Collapsologie

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La collapsologie est un courant de pensée transdisciplinaire apparu dans les années 2010 qui envisage les risques d’un effondrement de la civilisation industrielle et ses conséquences.

En France, l’étude d’un possible effondrement de la civilisation « thermo-industrielle » est initiée par l’Institut Momentum co-fondé par Yves Cochet et Agnès Sinaï. Ces derniers définissent l’effondrement comme « le processus irréversible à l’issue duquel les besoins de base (eau, alimentation, logement, habillement, énergie, etc.) ne sont plus fournis (à un coût raisonnable) à une majorité de la population par des services encadrés par la loi».

La collapsologie a été portée vers le grand public par Pablo Servigne et Raphaël Stevens dans leur essai, Comment tout peut s’effondrer. Petit manuel de collapsologie à l’usage des générations présentes publié en 2015.

Voici une sélection d’articles sur cette thématique:

2023

Ce matin, huit organisations climat ont fermé symboliquemnt le ministère de la Transition écologique et l’ont renommé « ministère de la trahison écologique ». Ce sont 193 militant·es d’ANV-COP21, Alternatiba Paris, Dernière rénovation, Extinction Rebellion Île-de-France, Greenpeace France, Les Amis de la terre, Réseau Sortir du nucléaire et 350.org qui sont venu·es dénoncer à l’unisson la politique énergétique du gouvernement qui va à contre-sens de l’urgence climatique et sociale. Nous avons construit un mur de parpaings devant l’entrée du ministère, déployé des banderoles sur la façade et dans les arbres, et occupé les lieux pour faire passer ce message. Cette action non-violente fait suite à notre tribune diffusée dans Reporterre « Nous, le mouvement climat, demandons la fin du sabotage climatique »

2020

En 2019, la circulation routière en France métropolitaine se stabilise et atteint 623 milliards de véhicules-kilomètres. Les voitures et les véhicules utilitaires légers français et étrangers réalisent 92 % du trafic. En 2019, 28,5 % de la circulation des voitures a été réalisée par des véhicules essence (23,6 % en 2016) et 70,6 % par des véhicules diesel (75,8 % en 2016). Les autres motorisations (GPL, électriques, hybrides rechargeables) représentent moins de 1 % du trafic des voitures immatriculées en France en 2019. Une voiture immatriculée en France métropolitaine a roulé en moyenne 12 200 km dans l’année et un véhicule utilitaire léger 14 700 km. Les véhicules lourds immatriculés en France roulent beaucoup plus : 44 400 km pour un poids lourd et 34 300 pour un bus ou car. Avec 3 millions d’immatriculations en 2019, le marché des véhicules neufs croît de 3,2 % sur un an, après + 2,1 % en 2018. Les livraisons de supercarburant sont en hausse (+ 7,3 % en 2019 après + 3,8 % en 2018) et celles de gazole recu
Le rapport fait suite à un mission confiée le 20 septembre 2019 par la secrétaire d'État à la transition écologique et solidaire, sur le modèle publicitaire français afin d'en évaluer ses impacts économiques, sociaux et environnementaux. Le rapport revient notamment sur le rôle de la publicité, son impact sur le climat et la biodiversité, le rôle économique du secteur publicitaire, la régulation de la publicité à l'internationale et sa prise en compte de la transition écologique...