Collapsologie

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La collapsologie est un courant de pensée transdisciplinaire apparu dans les années 2010 qui envisage les risques d’un effondrement de la civilisation industrielle et ses conséquences.

En France, l’étude d’un possible effondrement de la civilisation « thermo-industrielle » est initiée par l’Institut Momentum co-fondé par Yves Cochet et Agnès Sinaï. Ces derniers définissent l’effondrement comme « le processus irréversible à l’issue duquel les besoins de base (eau, alimentation, logement, habillement, énergie, etc.) ne sont plus fournis (à un coût raisonnable) à une majorité de la population par des services encadrés par la loi».

La collapsologie a été portée vers le grand public par Pablo Servigne et Raphaël Stevens dans leur essai, Comment tout peut s’effondrer. Petit manuel de collapsologie à l’usage des générations présentes publié en 2015.

Voici une sélection d’articles sur cette thématique:

2023

Le Comité d’enquête russe a confirmé ce dimanche 27 août que le patron des mercenaires de Wagner figurait bien parmi les victimes du crash d’avion survenu mercredi 23 août, se basant sur une expertise génétique des dépouilles.
Le chef du groupe paramilitaire russe − à l’origine d’une rébellion contre l’état-major en juin −, son adjoint et huit autres passagers étaient présents selon les autorités dans un petit avion privé qui s’est écrasé, mercredi, en Russie. Beaucoup d’interrogations subsistent.
Le porte-parole de la présidence russe a reconnu ce lundi 10 juillet une rencontre de «près de trois heures» à Moscou entre le chef de l’Etat et le patron de la milice Wagner, entré en rébellion il y a quinze jours.
Evguéni Prigojine, chef de Wagner, n'a pas réussi à aller jusqu'au bout de ses plans.
Le chef de Wagner a affirmé lundi 26 juin dans un premier message audio après la fin de sa rébellion que son but n’était pas de renverser le pouvoir russe mais de sauver son groupe paramilitaire menacé d’être absorbé par l’armée.
Après vingt-quatre heures de tension extrême, qui auront vu le groupe paramilitaire dirigé par Evgueni Prigojine occuper la ville de Rostov et s’approcher dangereusement de Moscou, un accord semble avoir été trouvé, ouvrant la voie à une désescalade.
La crise militaire déclenchée ce week-end en Russie par Evguéni Prigojine semble avoir pris le pouvoir russe par surprise. Pourtant, le chef du groupe de mercenaires Wagner était de plus en plus isolé dans le paysage politique russe et semble avoir voulu tenter le tout pour le tout. En vain ?
Le chef du groupe paramilitaire Wagner Evguéni Prigojine a affirmé samedi 24 juin être entré en Russie avec ses troupes dans le but de renverser le commandement militaire, se disant "prêt à mourir" avec ses 25 000 hommes pour "libérer le peuple russe".
Le patron de la société de mercenaires a affirmé, dans la nuit de vendredi à samedi, avoir franchi la frontière avec l’Ukraine, accompagné de 25 000 hommes, pour « libérer le peuple russe ». Des « activités antiterroristes » sont en cours à Moscou.
Vladimir Poutine a dénoncé dans une intervention télévisée la “trahison” et “l’insurrection armée” en promettant – sans les nommer – d’en châtier les responsables. Le patron des mercenaires Wagner lui a répondu qu’il se “trompait lourdement”.
Evguéni Prigojine, le patron de la milice Wagner, s’est graduellement imposé comme une figure incontournable de la guerre en Ukraine, capitalisant sur les difficultés de l’armée russe contre Kiev. Mais cette situation a généré de vives tensions avec l’"establishment" militaire russe jusqu’au point de rupture. Désormais en rébellion contre l’armée, l’ancien protégé de Vladimir Poutine a juré d'"aller jusqu'au bout".

2022

Le geste de Evgueni Prigojine fait suite à l’exécution d’un déserteur, abattu par deux coups de masse.