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2024

La température a atteint 51,8 degrés, lundi, à La Mecque, où les pèlerins musulmans étaient en train d'achever le hajj. Une dizaine de décès liés à la chaleur ont été confirmés.
Plus de 2 700 cas d’« épuisement dus à la chaleur » ont été recensés pour la seule journée de dimanche, a annoncé le ministère de la santé à la fin du grand pèlerinage.
Plusieurs sites archéologiques athéniens ont fermé leurs portes au public ce jeudi aux heures les plus chaudes de la journée. La Grèce est confrontée à une première vague de chaleur caniculaire, avec des températures atteignant déjà 43 °C.
Selon le CEO de Viessmann, l’électricité est trop chère pour rentabiliser un investissement dans une pompe à chaleur.
La première canicule de l’année en Grèce contraint la population à s’adapter et inquiète les spécialistes. Les températures élevées établissent un nouveau record pour la période.
La chaleur extrême qui frappe l'ouest des États-Unis doit atteindre son point culminant jeudi, une vague qui annonce peut-être un été suffocant au moment où l'ONU prévient que la planète est en surchauffe. Las Vegas suffoque par 44 degrés Celsius et la région désertique de la Vallée de la mort doit s'approcher des 49 degrés, en raison d'un système météorologique anticyclonique oppressant. Selon les scientifiques, les canicules à répétition sont un marqueur sans équivoque du réchauffement de la planète et ces vagues de chaleur sont appelées à se multiplier, à durer plus longtemps et à s'intensifier.
L’institut Copernicus annonce, ce mercredi 5 juin, que le mois de mai 2024 a été le mois le plus chaud jamais enregistré sur Terre. Il s’agit du douzième mois consécutif pour lequel les records de températures mondiales sont battus.
De nouveaux records battus sur fond de changement climatique. Mai 2024 a été le mois le plus chaud jamais enregistré au niveau mondial, avec une température moyenne mondiale supérieure de 0,65 °C à celle de 1991-2020 et de 1,52 °C à la moyenne préindustrielle de 1850-1900, indique le service européen Copernicus le 5 juin. C’est aussi le 12e mois consécutif de record de température. Entre juin 2023 et mai 2024, la température moyenne mondiale a été la plus élevée jamais enregistrée, supérieure de 0,75 °C à la (...)
Le mois de mai a connu des températures records à la surface des océans. C’est le quatorzième mois consécutif à être le plus chaud de l’histoire pour ce paramètre, selon les données Copernicus publiées ce jeudi. L’océan arrive-t-il à ses limites dans l’absorption de l’excès de chaleur émises par les activités humaines ? Les scientifiques se posent la question. Les dommages sur Terre et dans la mer sont en tout cas déjà multiples.
La fenêtre pour limiter à 1,5 °C la hausse des températures est déjà presque fermée, mettent en garde des dizaines de chercheurs dans une étude parue mercredi. Mais leur travail montre aussi que le rythme d’augmentation des émissions de CO2 a ralenti cette décennie comparé aux années 2000.
Le mois de mai 2024 a été le mois le plus chaud jamais enregistré au niveau mondial, avec une température moyenne de l'air en surface de 0,65°C au-dessus de la moyenne 1991-2020, a rapporté mercredi le Service Copernicus sur le changement climatique (C3S) dans un communiqué. Il s'agit, en l'occurrence, du 12e mois consécutif pour lequel la température moyenne mondiale a atteint une valeur record.
Les seuils de réchauffement que la communauté internationale s’est engagée à ne pas dépasser se rapprochent dangereusement, dit l’organisation météorologique mondiale. D’ici 2028, la température dépassera pour la première fois 1,5 °C.
La France a connu son quatrième printemps le plus pluvieux, avec un déficit d’ensoleillement de 20% et des températures plus élevées que les normales pour la troisième année d’affilée, a annoncé Météo France ce lundi 3 juin.
Le directeur général des élections de l'État d'Uttar Pradesh a indiqué dimanche qu'une trentaine d'agents électoraux étaient morts la veille en raison de températures caniculaires. L'Inde achève ce week-end un marathon électoral de six semaines qui devrait reconduire le Premier ministre nationaliste hindou Narendra Modi à la tête du pays.
L’Inde est coutumière des fortes chaleurs estivales mais des années de recherches scientifiques ont montré que le changement climatique rendait ces épisodes plus longs, plus fréquents et plus intenses.
Les températures extrêmes qui sévissent en Inde ont des conséquences graves sur la santé publique surtout dans les mégapoles du pays, ont averti jeudi des experts.Les vagues de chaleur constituent "la plus grande menace pour le bien-être de l'Inde aujourd'hui", explique à l'AFP Aarti Khosla, directrice de l'Institut de recherche Climate Trends.Les récents pics dans la région de la capitale sont, selon elle, "la preuve que la question qui se pose aujourd'hui est celle de la survie".
Une température record de 52,3 °C a été enregistrée mercredi à New Delhi, la capitale de l’Inde. Les services météorologiques indiens, qui font état de "fortes vagues de chaleur", ont rapporté cette température record dans deux stations de la banlieue de New Delhi, Narela et Mungeshpur.
L’Inde est écrasée par une vague de canicule. Dans la capitale, les autorités ont mis en garde contre une « très forte probabilité de développer des maladies liées à la chaleur et des coups de chaud à tous les âges ».
Le mercure a explosé dans la capitale indienne ce mercredi 29 mai. Pour se rafraîchir, les habitants ont massivement utilisé les systèmes de climatisation, faisant accroître la demande d’énergie. Au Pakistan, le thermomètre a grimpé à 53°C.
Des conditions de température plus élevées que les normales «sont les plus probables» pour juin-juillet-août, selon le nouveau bulletin mensuel des grandes tendances pour les trois mois à venir établi par l’institut.
Le changement climatique a causé en moyenne 26 jours de chaleur extrême supplémentaires à travers le monde au cours des douze derniers mois, selon un rapport du Centre climatique de la Croix-Rouge internationale dévoilé mardi.
L’Hexagone constitue en ce moment un îlot de fraîcheur au sein de l’Europe, où la chaleur écrase notamment l’Espagne et la Scandinavie en cette fin de mois de mai. Explications.
Le "confinement climatique" est-il une expression pertinente pour évoquer la privation des libertés individuelles due à la crise climatique ?
L’Unicef estime que 76 % des enfants d’Asie du Sud – soient 460 millions – sont exposés à des températures supérieures à 35 degrés au moins 83 jours par an. Ils risquent « déshydratation, fièvre, tachycardie, crampes, migraines, évanouissement et coma », souligne l’agence onusienne.
Le pays, qui fait face à une « vague de chaleur sévère », a ordonné la fermeture anticipée des écoles de New Delhi pour les vacances d’été.
La vague de chaleur extrême qui touche le sud-est du pays pourrait expliquer les récents et nombreux décès de primates arboricoles qui chutent souvent de plusieurs dizaines de mètres.
Lundi, il faisait 47,8 °C à Najafgarh en banlieue de Delhi. En revanche, les États du sud de l’Inde, notamment le Tamil Nadu et le Kerala, ont subi de fortes pluies ces derniers jours.
L’épisode massif de blanchissement s’aggrave dans les tropiques, alerte l’Agence américaine d’observation océanique et atmosphérique. Ces récifs sont durement frappés par la hausse des températures océaniques qui sévit depuis plus d'un an.
Les cartes météo se colorent de rouge en Inde : 47°C à New Delhi lundi, canicule à Bombay... La chaleur persistante complique les élections générales qui durent jusqu'en juin. Le risque thermique s'accompagne d'inégalités sociales avec les ménages pauvres, travailleurs en extérieur plus vulnérables.
Le pourtour de la Méditerranée est l’une des régions qui se réchauffe le plus vite au monde, subissant une sécheresse critique. De la Sicile à la Tunisie, en passant par l’Andalousie, le manque d’eau devient une triste habitude. Sicile (Italie), Andalousie (Espagne), Sousse (Tunisie), reportage C’est l’une des zones les plus touchées par le changement climatique sur notre planète. Le bassin méditerranéen subit des « conditions critiques » de sécheresse, ont alerté dès le mois de février les (...)