Articles

OA - Liste

Recherche : Articles Audio – podcast Fiches Livres Sites Vidéos retour Veille

Uniquement les Articles

Pour voir les références d’un(e) auteur(e), cliquez sur son nom. Pour revenir à la page, utilisez le bouton refresh ci-dessous.

Cela fonctionne également avec les mot-clés de chaque référence.

12 novembre 2024

Shell hoeft dan toch zijn uitstoot niet verder terug te dringen dan het zelf wil om de klimaatopwarming te beperken. Dat heeft een Nederlandse rechter in Den Haag vandaag in beroep beslist. De rechter vindt dat Shell wel degelijk een verantwoordelijkheid draagt in de klimaatcrisis, maar dat het bedrijf geen specifieke reductiedoelstellingen opgelegd kunnen worden.
Comment accélérer sur le climat sans la première puissance mondiale ? C'est le défi posé à quelque 75 dirigeants, en majorité de pays en développement, mardi et mercredi à la conférence climatique annuelle de l'ONU en Azerbaïdjan, une semaine après le séisme du prochain retour au pouvoir de Donald Trump.
Bisons futés. Les monts Tarcu, dans le sud-ouest de la Roumanie, accueillent depuis une dizaine d'années un projet de réintroduction de bisons, porté par WWF Roumanie et Rewilding Europe. L’objectif est de retrouver une population viable d’herbivores à l’état sauvage. Une initiative bénéfique pour la communauté locale et pour la biodiversité, mais aussi, plus surprenant, pour le climat.
Au Malawi, les effets conjugués des cyclones et des épisodes de sécheresse, amplifiés par le dérèglement climatique, ont plongé le pays dans l'insécurité alimentaire. Si des tentatives d'adaptation commencent à émerger dans ce pays dépendant de son agriculture, elles peinent à se généraliser.
Le nombre de pays confrontés à des risques climatiques extrêmes devrait passer de trois actuellement à 65 en 2040, met en garde le Haut-Commissariat des Nations unies pour les réfugiés.
La diplomatie en faveur du climat résistera aux événements politiques, a jugé mardi le chef de l'ONU Climat, Simon Stiell, en allusion directe à l'élection de Donald Trump aux États-Unis.Un processus « robuste » selon Simon Stiell"Nombre d'entre vous ont écrit sur les implications pour le climat des événements politiques ces dernières semaines. Je dirai juste que notre processus est solide. Il est robuste et perdurera", a-t-il dit lors d'une conférence de presse au deuxième jour de la COP29 à Bakou.
À la COP28 de Dubaï, le premier bilan global de l’accord de Paris a fait le constat que la pleine application des NDC permettrait dans le meilleur des cas de réduire d’environ 10% les émissions mondiales de gaz à effet de serre entre 2019 et 2030 (zone rouge sur le graphique).
La déclaration a été faite à l’issue d’un sommet de la Ligue arabe et de l’Organisation de la coopération islamique en Arabie saoudite.
Les 198 parties ont jusqu’au 22 novembre pour s’accorder sur le financement de la transition « verte » des pays en développement. Une entreprise difficile, marquée par le retour de Donald Trump à la Maison Blanche et l’alerte sur l’année 2024, qui dépassera 1,5 ºC de réchauffement climatique.
Vu l'étendue et le caractère irréversible de nombreux dommages environnementaux, la condition en vertu de laquelle les dommages causés à l'environnement naturel doivent être "étendus, durables et graves" paraît être remplie.
Comment accélérer sur le climat sans la première puissance mondiale? C'est le défi posé à quelque 75 dirigeants, en majorité de pays en développement, mardi et mercredi à la conférence climatique annuelle de l'ONU en Azerbaïdjan, une semaine après le séisme du retour au pouvoir de Donald Trump.
La vingt-neuvième conférence de l'ONU pour le climat s'ouvre lundi à Bakou en Azerbaïdjan. Principal objectif : trouver des centaines de milliards de dollars pour aider les pays les plus vulnérables à s'adapter au changement climatique. Des débats qui s'annoncent difficiles, d'autant plus que de nombreux chefs d'États ne seront pas présents. Un sommet qui débute six jours après l'élection du climato-sceptique Donald Trump à la présidence des États-Unis, deuxième pays le plus émetteur de CO2.
À peine ouverte, la COP29 de Bakou suscite déjà des critiques. Le choix de l'Azerbaïdjan, l'un des principaux producteurs d'hydrocarbures, comme pays hôte des négociations, après Dubaï l'an dernier, déplaît à certains États, notamment la Papouasie-Nouvelle-Guinée qui a décidé de boycotter l'événement.
À l'issue d'une première journée poussive et après des heures de retard en raison de dissensions entre blocs de pays, les près de 200 États représentés à la COP29 ont fini par adopter les premières règles pour le marché des crédits carbone, jusqu'ici sans régulation internationale et sujet à abus, fraudes et écoblanchiment.
Avec le retour prochain de Donald Trump au pouvoir aux États-Unis, les affrontements sur les fronts ukrainien et russe se sont intensifiés ces derniers jours. Après une attaque de drones ukrainiens de grande ampleur sur la région de Moscou dimanche, l'Ukraine a subi à son tour lundi plusieurs attaques, qui ont fait plusieurs morts et déclenché des sirènes d’alerte dans presque tout le pays.
L'hôte de la conférence annuelle de l'ONU sur le climat, le président azerbaïdjanais Ilham Aliev, a défendu mardi le droit des pays à exploiter leurs ressources pétrolières et gazières, en ouverture d'un sommet de dirigeants mondiaux à Bakou.Les dirigeants des pays en développement, très représentés à la COP29, plaident mardi pour un accord financier historique sur l'aide des pays riches, mais la plupart des chefs d'Etats du G20 sont absents, au début d'une des négociations climatiques les plus difficiles depuis l'accord de Paris en 2015.
Les ressources hydriques sont massivement contaminées par une molécule issue de la dégradation du flufénacet, un pesticide récemment classé perturbateur endocrinien. Les associations demandent son interdiction en urgence.
La centrale de Saint-Avold (Moselle), l'un des deux sites à charbon de l'Hexagone, a repris du service mardi pour répondre aux besoins de production d'électricité alors que le froid arrive, a-t-on appris auprès de GazelEnergie.
L'énergie nucléaire est exploitée dans 1 seul pays en Afrique et dans 2 pays en Amérique du Sud.
Selon les informations du Monde, les ressources hydriques françaises seraient massivement touchées par une pollution à l’acide trifluoroacétique (TFA), un «polluant éternel» issu de la dégradation d’un pesticide.