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permaculture
Parmi les modèles d'agriculture durable, quelles sont les grandes différences ? Voici une présentation des principaux concepts pour mieux comprendre les différentes mouvements.
Pour Perrine Bulgheroni, cofondatrice de la ferme du Bec Hellouin, le problème est la solution. Ainsi, depuis une infestation de limaces, l’agricultrice s’est tournée vers les micro-organismes, se convertissant à la permaculture.
Nos ressources seront un jour épuisées. Comment y faire face ? En suivant les fondements de la permaculture, théorise David Holmgren : être plus autonome et se passer des services centraux. La planète se réchauffe et le pétrole se fait rare : partant de ce constat, qui n’est pas des plus optimistes, il n’y aurait, à en croire un ingénieur qui a le vent en poupe ces mois-ci, pas trente-six solutions. Dans Un monde sans fin, succès éditorial (plus de 600 000 exemplaires vendus) mis en dessins par (...)
MO*blogger Lieven Bauwens zag in de Amerikaanse staat Wisconsin iets wat een grote impact op hem had. Een landbouwer/ecoloog baat er een boerderij uit zonder dat daarvoor een bos tegen de vlakte moet of zonder dat het ecosysteem verstoord wordt.
La descente énergétique créative proposée par le co-fondateur de la permaculture David Holmgren constitue une issue majeure au risque d’effondrement actuel des sociétés thermo-industrielles.
La permaculture et le biorégionalisme sont deux mouvements, deux concepts de plus en plus fréquemment cités et revendiqués par des publics très différents. Si la permaculture a d’ores et déjà envahi les librairies et les jardins, elle est aussi malmenée, réduite à des techniques de cultures agroécologiques et vidée de sa dimension politique. Tandis que le biorégionalisme, plus récemment introduit dans le monde francophone, fait doucement son chemin. Dans l’essai qui suit, Agnès Sinaï retrace leur compagnonnage en Australie, en Nouvelle-Zélande et aux États-Unis avant de définir la biorégion au regard de la pensée des deux fondateurs de la permaculture : Bill Mollison et David Holmgren. Si la permaculture « tend à transformer les systèmes naturels en systèmes culturels, le biorégionalisme transforme les systèmes culturels en systèmes naturels en intégrant les habitats humains aux échelles du vivant. »
Plus encore qu’en conventionnel, la sécheresse affecte les exploitations en bio et en permaculture, qui pâtissent de leur caractère transversal entre faune et flore. À Verdun-sur-Garonne, un maraîcher en fait les frais.
Dans le dernier numéro de Zilsel, le sociologue C. Tasset (VetAgroSup) consacre un article à la diffusion des théories de l'effondrement. Il envisage le mouvement « collapso » comme une entreprise de vulgarisation scientifique, incluant les questions agricoles et alimentaires. Du côté des producteurs de ces discours, il décortique notamment l'argumentaire de P. Servigne dans Comment tout peut s'effondrer (2015). Ce best-seller articule différents cadres conceptuels (pensée systémique, thermodynamique, limites planétaires), sur fond d'enjeux existentiels et spirituels. Du côté de la réception, les lecteurs sont plutôt pétris de culture scientifique (ingénieurs et autres professions techniques). Ils trouvent dans ces ouvrages une réponse à des inquiétudes diffuses et une « ressource réflexive ». Leurs trajectoires peuvent les amener à déserter des emplois stables et bien rémunérés, et à s'engager dans des démarches de « résilience » et des changements de pratiques (trio récurrent low techs-permaculture-sob
Il y a trois ans, Constance et Jule habitaient une petite maison dans un ancien quartier ouvrier, près d’une entrée d’agglomération saturée d’enseignes commerciales. En décidant de partir construire leur propre habitation en terre et créer un lieu ouvert au public, ils ne soupçonnaient pas les trois années de démarches administratives qui allaient suivre.
Vous recyclez déjà le verre, le papier, l'aluminium et les déchets organiques ? L’urine humaine peut, elle aussi, être valorisée. Riche en nutriment, elle pourrait remplacer l’engrais chimique.
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Et si nous nous étions trompés de révolution ? Et si l’innovation n’était pas dans la tech mais dans notre capacité à nouer un autre type de relation avec la nature ? L’idée est nettement plus disruptive qu’il n’y parait
La Russie offre un exemple d’agriculture péri-urbaine collective à grande échelle. En plus de contribuer significativement à la production agricole du pays, ce « circuit parallèle » confère au système alimentaire russe plusieurs attributs importants de résilience, dont l’Histoire récente a permis d’attester l’efficacité.