La collapsologie est un courant de pensée transdisciplinaire apparu dans les années 2010 qui envisage les risques d’un effondrement de la civilisation industrielle et ses conséquences.
En France, l’étude d’un possible effondrement de la civilisation « thermo-industrielle » est initiée par l’Institut Momentum co-fondé par Yves Cochet et Agnès Sinaï. Ces derniers définissent l’effondrement comme « le processus irréversible à l’issue duquel les besoins de base (eau, alimentation, logement, habillement, énergie, etc.) ne sont plus fournis (à un coût raisonnable) à une majorité de la population par des services encadrés par la loi».
De nouvelles recherches menées par les universités de Liège et d’Anvers montrent que la chaleur menace la biodiversité locale dans les campagnes belges.
Sous les coups de boutoir du réchauffement et la déforestation, l’Amazonie approche plus rapidement que prévu d’un "point de bascule" qui pourrait transformer en savane la plus grande forêt tropicale du monde, puits de carbone vital pour l’équilibre de la planète.
Le siège d’Écolo/Groen est occupé au lendemain de la manif pour le climat. Une coalition d’associations met ainsi la pression sur les verts pour qu’ils «joignent le geste à la parole». Dans leur viseur: centrales au gaz et aéroports, entre autres.
En 1972 sortait «The limits to growth», un ouvrage qui anticipait déjà à l’époque l’évolution de l’humanité si celle-ci ne changeait rien à son mode de vie. Les prévisions se sont avérées (presque) toutes justes jusqu’à présent. De quoi nous inquiéter, car les modèles décrits dans le livre prévoient l’effondrement de notre civilisation pour 2040!
Un réacteur nucléaire âgé de plus de 40 ans a été remis mercredi en service au Japon, une première pour un réacteur de cette tranche d’âge depuis l’introduction de nouvelles normes de sécurité après la catastrophe de Fukushima en 2011.