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2025
Le monde de l’artillerie vient de franchir un cap décisif. À l’occasion de la Future Artillery Conference à Londres, la jeune entreprise anglo-américaine Tiberius Aerospace a dévoilé une innovation qui pourrait transformer durablement la manière dont les armées opèrent à distance : le Sceptre TRBM 155HG, premier obus supersonique de 155 mm jamais conçu.
Afin de débarrasser l’atmosphère terrestre du CO₂ accumulé sous l’effet de l’action humaine, experts et entreprises veulent augmenter les capacités d’absorption de l’océan. Les océanographes, réunis en amont de la Conférence des Nations unies sur l’océan (UNOC), qui se tiendra à Nice, du 9 au 13 juin, restent très méfiants.
Sur le front, les militaires ukrainiens constatent les premières frappes menées par des munitions rôdeuses de longue portée, parfois guidées par une intelligence artificielle. Ces armes risquent d’être bientôt utilisées en très grande quantité, constituant une grave menace pour la logistique ukrainienne.
Entreprises, gouvernements... Beaucoup comptent sur l’océan pour absorber le CO2, en rendant l’eau moins acide notamment. Des scientifiques mettent en garde contre les « industriels fous » et des technologies « miraculeuses ».
Depuis quelques mois, ce jeune mouvement technocritique « révolutionnaire » se fait de plus en plus remarquer. Son discours radical, qui fait fi des questions de justice sociale au point d’être parfois qualifié de « réactionnaire », l’isole toutefois des autres collectifs écologistes dénonçant la fuite en avant technologique. Portrait d’un mouvement farouchement à contre-courant.
Imaginez un laser si puissant qu’il peut délivrer en un éclair une énergie cent fois supérieure à la consommation électrique mondiale. C’est exactement ce que vient de réaliser l’Université du Michigan avec son installation ZEUS, un système laser d’exception capable de produire des impulsions lumineuses atteignant 2 pétawatts (soit 2 millions de milliards de watts). Même si cet exploit ne dure qu’un instant incroyablement bref — 25 quintillionièmes de seconde — il ouvre des portes inédites à la recherche scientifique.
Et si, dans un futur proche, les drones de guerre ressemblaient à de simples pies ou goélands ? Ce n’est pas un scénario de science-fiction, mais une réalité que la Chine vient de dévoiler lors de la 10e Exposition des technologies intelligentes militaires (CMITE 2025). Parmi une impressionnante gamme d’engins autonomes, un type de drone en particulier a captivé l’attention : les ornithoptères, des drones biomimétiques qui volent, bougent et ressemblent à s’y méprendre à de vrais oiseaux. Et ce n’est pas juste pour faire joli.
Critical minerals, which are essential for a range of energy technologies and for the broader economy, have become a major focus in global policy and trade discussions. Price volatility, supply chain bottlenecks and geopolitical concerns make the regular monitoring of their supply and demand extremely vital.
Dans une avancée majeure pour l’aérospatiale et la défense, une startup américaine vient de franchir un pas décisif vers le vol hypersonique accessible. Venus Aerospace, basée à Houston, a réalisé avec succès le premier test en vol d’un moteur-fusée à détonation rotative (Rotating Detonation Rocket Engine, RDRE) aux États-Unis, capable de propulser un avion à des vitesses supersoniques extrêmes — jusqu’à Mach 6 — directement depuis une piste d’atterrissage conventionnelle.
Imaginez une machine capable de réaliser en une seconde ce qu’il faudrait 182 jours à toute l’humanité pour accomplir en comptant chacun une opération par seconde. Ce n’est pas de la science-fiction, c’est Jean Zay 4, la dernière version du supercalculateur français qui vient de quadrupler sa puissance pour devenir l’un des plus puissants d’Europe.
Aux États-Unis, une équipe d’ingénieurs a mis au point un robot de très petite taille, un bijou de technologie dont l’objectif est d’explorer le monde à hauteur d’insecte. Compact, performant, programmable et peu couteux, cette machine pourrait séduire plus d’un adepte.
Le dispositif n'incite pas au piratage malveillant et ce bien au contraire, puisqu'il s'agit de révolutionner le secteur de la cybersécurité.
La quête pour doter les robots d’une perception et d’une intelligence proches de celles des humains est au cœur des avancées technologiques actuelles. Une équipe de chercheurs de l’Université RMIT en Australie vient de franchir une étape majeure en développant un dispositif neuromorphique capable d’imiter la façon dont le cerveau humain traite l’information visuelle en temps réel. Cette innovation promet de transformer la robotique, la vision artificielle et, plus largement, les systèmes autonomes.
Ce modèle de robot-chien, bien qu’encore relativement nouveau dans le domaine de l’extinction des incendies, démontre un potentiel énorme dans le cadre de la robotique de secours. En plus de leur utilisation dans des missions de recherche et de sauvetage, ces robots pourraient être un jour déployés pour traiter des situations d’urgence dans des environnements aussi variés que les accidents industriels ou les catastrophes naturelles. Les développements futurs permettront sans doute d’ajouter encore plus de fonctionnalités, notamment en matière de navigation autonome ou d’intégration avec d’autres technologies de gestion des crises.
Alors que la course aux armements entre grandes puissances entre dans une nouvelle ère, un rapport récemment publié par des chercheurs de l’armée chinoise révèle une avancée qui pourrait bien redéfinir les équilibres stratégiques mondiaux. Ces scientifiques affirment que la Chine est désormais capable de lancer des missiles hypersoniques directement depuis l’espace, atteignant des vitesses phénoménales et comprimant drastiquement les délais de réaction de tout adversaire potentiel.
Avec seulement cinq grammes, le Twopan Nano SSD incarne une nouvelle génération de disques durs portables. Il s’agit du plus petit disque dur permettant le chiffrement par empreinte digitale. Selon ses créateurs, il s’agit ici d’une solution idéale pour transporter et utiliser ses données personnelles en déplacement.
Depuis plusieurs années, les forces armées du monde entier investissent massivement dans des technologies de pointe afin d’optimiser les performances des soldats, tant physiques que mentales. Alors que la guerre du futur se joue de plus en plus sur le terrain technologique, plusieurs innovations marquent un tournant dans l’amélioration des capacités humaines.
IA et climat : un même renoncement. Ce discours de la fatalité rappelle la manière dont sont pris en compte aujourd’hui les enjeux du changement climatique et de ses conséquences dramatiques pour l’humanité. Les pouvoirs publics main dans la main avec les intérêts économiques capitalistes ne veulent plus réfléchir aux moyens de freiner le réchauffement global et l’effondrement du vivant (
Gilets tactiques connectés, écouteurs Bluetooth, intelligence artificielle : l’Etat veut des « policiers et des gendarmes augmentés ». Une stratégie qui ne va pas sans interrogations sur la défense des libertés publiques.
Ce qui relevait hier encore de la science-fiction semble désormais à portée de main. Dans un rapport explosif remis au Congrès, la Commission de sécurité nationale sur les biotechnologies émergentes alerte : la Chine travaille activement à la mise au point de super-soldats génétiquement modifiés et assistés par intelligence artificielle. Une transformation radicale de la guerre est en cours, et les États-Unis pourraient perdre leur avance décisive si aucune action rapide n’est entreprise.
Le ciel de Cap Canaveral a récemment été traversé par une arme futuriste : Dark Eagle, le missile hypersonique développé par les États-Unis. Ce test secret, réalisé sans annonce préalable, marque une nouvelle étape dans la course aux armements hypersoniques. Et pour cause : cette arme est conçue pour atteindre une vitesse cinq fois supérieure à celle du son et frapper une cible située à près de 2 800 kilomètres… en quelques minutes seulement.
C’est une première mondiale passée (presque) inaperçue : la Chine vient de déployer la toute première constellation de satellites sur une orbite rétrograde lointaine (DRO) entre la Terre et la Lune. Une prouesse technologique qui marque un tournant dans l’exploration de l’espace profond… et qui pourrait bien redéfinir les futures missions lunaires.
Les océans pourraient bientôt être sillonnés par des navires sans équipage, capables de patrouiller pendant des semaines, de transporter des tonnes de matériel stratégique, et de répondre à des menaces sans qu’aucun marin ne soit à bord. Non, ce n’est pas le synopsis d’un nouveau blockbuster hollywoodien. C’est le pari audacieux que viennent de prendre les États-Unis avec le lancement du Marauder, un navire de surface autonome conçu par Saronic Technologies, une startup basée au Texas. Et derrière cette technologie futuriste se joue un enjeu bien plus grand : reconquérir la domination maritime face à la Chine.
Le « jour du dépassement » a été atteint le 19 avril dernier. Diminuer le produit intérieur brut (PIB) pour faire disparaître ce dépassement écologique n’impliquerait pas de retourner à l’âge de la bougie. C’est ce que conclut une étude appliquée à la France et à l’Allemagne. Le PIB par habitant soutenable d’aujourd’hui correspondrait à un niveau observé dans les années 1960. Tout en gardant les technologies actuelles.
La scène semble tout droit sortie d’un film de science-fiction, et pourtant, elle est bien réelle. À l’occasion du festival de Songkran, dans la province de Nakhon Pathom, la Thaïlande a dévoilé son tout premier robot de police alimenté par l’intelligence artificielle. Son nom officiel : Pol Col Nakhonpathom Plod Phai — ce qui signifie « Nakhon Pathom est sûr ». Son surnom officieux pourrait être plus simple : Robocop, version thaïe.
Une startup américaine du nom d’Aetherflux s’apprête à bouleverser notre façon de produire de l’énergie. Plutôt que de capter la lumière du soleil depuis des panneaux solaires terrestres, elle veut exploiter directement l’énergie solaire… depuis l’espace. L’entreprise vient de lever 50 millions de dollars pour accélérer le développement de sa technologie. Avec un tel investissement, cette approche autrefois jugée futuriste devient de plus en plus tangible.
Tout comme le photovoltaïque, l’éolien s’inscrit dans l’actuelle transition énergétique. Cependant, certaines interrogations subsistent encore en ce qui concerne le recyclage des éoliennes, notamment les pales. Si plusieurs solutions existent déjà, une nouvelle technologie à vu le jour en Chine, comme le révélait le China Daily le 12 février 2025. A l’Institut de physique chimique de Lanzhou, une équipe a eu l’idée de broyer les pales d’éoliennes avant de les traiter chimiquement. L’objectif ? Intégrer ces dernières dans du béton et des enrobés bitumineux comme l’asphalte afin de construire des routes.
Imaginez un robot qui ne se contente pas d’imiter nos mouvements, mais qui reproduit notre corps jusque dans ses moindres détails. C’est exactement ce que dévoile la startup polonaise Clone Robotics dans sa nouvelle vidéo fascinante – et légèrement inquiétante – de Protoclone, un androïde musculo-squelettique à la silhouette spectrale et aux mouvements troublants de réalisme.
Lors de la présentation avant l’Expo Osaka-Kansai 2025, l’entreprise a révélé son dernier concept de robot : Corleo, un cheval robotique propulsé par une pile à hydrogène, conçu pour être monté par des humains.
L’Agence internationale de l’énergie conforte un paradoxe bien connu dans son dernier rapport. Le déploiement de technologies bas carbone limite la hausse des émissions de gaz à effet de serre, mais les besoins des pays émergents contribuent à accroître la demande énergétique, relève Philippe Escande, éditorialiste économique au « Monde ».
Une étude de la Bank of America (BofA) suggère que 3 milliards de robots humanoïdes seront en circulation à travers le monde d’ici 2060. En raison des avancées technologiques et de la baisse des coûts de production, les ventes annuelles pourraient atteindre un million d’unités d’ici 2030, les robots à usage domestique représentant la majeure partie du marché. Cette croissance serait notamment portée par les progrès en intelligence artificielle et les innovations en matière de navigation.
Ruim een op de vier Vlamingen gebruikt artificiële intelligentie minstens maandelijks. Bij jongeren is dat zelfs ruim twee op drie. Maar terwijl het gebruik toeneemt, groeit ook de bezorgdheid over de technologie.
Grâce à une IA conçue pour l’optique quantique, des physiciens ont mis au jour une technique inédite pour simplifier l’intrication quantique et ainsi faciliter le développement des technologies quantiques.
Les technologies digitales ont investi les champs de bataille, qu’ils soient physiques ou numériques, explique le chercheur Julien Nocetti.
Depuis le lancement en 2022 de ChatGPT, le sujet de l’intelligence artificielle a envahi magazines et émissions télé, souvent avec une analyse superficielle de ses dangers. Ce développement technologique n’est pourtant pas si récent et est déjà utilisé par les États et les entreprises pour contrôler les populations.
Développé dès 2021 par EDF et Framatome, l’EPR2 ou « Evolutionary Power Reactor 2 » est un projet de version optimisée de l’EPR (anciennement appelé « réacteur nucléaire à eau pressurisé européen » ou « European Pressurized Reactor »).
Alors que Donald Trump est en train de jouer ses cartes, nous vous proposons deux articles pour comprendre les enjeux géopolitiques qui sont en train de se dessiner parmi les grandes puissances : Chine, USA et également l'Inde alors que l'Europe se fait déborder. On commence avec la position de la Chine. En fin de semaine, l'on verra que le téléphone de Trump à Vladimir Poutine joue avec les enjeux énergétiques et la dominance que permet le pétrole. Pékin resserre son emprise sur les technologies chinoises de pointe alors que les tensions commerciales avec les États-Unis et l'Europe s'intensifient.
Les Etats-Unis et le Royaume-Uni ne figurent pas parmi les 61 premiers pays signataires d’une déclaration pour une intelligence artificielle «durable pour les populations et la planète» publiée mardi à l’issue du Sommet sur l'IA.
Anticipée comme une nouvelle "révolution industrielle", l’intelligence artificielle (IA), objet d’un sommet lundi et mardi à Paris, suscite à la fois espoirs et inquiétudes, à l’image des avancées et désastres entraînés par les précédentes révolutions industrielles.
qui se soucie encore de ce petit oiseau à bec grêle ? Certes pas la cohorte des illuminés de la tech qui ont fait de l’intelligence artificielle leur nouvel eldorado ; moins encore les Bezos, Musk ou Zuckerberg, ces nouveaux prométhéens rêvant de terraformer Mars ou Vénus ou de remplacer l’homme par des robots intelligents...