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nucléaire civil pollution
Elles dénoncent une relance du nucléaire « à marche forcée ». Mardi 8 octobre, Greenpeace France, le réseau Sortir du nucléaire et le collectif Stop EPR ni à Penly ni ailleurs ont attaqué en justice le décret d’autorisation des travaux préparatoires pour la construction de deux EPR2 à la centrale de Penly (Seine-Maritime). Ils dénoncent notamment des irrégularités de l’avis de l’Autorité environnementale et une insuffisance de l’étude d’impact.
Treize ans après l'accident de Fukushima, des chercheurs ont capturé pour la première fois des images d’atomes de césium radioactif dans des échantillons environnementaux probablement issus d'un ou plusieurs réacteurs de la centrale de Fukushima Daiichi.
150 manifestants ont défilé le 14 avril à Vauville, dans la Manche, pour dénoncer la création de nouveaux bassins de stockage de déchets radioactifs à La Hague.
Des fûts de déchets radioactifs, témoins silencieux d'une pratique controversée, reposent au fond des océans. Cette gestion hasardeuse, longtemps privilégiée par les États nucléarisés, soulève aujourd'hui des inquiétudes majeures.
Depuis 1993, l’immersion de déchets radioactifs en mer est interdite. Mais que faire des déchets jetés auparavant dans les océans ?
1,76 million de mètres cubes de déchets radioactifs ont été recensés en 2023, un chiffre amené à croître. De nombreuses incertitudes persistent sur l’avenir de leur gestion.
Le désastre de Fukushima en mars 2011 a révélé la menace insidieuse de la pollution radioactive, un fléau qui s'étend bien au-delà de l'immédiateté de l'accident nucléaire. La dépollution des sols est un vrai défi.
La deuxième phase du rejet en mer des eaux traitées de la centrale japonaise accidentée de Fukushima a commencé jeudi 5 octobre, a annoncé son opérateur, alors que ce processus de long terme, entamé fin août, avait scandalisé la Chine. Le rejet a débuté jeudi à 10 h 18, heure japonaise (01 h 18 GMT), a précisé à l'AFP un porte-parole de l'opérateur Tepco.
Publié sur le site « nos voisins loitains« , association française pour témoigner des conséquences de la catastrophe de Fukushima sur la population. Celleux ci ont publié une vidéo technique sur les problématiques des rejets de tritium dans l’eau, en lutte contre la volonté de rejeter les eaux contaminé de la catastrophe de Fukushima dans la mer.
Le projet consistant à rejeter progressivement plus d'un million de tonnes d'eau traitée provenant de la centrale nucléaire endommagée de Fukushima a profondément divisé les nations et les scientifiques.
Le tribunal judiciaire de Valence a entendu jeudi le groupe Orano (ex-Areva) et plusieurs associations de défense de l'environnement, qui l'accusent de pollution chimique de la nappe phréatique sur le site d'une usine à Pierrelatte (Drôme), a-t-on appris auprès des intéressés.
Fermée en 2021 après plus de quarante ans d’exploitation, la Compagnie minière d’Akouta a entrepris des travaux pour restituer « un site sûr, sain et non polluant ».
Orano a obtenu une dérogation pour continuer à utiliser du halon 1301 dans son usine de retraitement des déchets nucléaires, à La Hague. Celui-ci est un important gaz à effet de serre. D’après les informations de Reporterre, la Commission européenne a accepté le 15 décembre 2020 une demande de dérogation émanant du ministère de la Transition écologique pour le compte d’Orano Le but : autoriser l’usine de retraitement de déchets nucléaires de La Hague (Manche), exploitée par l’entreprise, à continuer à (...)
Métaux, minéraux, mine verte.. 10 minutes avec Aurore Stéphant
Le récent sable légèrement radioactif qui s’est déposé en Europe a rappelé le lien entre le Sahara et les activités nucléaires françaises passées. On oublie trop souvent que l’atome repose sur des relations d'exploitation toxiques loin de la Métropole. L'énergie nucléaire est-elle la clé de l'indépendance énergétique ? Loin d'être une énergie propre là où elle produit électricité et déchets intraitables, elle génère des pollutions dans les pays où l’on extrait l'uranium
Entre 1950 et 1990, 200.000 fûts contenant des déchets radioactifs ont été jetés dans l'océan Atlantique, sans qu'aucune surveillance ne soit mise en place. Deux missions sont actuellement en préparation pour faire l'état des lieux sur une éventuelle pollution radioactive des fonds marins.
Parcours du minerai au combustible nucléaire, effets sur la santé, colonisation, pollutions... Dans leur Atlas de l’uranium — Faits et données relatifs à la matière première de l’ère atomique dévoilé mercredi 26 janvier, les fondations Nuclear Free Future, Rosa-Luxemburg-Stiftung et le réseau Sortir du nucléaire entendent tordre le cou aux idées reçues sur ce métal lourd qui alimente les réacteurs nucléaires.
Europe Ecologie-Les Verts (EELV) et Greenpeace y sont, en revanche, opposés et prônent un entreposage des combustibles usés, à sec, à côté de chaque centrale, sans retraitement, comme cela se fait à l’étranger.
Bordant l’océan Arctique, la mer de Kara en Russie renferme une vingtaine de sous-marins et réacteurs nucléaires de l’époque soviétique. Aujourd’hui, la Russie désire régler la situation, mais cette décharge nucléaire représente de plus en plus un risque pour les eaux arctiques.