Cyrus Farhangi

OA - Liste

2024

La Belgique était le premier État membre de l'Union européenne à se faire évaluer par le Centre européen de prévention et de contrôle des maladies (ECDC) quant à son niveau de préparation et de réponses aux crises sanitaires.
Le conflit qui a éclaté en avril 2023 entre l’armée et les paramilitaires des Forces de soutien rapide a fait des dizaines de milliers de morts et provoqué le déplacement de plus de neuf millions de personnes, selon l’ONU.
Changement climatique, épuisement des ressources, armes extrêmes, IA, etc. : Richard Heinberg se penche sur les différentes menaces qui composent la convergence sans précédent des risques qui nous conduisent à une polycrise mondiale. Sans trouver de réponses faciles, il en vient à la conclusion que la survie collective de l’humanité exigera que nous mettions de côté notre orgueil et que nous nous accommodions des limites environnementales et sociales.
Confrontés à de multiples crises, les gouvernements peuvent s’appuyer de 5 façons sur les preuves scientifiques afin de leur faire face.
Global Report on Food Crises (GRFC) 2024
Selon une étude sur les risques économiques que fait peser la crise climatique, les canicules pourraient provoquer des dommages allant jusqu’à 25 000 milliards de dollars par an d’ici à 2060. Aucun pays ne sera épargné par les vagues de chaleur extrême, au moins indirectement, par le biais de la rupture des chaînes d’approvisionnement.
Concerne : Un événement à huis clos réunissant industriels de la chimie et autres acteurs industriels fortement énergivores (ciment, acier, métallurgie…) d’une part et dirigeants politiques de haut niveau d’autre part, au sein même de l’usine chimique de BASF à Anvers, plus gros site de production chimique du pays. Lettre co-signée par de nombreuses ONG belges et européennes (liste non exhaustive au bas de la lettre).
Multiplication des guerres, réchauffement climatique, essor des régimes autoritaires : le monde court au désastre, mais il nous faut résister à la haine, estime, dans une tribune au « Monde », le sociologue et philosophe.
S’il y a bien un pays où les enjeux climatiques et énergétiques n’ont rien de manichéen, c’est bien la Norvège. Élève exemplaire sur le plan de la production d’électricité durable, c’est sur l’exploitation toujours plus poussée de ses ressources pétrolières et gazières que le pays nordique se déchire.
Du fait des guerres et des catastrophes climatiques, 130 millions de personnes ont besoin d’assistance sur le continent. En 2023, seulement un tiers des besoins ont été couverts par l’aide internationale.

2023

L'OCDE a émis une liste de recommandations en cas de nouvelles crises sanitaires en Belgique.
With the help of the contingency concept, the article explores the reasons behind these surprises by introducing a new category of threats that complements the ones in the existing literature on surprise. It adds the concept of ‘known—corporally unknown’ threats to the list of known-unknowns, unknown-unknowns as a way to emsphasize the difference between abstract knowledge of ‘facts and figures’ (of e.g., global warming) and the acquiring of knowledge through personal, bodily experience (tangere) (of flooding and draughts). T
Les jeunes, parce qu’ils cumulent les précarités, sont surexposés aux débâcles contemporaines. Ils demeurent pourtant très peu écoutés. Une conférence au Mucem se tient sur le sujet lundi 20 novembre.
Odile Bury Reprise d’un post FaceBook parut le 16 octobre 2023 : En ces temps de crises environnementales et climatiques et avec le sentiment d’urgence grandissant qui est le mien, je suis dans l’incapacité de poursuivre mon mandat d’Echevine de manière acceptable. Alors que, comme tous les niveaux de pouvoir, nous sommes appelés dans notre commune à mettre en place un plan climat*, chaque semaine m’amène à participer à des décisions qui augmentent notre empreinte écologique et la quantité de gaz à effet de serre que nous rejetons dans l’atmosphère plutôt que les diminuer.
Les Nations unies ont annoncé, mercredi, que plus de 114 millions de personnes sont actuellement déplacées de force dans le monde. Un nombre record qu'on doit aux multiples conflits, aux crises humanitaires ou aux épisodes de sécheresse.
En état de cierge. En 2023, les indicateurs utilisés pour mesurer les crises écologiques s’affolent et l’humanité n’en fait toujours pas assez pour combattre le réchauffement climatique, alerte un groupe de scientifiques.
We beginnen de sociale en ecologische crises steeds meer te voelen, en dus valt “degrowth” of ‘ontgroei’ niet langer weg te denken uit het debat. Maar helaas circuleren er hardnekkige misverstanden over die ontgroei. Hoog tijd om die definitief uit de wereld te helpen, vindt econoom Jonas Van der Slycken.
Les dirigeant·e·s mondiaux participant au sommet du G20 à New Delhi, qui s’ouvre samedi 9 septembre, doivent considérablement accroître l’aide internationale et alléger la dette des États vulnérables afin d’aider à la mise en œuvre de la justice climatique, requise de toute urgence, et de prévenir un échec potentiellement catastrophique sur le terrain de la protection des droits humains, a déclaré Amnesty International vendredi 8 septembre.
Comme l'a expliqué Mme Von der Leyen, les États membres de l'UE devront faire des contributions complémentaires au budget de l'UE, à hauteur de 66 milliards d'euros au total. il se retrouve aujourd’hui pratiquement sans financement, en raison de l’aide « somptueuse » accordée à l’Ukraine. La Commission ne dispose plus que de tout juste 82,5 milliards d’euros. Des clopinettes ! Le programme vert devrait donc disparaître de la scène politique.
Nous vivons dans un monde confronté à des menaces existentielles alors que les inégalités extrêmes déchirent nos sociétés et que la démocratie est en net recul. Les États-Unis, quant à eux, s'achar…
La Belgique compte plus de 19 000 coopératives qui emploient 100 000 personnes.
Ukraine, Covid-19, feux de forêts, contexte de défiance… : comment faire face à des crises qui se multiplient et s’amplifient ? Comment les prévenir, les gérer et surtout s’y préparer ? Pour y répondre, éclairer et orienter nos actions, nous publions avec le Crédoc le tout premier rapport sur la résilience de la société française. Une référence pour agir collectivement !
Ces institutions, dont l’intervention reste précieuse en cas de choc économique, sont aujourd’hui appelées à adopter une vision plus proactive que réactive.
Le changement sera radical ou la justice climatique ne sera pas.
Les orages déclenchent un gonflement et une fragmentation des pollens, qui pénètrent plus facilement et plus loin dans les voies respiratoires
Le rapport du groupe d'experts intergouvernemental des Nations unies sur l'évolution du climat démontre en quoi le capitalisme est responsable de la crise climatique. Le groupe d’experts intergouvernemental des Nations unies sur l’évolution du climat (GIEC) a publié un nouveau rapport sur le climat, ce dernier met à jour et synthétise les conclusions de tous les rapports antérieurs et de la sixième évaluation du GIEC. Il appelle à une action immédiate pour freiner le réchauffement climatique et garantir un avenir vivable pour tous. Dans cet entretien exclusif pour Truthout, Noam Chomsky et Robert Pollin apportent un éclairage remarquable sur les implications du nouveau rapport du GIEC et sur les mesures à prendre, tant sur le plan politique que financier, qui découlent de ses conclusions.
La production pétrolière américaine est sur le point d’atteindre son maximum, mais le monde n’est pas préparé aux conséquences économiques et politiques considérables qui en résulteront. La seule voie possible est celle de la transformation énergétique et économique.
Un rapport de référence appelle à une révision de la gestion mondiale des ressources en eau et de son gaspillage. Source : The Guardian, Fiona HarveyTraduit par les lecteurs du site Les-Crises Le m…
Pools and well-watered gardens at least as damaging as climate emergency or population growth
Le réalisateur François Ruffin est devenu l’un des principaux critiques de la destruction du modèle social français. Aujourd’hui député, il explique à Jacobin comment la gauche peut redécouvrir sa raison d’être – et rallier à nouveau le mécontentement de la France rurale et périphérique.
La pandémie de Covid-19 aura été marquée par de fortes interactions entre des crises de nature différente (écologique, sanitaire, socio‑économique, politique, voire morale). De quoi déstabiliser durablement nos sociétés. Et si ce type de crise, caractérisée par l'importance des interdépendances (technologiques, démographiques, territoriales, etc.) devenait la nouvelle norme dans le futur ?
Cauchemars, difficulté à se projeter dans le futur, angoisses, etc. Les émotions négatives liées aux problèmes écologiques présents ou futurs touchent de nombreuses personnes. En Bourgogne-Franche-Comté, certaines nous livrent...
La Commission européenne a annoncé un vaste plan d'aide au développement des technologies propres, une riposte directe aux mesures protectionnistes de l'Inflation reduction act américain. Ces dispositifs marquent un changement radical dans l'approche des relations commerciales internationales. Les crises à répétition et le dérèglement des chaînes d'approvisionnement mondiales poussent les États à tenter d'assurer leur souveraineté économique, quitte à s'affranchir des règles du libre-échange.
La guerre en Ukraine, la pandémie de Covid, l’inflation et le dérèglement climatique... Ces chocs qui se combinent pour former une polycrise dévastatrice ne sont pas une fatalité. Il est encore temps de renverser la situation en créant un consortium scientifique mondial pour bâtir une vision plus holistique, avancent ces deux scientifiques reconnus dans les colonnes du “New York Times”.
Les crises ne font pas que se multiplier, elles sont aussi plus interreliées que jamais.
L’essayiste Nouriel Roubini l’affirme : la confluence de problèmes, anciens et nouveaux, va provoquer une grave crise mondiale. Celui qui a été surnommé “Dr Catastrophe” après qu’il a anticipé la crise des subprimes, décrit pour “Project Syndicate” un présent proche où les crises vont s’accumuler, s’agglomérer et se démultiplier jusqu’à former un épais nuage d’instabilités mondiales qu’il nomme “mégacrises”. Bienvenue dans l’ère des menaces globales.
Lorsque la Russie a assumé la présidence tournante du Conseil de l’Arctique en 2021, Moscou a présenté une proposition ambitieuse à cet organisme de huit pays soucieux de l’environnement. Au cours des 14 prochaines années, elle fera remonter des profondeurs de l’Arctique un ensemble toxique de déchets nucléaires rouillés – y compris deux sous-marins nucléaires entiers – qui ont été coulés pendant l’ère soviétique.

2022

De plus en plus de scientifiques appellent à aborder ensemble les deux questions, le réchauffement aggravant la destruction des écosystèmes – et vice-versa.
Passage à viande. Au lendemain de la journée mondiale du végétarisme, et si on levait le pied sur la bidoche pour préserver le climat, la biodiversité, et notre propre santé ? Et par où commencer ?
Alors que le monde est confronté à des « crises multiples », la directrice de l’Organisation mondiale du commerce, Ngozi Okonjo-Iweala, prédit « une récession mondiale ».
A mesure que le réchauffement se renforcera, les conséquences sur les ressources hydriques d’un modèle agricole dopé aux intrants de synthèse deviendront de plus en plus sévères, prévient Stéphane Foucart, journaliste au « Monde », dans sa chronique.
Cet article analyse la décroissance, un projet de transformation socio-écologique radicale qui appelle à décoloniser l’imaginaire social par rapport à la quête d’une croissance sans fin par le capitalisme. La décroissance est une réincarnation moderne de l’environnementalisme radical des années 1970 et s’inscrit dans le cadre de débats très pertinents en géographie. Cet article s’inspire du monde imaginaire d’Ursula Le Guin pour promouvoir la théorie de la décroissance et répondre aux critiques qui voudraient que la décroissance offre un imaginaire peu attrayant, rétrograde, malthusien et politiquement simpliste. Nous soutenons au contraire que la décroissance est délibérément subversive ; elle fait entrer le passé dans le futur et dans la construction du présent ; elle défend de manière originale les limites sans nier que la pénurie est un phénomène social ; et elle fait du conflit son élément constitutif. Nous parlons ici de la politique d’échelle du mouvement naissant de la décroissance, que nous trouvons
"Fractures", monde "paralysé", besoin de "solidarité": les dirigeants qui se sont succédé mardi à la tribune de l'Assemblée générale de l'ONU ont mis en garde contre les divisions dangereuses d'un monde qui subit déjà un amoncellement de crises, de la guerre en Ukraine au réchauffement. "La crise du pouvoir d'achat se déchaîne, la confiance s'effrite, les inégalités explosent, notre planète brûle" et malgré tout, "nous sommes bloqués par un dysfonctionnement mondial colossal", a déploré le secrétaire général de l'ONU Antonio Guterres en ouvrant cette semaine de haut niveau de l'Assemblée générale, qui a repris en personne après deux années marquées par le Covid-19. "Ces crises menacent l'avenir même de l'humanité et le destin de la planète", a-t-il estimé. "Ne nous berçons pas d'illusion (...) Un hiver de grogne mondiale se profile à l'horizon."
De menselijke ontwikkeling wordt teruggedraaid omdat ‘de wereld van crisis naar crisis slingert’. Dat blijkt uit het recentste Human Development Report van de Verenigde Naties. Miljoenen mensen dreigen steeds verder achterop te raken – en dat werkt extremisme en geweld in de hand.
Des responsables américains et européens ont récemment proposé de cibler le bétail et l’agriculture en Asie et en Afrique pour réduire les émissions de méthane. La production de pétrole et de gaz aux États-Unis est à l’origine d’un volume bien plus important d’émissions, mais pour les réduire, il faut s’attaquer aux entreprises de combustibles fossiles.
La sècheresse atteint une intensité inédite en France cette année. Un phénomène qui, amplifié par le réchauffement climatique, est devenu une menace supplémentaire à l'échelle mondiale, avec pour conséquence de faire de l'eau une ressource rare devenue plus que jamais vitale. Par Charaf Louhmadi, ingénieur-économètre chez Natixis, et Mariem Brahim, enseignante-chercheuse à Brest Business School.
De grandes puissances régionales comme l’Inde, le Brésil, la Russie ou l’Arabie saoudite pourraient faire face à des crises "en cascade" dues aux impacts du changement climatique, selon un cabinet d’analyse de risques.
Les grands argentiers du G20 réunis vendredi en Indonésie pour discuter de l'impact de la guerre en Ukraine sur l'économie mondiale, ont été enjoints de s'unir et d'agir face aux crises alimentaire et énergétique dont les conséquences pourraient être "catastrophiques".
Le secteur financier comme les institutions internationales se préparent à une recrudescence sans précédent des troubles sociaux aux quatre coins du monde. La flambée des prix de l’énergie et des denrées alimentaires fait grimper le coût de la vie à des niveaux astronomiques.
Le secteur du gaz naturel liquéfié (GNL) « continue de s'adapter à la demande croissante avec une agilité incroyable », souligne l’Union internationale du gaz (IGU) dans son rapport annuel sur la place du GNL dans le monde publié ce 6 juillet(1).
La 2e source d'électricité bas carbone après l'hydroélectricité À l’heure actuelle, le nucléaire est encore la 2e source d’électricité bas carbone dans le monde (9,8% de la production mondiale d’électricité en 2021 selon les dernières données du BP Statistical Review of World Energy), derrière l’hydroélectricité (15%) et devant l’éolien (6,5%). Mais très loin du charbon (36% du mix électrique mondial).
A l’occasion de la 11ème édition du Forum Urbain Mondial (FUM) qui se tient du 26 au 30 juin 2022 à Katowice en Pologne sur le thème « Transformer nos villes pour un meilleur futur urbain », le Comité français de l’UICN présente ses recommandations pour des villes durables dans la publication « Villes et Biodiversité ».
Un rapport des Nations Unies qui fera date en arrive à la conclusion que « l’effondrement de la planète » est de plus en plus probable. Mais le rapport a-t-il été édulcoré avant d’être publié ?
Les dix crises "les plus négligées" de déplacement de populations se situent pour la première fois toutes en Afrique, affirme le Conseil norvégien pour les réfugiés (NRC) dans un rapport mercredi, s'inquiétant des conséquences de la guerre en Ukraine sur le continent.
La pandémie, la guerre en Ukraine, ou encore la crise alimentaire qui se profile font planer sur l'Europe des menaces durables de tensions et soubresauts politiques, affaiblissement industriel, vague migratoire, autant de défis pour ses dirigeants.
Le 7 avril 2022, l'équipe du projet « Stratégies de résilience des territoires » présentait sa nouvelle publication intermédiaire : « Climat, crises : comment transformer nos territoires ? »
L'interaction dangereuse des crises environnementales et sécuritaires représente un risque complexe pour la paix mondiale et annonce une nouvelle ère de risques imprévisibles auxquels nos décideurs ne sont pas suffisamment préparés.
L’invasion de l’Ukraine nous a mis face à une conséquence dérangeante de nos modes de vie : notre dépendance aux combustibles fossiles importés. Mais, en réalité, cela fait longtemps que les crises écologiques, économiques et sociales auraient dû nous inciter à questionner notre consommation.
À l’occasion du 50e anniversaire du « rapport Meadows », le professeur émérite à l’université du New Hampshire, aujourd’hui âgé de 79 ans, nous livre sa vision lucide de l’état du monde, actuel et à venir.
Entre les dettes gonflées par les crises, la remontée des taux d'intérêt, l'inflation galopante et la croissance en berne, l'inquiétude sur de potentiels défauts comme au Sri Lanka grandit parmi les pays fragiles.
Les consommateurs américains ont du mal à trouver plusieurs produits actuellement, mais la pénurie la plus grave touche le lait infantile en poudre. Une situation qui affecte les plus fragiles et qui est due à une multitude de facteurs, liés aussi bien à la pandémie qu’à l’inflation, et à un scandale sanitaire.
Selon l’économiste Robert Pollin, la nationalisation n’est pas une panacée, mais elle permettrait d’éliminer les obstacles que les grandes compagnies pétrolières mettent en travers de la voie du financement public des investissements dans les énergies propres.
L’insécurité alimentaire est en hausse « alarmante » dans le monde, selon un rapport publié le 4 mai par le Réseau mondial contre les crises alimentaires (GNAFC), mis en place par l’Union européenne, l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) et le Programme alimentaire mondial (PAM).
Previous studies show that city metrics having to do with growth, productivity and overall energy consumption scale superlinearly, attributing this to the social nature of cities. Superlinear scaling results in crises called ‘singularities’, where population and energy demand tend to infinity in a finite amount of time, which must be avoided by ever more frequent ‘resets’ or innovations that postpone the system's collapse. Here, we place the emergence of cities and planetary civilizations in the context of major evolutionary transitions. With this perspective, we hypothesize that once a planetary civilization transitions into a state that can be described as one virtually connected global city, it will face an ‘asymptotic burnout’, an ultimate crisis where the singularity-interval time scale becomes smaller than the time scale of innovation. If a civilization develops the capability to understand its own trajectory, it will have a window of time to affect a fundamental change to prioritize long-term homeosta
Avant même la guerre en Ukraine, l'insécurité alimentaire aiguë a frappé près de 40 millions de personnes supplémentaires en 2021, pour atteindre près de 200 millions, en raison des conflits et des crises climatiques et économiques, prévient l'ONU mercredi dans son rapport sur les crises alimentaires.
En amplifiant les risques et les menaces, le changement climatique va exacerber des tensions susceptibles de déboucher sur des crises ouvertes voire des conflits. Ce phénomène affecte déjà le contexte stratégique international et, par-là, les conditions dans lesquelles les forces armées françaises exercent leurs missions ainsi que les capacités dont elles doivent disposer.
Pendant huit ans, Damy Idowu s'est démené pour garder ouvert son petit salon de coiffure situé dans un quartier commercial de Lagos en dépit de l'inflation galopante au Nigeria, de deux récessions et de la pandémie de coronavirus. Mais, la semaine dernière, l'entrepreneur a dû se résoudre à fermer boutique, comme beaucoup d'autres au Nigeria - le géant africain faisant face à l'une de ses pires crises énergétiques de ces dernières années.
Capitalism isn’t what it used to be. Since 2008, critics of the world’s dominant economic system have been lamenting its imperviousness to change. And for good reason. In earlier epochs, financial crises and pandemics wrought economic transformation. In our own, they seem to have yielded more of the same. Before the 2008 crash, global capitalism was characterized by organized labor’s weakness, rising inequality within nations, and a growth model that offset mediocre wage gains with asset-price appreciation. All of these have remained features of the world’s economic order.
Selon le dernier décompte de l'ONU, publié jeudi, plus de 2,3 millions de réfugiés ont fui les combats en Ukraine. Spécialiste de l'histoire de l'exil, l'historienne Delphine Diaz revient pour France 24 sur les autres crises qui ont jalonné l'Europe depuis le XIX° siècle.
Le conflit en Ukraine aura provoqué une forte hausse pour au moins un actif : le baril de pétrole, dont le prix a augmenté de 25% environ en une semaine. C’est un signe de plus d’un changement profond dans le système. Le pétrole est un point faible du Système car il a des effets multiplicateurs dans toutes les crises. Il y a dans le monde deux sous-jacents de l’interconnexion : le dollar et le pétrole. Les apprentis sorciers peuvent créer des signes à volonté, c’est-à-dire de la monnaie, mais ils ne peuvent pas créer du réel, c’est-à-dire du pétrole ! Le pétrole, c’est le point de réconciliation entre les deux sphères, la financière et la réelle, c’est là où la courroie rencontre la roue qui fait tourner le monde.
L'UE doit se préparer à une crise humanitaire "de proportions historiques" en Ukraine, qui pourrait aboutir à "plus de 7 millions" de personnes déplacées à l'intérieur du pays, a indiqué dimanche le commissaire européen chargé de la gestion des crises.
Test achat demande l'organisation urgente d'une table ronde par les ministres du fédéral et régionaux de l'énergie avec les différents acteurs du secteur de l'énergie, indique vendredi Test Achats. Cette demande fait suite à l'annonce de la cessation d'activité du fournisseur d'énergie Aeco sur l'ensemble du territoire belge. L'organisation de consommateurs souhaite réunir fournisseurs, régulateurs fédéral et régionaux, gestionnaires de réseau et de distribution, et représentants des consommateurs pour discuter de solutions structurelles permettant de faire face à cette crise énergétique, mais également aux prochaines crises auxquelles notre pays ne manquera pas d'être confronté, selon elle.
Dans une lettre ouverte publiée au cœur du sommet virtuel de Davos, dominé par les entreprises, 102 riches particuliers – dont des personnalités aussi éminentes que l’héritière Disney, Abigail Disney, et le spécialiste du capital-risque Nick Hanauer – avertissent que « l’histoire donne une image assez sombre de ce à quoi ressemble la fin de partie des sociétés extrêmement inégales. » « Pour notre bien-être à tous, riches et pauvres, il est temps de faire face aux inégalités et de choisir de taxer les riches », peut-on lire dans la lettre. « Montrez aux peuples du monde que vous méritez leur confiance. »
Les politiques qui décident des Plans de relance ont-ils une réflexion philosophique sur les raisons profondes des crises sanitaire et climatique ? Et si à la racine, on trouvait l'espèce humaine qui a cessé d'octroyer une âme à chaque élément de la nature ? Nous sommes de la nature, pas à côté d'elle. Et si la cause de ces crises résidait dans notre atrophie spirituelle ? L'auteur nous propose de redevenir des animistes 2.0 et de concevoir une économie féminine, consciente et animiste.
Tandis que le climat se réchauffe à un rythme sans précédent, la biodiversité s’appauvrit plus rapidement que jamais dans l’histoire de l’humanité. Et ce déclin menace nos conditions de vie. Pourtant, on n’en parle si peu. Comme si la “nature” nous était extérieure. Alors que la biodiversité, c’est le tissu vivant de notre planète, l’humain en fait évidemment partie.
La question que nous nous sommes posée peut se résumer ainsi: que faut-il faire pour mettre l’éco- nomie française en cohérence avec une baisse des émissions planétaires de 5 % par an, compatible avec nos engagements climatiques, tout en permettant à chacun(e) de trouver un emploi?C’est ce plan de marche visant la décarbonation effective de nos activités que nous avons essayé de construire.
Les croyances, les catégories de jugement et les manières de penser le monde et l’humain qui ont fondé et inspiré les sociétés thermo-industrielles se sont effondrées. Nos malheurs actuels – pandémie, crise climatique, crises sociales et psychiques –, attestent tels des symptômes de notre impréparation culturelle, sociale et civilisationnelle. Notre sol s’est dérobé, nos fondations s’effondrent, comment alors penser l’avenir ?
Depuis quelques années, aucun discours sur notre société n’échappe au « langage de la crise ». Comme si la crise s’était mue en nouvelle normalité. Migrations, pandémies, démocratie, capitalisme, écologie, police, genres, questions ethno-raciales, laïcité, etc… Les outils de lecture sont devenus obsolètes et il est devenu de plus en plus difficile d’y voir clair. Aucun thème n’est épargné par la confusion.
La stratégie «de la ferme à la table» comprend l’élaboration d’un plan d’urgence visant à garantir l’approvisionnement et la sécurité alimentaires de l’UE en cas de crises futures. S’appuyant sur les enseignements tirés de la pandémie de COVID-19 et d’autres événements récents, la Commission prévoit d’élaborer un ensemble de procédures à suivre en temps de crise. Il s’agit notamment de mettre en place un mécanisme européen de réaction aux crises afin de se préparer et de réagir efficacement aux situations critiques susceptibles de menacer la sécurité alimentaire de l’UE.

2021

L'ONU s'est dite mercredi "contrainte" de réduire l'aide alimentaire au Yémen faute de fonds nécessaires, mettant en garde contre une augmentation de la faim dans ce pays en guerre, ravagé par l'une des pires crises humanitaires au monde.
Le Fonds des Nations unies pour l’Enfance célèbre ce samedi son 75e anniversaire dans un contexte de crises mondiales. À la pandémie de Covid-19, s’ajoute la crise climatique. Un double choc qui contribue à creuser les inégalités et augmenter la pauvreté des enfants, alors que le temps presse pour atteindre, d’ici 2030, les objectifs de développement durable fixés par l’Onu.
Les marchés de capitaux semblent enfin intégrer l’idée que les investissements à forte empreinte carbone devraient s’accompagner d’une importante prime de risque. Certes encore insuffisants et à la portée partielle, ces efforts doivent être salués comme le signe que les flux financiers commencent aujourd’hui à s’aligner avec les objectifs de l’Accord climatique de Paris 2015
L’eau c’est la vie. C’est la « ressource » sur laquelle notre civilisation entière repose. Et à force de la gaspiller et d’en altérer le cycle, l’eau est devenue un enjeu majeur de notre époque. Qu’est-ce qui se passe le jour ou l’eau ne coule plus ? Le jour ou les réserves sont à sec ? Qu’est-ce qui se passe quand au contraire il se met à tomber des trombes d’eau du ciel? Le problème est déjà très concret dans beaucoup d’endroits en fait, et il est généralement mal compris, mal géré et mal anticipé.
L’eau c’est la vie. C’est la « ressource » sur laquelle notre civilisation entière repose. Et à force de la gaspiller et d’en altérer le cycle, l’eau est devenue un enjeu majeur de notre époque. Qu’est-ce qui se passe le jour ou l’eau ne coule plus ? Le jour ou les réserves sont à sec ?
Covid, inondations, énergie… Les crises sont multiples et touchent particulièrement les personnes vulnérables. Christine Mahy, secrétaire générale du Réseau wallon de lutte contre la pauvreté, invitée de Matin Première, fait le point.
Ce débat dépasse largement la problématique de l'obligation vaccinale, et risque de se poser fréquemment à l'avenir. Il est donc crucial de ne pas l'esquiver en le réduisant à sa dimension technique, scientifique ou juridique, comme c'est le cas actuellement dans les médias. Les crises sanitaires et environnementales rendent indispensable une rupture du mode de gouvernance
Cela pourrait compromettre les énergies renouvelables, avertissent des scientifiques du gouvernement français
"Tenir le cap de la transition écologique", pour un territoire, c’est être capable à la fois de "s’adapter aux chocs et aux épreuves liés au dérèglement climatique" et de "surmonter les crises, les tensions liées à la transformation elle-même". Dans un épais rapport, le Shift Project donne aux collectivités des clés pour agir en faveur de la "résilience" dont vont devoir faire preuve les territoires face aux "risques en cascade" liés au changement climatique, à l’érosion de la biodiversité et à l’épuisement des ressources. Décryptage de l’étude avec Laurent Delcayrou, chef de projet sur la résilience des territoires au sein du think tank.
Pour limiter de futures crises de hausse des prix, réduire notre consommation d’énergie et notre dépendance aux énergies fossiles est essentiel, selon Neil Makaroff, du Réseau Action Climat.
Portée par Sandrine Rousseau à l’occasion de la primaire écologiste, la notion de radicalité suscite la controverse. Loin d’être déraisonnable, elle est la seule attitude qui permet de se confronter aux crises écologiques selon Vincent Liegey, ingénieur engagé et auteur de plusieurs livres sur la décroissance (1).
Cinq jours de discussions, d’échanges d’idées et de pratiques visant à défaire et refaire le monde ; à repenser des modes de vie, surtout, qui soient compatibles avec les crises climatique et écologique auxquelles nos sociétés sont désormais durablement confrontées. Mise sur pied grâce à l’implication de nombreux bénévoles, la quatrième édition du festival “Maintenant !” s’est clôturée ce dimanche sur la Grand-Place de Louvain-la-Neuve.
La décroissance fait l’objet d’un très grand nombre de définitions dans la littérature économique, toutes centrées sur l’idée d’une réduction de la production et de la consommation pour répondre aux grandes crises environnementales actuelles et à venir. Parmi ces définitions, celle apportée par l’anthropologue Jason Hickel est particulièrement intéressante puisqu’elle introduit l’idée d’une organisation de cette réduction, intégrant le lien étroit entre environnement et inégalités : «La décroissance est une réduction planifiée de l’utilisation de l’énergie et des ressources visant à rétablir l’équilibre entre l’économie et le monde du vivant, de manière à réduire les inégalités et à améliorer le bien-être de l’Homme».
Le changement climatique trouble aussi la santé mentale, surtout chez la jeune génération. Mais à quel point ? Neuf chercheurs en psychologie issus d’universités britanniques, américaines et finlandaise se sont penchés sur la question. Ils publient ce mardi dans le journal scientifique The Lancet Planetary Health l’étude la plus large jamais réalisée sur ce nouveau mal qu’est l’écoanxiété, la détresse liée aux crises climatiques et écologiques.
Damas s'est dit "prêt" à aider Beyrouth pour ses approvisionnements en énergie, avec l'aval des États-Unis, qui passeront outre leurs sanctions contre la Syrie. Le Liban traverse l'une des pires crises économiques au monde et connaît de graves pénuries de carburant et des coupures d'électricité.
La plus grande organisation de protection de la nature, l’UICN, a lancé vendredi son congrès mondial sur des appels à s’attaquer de front aux crises « jumelles » de la biodiversité et du changement climatique.
Lorsque Papin puis Watt ont mis la machine à vapeur à disposition de l’humanité, l’atmosphère comportait 280 millilitres de CO2 par mètre cube d’air, soit 0,028% en volume, ou encore 280 ppm.
Le Liban traverse depuis fin octobre 2019 une crise sans nom. Il s’agit de l’une des pires crises économiques au monde depuis 1850, d’après la Banque Mondiale et connaît d’importantes pénuries de carburants qui affectent l’approvisionnement en biens de première nécessité. Outre le secteur de l’alimentation, le secteur médical et hospitalier tirent la sonnette d’alarme.
Oublier "l’effet beurk" et recycler davantage les eaux usées, traitées, pour affronter la pénurie : cela fera partie de la solution en de nombreux endroits du monde face aux crises de l’eau, souligne, en particulier, l’ONU.
Devant les crises écologiques, sociales, économiques, démocratiques et fondamentalement anthropologiques, les décroissants ne croient pas que la croissance soit une solution : la croissance est le problème. Affirmer cela fait de nous des « objecteurs de croissance ».
Dès le début des années 1970, le Club de Rome et les travaux de Meadows et Forrester ont donné le rapport intitulé Halte à la croissance !. Il y était établi, solides simulations à l’appui, que continuer à faire de l’économie-gestion-croissance sur le mode des années 1960 (déjà), c’était faire aller le monde de catastrophes en crises continues, qui culmineraient, selon les modélisations, en un cataclysme planétaire majeur vers les années 2015-2020 ! Prévision imparable !
En cas de crise planétaire, des réserves de produits de première nécessité peuvent manquer en Suisse. De grands changements climatiques par exemple pourraient ainsi toucher les semences, incitant les autorités suisses à reconstituer des stocks obligatoires, à commencer par le colza, actuellement tributaire de l'étranger.
The politics of this new, extreme individualism will make collective responses to social crises impossible
Alors que l'Agence des Nations unies pour l'Agriculture et l'Alimentation (FAO) doit publier, lundi 12 juillet, un rapport sur l'état de la sécurité alimentaire dans le monde, l'ONG Oxfam révèle dans un rapport rendu public vendredi que le nombre de personnes en situation de famine a été multiplié par six depuis le début de la pandémie.
Quel rôle l’État a-t-il joué dans l’avènement des trajectoires industrielles à l’origine des crises écologiques contemporaines ? Quelle est sa responsabilité dans la formation du gigantisme technicien et la production des déséquilibres naturels aujourd’hui lourds de menaces ? Quelle pourrait être sa place dans les alternatives à inventer ? L’État est-il un frein à l’innovation ou son principal soutien ?
La sécheresse fait rage depuis plusieurs mois dans le sud de Madagascar, causant une famine qui touche plus d’un million de personnes. Selon l’ONU, « l’instabilité climatique est un facteur majeur de l’augmentation de la faim dans le monde et est l’une des principales causes des graves crises alimentaires ».
Des coulisses de la vie politique aux forums universitaires, les conversations portent sur les crises mondiales : une crise sanitaire, une crise économique et financière, une crise climatique et une crise environnementale. En fin de compte, elles sont toutes révélatrices du même problème : nos modes de production et de consommation non durables. Le choc de la COVID-19 n’a fait que dévoiler la fragilité systémique de notre économie et de nos sociétés mondialisées, avec toutes leurs inégalités.
A landmark report by the world’s most senior climate and biodiversity scientists argues that the world will have to tackle the climate crisis and the species extinction crisis simultaneously, or not at all.
Pandémie et urgence climatique : les dirigeants des grandes puissances du G7 cherchent des réponses communes aux crises mondiales lors de leur première rencontre en près de deux ans vendredi, à commencer par la redistribution d’un milliard de doses de vaccins anti-Covid.
50 experts du Giec et de l’IPBES ont rendu un rapport commun aux deux organisations jeudi. Les constats étaient déjà connus. Il s’agit désormais de penser les crises - et les solutions - en interdépendance, et non en silos.
Un nouveau rapport du Programme des Nations unies pour l’environnement (PNUMA), Faire la paix avec la nature (2021), souligne « la gravité de la triple urgence environnementale de la Terre : le changement climatique, la perte de biodiversité, et la pollution ». Ces « trois crises planétaires que nous nous infligeons font courir un risque inacceptable au bien-être de la génération actuelle et des futures générations », dit le PNUMA. Cette alerte rouge, publiée à l’issue de la Journée mondiale de l’environnement (5 juin), a été élaborée tandis qu’avait lieu la Journée internationale de lutte anti-impérialiste.
Ce livre – remarquablement documenté tant dans les idées et les propositions que dans les pratiques qui essaiment déjà dans certaines villes ou pays – dessine le monde tel qu’il devrait être pour répondre aux grandes crises sanitaires, climatiques, sociales ou psychiques. En ces temps de graves périls , Il nous faut bifurquer c’est l’absolue nécessité.
Pour la première fois, GIEC et de l’IPBES publient un rapport conjoint sur les liens entre le changement climatique et la perte de biodiversité. Les crises climatiques et de la biodiversité doivent être pensées et traitées ensemble, en veillant à éviter de nuire à l’une en cherchant à protéger l’autre, soulignent des experts de l’ONU à quelques mois de deux importantes réunions internationales sur ces sujets.
Le capitalisme est souvent considéré comme le principal responsable de la crise écologique que nous traversons. Mais ses représentants n’ont jamais cessé de proposer des outils pour résoudre les crises environnementales, parmi lesquels nous trouvons la compensation écologique . Selon ce principe, analogue au « pollueur-payeur », l’aménageur qui détruit un écosystème doit en recréer un autre, similaire, dans un autre lieu, par exemple sur un site dégradé.
Le message de l'ONU est clair: avec environ 20% des plans de relance post-Covid favorables à l'environnement en 2020, le monde n'est pas à la hauteur des dangers qui menacent la planète.
Alors que l'année 2020 devait marquer une étape importante dans la protection du climat et de la biodiversité, la pandémie de Covid-19 a tout différé.
Au cours de sa longue existence, notre planète a connu plusieurs crises majeures, qui, à chaque fois, ont transformé en profondeur le vivant et entraîné l’extinction de la majorité des espèces. Les crises de la biodiversité avancent masquées, en silence. Aujourd’hui, tout laisse à penser que nous sommes à l’aube d’une sixième extinction qui arrive à une vitesse foudroyante : on estime que 500 000 à un million d’espèces sont en train de décliner et que d’ici quelques décennies elles pourraient s’éteindre. L’homme et sa consommation sans cesse croissante d’espace et d’énergie en est la première cause.

2020

Under a “climate lockdown,” governments would limit private-vehicle use, ban consumption of red meat, and impose extreme energy-saving measures, while fossil-fuel companies would have to stop drilling. To avoid such a scenario, we must overhaul our economic structures and do capitalism differently. Many think of the climate crisis as distinct from the health and economic crises caused by the pandemic. But the three crises – and their solutions – are interconnected.
Ce livre est une étude comparative, narrative et exploratoire des crises et des changements sélectifs survenus au cours de nombreuses décennies dans sept nations modernes : la Finlande, le Japon, le Chili, l'Indonésie, l'Allemagne, l'Australie et les États-Unis.
Un groupe de chercheurs, dirigé par un scientifique de l’UNSW spécialisé dans le développement durable, a passé en revue les discussions universitaires existantes sur le lien entre la richesse, l’économie et les impacts associés, pour arriver à une conclusion claire : la technologie ne nous mènera pas loin dans la voie du développement durable – nous avons besoin de changements profonds dans notre mode de vie et de paradigmes économiques différents. Dans leur étude, publiée dans Nature Communications et intitulée « Scientists’ Warning on Affluence », les chercheurs ont résumé les preuves disponibles, en identifiant les solutions possibles.
Une étude publiée en mai dernier évalue les changements futurs du stress thermique. La hausse d’environ 1°C de la température globale au-dessus des niveaux préindustriels a déjà augmenté la population annuelle exposée à des niveaux dangereux de chaleur et d’humidité. L’exposition pourrait considérablement augmenter si le réchauffement global se poursuit.
Les croyances, les catégories de jugement et les manières de penser le monde et l’humain qui ont fondé et inspiré les sociétés thermo-industrielles se sont effondrées. Nous sommes pris sous les décombres de cet effondrement. Comme en attestent nos malheurs actuels, - pandémie, crise climatique, crises sociale et psychique -, symptôme de notre impréparation culturelle, sociale et civilisationnelle.
Alors que la baisse du prix du pétrole pourrait inciter certains à freiner la transition énergétique, plusieurs experts rappellent l’urgence de se tourner vers les énergies renouvelables. Outre le risque climatique, il s’agit aussi d’éviter une nouvelle crise planétaire  due à des tensions sur l'or noir, une fois la pandémie dépassée. Toute la semaine, Novethic se penche sur la fragilité de nos modèles économiques, secteur par secteur, mise en lumière par la crise sanitaire actuelle.
La question de l’énergie et de ses crises sature l’actualité, les médias, comme les agendas politiques. Grand défi du présent, elle modèle nos modes de vie et nos rapports au monde à l’heure du triomphe du numérique, de l’électrification totale et du changement climatique. Longtemps, l’histoire de l’énergie a été ramenée à l’essor de la puissance rendu possible par le progrès technique, à un processus linéaire qui verrait les sociétés humaines maîtriser toujours plus leur environnement pour en extraire des ressources indispensables à leur fonctionnement.

2019

Les études scientifiques ont beau annoncer depuis des décennies les limites de notre système, a-t-on vraiment une chance d’inverser la tendance ? Désastre écologique, réchauffement climatique, disparition des espèces, crises sanitaires, crises migratoires, épuisement des ressources : le présent a parfois un goût de fin du monde. Les théories de l’effondrement rencontrent un succès grandissant et nous questionnent : sommes-nous perdus ? A-t-on un plan B ? Où placer les utopies aujourd’hui ?

2018

2016

Nous sommes en train de changer d’époque. Certains parlent d’anthropocène, d’autres, non moins scientifiques, évoquent de grande probabilités d’effondrement civilisationnel. Ce qui s’annonce est aussi impensable pour le cerveau humain que ne pouvaient l’être l’écriture, l’agriculture à venir ou l’extinction passée des dinosaures pour un cerveau de grand singe... Énormité des constats et des déséquilibres planétaires ; pourtant, tout au quotidien semble suivre petit bonhomme de chemin. Cette étude sera consacrée à explorer, sous divers angles, la question suivante : pourquoi les gens ne changent-ils pas ?

2015

2014

Quelque chose s'est fissuré dans l'économie. Plusieurs crises - économique, financière, environnementale - se combinent en une seule, de taille gigantesque. De profondes tensions sociales se cachent derrière l'immense dette publique. Le chômage des jeunes atteint des niveaux insoutenables alors que l'emploi est confisqué par des ordinateurs et des robots. L'euro n'est plus un projet fédérateur : en déconnexion avec les réalités de l'économie, ses erreurs de conception apparaissent au grand jour. Pourtant, il ne tient qu'à nous de transformer cette crise en une véritable opportunité de changement. Des solutions radicales mais porteuses d'espoir existent. Paul Jorion, qui avait prévu la crise des subprimes aux États-Unis, jette depuis plusieurs années un regard décalé sur l'économie. Bruno Colmant, exbanquier et ancien directeur d'une Bourse de valeurs, est plutôt catalogué à droite. Ces deux experts que tout oppose nous démontrent, dans un dialogue clair et sans concession, que l'on peut penser l'
Un essai remarquable et très original qui redessine l’espace de l’État Providence. L’État Providence ne doit pas s’effacer devant la société de marché, mais doit à l’inverse être réfléchi et ré-enrichi à la lumière des évolutions profondes de nos sociétés. A la lumière notamment de l’accroissement des inégalités dans le monde et de l’essor des crises écologiques.


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