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2024

Dans la maison d'Aniqa Bano, le frigo fait office de placard pour livres et ustensiles de cuisine. C'est désormais sa seule utilité dans cette région montagneuse du nord du Pakistan où les coupures d'électricité durent 18 heures par jour.Le Gilgit-Baltistan est un paradis pour touristes qui vagabondent entre cerisaies fleuries, lacs azurés et glaciers majestueux, à l'ombre de certains des plus hauts sommets de la planète.
L’Unicef estime que 76 % des enfants d’Asie du Sud – soient 460 millions – sont exposés à des températures supérieures à 35 degrés au moins 83 jours par an. Ils risquent « déshydratation, fièvre, tachycardie, crampes, migraines, évanouissement et coma », souligne l’agence onusienne.
Entre vendredi et lundi, d’intenses précipitations ont provoqué des crues subites et l’effondrement d’habitations.
Islamabad a mené une attaque jeudi 18 janvier dans le sud-est de l’Iran, évoquant des «activités terroristes», qui a fait neuf morts. Téhéran avait bombardé mardi ce qu’il considérait être le QG d’un groupe jihadiste sur le sol pakistanais.
La vaccination contre la poliomyélite se heurte à une suspicion persistante au Pakistan, où des théories conspirationnistes lient les vaccins à un complot occidental pour stériliser les enfants musulmans.

2023

Pour la première fois de son histoire, le Pakistan a recouru à la "pluie artificielle" pour lutter contre la pollution massacrante. Une technique qui, si elle ne plait guère aux défenseurs de l'environnement, fait des émules à travers le monde depuis quelques années déjà.
La pluie artificielle a été utilisée pour la première fois samedi au Pakistan afin de combattre le smog très nocif pour la santé des populations qui stagne dans la mégapole de Lahore, a annoncé le gouvernement provincial du Pendjab.
Dans la ville de Lahore, au Pakistan, tous les commerces doivent fermer leurs portes à 22 heures en raison de la forte...
Des milliers de personnes sont tombées malades en raison d’un brouillard toxique de pollution dans l’est du Pakistan, obligeant les autorités à fermer jusqu’à dimanche parcs, écoles, centres commerciaux et autres services dans plusieurs villes, dont Lahore, écrit vendredi la BBC.
Plus de 200.000 réfugiés afghans ont été expulsés du Pakistan depuis que le pays a adopté des mesures répressives contre l’immigration illégale, déclare samedi le ministre de l’Intérieur pakistanais, Sarfraz Bugti, à l’agence de presse allemande, dpa.
Les élèves de la grande ville de Lahore, au Pakistan, devront porter le masque en classe, pour se protéger de la forte...
« Si le Bitcoin était un pays, sa consommation d’énergie serait classée au vingt-septième rang mondial. » Entre 2020 et 2021, le réseau mondial de minage de cette cryptomonnaie a consommé 173,42 térawattheures d’électricité, soit plus que le Pakistan et ses 231 millions d’habitants. C’est ce que révèle, le 24 octobre, une étude menée par des scientifiques des Nations unies.
Quelque 100.000 personnes ont été évacuées de villages inondés dans la province du Pendjab au Pakistan, après que l'Inde a déversé dimanche plusieurs milliers de mètres cubes d'eau dans une rivière arrosant les deux pays, a-t-on appris mercredi auprès des services de secours.
De fortes inondations déclenchées par l’Inde ont entraîné l’évacuation d’environ 100 000 personnes dans l’est du Pakistan. New Delhi aurait déversé des milliers de mètres cubes d’eau dans une rivière irriguant les deux pays.
Plus de 100.000 personnes ont été évacuées en Inde et au Pakistan avant l'arrivée prévue jeudi soir d'un puissant cyclone qui risque de détruire des habitations et d'arracher des lignes à haute tension, ont rapporté les autorités des deux pays.
Un cyclone venu de la mer d’Arabie menace de toucher le pays, ainsi que l’Inde voisine, dans les prochains jours.
Au Pakistan, de violentes intempéries, qui ne font que commencer, ont ravagé le nord-ouest du pays. De fortes pluies accompagnées de vents violents ont tué au moins 27 personnes dont huit enfants, la plupart des décès étant dus à l'effondrement de bâtiments, ont indiqué, dimanche 11 juin, les autorités locales.
Pakistaans Brusselaar Sadiq Khan geeft zes maand na de klimaatramp een update over de situatie in zijn geboorteland. In september 2022, een maand na de moordende overstromingen in Pakistan, sprak DeWereldMorgen.be reeds een eerste maal met hem. Pakistan is weg uit het nieuws maar nog niet uit de problemen.
La coupure qui a paralysé le Pakistan, le lundi 23 janvier, met en lumière la crise aiguë à laquelle fait face ce pays de 220 millions d’habitants, la pire depuis des décennies.
Une gigantesque panne d'électricité a affecté lundi matin une large partie du Pakistan, dont les plus grandes villes de Lahore et Karachi, selon les autorités.Les coupures d'électricité sont fréquentes au Pakistan, qui fait face depuis des années à une crise énergétique chronique et dont le système de distribution est complexe et vétuste.La panne, qui a duré plusieurs heures, est due à un dysfonctionnement survenu à 07h30 locales (02h30 GMT). Il s'agit du deuxième incident de cette ampleur en seulement deux ans dans ce pays de plus de 220 millions d'habitants.
Meer dan vier maanden nadat noodweer een derde van Pakistan onder water heeft gezet, leven 4 miljoen kinderen nog steeds in ongezonde en mensonwaardige omstandigheden. Unicef waarschuwt voor een menselijke catastrofe.

2022

Pakistan produceert minder dan 1 procent van de mondiale uitstaat van broeikasgassen maar wordt frontaal getroffen door de klimaatcrisis, schrijft Tanupriya Singh. Hij vindt het hoog tijd dat het Globale Noorden zijn verantwoordelijkheid neemt en mee betaalt voor de enorme schade die Pakistan lijdt.
L’été 2022 a été l’un des plus cruels qu’ait connu le Pakistan. À partir du mois de juin, le pays a été dévasté par des inondations d’une gravité sans précédent. Au mois de septembre, un tiers du Pakistan se trouvait sous les eaux et plus de 1.500 personnes étaient mortes, dont 500 enfants au moins, selon l’ONU. Selon les estimations, jusqu’à 30 millions de personnes seraient sans abri. Il faudra attendre encore six mois pour que les eaux se retirent complètement, laissant derrière elles des terres rendues incultivables. Le pays subit dans le même temps une hausse des prix du carburant, une inflation galopante, une crise énergétique et une insécurité alimentaire massive, exacerbée par la guerre en Ukraine.
Un mouvement croissant d’activistes climatiques et de travailleurs humanitaires au Pakistan réclame des réparations afin d’obliger les grands pollueurs du Nord à rendre des comptes. Ils espèrent ainsi remettre en cause le langage de la charité qui occulte l’enjeu fondamental, à savoir : la justice climatique. La notion de « réparations climatiques » sert à véhiculer un large éventail d’idées et de critiques qui visent à établir un lien entre la justice climatique et d’autres formes d’injustices, économiques et sociales.
Le Pakistan, victime d’inondations dévastatrices cet été et qui ne représente que 0,8 % des émissions mondiales de CO₂, considère être injustement frappé par les effets climatiques provoqués par l’industrialisation des grands pays.
Le Pakistan a subi pendant de longs mois des inondations meurtrières. Il est désormais courant d'attribuer ces événements extrêmes au changement climatique. Mais s'il est certain que ce dernier augmente leur intensité et leur fréquence, il est plus difficile d'attribuer directement tel événement au changement climatique, notamment quand il s'agit de précipitations, qui résultent généralement de plusieurs facteurs. C'est ce à quoi s’attelle la science de l'attribution, née en 2004, et qui est de plus en plus sollicitée.
Een belangrijk onderdeel van de internationale klimaatinspanningen is “adaptatie”: acties om zich aan te passen aan de impact van een veranderend klimaat. Maar hoe kan men zich aanpassen aan de enorme verwoesting die klimaatverandering kan teweegbrengen?, vraagt energie- en ontwikkelingsexpert Philippe Benoit zich af.
De verwoestende overstromingen in Pakistan hebben al aan minstens 528 kinderen het leven gekost. De vertegenwoordiger van Unicef in Pakistan vreest dat meer doden zullen volgen.
Een derde van Pakistan staat onder water, en de omvang van de verwoesting is moeilijk te vatten. De ellende voor de getroffen inwoners is momenteel nauwelijks te overzien. Maar ook de komende maanden en jaren zullen de schade aan infrastructuur, gebouwen en de economie zwaar wegen op het land.
De enorme hittegolf die afgelopen maanden Pakistan en India teisterde, toont opnieuw hoe ernstig de klimaatcrisis nu al is. De toekomst oogt nog grimmiger als we de CO2-uitstoot niet drastisch inperken. Maar wie moet de meeste verantwoordelijkheid opnemen?, vraagt milieuwetenschapper Aaron Van Poecke zich af.
Nauwelijks één week na de gruwelijke klimaatramp is Pakistan – zoals was te verwachten – verdwenen naar de kleine achterpaginas van de kranten. De Pakistanen organiseren zich zo goed als ze kunnen. Dit zal jaren herstel vragen. DeWereldMorgen.be sprak met de 51-jarige Brusselse Pakistaan Khalid Sadiq, die in augustus nog op familiebezoek was in Pakistan.
Tandis que l'aide internationale s'organise pour secourir le Pakistan, victime d'inondations historiques ayant fait plus de 1 300 morts, la ministre du Changement climatique Sherry Rehman alerte sans relâche sur les inégalités Nord / Sud et demande des comptes aux entreprises les plus polluantes.
"Arrêtez cette folie": les pays en développement paient le "prix" de la dépendance mondiale aux énergies fossiles, a dénoncé samedi le secrétaire général des Nations Unies, au deuxième jour de sa visite à travers un Pakistan dévasté par de catastrophiques inondations.
L'aide internationale a commencé à parvenir au Pakistan dans le cadre d'un plan d'urgence des Nations unies, mais elle est insuffisante. En visite dans ce pays meurtri par les pires inondations de son histoire, le chef de l'ONU, Antonio Guterres, espère mobiliser davantage.
Après des pluies diluviennes, un tiers du Pakistan se retrouve sous les eaux. La situation pourrait encore se détériorer, craignent les habitants qui sont évacués quotidiennement dans la province du Sind. Reportage de nos envoyés spéciaux.
De overstromingen in Pakistan hebben intussen al aan meer dan 1300 mensen het leven gekost. Pakistan is een van de landen die volgens de Verenigde Naties het meest kwetsbaar zijn voor de klimaatverandering. Het land probeert zich nu, na de hittegolven en acht weken non-stop regen, opnieuw te organiseren. ‘Op sommige plaatsen is het onmogelijk om hulp te bieden.’
Le Pakistan subit des graves inondations. Les eaux couvrent un tiers de la surface du pays, détruisent les routes et les bâtiments. Les habitants se réfugient dans des zones surélevées. Des familles ayant plusieurs enfants ont quasiment tout perdu, leur maison, leur bétail, et attendent désespérément des secours, sans eau potable, en voyant les flots monter autour de leur abri précaire et leurs réserves de nourriture s’épuiser. Des centaines de milliers de maisons ont été détruites.
L’accumulation de phénomènes de plus en plus violents menace une population déjà fragilisée par le défaut de gestion et de prévention du gouvernement. Pour le Pakistan, 2022 pourrait rester l’année de toutes les catastrophes climatiques. D’abord, ce furent des chaleurs infernales, au printemps, atteignant, en mai, 50 degrés dans certaines localités et aggravant la fonte des glaciers dans les hautes montagnes et la sécheresse dans les plaines ; puis, depuis le début précoce de la mousson, à la mi-juin, des pluies torrentielles, conjuguées aux crues, ont submergé un tiers du pays.
Tandis que plus de 1 100 personnes ont péri dans des inondations sans précédent et que des millions d’autres sont affectées, les autorités brillent par leur absence, s’insurge l’“Express Tribune” de Karachi dans un éditorial.
Au Pakistan, touché par une "mousson cataclysmique", 33 millions d'habitants sont affectés par les "pires inondations de l'histoire du pays", selon le Premier ministre, Shehbaz Sharif. Des opérations de sauvetage sont organisées pour évacuer les sinistrés et des campements d'urgence accueillent ceux dont la maison est toujours sous les eaux.
Les inondations dévastatrices qui touchent le Pakistan depuis début juin, sont les "pires de l'histoire du pays", a annoncé, mardi, le Premier ministre, Shehbaz Sharif. Des pluies torrentielles, qui font suite à une sécheresse, et des vagues de chaleur inédites montrent la vulnérabilité du pays face au dérèglement climatique.
Le Pakistan fait face à “une mousson sous stéroïdes”, prévient António Guterres, le secrétaire général de l’ONU, après que les inondations phénoménales ont submergé un tiers du pays.
Le Pakistan est souvent présenté comme un futur Sri Lanka, en référence à la faillite retentissante de ce petit État d’Asie du Sud il y a plus de 4 mois. En effet, les pluies diluviennes qui s'abattent sur le pays constituent une catastrophe économique pour Islamabad. En outre, elles interviennent au pire moment possible pour les finances du pays. Mais le parallèle a ses limites.
14 mei 2022, Jacobabad, Pakistan. De thermometer toont een temperatuur van 51.0◦C. 'Tijd om onze historische verantwoordelijkheid recht in de ogen te kijken en ernaar te handelen', schrijft Aaron Van Poecke. Hij zet klaarhelder uiteen hoe het Globale Noorden de verpletterende verantwoordelijkheid draagt van de dodelijke hittegolf in India en Pakistan. 'Het laatste rapport van het IPCC vertelt ons dat elk moment waarop we niet drastisch ingrijpen een gemiste kans is.'
Les pluies emportent, depuis trois mois, d’innombrables maisons et détruisent des terres agricoles vitales. Plus de 33 millions de personnes, soit un Pakistanais sur sept, ont été affectées par ces inondations.
Déjà dévasté par des inondations destructrices en 2010, le Pakistan connaît la pire mousson de mémoire d’homme. Des milliers de vies humaines, de cultures et d’infrastructures ont disparu dans des inondations qui ne cessent de prendre de l’ampleur.
Vrouwen en meisjes lopen extra gevaar door de enorme overstromingen in Pakistan, zegt het Bevolkingsfonds van de VN. Naar schatting 650.000 zwangere vrouwen hebben er zorg nodig. En nu bijna een miljoen huizen zijn beschadigd, lopen vrouwen en meisjes een hoger risico op gendergerelateerd geweld.
Le sud du Pakistan, particulièrement touché par les inondations qui ont déjà fait plus de 1000 morts dans le pays, se prépare à un nouveau déluge dans les prochains jours, provoqué par les crues des rivières. Alimenté par des dizaines de rivières et de ruisseaux de montagne sortis de leur lit à la suite de pluies record et de la fonte des glaciers, l’Indus, fleuve qui traverse la province du Sindh dans le sud du pays, ne cesse de grossir.
Un tiers du Pakistan est actuellement "sous les eaux" après les inondations causées par la mousson, a indiqué lundi la ministre du Changement climatique, Sherry Rehman, évoquant une "crise de proportions inimaginables".
Niet de gewone Pakistanen zijn verantwoordelijk voor de vreselijke overstromingsramp in hun land. Het aantal doden wordt geschat op 1000, een zware onderschatting. Andermaal tijd voor internationale solidariteitsacties? Eerder hoogste tijd om de echte schuldigen ter verantwoording te roepen: de multinationals van de olie- en gassector. Zij moeten dit betalen met hun woekerwinsten.
Selon les autorités, plus de 33 millions d’habitants ont été touchés par les inondations, comparables en intensité à celles de 2010.
Le Premier ministre Shahbaz Sharif a déclenché l’état d’urgence face aux fortes pluies qui touchent le pays depuis juin. Selon les estimations gouvernementales, près d’un Pakistanais sur sept a été touché par les inondations.
"Une catastrophe d'une rare ampleur", a commenté la ministre pakistanaise du Changement climatique.
Des secouristes pakistanais ont tenté mercredi d'atteindre des milliers de familles bloquées dans leurs villages à la suite des plus grosses pluies que le Pakistan a connues.
Dans les rues, l’eau arrive aux genoux des habitants. Au Pakistan, depuis la mi-juin, au moins 310 personnes sont mortes et des milliers de personnes ont été blessées en raison des pluies de mousson ont indiqué le 26 juillet l’AFP et The Guardian. En outre, plus de 10 000 habitations ont été endommagées et plus de 600 kilomètres de routes et cinquante ponts ont été balayés par ces inondations selon l’Autorité nationale de gestion des risques naturels.
Le poliovirus sauvage frappe à nouveau le Pakistan, s’exporte en Afrique, et des pays comme les États-Unis, le Royaume-Uni et Israël détectent des souches vaccinales en circulation dans leurs eaux usées.
Au moins 150 personnes sont mortes ces dernières semaines dans des inondations qui frappent la capitale financière du Pakistan et ses environs. Les mesures annoncées il y a deux ans par les autorités pour empêcher de nouvelles catastrophes ont été peu suivies d’effets, déplore le quotidien “Dawn”.
Située dans la province du Sind, dans le sud ouest du Pakistan, la ville de Jacobabad est la ville la plus chaude du monde. En plus de la chaleur, les habitants doivent faire face à l'extrême pauvreté. Deux éléments qui rendent leurs conditions de vie encore plus difficiles. Reportage de nos correspondants Shahzaib Wahlah et Sonia Ghezali.
Une vague de chaleur inhabituellement précoce et intense se propage de l’Afrique du Nord à l’Europe. Près d’un tiers de la population des États-Unis subit actuellement des vagues de chaleur. Bien que ce ne soit que la mi-juin, les températures sont plus typiques de celles observées en juillet ou en août. Les épisodes en cours font suite à une vague de chaleur prolongée en Inde et au Pakistan en mars et avril. En raison du changement climatique, les vagues de chaleur commencent plus tôt et deviennent plus fréquentes et plus sévères en raison de concentrations record de gaz à effet de serre piégeant la chaleur.
Les exportations de textile du Pakistan devraient chuter de façon spectaculaire alors que le secteur est victime de coupures d'électricité quotidiennes dans les usines, ont averti des responsables de cette industrie. Le textile représente 60% des exportations du Pakistan, se chiffrant en milliards de dollars et fournissant tout, du denim au linge de lit, vers les marchés américains et européens. "L'industrie textile est en état d'urgence", a déclaré à l'AFP Qasim Malik, vice-président de la Chambre de commerce du centre manufacturier de Sialkot.
Certaines parties du Pakistan subissent des coupures de courant pouvant durer jusqu’à quatorze heures par jour, alors que les températures peuvent atteindre 40 °C en cette saison. Le gouvernement a ainsi annoncé qu’il reviendrait à la semaine de travail de cinq jours dans le cadre de son plan d’économie d’énergie.
En Allemagne, en Espagne ou encore en Inde et au Pakistan, les tempêtes, les températures records et les inondations ont fait la Une des journaux ces derniers temps. Ça ne pourrait être là qu’un avant-goût de ce qui nous attend, à en croire le dernier bilan du Bureau des Nations Unies pour la réduction des risques de catastrophe. Il prévoit que d’ici 2030, 1,5 catastrophe se produira tous les jours. Les populations les plus vulnérables sont les premières concernées.
Depuis le début du mois de mars, l’Inde et le Pakistan étouffent sous une vague de chaleur prolongée inédite. Selon une étude (en anglais) conduite par le World Weather Attribution, le changement climatique l’aurait rendu trente fois plus probable. Pour quantifier l’effet de celui-ci, une équipe internationale de vingt-neuf chercheurs a analysé des données météorologiques et des simulations informatiques, afin de comparer le climat tel qu’il est aujourd’hui — soit 1,2 °C plus chaud qu’à la fin des années 1800, avec le climat antérieur à cette période.
Au début du mois de mai, l’Inde et le Pakistan ont été confrontés à des températures record, atteignant les 50 °C. Ces pays étant déjà habitués à de fortes chaleurs, il n’en reste pas moins que celles-ci sont exceptionnelles et, sans surprise, liées au réchauffement climatique. Et donc, tant que nous ne changerons pas radicalement nos modes de vie, ces vagues de chaleur extrême ne sont pas près de s’arrêter.
Les autorités pakistanaises ont fait appel à l'Iran pour tenter de venir à bout de feux de forêts dévastateurs qui ont déjà détruit des centaines d'hectares de forêts de pins au Balouchistan, la province située au sud-ouest du pays.
Une nouvelle étude du World Weather Attribution, qui travaille sur l’attribution des événements climatiques extrêmes, estime que l’épisode de fournaise dans le sous-continent indien «aurait été extraordinairement rare» dans le passé.
Une vague de chaleur frappe l’Inde et le Pakistan – l’une des régions les plus densément peuplées du monde – depuis avril, obligeant plus d’un milliard de personnes à affronter des températures bien supérieures à 40 °C. Ces températures ne constituent pas encore des records historiques pour ces régions, mais la période la plus chaude de l’année reste à venir.
La France vit un « épisode de chaleur exceptionnel ». L’été sera sec : d’ici là, les nappes ne se rechargeront plus. L’Inde et le Pakistan, eux, suffoquent.
What else is new? Hotspots are getting hotter. The major hotspot in April stretched from Iraq to India and Pakistan, and toward the northeast through Russia (Fig. 1). Temperature exceeded 45°C (113°F) in late April in at least nine Indian cities,[1] on its way to 50°C (122°F) in Pakistan in May,[2] where a laborer says “It’s like fire burning all around” and a meteorologist describing growing heatwaves since 2015 says “The intensity is increasing, and the duration is increasing, and the frequency is increasing.” Halfway around the world, Canada and north-central United States were cooler than their long-term average, but people in British Columbia and northwest United States remember being under their own record-breaking hotspot last summer.
+51°C au Pakistan, +48°C au Mexique, +46°C en Égypte. Partout dans le monde, des températures historiques sont enregistrées, menaçant la santé humaine, l’approvisionnement en eau, les récoltes futures et même la biodiversité, qui ne résiste pas à une chaleur si accablante. Du côté de l’Hexagone, un "dôme de chaleur" devrait s'abattre sur le Sud-Ouest cette semaine alors que le pays subit déjà une sécheresse historique.
Depuis plus d’un mois maintenant, l’Inde et le Pakistan subissent des vagues de chaleur à répétition. L’Inde a enregistré la pire canicule au mois de mars depuis 122 ans, le Pakistan a atteint 51°C le 14 mai, soit la température la plus élevée enregistrée pour l’année 2022.
En Inde et au Pakistan les températures de ces dernières semaines ont atteint les 50 °C. Une vague de chaleur record qui a provoqué des coupures d'électricité et des pénuries d'eau pour des millions d'habitants qui devraient subir cette fournaise de plus en plus fréquemment à cause du changement climatique. Des chaleurs extrêmes qui touchent également les animaux et particulièrement les oiseaux explique l’agence de presse Reuters.
A brutal heatwave that has enveloped parts of southern Asia since the end of April looks set to intensify, says the latest forecast from the Met Office. Nick Silkstone is a meteorologist with the Met Office’s Global Guidance Unit. He said: “Temperatures are expected to peak on Saturday, when maximum values could reach around 49-50°C in the hottest locations, such as Jacobabad, and the Sibi area of Pakistan.
Depuis plusieurs semaines, les habitants de ces deux pays sont confrontés à des épisodes de canicule. Au Pakistan, les températures ont même dépassé les 50 degrés.
Le pays connaît depuis fin avril des chaleurs record, dont l’Organisation météorologique mondiale (OMM) des Nations unies a estimé qu’elle était « cohérente » avec le changement climatique.
Des vagues de chaleur inhabituelles frappent l'Inde et le Pakistan depuis deux mois maintenant. Or, la chaleur et le taux d'humidité dépassent désormais le seuil limite de survie des personnes se trouvant à l'extérieur.
Le pays subit actuellement une vague de chaleur record attribuée au changement climatique. Les températures pourraient atteindre les 50°C par endroit dans les prochains jours.
Les canicules en Asie risquent de tuer des millions de personnes, alors que le seuil maximal de chaleur humide que l'homme peut supporter est largement dépassé.
Les canicules en Asie risquent de tuer des millions de personnes, alors que le seuil maximal de chaleur humide que l'homme peut supporter est largement dépassé.
Les très fortes chaleurs provoquées par le réchauffement climatique ont entraîné la rupture d'un lac glaciaire. Les flots ont emporté un pont sur leur passage.
La vague de chaleur brutale et d’un degré record d’intensité qui s’est abattue sur une grande partie de l’Inde et du Pakistan depuis le mois de mars s’est quelque peu calmée cette semaine [de début mai], mais elle est sur le point de se relancer dans les jours à venir, avec des températures infernales pouvant atteindre 50 degrés Celsius.
En Inde et au Pakistan, en proie à une canicule, la température a dépassé les 46 °C au thermomètre. Une chaleur au-delà du supportable pour l'être humain ? La réalité est un peu plus complexe.
1,5 milliard de personnes subissent en ce moment une canicule historique en Inde et au Pakistan dont 10% n’a pas accès à l’eau et où les nappes phréatiques sont menacées d’épuisement. L’été est supposé commencer en Mai et se termine fin Juin pour laisser place à la saison des pluies sauf que ce coup-ci cela a commencé en Mars avec des chaleurs exceptionnelles jamais mesurées en 122 ans.
Terwijl India en Pakistan getroffen worden door een extreme hittegolf, waarschuwt het IPCC dat snelle en diepgaande verandering in alle sectoren nodig zijn om de opwarming van de aarde onder controle te houden. Er bestaan oplossingen, maar om ze door te voeren is een confrontatie nodig met de gevestigde economische en politieke machten.
April temperatures at unprecedented levels have led to critical water and electricity shortages
Des coupures d'électricité en Inde et au Pakistan ont aggravé, vendredi, les conditions de vie de millions d'habitants, déjà accablés depuis plusieurs semaines par une vague de chaleur record que les experts lient au changement climatique.
Une vague de chaleur record s'est abattue sur l'Inde et le Pakistan, provoquant des coupures d'électricité et des pénuries d'eau pour des millions d'habitants qui devraient subir cette fournaise de plus en plus fréquemment à l'avenir, selon des experts du changement climatique.
Des coupures d'électricité en Inde et au Pakistan ont aggravé vendredi les conditions de vie de millions d'habitants, déjà accablés par une vague de chaleur record que les experts lient au changement climatique. Des mois de mars et d'avril exceptionnellement chauds ont fait grimper la demande énergétique en Inde, et plus particulièrement au Pakistan, si bien que les centrales électriques manquent à présent de charbon pour répondre à la demande.
Ces pays, parmi les plus chauds de la planète, sont un nouvelle fois confrontés à une canicule monstre après des mois de chaleur anormale. Un avant-goût de ce qui attend l’humanité.
Pour Fabio D’Andrea, chercheur au CNRS, les deux pays sont de plus en plus confrontés à des canicules pendant lesquelles les températures atteignent des niveaux qui, il y a quinze ans, étaient très rares sur Terre.
En Inde, au Pakistan, au Bangladesh ou encore au Népal, de petites usines de démantèlement de batteries au plomb usagées fleurissent illégalement, sans respecter les précautions nécessaires. Or, lorsqu’il n’est pas extrait correctement, le plomb pollue l’environnement et a de graves conséquences sur la santé des populations, alerte le site indien “The Third Pole”.
+44°C en Inde, +50°C au Pakistan... l'Asie du Sud connait une vague de chaleur extrême alors que l'Inde a enregistré son mois de mars le plus chaud depuis 122 ans. Ces températures sont un signe manifeste des impacts du changement climatique. Selon la NASA, cette zone pourrait devenir inhabitable dès 2050 en raison de la chaleur mêlée à l'humidité qui empêche au corps de suer et donc de se refroidir. Un risque que les experts du climat, le GIEC, avaient déjà identifié dans l'un de leurs rapports, et qui commence à se matérialiser.
Depuis le début du mois de mars, l’Inde et le Pakistan sont confrontés à une vague de chaleur exceptionnellement intense. Et, ces prochains jours, les températures pourraient frôler localement les 50 °C.
La production mondiale de viande devrait croître d’environ 4 % en 2021 par rapport à 2020, pour s’établir à 353 millions de tonnes. En Chine, elle a progressé de 16 %, à 90 millions de tonnes, et la hausse serait forte aussi en Inde, au Pakistan et au Vietnam, sous l’effet d’une demande accrue.

2021

Avec ses plus de 11 millions d'habitants, la deuxième plus grande ville du Pakistan, située dans l'Est près de la frontière avec l'Inde, est fréquemment classée parmi celles ayant l'air le plus pollué au monde.
Lahore au Pakistan était mercredi la ville avec l’air le plus pollué au monde, au grand dam de la population qui pousse les autorités à enfin s’attaquer au problème.
Une vie sous plus de 35 degrés au thermomètre, avec 90% d'humidité dans l'air : une vie où chaque geste compte, et où travailler comme faire du sport n'est plus possible. Deux régions du globe ont déjà atteint ce seuil, invivable pour les humains : Jakobabad au Pakistan, et Ras Al Khaimah, dans le golfe Persique.
Fortes pénuries d'eau, sécheresse, inondations, disparition de ses forêts... Le Pakistan subit toute la palette des conséquences du réchauffement climatique et se classe parmi les cinq pays les plus touchés par ces bouleversements. Aussi, le Premier ministre du Pakistan s'est-il lancé dans l'un des plus ambitieux projets de reforestation au monde : planter dix milliards d'arbres d'ici 2023. Cette initiative met son pays à l'honneur pour la Journée mondiale de l'environnement qui se tient samedi 5 juin.

2020

De la corne de l’Afrique jusqu’au Pakistan, une nouvelle menace sévit depuis plusieurs mois : les invasions de criquets. La prolifération de cet insecte destructeur des récoltes risque d’aggraver l’insécurité alimentaire des régions concernées. Une des causes, le dérèglement climatique.