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Guyana
L'armée vénézuélienne s'est déclarée dimanche en "état d'alerte", après que Caracas a dénoncé un complot présumé qui prévoirait une attaque contre le groupe pétrolier américain ExxonMobil au Guyana pour l'attribuer au gouvernement de Nicolas Maduro. Le différend concernant l'Essequibo, territoire de 160.000 km³ qui couvre les deux tiers de la superficie du Guyana, mais revendiqué par le Venezuela, a été ravivé lorsque ExxonMobil a découvert d'immenses réserves de pétrole en 2015.
Le président vénézuélien, Nicolas Maduro, a traité « d’imbécile », jeudi, le secrétaire d’Etat américain, Marco Rubio, après les mises en garde de ce dernier au sujet de l’Essequibo, territoire riche en pétrole que Caracas réclame au Guyana.
Rubio au Guyana pour offrir la protection américaine à ce pays riche en pétrole, voisin du Venezuela
(27/03) - Connaissance des ÉnergiesLe secrétaire d'État américain Marco Rubio est arrivé jeudi au Guyana pour proposer de placer ce petit pays aux importantes réserves pétrolières sous la protection américaine en matière de sécurité alors que le Venezuela voisin revendique une partie de son territoire.
Le secrétaire d'État américain Marco Rubio, en visite jeudi au Guyana pour l'assurer de sa protection, a averti le Venezuela voisin que toute attaque de ce petit pays pétrolier se "terminerait mal".
Le président vénézuélien Nicolas Maduro a averti mercredi le Guyana et le groupe pétrolier américain ExxonMobil qu'il prendrait "toutes les mesures nécessaires" pour mettre fin à leur "action illégale" dans l'Essequibo, région riche en pétrole disputée par les deux pays sud-américains. Nicolas Maduro a une nouvelle fois accusé le Guyana de se livrer à une "activité illégale consistant à utiliser une eau territoriale en cours de délimitation internationale pour des activités d'exploitation pétrolière".
La zone maritime au large de la région de l'Essequibo, riche en pétrole et au coeur d'un différend territorial ancien entre le Guyana et le Venezuela, a été le théâtre samedi d'un regain de tensions, les deux pays s'accusant mutuellement d'activités illégales. Le président du Guyana Irfaan Ali a dénoncé l'incursion dans la matinée d'un navire militaire vénézuélien dans les eaux de son pays, après quoi Caracas a insisté sur le caractère de son point de vue "illégal" de l'exploitation de pétrole par le Guyana.
L'armée vénézuélienne a nié ce dimanche l'entrée samedi d'un navire militaire dans les eaux du Guyana, petit État du Nord de l'Amérique du sud, affirmant que son bateau effectuait un simple tour de garde dans les "eaux maritimes de la façade atlantique vénézuélienne".
Le Premier ministre indien Narendra Modi, en visite de deux jours au Guyana, a réaffirmé jeudi l'intérêt de son pays pour le pétrole guyanien lors d'un discours devant le Parlement de ce petit pays du nord de l'Amérique du sud, disposant des plus grandes réserves de pétrole per capita de la planète. "L'Inde entre dans une nouvelle ère. La demande d'énergie augmente rapidement en Inde et le pays diversifie ses sources d'énergie. À cet égard, nous considérons le Guyana comme une source d'énergie importante", a-t-il déclaré.
L’Essequibo désigne à la fois le plus long fleuve du Guyana et un vaste territoire qui fait l’objet d’un différend territorial entre le Venezuela et le Guyana. Ce différend est exacerbé depuis 2015 par la découverte d’importantes réserves de pétrole dans cette zone par ExxonMobil.
Le Conseil de sécurité de l'ONU a appelé lundi le Guyana et le Venezuela à la "retenue", s'inquiétant d'un risque d'"escalade des tensions" entre les deux pays autour de leur différend sur la région de l'Essequibo riche en pétrole. Les membres du Conseil de sécurité, dont le Guyana fait partie depuis janvier, ont exprimé dans cette déclaration "leur inquiétude concernant la possible escalade des tensions entre le Venezuela et le Guyana".
Une nouvelle concession accordée au géant pétrolier américain ExxonMobil par le Guyana a ravivé la tension avec le Venezuela voisin, qui a rejeté samedi "fermement" le permis, estimant que la zone concernée se situe dans les eaux en dispute avec Georgetown. ExxonMobil a annoncé vendredi dans un communiqué avoir reçu le feu vert du gouvernement guyanien pour développer un nouveau projet d'exploitation dans le bloc Stabroek, une vaste zone offshore où se trouvent d'énormes gisements de pétrole.
Le Venezuela a remis lundi des documents à la Cour internationale de justice (CIJ), même s'il ne reconnaît pas sa compétence, pour tenter de prouver sa légitimité à réclamer la souveraineté sur l'Essequibo, territoire riche en pétrole sous administration du Guyana voisin."Le Venezuela a présenté aujourd'hui toute la documentation" à la CIJ, a déclaré le président vénézuélien Nicolas Maduro, qui a appelé son homologue guyanais, Irfaan Ali, à reprendre les négociations. "Tôt ou tard, le Guyana devra s'asseoir et négocier avec le Venezuela", a-t-il lancé à la télévision.
Le président vénézuélien Nicolas Maduro a lancé jeudi, en pleine crise sur l'Essequibo, des exercices militaires avec quelque 5.600 soldats à la frontière du Guyana, "en réponse à la provocation" du Royaume-Uni qui a envoyé un navire de guerre dans la région, les autorités guyaniennes niant pour leur part toute velléité "offensive".
La République de Guyana est en passe de devenir le premier producteur mondial de pétrole brut par habitant, Son voisin, le président vénézuélien et autocratique Maduro va-t-il commettre une “pétro-agression” ? Ou va-t-on aboutir à une Pax Petrolica ?
Le Brésil, qui suit avec "préoccupation" les tensions entre le Venezuela et le Guyana, voisins à sa frontière nord, tente de se poser en médiateur du différend territorial sur la région de l'Essequibo."S'il y a une chose dont nous ne voulons pas, c'est une guerre en Amérique du Sud", a lancé la semaine dernière le président brésilien Luiz Inacio Lula da Silva.
Fossiele energiebedrijven sponsoren de klimaatconferentie COP28 in oliestaat Dubai. Ze doen nog meer onbaatzuchtige dingen voor het klimaat, zoals een oorlog uitlokken. Voor de Venezolanen die op 3 december 2023 stemden in een referendum over de betwiste regio Essequibo gaat dit niet om een conflict met buurland Guyana maar over een conflict dat ExxonMobil uitlokt tegen de bevolking van Venezuela én Guyana.
Au sommet du Tepuy Pakaramba flotte le drapeau du Guyana. A son pied, dans le petit village d'Arau, les habitants se disent Guyaniens, malgré les revendications du Venezuela voisin sur ce territoire, l'Essequibo, riche en pétrole."Sur cette montagne, il y a notre drapeau. Chaque matin, nous le regardons et nous nous sentons heureux et fiers", affirme Jacklyn Peters, une infirmière de 39 ans du village de 280 âmes situé à moins de dix kilomètres de la frontière avec le Venezuela.
Le Conseil de sécurité des Nations Unies se réunit vendredi "en urgence" à huis clos pour débattre de la crise entre le Venezuela et le Guyana au sujet de l'Essequibo, une région disputée riche en pétrole, alors que la Russie a appelé à son tour à une solution "pacifique".
Le pétrole nerf de la guerre... La découverte de vastes gisements de pétrole a ravivé le vieux conflit sur l'Essequibo, un territoire de 160.000 km2 administré par le Guyana mais que le Venezuela revendique en soutenant que la véritable frontière est celle datant de l'empire espagnol en 1777.Le différend est porté devant la Cour internationale de justice (CIJ), la plus haute juridiction de l'ONU, que le Venezuela ne reconnaît pas. Le Guyana estime que les frontières ont été actées en 1899, lorsque le Royaume-uni était la puissance coloniale du territoire.
Réunion du Conseil de sécurité de l'ONU, appel au calme des pays sud-américains... La communauté internationale s'inquiète de la tension grandissante entre le Venezuela et le Guyana au sujet de l'Essequibo, territoire riche en pétrole en dispute entre les deux pays.Sur le terrain, les Etats-Unis ont annoncé réaliser des exercices militaires aériens qualifiés de "provocation" par le Venezuela.