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En analysant des données satellite de la NASA, une équipe internationale de chercheurs a découvert que la quantité totale d’eau douce sur Terre a chuté brusquement à partir de mai 2014. Le réchauffement climatique est pointé du doigt.
Le "flexitarisme" serait encore moins polluant que le végétalisme, et il serait plus facile de s'y tenir.
Le système alimentaire mondial est l'un des secteurs les plus fragilisés par les effets du dérèglement climatique, tout en étant l'un des responsables. Face à ce constat, l'Organisation des Nations unies pour l'agriculture et l'alimentation (FAO) a dévoilé dimanche une feuille de route pour concilier éradication de la faim dans le monde et objectifs climatiques. Un document inédit alors que le sujet est souvent laissé de côté à la table des négociations.
Alors que la COP28 entame ses derniers jours de travaux à Dubaï, la FAO a présenté dimanche un plan révolutionnaire qui vise à transformer les systèmes agroalimentaires mondiaux en puits de carbone d’ici à 2050.
Dans cette région du sud du Vietnam, qui était connue comme l’un des greniers à riz de la planète, la salinité de l’eau pousse de plus en plus d’agriculteurs à se tourner vers d’autres cultures. Un reporter de ce journal néerlandais s’est rendu sur place.
A cause d’El Niño, phénomène météorologique naturel qui dure de neuf à douze mois et qui devrait se renforcer à la fin de cette année, les « conditions climatiques extrêmes » pourraient se multiplier.
A l’occasion du grand raout du Salon de l’Agriculture, le collectif « Nourrir » lance l’alerte. Avec 50% des agriculteurs en âge de partir à la retraite dans les 10 prochaines années, la France traverse un défi agricole sans précédent. Face à la crise climatique qui s’aggrave et aux écueils de la mondialisation, le pays doit former et installer 1 million de paysan.ne.s pour que l’objectif de souveraineté alimentaire de la France ne devienne pas un conte illusoire.
a Corne de l’Afrique et de nombreuses régions d’Afrique de l’Est sont au cœur d’une sécheresse dévastatrice. Pour la cinquième année consécutive, l’absence de pluie a été enregistrée. Les analystes s’attendent à ce que la sixième – qui débutera en mars prochain – soit également une saison «sans pluie». Alors que les champs sont en jachère et que des millions de têtes de bétail meurent de soif, les pays de la région connaissent une situation d’insécurité alimentaire et humanitaire sans précédent. Selon le Programme alimentaire mondial (PAM) des Nations unies, quelque 22 millions de personnes en Ethiopie, en Somalie et au Kenya risquent de mourir de faim.
L'avenir de l'accès à l'alimentation sera à l'agenda de la COP27 en Égypte au début du mois de novembre.
La sécheresse met à mal les champs de pommes de terre très gourmandes en eau. Pas plus grandes que des balles de ping-pong, elles ne sont même plus commercialisables.
De nombreux produits alimentaires sont touchés par les conséquences d’une sécheresse historique. Une situation aggravée par la guerre en Ukraine.
Diminution sévère des chutes de neige et de pluie et températures très élevées : le nord de l’Italie affronte sa pire sécheresse depuis 70 ans. Alors que lacs et fleuves s’assèchent, l’agriculture et le secteur de l’énergie redoutent l’étendue des dégâts.
L'Inde a annoncé interdire les exportations de blé face aux vagues extrêmes de chaleur dans le pays.
La question alimentaire est cruciale dans la lutte contre le réchauffement, insiste la scientifique Cynthia Rosenzweig, qui a passé des décennies à étudier les interactions entre le changement climatique et ce que nous mangeons.
La question alimentaire est cruciale dans la lutte contre le réchauffement, insiste auprès de l’AFP la scientifique Cynthia Rosenzweig, qui a passé des décennies à étudier les interactions entre le changement climatique et ce que nous mangeons. Ses recherches au sein de la Nasa, au célèbre centre spatial Goddard, qui lui ont valu cette semaine de remporter le Prix mondial de l’alimentation, mettent particulièrement en garde contre l’impact du réchauffement sur l’alimentation.
Mais le facteur incontournable, c'est l'eau. Un enjeu ultra-sensible pour l'Irak et ses 41 millions d'habitants, qui ressentent au quotidien l'impact du changement climatique : désertification, tempêtes de sable à répétition, chute des précipitations et baisse du niveau des fleuves. C'est aussi un enjeu géostratégique capital. L'Irak partage les eaux de plusieurs fleuves, notamment celles du Tigre et de l'Euphrate, avec la Turquie et la Syrie, mais aussi l'Iran. Bagdad est vent debout contre la construction de barrages en amont chez ses voisins, qui réduisent le débit des cours d'eau à leur arrivée en Irak.
La question alimentaire est cruciale dans la lutte contre le réchauffement, insiste auprès de l'AFP la scientifique Cynthia Rosenzweig, qui a passé des décennies à étudier les interactions entre le changement climatique et ce que nous mangeons.
Au drame humain, la guerre en Ukraine a ajouté une certaine confusion dans le chef de nos décideurs. La Commission vient d’annoncer une dérogation pour la culture des jachères, au nom de la sécurité alimentaire. Un seul mot d’ordre : « produire plus ». Selon certains, il faudrait « libérer la production agricole » et exploiter intensivement chaque recoin de terre. Or, s’il s’agit véritablement de répondre aux besoins urgents de populations en souffrance, il serait plus sage de s’interroger sur l’utilisation qui est faite de nos terres. En Wallonie comme en Europe, les deux tiers des cultures servent à nourrir nos voitures, ou des animaux d’élevage que nous consommons actuellement en quantités excessives. En sacrifiant la biodiversité sur l’autel de la production, nous commettons une erreur stratégique qui pourrait être irréparable, celle de compromettre notre capacité future à nourrir nos populations.
Au cours de l'été 2012, une sécheresse éclair survenue au pire des moments dans le centre des États-Unis a provoqué le flétrissement de la récolte de maïs. Résultat : plus de 35 milliards de dollars de perdus. Et des chercheurs nous préviennent aujourd'hui : les sécheresses éclair sont de plus en plus... éclair !