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Enfermés, affamés, bombardés par l’armée israélienne, les Palestiniens de Gaza ne savent plus à qui s’en remettre. Le droit international ? Il ne peut rien tant que les Etats-Unis continuent à soutenir le Premier ministre israélien. L’Europe ? Elle est divisée, donc impuissante. Les dirigeants arabes ? Ils tergiversent, tiraillés entre l’émotion qu’ils perçoivent au sein de leurs populations en faveur des Palestiniens et leur besoin de rester connectés aux Etats-Unis. L’Autorité palestinienne ? Elle n’a plus aucun crédit auprès de son peuple. Le Hamas ? Il abandonnera les civils aux bombardements israéliens jusqu’au dernier avant de rendre les armes. Les Palestiniens de Gaza (mais aussi ceux de Cisjordanie, harcelés, chassés et tués par les colons et les militaires israéliens) sont seuls au monde. Personne ne veut d’eux et la plupart préfèrent mourir plutôt que de quitter le sol sur lequel ils sont nés.
Mahmoud Abbas a intimé, dans un langage fleuri, au mouvement islamiste palestinien de relâcher les 58 captifs qu’il détient depuis le 7 octobre 2023 pour mettre fin aux souffrances des Palestiniens, notamment à Gaza. L’illustration d’une colère qui s’accroît contre le Hamas.
Une phrase choc qui résume la situation dans l’enclave palestinienne : «Gaza est devenue une fosse commune pour les Palestiniens et ceux qui leur viennent en aide», a dénoncé ce mercredi 16 avril l’ONG Médecins sans frontières (MSF), en réaction aux opérations militaires et au blocus imposé par Israël sur l’aide humanitaire. «Nous assistons en temps réel à la destruction et au déplacement forcé de toute la population de Gaza», déclare Amande Bazerolle, coordinatrice d’urgence de MSF à Gaza, qui estime que la réponse humanitaire est «gravement entravée par l’insécurité constante et les pénuries critiques».
Le porte-parole du Fatah à Gaza a appelé samedi le Hamas à quitter le pouvoir, afin de préserver la "présence des Palestiniens" sur ce territoire à l'heure où Israël intensifie ses opérations militaires et ses menaces de déplacer la population et d'annexer des pans de la bande de Gaza.
Les représentants du Soudan, interrogés par Associated Press, ont déclaré qu’ils avaient rejeté l’offre de Washington, tandis que ceux de la Somalie et du Somaliland ont déclaré qu’ils n’étaient au courant d’aucun contact.
Selon l’agence Associated Press, les administrations américaines et israéliennes ont pris contact avec le Soudan, la Somalie et le Somaliland. L’objectif serait d’y installer les 2 millions d’habitants de Gaza délogés à cause de la guerre dans le cadre du plan de Trump.
Il s’agissait, selon le groupe Action Palestine, qui a revendiqué l’action, d’une réponse face à «la manière dont Donald Trump traite Gaza, comme s’il s’agissait de sa propriété dont il peut disposer à sa guise».
Lors d’un sommet organisé au Caire à l’initiative du président Sissi, les dirigeants de la Ligue arabe ont adopté ce mardi 4 mars un plan alternatif à celui proposé par Donald Trump, qui envisage le déplacement des Palestiniens.
Le sommet arabe a appelé mardi à unifier les rangs palestiniens sous la direction de l'Organisation de libération de la Palestine (OLP), ce qui aurait pour effet de mettre à l'écart le mouvement islamiste Hamas qui n'en fait pas partie.
Le Haut-Commissaire de l’ONU aux droits de l’homme a rejeté mercredi les "propositions" d’annexion ou de transfert forcé des populations des Territoires palestiniens occupés, qui pourraient "menacer" toute la région.
Le président égyptien Abdel Fattah Al-Sissi a reporté sine die sa visite, prévue le 18 février, à Washington, où il devait discuter avec Donald Trump de l’avenir de Gaza et du plan concernant le “trumpsfert” de 2 millions de Palestiniens. Au risque de perdre le soutien financier et politique américain, explique le site d’information “Daraj”.
Le 4 février, le président américain, Donald Trump, annonçait vouloir prendre le contrôle de la bande de Gaza et “transférer” sa population palestinienne en Jordanie et en Égypte. La proposition a fait l’effet d’une bombe, mais elle n’est pas nouvelle, rappelle le quotidien israélien “Ha’Aretz”.
Le président des Etats-Unis affirme que les palestiniens déportés dans le cadre de son projet pour reconstruire la bande de Gaza n’auront pas le droit de revenir sur leurs terres, apprend-on ce lundi 10 février.
Dans un extrait d’une interview qui doit être diffusée sur Fox News lundi 10 février au soir, le président américain a déclaré vouloir attribuer aux Gazaouis un “endroit permanent” autre que la bande de Gaza, ravagée par la guerre entre Israël et le Hamas.
Après les déclarations polémiques mardi soir du président américain, Paris a affirmé ce mercredi 5 février que «l’avenir de Gaza doit s’inscrire […] dans le cadre d’un futur Etat palestinien.»
La fin annoncée jeudi 30 janvier des activités de l’agence officielle représente un traumatisme pour les millions de personnes qui en bénéficient, à travers écoles, soins et services essentiels, depuis des années.
Le président américain Donald Trump a proposé de déplacer les habitants de la bande de Gaza vers l'Egypte et la Jordanie dans le cadre d'un plan de paix consistant à "faire le ménage" dans le territoire palestinien, où la trêve entre Israël et le Hamas est entrée dimanche dans sa deuxième semaines.
Le secrétaire d'Etat américain, Antony Blinken, a proposé mardi d'envoyer une force internationale de sécurité à Gaza et de placer le territoire palestinien sous la responsabilité de l'ONU, à l'issue de la guerre avec le Hamas.
Le pouvoir palestinien en Cisjordanie a ordonné le 1er janvier la suspension de la diffusion d’Al-Jazeera. Une décision qui intervient après que Ramallah a critiqué la couverture médiatique par la chaîne panarabe des opérations menée à Jénine contre des groupes armés proches du Hamas.
Les ONG Human Rights Watch et Médecins sans frontières ont affirmé jeudi que les actions d'Israël dans la bande de Gaza constituent des "actes génocidaires" à l'encontre du peuple palestinien. Des accusations rejetées par l'État hébreu, qui dénonce une "propagande anti-israélienne".