Collapsologie

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La collapsologie est un courant de pensée transdisciplinaire apparu dans les années 2010 qui envisage les risques d’un effondrement de la civilisation industrielle et ses conséquences.

En France, l’étude d’un possible effondrement de la civilisation « thermo-industrielle » est initiée par l’Institut Momentum co-fondé par Yves Cochet et Agnès Sinaï. Ces derniers définissent l’effondrement comme « le processus irréversible à l’issue duquel les besoins de base (eau, alimentation, logement, habillement, énergie, etc.) ne sont plus fournis (à un coût raisonnable) à une majorité de la population par des services encadrés par la loi».

La collapsologie a été portée vers le grand public par Pablo Servigne et Raphaël Stevens dans leur essai, Comment tout peut s’effondrer. Petit manuel de collapsologie à l’usage des générations présentes publié en 2015.

Voici une sélection d’articles sur cette thématique:

2023

Le cardinal secrétaire d’État, Pietro Parolin, lors de la deuxième journée du sommet des chefs d’État sur le climat, est venu à la tribune de la COP28 livrer le message de François. Une démonstration charpentée, alliant protection de la Création et science, pour inciter des prises de décisions en faveur du développement des énergies renouvelables, soutenant l’éducation à des modes de vie soutenables et l’élimination des énergies fossiles.
Dans les deux pays africains qu'il a récemment visités, le Pape a partagé avec les jésuites locaux ses principales préoccupations la dérive guerrière du monde, et la nécessité d’une approche synodale pour la sauvegarde de l'environnement.

2022

Dans un message signé le 20 août par Mgr Angelo Massafra, responsable de la section Sauvegarde de la Création, le Conseil des Conférences épiscopales d'Europe (CCEE) relance l'urgence d'une conversion des habitudes et des attitudes pour enrayer le désastre auquel la planète est confrontée en termes de pollution, d'incendies et de guerres.
Les feux de forêt ravagent désormais chaque année environ trois millions d'hectares de plus qu'en 2001, soit une superficie équivalente à celle de la Belgique. L'étude, en date du 17 août, combine des données satellitaires du Global Forest Watch (GFW), du World Resources Institute (WRI) et de l'université du Maryland aux États-Unis.