accident nucléaire".
L'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) a alerté samedi sur le risque d'un "grave accident nucléaire" à la centrale de Zaporijjia, occupée par les forces russes en Ukraine, en pleine évacuation d'une ville voisine où vivent la plupart des employés, et sur la situation "potentiellement dangereuse" autour du site."La situation dans la zone proche de la centrale nucléaire de Zaporijjia devient de plus en plus imprévisible et potentiellement dangereuse", a averti le chef de l'Agence, Rafael Grossi, cité dans un communiqué de l'AIEA.
L‘Agence internationale de l’énergie atomique a alerté samedi sur le risque d’un «grave accident nucléaire» à la centrale de Zaporijjia sous contrôle russe, sur fond d’évacuations liées à la contre-offensive attendue de Kyiv dans la région.
M. Grossi assure avoir constaté en première ligne "des indications claires de préparatifs militaires" autour de la centrale, qui est la plus large d'Europe, lors de sa visite il y a trois semaines.
Le directeur de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), Rafael Grossi, a estimé jeudi que l'on était "en sursis" concernant la "sûreté" de la centrale nucléaire ukrainienne de Zaporijjia, à proximité de laquelle deux mines ont récemment explosé."Si nous n'agissons pas pour protéger la centrale, notre chance tournera tôt ou tard, avec des conséquences potentiellement graves sur la santé humaine et l'environnement", a mis en garde M. Grossi dans un communiqué diffusé à Vienne, où se trouve le siège de l'AIEA.
Le chef de l'AIEA, Rafael Grossi, a affirmé mercredi "essayer" de trouver un compromis entre Moscou et Kiev pour sécuriser la centrale nucléaire de Zaporijjia en Ukraine, près de laquelle il a déploré une "hausse de l'activité militaire".M. Grossi s'est exprimé lors d'une visite mercredi sur le site de cette centrale nucléaire occupée par les troupes russes dans le Sud de l'Ukraine, et pour laquelle la Russie a invité la presse dont l'AFP.
Un compromis a minima face à un risque militaire croissant : le directeur de l'Agence internationale de l'énergie atomique s'est rendu mercredi à la centrale nucléaire ukrainienne de Zaporijjia en quête d'une solution acceptable pour Kiev et Moscou afin de sécuriser le site. L'idée d'une zone démilitarisée autour de ce site du sud-est de l'Ukraine occupé depuis mars par les Russes semble avoir vécue après des mois d'échanges infructueux.
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Le directeur général de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), Rafael Grossi, a annoncé samedi qu'il se rendrait la semaine prochaine dans la centrale ukrainienne de Zaporijjia (sud-est) qui, selon lui, se trouve dans une situation "précaire".Il s'agit de la deuxième visite de M. Grossi dans la centrale, la plus grande d'Europe, depuis l'invasion de l'Ukraine par la Russie, afin d'"évaluer directement la gravité de la situation en matière de sûreté et de sécurité nucléaires sur le site", a déclaré l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA).
La sûreté nucléaire de la centrale ukrainienne de Zaporijjia (sud-est) se trouve dans un "état précaire", a mis en garde mercredi le directeur général de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), Rafael Grossi, dans un communiqué.Selon l'organisation, la "dernière ligne électrique de secours" de la centrale, endommagée depuis le 1er mars, reste "déconnectée et en réparation". Or, elle lui permet en dernier recours d'assurer la sûreté et la sécurité nucléaires, en refroidissant notamment ses réacteurs.
Des inspecteurs de l'Agence internationale de l'énergie atomique ont constaté mardi que 10 conteneurs avec environ 2,5 tonnes d'uranium naturel sous forme de concentré d'uranium manquaient à l'appel d'un site en Libye.
Le directeur général de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) a tiré une nouvelle fois la sonnette d'alarme après une frappe russe qui a provoqué une coupure de courant à la centrale nucléaire ukrainienne de Zaporijjia (sud)."A chaque fois on joue avec le feu et si nous permettons à cette situation de se prolonger, un jour notre chance va tourner", a averti Rafael Grossi jeudi devant le Conseil des gouverneurs de l'instance onusienne à Vienne.
Le directeur général de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), Rafael Grossi, est attendu vendredi soir à Téhéran pour des discussions sur le programme nucléaire iranien, une visite qui intervient après la découverte de particules d'uranium enrichi proches du niveau pour fabriquer une bombe atomique.M. Grossi doit s'entretenir samedi avec plusieurs responsables iraniens, notamment le président Ebrahim Raïssi, selon des sources diplomatiques à Vienne, où siège l'agence spécialisée de l'ONU.
Le chef de l'Agence internationale de l'énergie atomique, Rafael Grossi, a entamé, vendredi, une série de rencontres avec de hauts responsables iraniens à Téhéran. Cette visite en urgence intervient quelques jours après la découverte en Iran de particules d'uranium enrichies à un seuil proche de la quantité nécessaire pour produire une bombe atomique.
L’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) a demandé des “clarifications” à Téhéran, après la découverte de particules d’uranium enrichi à près de 84 %, frisant le seuil permettant de fabriquer une bombe atomique.
Vorig jaar stootte de energiesector wereldwijd 135 miljoen ton van het broeikasgas methaan uit. Dat is bijna evenveel als het record uit 2019. Nochtans zou 3 procent van de omzet die de energiesector vorig jaar draaide, volstaan om 75 procent van die uitstoot terug te dringen, zegt het Internationaal Energieagentschap.
L'Iran a annoncé samedi, à la veille d'une visite d'experts de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), avoir augmenté sa capacité d'enrichissement de l'uranium."Actuellement, la capacité d'enrichissement du pays a atteint plus du double de toute l'histoire de cette industrie", a déclaré Mohammad Eslami, le chef de l'Organisation iranienne de l'énergie atomique, cité par l'agence officielle Irna.
Global coal demand is set to increase only marginally in 2022 but enough to push it to an all-time high amid the energy crisis, according to a new IEA report, which forecasts the world’s coal consumption will remain at similar levels in the following years in the absence of stronger efforts to accelerate the transition to clean energy.
Le chef de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) a dénoncé dimanche des tirs "délibérés et ciblés" contre la centrale nucléaire de Zaporijjia, la plus grande d'Europe, appelant à "arrêter cette folie". La Russie et l'Ukraine se sont à nouveau accusées mutuellement dimanche d'avoir bombardé cette centrale nucléaire située dans le Sud ukrainien et occupée militairement par l'armée russe. Kiev a en outre démenti avoir exécuté plusieurs soldats russes qui s'y étaient rendus.
Le Conseil des gouverneurs de l'AIEA a adopté jeudi une nouvelle résolution appelant la Russie à se retirer de la centrale ukrainienne de Zaporijjia et à stopper ses actions contre les sites nucléaires, selon des sources diplomatiques. Le texte, présenté par le Canada et la Finlande, a été approuvé par 24 des 35 Etats siégeant au Conseil, ont précisé deux diplomates contactés par l'AFP. La Russie et la Chine ont voté contre. Sept pays se sont abstenus (Pakistan, Inde, Afrique du sud, Namibie, Kenya, Vietnam, Arabie saoudite). Deux étaient absents.
L'Agence internationale de l’Énergie atomique (AIEA) va enquêter sur des activités présumées sur deux sites nucléaires en Ukraine, a déclaré son directeur Rafael Grossi lundi soir.
La centrale nucléaire ukrainienne de Zaporijjia a été reconnectée au réseau électrique, a indiqué dimanche l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), qualifiant ce raccordement de "soulagement temporaire face à une situation toujours intenable". L'AIEA avait annoncé samedi que cette installation du sud de l'Ukraine, la plus grosse centrale nucléaire d'Europe, avait perdu sa dernière source d'alimentation électrique externe en raison de nouveaux bombardements, et qu'elle s'appuyait sur des générateurs d'urgence pour fournir le courant dont elle a besoin pour assurer certaines fonctions de sécurité, dont le refroidissement de ses six réacteurs, tous à l'arrêt.
La centrale nucléaire de Zaporijjia (sud), la plus grande d'Europe, est "évidemment" ukrainienne, malgré son appropriation formelle par Moscou, a déclaré jeudi le patron de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) Rafael Grossi, réaffirmant la possibilité "très claire" d'un accident nucléaire. "Pour nous, il est évident qu'elle appartient à (l'opérateur ukrainien) Energoatom puisque c'est une installation ukrainienne", a déclaré M. Grossi lors d'une conférence de presse à Kiev, après avoir été reçu par le président Volodymyr Zelensky et avant de se rendre à Moscou.
Le directeur général de l'AIEA "se rendra à Kiev puis à Moscou cette semaine" afin de discuter de la mise en place d'une zone de protection autour de la centrale nucléaire ukrainienne de Zaporijjia, selon un communiqué publié lundi soir. Rafael Grossi va "poursuivre les consultations" pour établir un tel dispositif "dès que possible", a indiqué l'Agence internationale de l'énergie atomique, sans préciser quand il est attendu dans les deux pays belligérants.
Le directeur général de l'AIEA s'est dit prêt lundi à se rendre en Ukraine et Russie cette semaine pour "poursuivre les consultations" visant à mettre en place une zone de protection autour de la centrale nucléaire ukrainienne de Zaporijjia. "Cette guerre doit cesser. Mais avant cela, nous devons faire tout ce qui est en notre pouvoir pour éviter un accident nucléaire qui ajouterait une tragédie à la souffrance", a déclaré Rafael Grossi à l'ouverture de la conférence générale annuelle de l'Agence internationale de l'énergie atomique à Vienne. La centrale de Zaporijjia, la plus grande d'Europe, est occupée par les troupes russes depuis le 4 mars, peu après l'invasion de l'Ukraine, et a été visée à de nombreuses reprises par des bombardements ces derniers mois. "C'est difficile à croire mais vrai", a souligné le chef de l'AIEA, qui s'y est rendu début septembre et dispose de deux experts sur place. "S'il arrive quelque chose, nous ne pourrons pas blâmer une catastrophe nucléaire mais notre pr
La situation à la centrale nucléaire ukrainienne de Zaporijjia "se dégrade encore", a averti mercredi le directeur général de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), Rafael Grossi, alors que les Ukrainiens ont accusé la Russie de l'avoir à nouveau bombardée. "La situation se dégrade encore et on ne peut pas se permettre le luxe d'attendre que quelque chose de catastrophique se produise", a déclaré M. Grossi après une réunion sur la situation à la représentation française auprès de l'ONU, ouverte par le président Emmanuel Macron. Le directeur de l'AIEA a indiqué en avoir discuté avec le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov, qu'il a rencontré mercredi matin en marge de l'Assemblée générale de l'ONU. "Tant qu'il y aura des bombardements qui continuent, les risques sont énormes", a-t-il ajouté.
Le Conseil des gouverneurs de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) a adopté jeudi une résolution appelant la Russie à retirer ses soldats de la centrale ukrainienne de Zaporijjia, plusieurs fois cible de bombardements, ont déclaré des sources diplomatiques, une décision aussitôt saluée par Kiev. Les forces russes ont pris le contrôle de ce site nucléaire le 4 mars, peu après le début de leur invasion de l'Ukraine. Le texte, soumis par la Pologne et le Canada, a été approuvé par 26 des 35 États siégeant au Conseil, la Russie et la Chine ayant voté contre, a précisé un diplomate contacté par l'AFP.
L'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) s'est prononcée en faveur de la mise en place d'une "zone de sécurité" pour empêcher un accident nucléaire à la centrale ukrainienne de Zaporijjia, occupée depuis six mois par les Russes et où elle juge la situation "intenable" en raison des bombardements. "Il est urgent de prendre des mesures", a estimé l'agence onusienne dans un rapport rendu public mardi, préconisant "l'établissement d'une zone de sécurité nucléaire et de protection" de ce complexe du sud de l'Ukraine.
L'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) a affirmé mercredi "ne pas être en position de garantir que le programme nucléaire iranien est exclusivement pacifique", du fait de l'absence de réponses de Téhéran sur la question des sites non déclarés. Dans un rapport publié avant le Conseil des gouverneurs de la semaine prochaine, le directeur général de l'instance onusienne Rafael Grossi, se dit "de plus en plus inquiet" alors qu'"aucun progrès n'a été fait pour résoudre" le dossier des traces d'uranium enrichi retrouvées par le passé en divers endroits. Il appelle la République islamique "à répondre à ses obligations légales" et à coopérer au plus vite.
L'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) a haussé le ton mercredi face à l'Iran, disant "ne pas être en position de garantir que le programme nucléaire iranien est exclusivement pacifique". En cause, "l'absence de progrès" sur la question de trois sites non déclarés, où des traces d'uranium ont été découvertes par le passé, selon un rapport confidentiel consulté par l'AFP.
L'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) doit rendre mardi un rapport sur la situation de la centrale nucléaire ukrainienne de Zaporijjia, occupée par les forces russes, déconnectée depuis lundi soir et qui fait planer un risque radiologique depuis des mois.
L'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) a réclamé, dans un rapport publié mardi, la mise en place d'une "zone de sécurité" pour prévenir un accident nucléaire à la centrale nucléaire ukrainienne de Zaporijjia, occupée par les Russes.
L'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) a réclamé, dans un rapport publié mardi, la mise en place d'une "zone de sécurité" pour prévenir un accident nucléaire à la centrale nucléaire ukrainienne de Zaporijjia, occupée par les Russes. "La situation actuelle est intenable", écrit l'instance onusienne dans ce texte de 52 pages. "Il est urgent de prendre des mesures provisoires", poursuit-elle, préconisant "l'établissement immédiat d'une zone de sécurité nucléaire et de protection". "Les bombardements sur le site et dans les environs doivent cesser tout de suite pour éviter de provoquer de nouveaux dommages aux installations", insiste l'AIEA, se disant "prête à démarrer les consultations". L'Agence note par ailleurs "les conditions extrêmement stressantes" dans lesquelles travaille le personnel ukrainien, sous le contrôle des troupes russes.
L'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) s'est prononcée en faveur de la mise en place d'une "zone de sécurité" pour empêcher un accident nucléaire à la centrale ukrainienne de Zaporijjia, occupée depuis six mois par les Russes et où elle juge la situation "intenable". "Il est urgent de prendre des mesures provisoires", a estimé l'agence onusienne dans un rapport rendu public mardi, préconisant "l'établissement d'une zone de sécurité nucléaire et de protection" de ce complexe du sud de l'Ukraine.
La mission d'experts de l'AIEA est arrivée jeudi à la centrale nucléaire ukrainienne de Zaporijjia occupée par l'armée russe, une mission à haut risque, l'Ukraine reprochant à l'armée russe de bombarder le secteur, tandis que Moscou accuse Kiev d'y avoir envoyé une équipe de "saboteurs". "La mission de l'AIEA est arrivée" à la centrale, a indiqué à l'AFP via WhatsApp un porte-parole de l'organisation qui fait partie de l'équipe.
La mission d'experts de l'AIEA a annoncé jeudi "rester" à la centrale ukrainienne de Zaporijjia après l'avoir inspectée, une mission à haut risque visant à éviter une catastrophe nucléaire sur ce site que les Russes, qui l'occupent, et les Ukrainiens s'accusent mutuellement de bombarder. "Nous avons accompli quelque chose de très important aujourd'hui. Et le plus important, c'est que l'AIEA reste ici. Faites savoir au monde que l'AIEA reste à Zaporijjia", a déclaré le directeur général de l'Agence internationale pour l'énergie atomique, Rafael Grossi, après une inspection de la centrale, selon une vidéo publiée par le média russe Ria-Novosti. Il n'a toutefois pas précisé combien de personnes resteraient, ni pour combien de temps.
L'Agence internationale pour l'énergie atomique (AIEA) aspire à "éviter un accident nucléaire" à la centrale de Zaporijjia (sud de l'Ukraine), occupée par les troupes russes, a déclaré son directeur général Rafaelo Grossi, qui est à la tête de la mission arrivée dans la zone mercredi. "C'est une mission qui cherche à éviter un accident nucléaire et à préserver cette importante centrale nucléaire, la plus grande d'Europe", a dit M. Grossi à la presse dans la ville de Zaporijjia, à environ 50 kilomètres à vol d'oiseau de la centrale. La mission d'inspection de l'AIEA menée par M. Grossi, reçue par le président ukrainien Volodymyr Zelensky la veille à Kiev, a quitté la capitale tôt mercredi matin. Selon l'agence russe TASS, citant un responsable prorusse, la délégation doit arriver à la centrale jeudi.
Emmanuelle Galichet, enseignante-chercheuse en physique nucléaire au CNAM, a répondu à vos questions sur la sûreté du site, avant une inspection de l’AIEA.
Les experts de l'AIEA vont cartographier les dégâts et le matériel nucléaire, examiner les systèmes de sécurité ainsi que les conditions de travail du personnel.
Le directeur général de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), Rafael Grossi, a annoncé lundi matin être en route vers la centrale nucléaire ukrainienne de Zaporijjia, cible ces dernières semaines de frappes faisant craindre le risque d'un accident majeur.
Vladimir Poutine a accepté vendredi que l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) envoie une mission à la centrale nucléaire ukrainienne de Zaporijjia, la plus grande d'Europe, disant craindre que les bombardements ne finissent par provoquer une "catastrophe de grande envergure". Dans le même temps, le secrétaire général de l'ONU Antonio Guterres, en visite en Ukraine, a demandé à la Russie de ne pas couper du réseau ukrainien cette centrale que son armée occupe depuis début mars, et qui est devenue la cible ces dernières semaines de frappes dont Moscou et Kiev s'accusent mutuellement.
Alors que les autorités russes et ukrainiennes continuent de se renvoyer la balle, la communauté internationale s’inquiète de la situation autour de la centrale de Zaporijjia. Les États-Unis, soutiens de Kyiv, appellent à créer une «zone démilitarisée».
Kiev et Moscou s’accusent mutuellement de nouvelles frappes sur le site de la centrale ukrainienne, passée sous contrôle russe. L’Agence internationale de l’énergie atomique tente depuis des semaines d’envoyer une mission pour inspecter le complexe.
L'Agence internationale pour l'énergie atomique (AIEA) a jugé samedi "de plus en plus alarmantes" les informations venant de la centrale nucléaire de Zaporijjia, la plus grande d'Europe, au lendemain de frappes à proximité.
"Tous les principes de sûreté ont été violés d'une manière ou d'une autre. Et nous ne pouvons permettre que cela continue", a-t-il ajouté. A l'ouverture de la réunion lundi, il avait déjà souligné que la situation devenait "de plus en plus dangereuse de jour en jour".
Greenpeace a remis en question mercredi les dernières données, datant d'avril, de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) concernant les radiations émises par l'ancienne centrale nucléaire de Tchernobyl: selon l'ONG active dans la défense de l'environnement, "les niveaux de radiation dans les zones où ont eu lieu les dernières opérations militaires russes sont trois fois plus élevés que ceux estimés par l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA)".
Le Conseil des gouverneurs de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) a adopté mercredi soir à Vienne à une large majorité une résolution rappelant formellement à l'ordre l'Iran pour son manque de coopération, ont indiqué à l'AFP des sources diplomatiques.
L'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) "travaille activement" pour organiser une visite à la centrale nucléaire de Zaporijjia (sud), à laquelle l'Ukraine s'est de nouveau opposée jeudi tant que le site est occupé par les Russes. "Il ne s'agit pas de vouloir ou souhaiter cette mission, c'est une obligation du côté de l'Ukraine comme du côté de l'AIEA", a déclaré le directeur général de l'instance onusienne, Rafael Grossi, devant le Conseil des gouverneurs réuni cette semaine au siège de Vienne. Selon lui, "la situation actuelle est intenable", alors que des travaux de maintenance essentiels sont sans cesse repoussés, que l'équipement vital n'est pas délivré et que le risque d'un accident augmente. Le chef de l'Agence a également exprimé "sa vive inquiétude quant aux conditions de travail extrêmement stressantes" endurées par le personnel ukrainien.
Les États-Unis et les trois pays européens parties à l'accord sur le nucléaire iranien (Royaume-Uni, France et Allemagne) ont déposé auprès de l'AIEA une résolution admonestant Téhéran pour son manque de coopération, a-t-on appris mardi de sources diplomatiques.
Le Conseil des gouverneurs de l'AIEA s'ouvre lundi à Vienne avec au programme, un projet de résolution occidentale admonestant l'Iran, sur fond d'impasse des négociations pour restaurer l'accord nucléaire de 2015. Ce texte élaboré par les Etats-Unis et l'E3 (Royaume-Uni, France et Allemagne) exhorte Téhéran à "coopérer pleinement" avec l'Agence internationale de l'énergie atomique.
The world’s leading energy economist has warned against investing in large new oil and gas developments, which would have little impact on the current energy crisis and soaring fuel prices but spell devastation to the planet.
La Commission de recherche et d'information indépendante sur la radioactivité (Criirad) a appelé mercredi à une "expertise approfondie" sur le niveau de radioactivité de la centrale de Tchernobyl, en Ukraine, en critiquant les méthodes de l'AIEA. Lors d'une visite sur le site de la centrale, le chef de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) Rafael Grossi a estimé mardi que le niveau de radioactivité était "dans la normale" en précisant que les niveaux avaient "augmenté à certains moments, quand les Russes amenaient dans la zone de l'équipement lourd et quand ils sont partis" après avoir occupé la centrale entre le 24 février et le 31 mars.
Le chef de l'AIEA se trouve en Ukraine "pour des discussions avec des responsables du gouvernement" afin de fournir "une assistance technique" garantissant la sécurité des installations nucléaires, a annoncé l'instance onusienne mardi. "Le conflit militaire pose un danger sans précédent pour les centrales et autres sites du pays. Nous devons prendre des mesures urgentes pour nous assurer qu'elles continuent à fonctionner en toute sûreté et réduire le risque d'un accident", a déclaré Rafael Grossi, directeur général de l'Agence internationale de l'énergie atomique, cité dans un communiqué de l'AIEA.
De federale regering stelde vrijdag 18 maart haar energiepakket voor. Bond Beter Leefmilieu, Greenpeace en Inter-Environnement Wallonie reageren op basis van de beschikbare informatie: “Dit is een grote gemiste kans om onze energietoekomst te herschrijven. We hebben dringend een nieuw nationaal energiepact nodig.”
Rafael Grossi, directeur général de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), s'est entretenu avec France 24 depuis le siège de l'agence onusienne, à Vienne. L'offensive russe suscite de vives inquiétudes vis-à-vis de la sécurité des quinze réacteurs nucléaires installés en Ukraine. Rafael Grossi concède que si cela constituerait un "scénario extrême", un accident nucléaire "n’est pas exclu", car les "points cardinaux" de la sécurité nucléaire ne sont actuellement pas respectés.
On ignore les raisons qui font que les systèmes de contrôle à distance des matériaux nucléaires ont cessé d’émettre mardi soir. Les échanges avec la centrale, sous contrôle russe, ne peuvent se faire que par courrier électronique.
L'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) a exprimé dimanche sa "profonde inquiétude" à la suite d'informations concernant l'interruption des communications avec la centrale nucléaire ukrainienne de Zaporojie, la plus grande d'Europe, dont la Russie s'est emparée vendredi. L'AIEA, organisme de surveillance des Nations unies dans le domaine du nucléaire, a déclaré dans un communiqué que l'Ukraine l'avait informée que la direction de cette centrale, située dans le sud-est du territoire ukrainien, était désormais sous les ordres des forces russes.
Measures implemented this year could bring down gas imports from Russia by over one-third, with additional temporary options to deepen these cuts to well over half while still lowering emissions.
Le Conseil des gouverneurs de l'AIEA, gendarme onusien du nucléaire, a adopté jeudi une résolution appelant la Russie à "cesser immédiatement les actions contre les sites nucléaires ukrainiens", mis en danger par la guerre qui fait rage. Le texte "déplore" l'invasion russe, estimant qu'elle "pose des menaces graves et directes à la sécurité" de ces lieux et de leur personnel, avec "le risque d'un accident ou incident nucléaire qui mettrait en danger la population de l'Ukraine, des États voisins et de la communauté internationale".
L'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) a annoncé la tenue mercredi d'une réunion du Conseil des gouverneurs "pour examiner la situation actuelle en Ukraine".
L'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) a annoncé la tenue mercredi d'une réunion du Conseil des gouverneurs, pointant "le risque réel" que pose la guerre en Ukraine sur les sites nucléaires du pays. La rencontre, convoquée à la demande de certains Etats membres, "débutera à 11H00" (10H00 GMT) au siège du gendarme onusien du nucléaire à Vienne, en Autriche, selon une déclaration transmise dimanche à l'AFP.
Overheden moeten minstens drie keer meer investeren in duurzame energie, stelt het Internationaal Energieagentschap (IEA). Alleen zo maken ze een kans om de doelstellingen in het Klimaatakkoord van Parijs te bereiken.
Het Internationaal Energieagentschap schetst in een nieuw rapport een hoopvol beeld over de toekomst van duurzame waterstof, al zijn niet alle obstakels van de baan.
Un redémarrage de ce réacteur, d’une capacité de cinq mégawatts, pourrait signifier que Pyongyang poursuit son programme de développement nucléaire en violation flagrante des résolutions du Conseil de sécurité de l’Organisation des Nations unies (ONU).
Deux chercheuses, Christine Fassert et Tatiana Kasperski ont étudié et analysé comment depuis l’accident de Tchernobyl la monopolisation de l’autorité du savoir sur les radiations ionisantes a été instrumentalisé par un ensemble restreint d’organisations (l’Agence internationale de l’énergie atomique/AIEA, la Commission internationale de radioprotection/CIPR et le Comité scientifique des Nations unies pour l’étude des effets des rayonnements ionisants/UNSCEAR).
Energy watchdog’s Fatih Birol says shift away from coal in key regions needs to be made a global priority


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