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Les paysans de Zambie s’opposent à un projet de loi qui menace leur liberté de disposer de leurs semences. Derrière ce texte : des multinationales, la Fondation Gates et des États occidentaux, en pleine offensive sur l'Afrique.
Face à cette mainmise marchande sur les graines, certains continuent de pratiquer la culture et l’échange de semences paysannes, cherchant à promouvoir un rapport plus respectueux au vivant.
Les nouvelles techniques d'édition du génome sont en discussion au parlement européen. En jeu : la diversité de l'agriculture de demain.
Cœur : des passionnés sauvegardent des anciennes variétés reproductibles dont les graines sont librement partagées. Pique : les multinationales de la semence privatisent le vivant en déposant des brevets leur réservant des droits exclusifs sur des variétés de plantes.
Une Maison des semences paysannes va ouvrir en juin à Bouchemaine, près d’Angers (Maine-et-Loire). Elle aura pour but de conserver et de mettre à disposition des variétés locales de céréales cultivées sur place. Afin de « libérer » les agriculteurs biologiques des semenciers industriels.
Par une décision alambiquée, la justice européenne entrouvre une brèche dans la réglementation européenne sur les semences brevetées. La Confédération paysanne craint « un déferlement massif d’OGM non identifiés ». Mardi 7 février, la Cour de justice de l’Union européenne a rendu un avis très attendu par la filière semencière comme par les opposants aux OGM. Elle considère que les organismes obtenus par mutagenèse aléatoire « in vitro », qui utilisent des techniques dites « traditionnelles », n’entrent pas dans le (...)
Le projet d’arrêté réautorisant, pour 2022, l’usage des principaux néonicotinoïdes sur la betterave avait été mis en consultation fin décembre.
Néonicotinoïdes : l’Europe réaffirme l’interdiction des dérogations aux pesticides tueurs d’abeilles
(19/01) - Sascha Garcia,AFPLa cour de justice de l’UE a statué contre les «autorisations d’urgence» prises par onze États membres pour mettre sur le marché des semences traitées avec ces produits chimiques, interdits depuis fin 2018.
Dans des caves souterraines près des champs de bataille ukrainiens, le code génétique de près de 2 000 cultures risque d’être définitivement détruit. Selon Crop Trust, une organisation à but non lucratif créée par l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture, le risque a été mis en évidence en mai lorsqu’un centre de recherche près de la banque nationale de semences ukrainienne a été endommagé.
Depuis le début de l’année 2022, la réglementation européenne permet à l’agriculture bio de vendre leurs propres semences. Et cela change tout.
À travers son histoire, Pascal Poot, chercheur-agriculteur et producteur bio de semences depuis 20 ans, montre qu’il est possible de cultiver des tomates sans eau ni pesticides.
Nous, membres actifs et acteurs d'initiatives pour le maintien et le développement de la diversité traditionnelle des plantes alimentaires et utiles, saluons l'initiative de la Commission européenne d'associer différents groupes d'intérêt ainsi que le grand public au processus d'élaboration de la nouvelle législation sur la commercialisation des semences.
Les pesticides « tueurs d’abeilles » reviennent. L’utilisation de semences de betteraves sucrières traitées avec des néonicotinoïdes, insecticides aux effets néfastes pour les abeilles, est autorisée pour la campagne 2022 en France, selon un arrêté publié mardi 1er février par le Journal officiel.
Le centre de ressources génétiques Arcad a été inauguré à Montpellier début octobre. On y conserve des milliers de graines pour les étudier mais aussi les adapter aux changements climatiques.
En cas de crise planétaire, des réserves de produits de première nécessité peuvent manquer en Suisse. De grands changements climatiques par exemple pourraient ainsi toucher les semences, incitant les autorités suisses à reconstituer des stocks obligatoires, à commencer par le colza, actuellement tributaire de l'étranger.
Depuis 30 ans, les pays industrialisés forcent les gouvernements du Sud à adopter des lois qui privatisent les semences pour que les agriculteurs soient obligés de les acheter et de maintenir ainsi les entreprises semencières à flot. Pour ce faire ils utilisent principalement les ALE. Notre ensemble de données souligne la façon dont les pays sont obligés d’aller au-delà des règles préconisées par l’OMC dans la privatisation des semences.