Jean-Marc Jancovici

OA - Liste

2025

Chaque hiver, la mégapole de Delhi tousse à cause d’une pollution de l’air dangereuse. Le brûlis des pailles de riz par les agriculteurs n’est que l’une des causes d’un problème multifactoriel.

2024

La ville est confrontée chaque hiver à des pics de pollution causés par les fumées toxiques des usines, du trafic routier et des brûlis agricoles saisonniers.
La capitale indienne New Delhi a décidé jeudi la fermeture de toutes les écoles primaires jusqu'à nouvel ordre en raison de la pollution de l'air dans la mégalopole de plus de 30 millions d'habitants.
La capitale indienne n’a pas enregistré une seule journée avec un indice de l’air de bonne qualité cette année. Contrevenant aux interdictions, des pèlerins se baignent dans les eaux toxiques de la rivière Yamuna.
La capitale indienne, surpeuplée, ne parvient plus à alimenter tous les quartiers, notamment les bidonvilles, à travers son réseau délabré. Le commerce informel de la distribution d’eau par camions-citernes explose.
L’Inde est écrasée par une vague de canicule. Dans la capitale, les autorités ont mis en garde contre une « très forte probabilité de développer des maladies liées à la chaleur et des coups de chaud à tous les âges ».
Une température record de 52,3 °C a été enregistrée mercredi à New Delhi, la capitale de l’Inde. Les services météorologiques indiens, qui font état de "fortes vagues de chaleur", ont rapporté cette température record dans deux stations de la banlieue de New Delhi, Narela et Mungeshpur.
Le mercure a explosé dans la capitale indienne ce mercredi 29 mai. Pour se rafraîchir, les habitants ont massivement utilisé les systèmes de climatisation, faisant accroître la demande d’énergie. Au Pakistan, le thermomètre a grimpé à 53°C.

2023

Les autorités indiennes ont demandé aux écoliers ce vendredi 3 octobre de rester chez eux en raison d’un pic de pollution aux particules fines, particulièrement dangereuses pour la santé.
Les autorités ont annoncé, vendredi, que les écoles de la capitale indienne ont été fermées pour deux jours en raison d'un niveau dangereux de pollution atmosphérique due aux brûlis agricoles, au transport routier et aux émissions industrielles. Le niveau de particules fines, les plus dangereuses, est 35 fois supérieur au niveau maximum fixé par l'OMS.