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Low-tech

octobre 2024

Rencontre avec l’ingénieure Emma Bousquet-Pasturel qui présente l’expérience « Biosphère urbaine ».

septembre 2024

Vincent Mignerot est essayiste. Explorant une "théorie écologique de l'esprit", il envisage que la transition énergétique relève de la pensée magique. Une fable qui nous expose à de nombreuses désillusions. Interview.

juin 2024

Concevoir des objets utiles, sobres, faciles à réparer: depuis peu, des écoles d'ingénieurs initient leurs étudiants aux "low-techs", des pratiques visant à faire mieux avec moins, à rebours de l'image de haute technicité associée au métier.Derrière cet anglicisme, construit en opposition aux "high-techs", se cache un mouvement né dans les années 1970 qui questionne le "tout technologie", avec en toile de fond l'épuisement des ressources naturelles.

mars 2024

Il existe des technologies et savoir-faire innovants, accessibles à tous et durables pour répondre à nos besoins tels que la production d'énergie, de nourriture ou encore le recyclage des déchets. Depuis près de 10 ans, le Low-tech Laben repère des dizaines à travers le monde. L'association les a documentés et diffusés gratuitement via internet, des livres et des films.

février 2024

Vivre en autonomie dans le désert mexicain grâce aux low tech, tel est le défi relevé par Corentin de Chatelperron et Caroline Pultz.

novembre 2023

Pour Caroline, éco-designeuse, et Corentin, ingénieur, on peut, grâce aux low-tech, ces techniques peu gourmandes en ressources, vivre même dans les milieux les plus arides. Pour le prouver, ils vont bâtir tout un écosystème destiné à vivre en autonomie pendant quatre mois dans le désert. Four-parabole, toilettes-ressourcerie ou dessalinisateurs solaires… une préparation dans les moindres détails pour une mission hors norme.

septembre 2023

Impulsée en 2007 l’association Tripalium développe les stages d’autoconstruction d'éolienne de type piggott.

juin 2023

Dans la ville de Nantes, aux rencontres organisées à la fin du mois de juin par l’association APALA, censée mettre en avant la Low Tech, une discussion publique s’est muée en festival du malaise : Yves Cochet, un ancien ministre de l’Aménagement du territoire (époque Jospin) discutera avec Ferghane Azihari, auteur récent d’un affligeant texte (Les écologistes contre la modernité) obsédé par la croissance économique, aveugle à la raréfaction grandissante de ressources essentielles, qui considère que tout ce qui s’exprime à contre courant de la mondialisation "constitue un profond désintérêt pour le sort de l’humanité ». Certains animateurs de la "fresque des low techs" nous ont transmis cette tribune, qui met le doigt sur les différents processus de dévoiement/détournement des critiques de la technique.
Pollution, addiction, obsolescence, entraves aux libertés… Les limites liées à la croissance des high-techs sont de plus en plus prégnantes. Une démarche écologique concrète se développe aujourd’hui en opposition à ce modèle : les low-techs, qui visent à concevoir et à diffuser des techniques et des savoir-faire simples, durables et accessibles à tous. En quête d’un mode de vie plus sobre, un groupe de citoyens se bat pour démocratiser cette approche dans tous les domaines de la vie sociale : l’agriculture, l’habitat, l’énergie, l’éducation, l’économie, etc. Dans le film Low-tech, au cinéma le 7 juin 2023, le réalisateur Adrien Bellay part à leur rencontre.

avril 2023

Dans « Perspectives Low-Tech. Comment vivre, faire et s’organiser autrement ? » Quentin Mateus et Gauthier Roussilhe s’interrogent : la low tech peut-elle conserver son potentiel émancipateur ou est-elle condamnée à être dévoyée.

janvier 2023

The deployment of low-tech requires taking into account the human factor and changing design practices.

décembre 2022

octobre 2022

En réponse à la crise écologique, les solutions de haute intensité technique sont privilégiées, quand bien même elles augmentent la pression sur les milieux de vie, sont longues à mettre en place et ne résolvent pas les souffrances humaines associées, comme la santé au travail. Il convient donc de questionner notre rapport à la technique dans la réponse à ces enjeux et sa compatibilité avec un monde aux ressources limitées. Les low-tech, des techniques moins complexes, moins consommatrices, visant un impact le moins négatif possible, tant humain qu’environnemental, sont une piste de sobriété technique à explorer.

septembre 2022

A contre-courant de la course en avant technologique, les low-tech misent sur la simplicité technique, l’autonomie, la résilience, la durabilité et le partage. Sur fond de crises climatique et énergétique, une association vient de se lancer à Liège afin de promouvoir cette approche.

juillet 2022

Face aux effets et dégâts engendrés par certaines technologies, comment imaginer des systèmes technologiques plus sobres, plus durables, plus accessibles, plus simples – en bref, des « low tech » ? Si les low tech passionnent de plus en plus de monde, peuvent-elles pour autant passer à l’échelle ? Pour le dire autrement, sont-elles « scalables » ? Peuvent-elles devenir un sujet captivant pour le grand public, une préoccupation pour les institutions, des produits sur le marché ?
Les low-techs s'affichent comme un idéal de sobriété : moins de technologies, de ressources, de déchets... Ce mouvement popularisé par des passionnés en quête d'autonomie infuse aujourd'hui dans les réflexions sur l'innovation et l'ingénierie. Les pionniers de la low-tech nous réapprennent à cibler ce dont nous avons réellement besoin tout en s'adaptant aux ressources que notre environnement peut offrir.
Dans le dernier numéro de Zilsel, le sociologue C. Tasset (VetAgroSup) consacre un article à la diffusion des théories de l'effondrement. Il envisage le mouvement « collapso » comme une entreprise de vulgarisation scientifique, incluant les questions agricoles et alimentaires. Du côté des producteurs de ces discours, il décortique notamment l'argumentaire de P. Servigne dans Comment tout peut s'effondrer (2015). Ce best-seller articule différents cadres conceptuels (pensée systémique, thermodynamique, limites planétaires), sur fond d'enjeux existentiels et spirituels. Du côté de la réception, les lecteurs sont plutôt pétris de culture scientifique (ingénieurs et autres professions techniques). Ils trouvent dans ces ouvrages une réponse à des inquiétudes diffuses et une « ressource réflexive ». Leurs trajectoires peuvent les amener à déserter des emplois stables et bien rémunérés, et à s'engager dans des démarches de « résilience » et des changements de pratiques (trio récurrent low techs-permaculture-sob
Pour répondre objectivement à la question : "le logiciel libre peut-il nous accompagner au quotidien ?", nous devions tester ces solutions, dans le cadre privé et professionnel. C’est ce que nous avons fait.

juin 2022

Fours solaires, maisons en terre-paille, vélomobiles... Les low-tech plaisent. Ce projet politique radical ne doit pas être récupéré par de grands groupes guidés par la rentabilité, prévient l’auteur de cette tribune.
Vélos cargos, fours solaires… Jusqu’au 3 juillet, dans le Finistère, un « festival de la low-tech » vise à faire découvrir au grand public ces technologies sobres en ressources et en énergie.

avril 2022

Lancé en mars 2017, le Ğ1 (prononcer June) est une première expérience de monnaie libre à dividende universel. Sa force : reposer sur une blockchain frugale en énergie, qui n’exige pas de nombreux serveurs très coûteux.

février 2022

L’INR, est un think and do tank créé en 2018. Il émane de la fusion du club du Club Green IT, en association loi 1901 à but non lucratif. L’objectif étant d’ouvrir notre démarche au plus grand nombre et sur des thématiques plus larges que l’impact environnemental du numérique. le Club Green IT est devenu l’Institut du Numérique Responsable (INR).

janvier 2022

La question pose le choix de la frugalité ou de la technologie. Même si la réponse peut paraître évidente, elle est néanmoins contrastée, en fonction des besoins à satisfaire. La solution réside très certainement dans un équilibre savamment étudié entre les deux approches. Analyse.
La smart city « n’est ni une évidence, ni une fatalité« , affirme Philippe Bihouix, dans un rapport publié par le Lab de l’ESS.

décembre 2021

Les low-techs sont aujourd’hui au cœur de nombreuses réflexions sur la durabilité de nos sociétés. Cependant, il est parfois difficile de cerner avec précision ce que recouvre ce concept. Dans ce texte, nous cherchons à le clarifier en le faisant reposer sur une vision globale du système technique.

novembre 2021

Face à la ville high-tech toujours plus connectée et énergivore, certaines villes préfèrent prendre le virage du low-tech. Car si la technologie peut aider à la transition écologique, reste à l’utiliser à bon escient et avec parcimonie. Partons à la découverte de ce nouveau modèle urbain.

août 2021

Les low-tech, qui constituent une orientation technologique indispensable, peinent à sortir de la marginalité. En cause, leur difficile compatibilité avec les principes de croissance et de rentabilité ainsi que l’emprise qu’ont les hautes technologies sur nos manières d’imaginer le futur.
Les low-tech, ou technologies douces, ou sobres, constituent une orientation technologique indispensable. Elles peinent cependant à sortir de la marginalité. En cause, leur difficile compatibilité avec les principes de croissance et de rentabilité des entreprises. Et aussi l’emprise qu’ont les hautes technologies sur nos manières d’imaginer le futur.

décembre 2020

L’idée d’un monde basé sur les transports actifs, et en particulier sur le vélo, est un thème récurrent dans les réflexions sur la décroissance. C’était l’une des pistes de transformation du Manifeste du Mouvement québécois pour une décroissance conviviale1 et cette notion joue également un rôle important dans les réflexions du groupe Degrowth.info, basé en Allemagne2. Les grands médias associent également décroissance et pratique du vélo3.

septembre 2020

Combien d’énergie est nécessaire pour faire transiter un octet à travers un centre de données, un réseau et finalement un terminal (ordinateur, tablette, smartphone, TV) ? D’après les modèles de calcul du Shift Project, il faut 0.00000000072 kWh pour faire transiter un octet dans un centre de données, il faut 0.00000000152 kWh pour faire transiter un octet via WiFi et câbles et il faut 0.00021 kWh par minute pour maintenir allumer votre terminal. Ces chiffres peuvent sembler très abstraits ; alors comment se transforment-ils lorsqu’on les ramène à un usage de notre vie quotidienne ?
Vous utilisez tous les deux l’expression « technologies zombies » – mais en deux sens très différents. José, il s’agit d’un concept que tu développes en opposition aux technologies dites « vivantes ». Quant à toi, Nicolas, c’est un concept avec lequel tu es familier du fait de tes objets d’étude. Pourriez-vous brièvement nous préciser le sens et l’origine de cette expression dans le contexte d’usage qui est le vôtre ?

août 2020

Confrontées à un virus récalcitrant à nos réponses sanitaires, nos sociétés craquent économiquement, politiquement, socialement. A voir les réseaux sociaux, on peut également se poser des questions côté santé mentale collective...Heureusement, comme souvent en cas de crise majeure, des femmes et des hommes se mobilisent pour essayer de trouver des moyens d’entraides.C’est le cas des «Makers» qui se sont coordonnés à la vitesse de l’éclair «internet» – partout dans le monde – pour fournir aux hôpitaux du matériel (respirateurs de fortune,...), des pièces et des masques en urgence, et cela très souvent gratuitement.
S’approprier des techniques écologiques grâce à des ateliers, voilà l’ambition de la deuxième édition de la Semaine des alternatives et des low-tech (Salt). Le camp a réuni une quarantaine de participants — Covid oblige — et a contribué à la structuration du mouvement des technologies sobres.

juillet 2020

janvier 2020

Alors qu’elle pourrait faire office d’accélérateur de la transition écologique, la low-tech peine à s’imposer comme une alternative crédible et désirable. Si l’enthousiasme est grandissant, l’intérêt reste superficiel et l’action marginale,..

décembre 2019

Cet article est issu d’un débat ayant eu lieu sur le Discord d’Ingénieurs Engagés. Il reprend et approfondit les différents arguments avancés par les différent·e·s participant·e·s, qui ont également contribué à son amélioration et sa relecture. Il s’intègre dans la réflexion du Livre d’Ingénieurs Engagés.

novembre 2019

Bouleversés par le numérique, les médias ont eu tendance ces dernières années à lui attribuer un pouvoir magique. Mais faire l’apologie de la transformation technologique serait-il un moyen d’esquiver les enjeux écologiques et humains ? C’est cette incohérence entre éco-responsabilité et approche du numérique que sonde Jean-Jacques Valette, ancien rédacteur en chef adjoint de We Demain.

octobre 2019

Pour nombre d'entre nous, Internet est invulnérable. Mais des chercheurs s’inquiètent d’un potentiel "black out". Car la structure du "réseau des réseaux" commence à suivre avec difficulté des usages de plus en plus lourds. Et énergivores.

septembre 2019

Dans deux précédents articles, nous avons établi que le numérique est une ressource critique, non renouvelable et qui sera épuisée dans une génération. Compte tenu de cette tension, il est urgent de lui trouver une alternative pour permettre à l’humanité de continuer à transmettre sa connaissance de génération en génération et à s’organiser en communiquant. Deux clés indispensables pour assurer notre résilience.