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guerre conflit palestine
2025
Les Etats-Unis ont une nouvelle fois empêché mercredi le Conseil de sécurité de l'ONU de réclamer un cessez-le-feu et l'accès humanitaire à Gaza, premier véto de la nouvelle administration Trump au moment où leur allié israélien fait face à une pression internationale croissante.
Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahul l'a déclaré ce matin dans une vidéo sur Telegram.
Israël va autoriser l'entrée dans la bande de Gaza d'une "quantité de base de nourriture", a annoncé dimanche soir le bureau du Premier ministre Benjamin Netanyahu par voie de communiqué. Cette décision a été prise pour "éviter le développement de la famine dans la bande de Gaza", est-il indiqué.
Le ministre israélien de la Défense, Israël Katz, a annoncé ce vendredi avoir ordonné à l’armée de «saisir davantage de territoire à Gaza» qui pourra selon lui être «annexé» à Israël si le Hamas ne libère pas les otages. [...] Une rare critique du président israélien envers Benyamin Nétanyahou. Alors que l’armée israélienne poursuit ce vendredi son opération au sol dans le sud de la bande de Gaza, le président israélien Isaac Herzog s’est dit «troublé» par la reprise des combats.
Un État israélo-palestinien unique représente une possibilité crédible, à condition que des concessions importantes soient faites de part et d’autre.
Le 4 février, le président américain, Donald Trump, annonçait vouloir prendre le contrôle de la bande de Gaza et “transférer” sa population palestinienne en Jordanie et en Égypte. La proposition a fait l’effet d’une bombe, mais elle n’est pas nouvelle, rappelle le quotidien israélien “Ha’Aretz”.
La probable future ambassadrice américaine à l'ONU Elise Stefanik a raillé mardi la "gangrène antisémite" qui affecterait selon elle l'organisation internationale et a réaffirmé son indéfectible soutien à Israël dans son conflit avec les Palestiniens.
Le secrétaire d'Etat américain, Antony Blinken, a proposé mardi d'envoyer une force internationale de sécurité à Gaza et de placer le territoire palestinien sous la responsabilité de l'ONU, à l'issue de la guerre avec le Hamas.
2024
Alors que l’élection de Donald Trump pourrait conforter Benyamin Nétanyahou dans sa stratégie meurtrière, les ancien et actuel députés européens affirment, dans une tribune au « Monde », que le mandat d’arrêt de la CPI contre le premier ministre israélien n’est pas antisémite et appellent la France à reconnaître l’Etat palestinien.
Voici la réponse du sociologue Jean De Munck à l'opinion du psychologue, anthropologue et psychanalyste Francis Martens parue récemment dans La Libre, et qui a suscité de vives réactions. Le Professeur De Munck explique et argumente, point par point, les raisons de son désaccord avec M. Martens.
Le premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, a annoncé que la mort du chef du Hamas marquait « le début de la fin » de la guerre menée depuis plus d’un an dans la bande de Gaza.
Le dernier bilan des bombardements de lundi s’élève à 492 morts. La crainte d’une escalade dans la région va peser sur l’Assemblée générale de l’ONU cette semaine.
La tension est à son comble au Moyen-Orient.
L'Assemblée générale de l'ONU a réclamé mercredi la fin de l'occupation israélienne des territoires palestiniens dans les "12 mois" et appelé à des sanctions contre Israël, en colère contre cette résolution non contraignante, la qualifiant de "cynique".
Cette résolution non contraignante, adoptée mercredi, a provoqué la colère d’Israël, la qualifiant de « cynique ».
Le chef de la diplomatie européenne, Josep Borrell, a alerté mardi contre le risque de voir la Cisjordanie, où les violences se sont accrues depuis le début de la guerre entre Israël et le Hamas palestinien, "se transformer en nouvelle bande de Gaza".
La guerre dans la bande de Gaza entre Israël et le Hamas palestinien est entrée samedi dans son 12e mois sans signe de répit dans les bombardements meurtriers israéliens et sans espoir d'une trêve rapide ou d'une libération des otages.
Déclenchée par une attaque sans précédent du Hamas contre Israël le 7 octobre 2023, la guerre à Gaza a fait des dizaines de milliers de morts. Entré samedi dans son douzième mois, le conflit ne montre aucun signe de répit dans les bombardements meurtriers israéliens et reste sans espoir d'une trêve rapide ou d'une libération des otages. À Gaza, quelque 2,4 millions de personnes sont assiégées dans des conditions humanitaires et sanitaires cauchemardesques.
Une enquête internationale pour "crimes de guerre" doit être ouverte contre l'armée israélienne, qui a détruit de manière "injustifiée" des quartiers entiers de Gaza le long de la frontière de l'enclave palestinienne avec Israël afin d'y créer une zone tampon, réclame Amnesty international jeudi.
Professoral, une baguette à la main, Benjamin Netanyahou pointe un fin trait bleu sur une carte géante de la bande de Gaza. Un fin trait d’une importance capitale, défend le Premier ministre israélien. "La réalisation des objectifs de la guerre passe par le couloir de Philadelphi", assène-t-il, lors d’une conférence de presse donnée ce lundi 2 septembre. "Nous ne quitterons pas Philadelphi".