2025
Le Japon s'est engagé mardi à réduire de 60% ses émissions de gaz à effet de serre d'ici 2035 par rapport à 2013, dans le cadre d'un plan climatique à l'ambition relevée, et qui s'accompagne d'une révision de sa stratégie énergétique.La quatrième économie mondiale, encore très dépendante des hydrocarbures et accusée d'avoir le mix énergétique le plus polluant des puissances du G7, s'est déjà fixé pour objectif d'atteindre la neutralité carbone d'ici à 2050.
Donald Trump et Elon Musk s’en prennent aux administrations jugées hostiles, supprimant des postes, des bourses, des données. Pourtant, l’exemple des épurations militaires russes des années 1930 devrait les alerter, souligne l’économiste Pauline Grosjean dans sa chronique.
Seulement 5 % des signataires de l'Accord de Paris ont rendu leur plan pour réduire les émissions mondiales de gaz à effet de serre. Et ceux qui l'ont fait n'ont rien présenté d'ambitieux.
Human-driven ocean warming is increasingly overwhelming El Niño, La Niña, and other natural climate patterns.
Le climat s'emballe du côté de l'Arctique. Autrefois puits de carbone, la toundra émet désormais plus de CO2 qu'elle n'en absorbe.
Le réchauffement climatique et la pollution seraient à l’origine du déclin massif des récoltes en Galice, l’une des plus grandes régions productrices de moules. En 2023, la baisse a particulièrement touché les coques et les palourdes.
As authorities declared 2024 the hottest on record, a key private sector climate alliance, the Glasgow Financial Alliance for Net Zero (GFANZ) abandoned a requirement that members be aligned to the Paris agreement. That was followed by a network of net zero asset managers suspending work, and deleting from its website its statement of commitments that members must adopt, after BlackRock, the biggest of them all, quit its ranks.
Le président américain a signé de nombreux décrets et a annoncé de nombreuses mesures fortes ce lundi, à l'occasion de son investiture.
Alors que se tient du 20 au 24 janvier le Forum économique mondial à Davos, les jets privés affluent en Suisse. L’occasion d’un portrait-robot, entre émissions de gaz à effet de serre et controverses.
Pour faire face à la hausse de ses émissions, l'aérien s’apprête à augmenter la part des carburants alternatifs pour faire voler ses avions. Une stratégie dont les résultats pourraient être affaiblis si le trafic n’est pas maîtrisé.
Les récentes mesures satellitaires révèlent une augmentation alarmante du HFC-125, un gaz à effet de serre 3 500 fois plus puissant que le CO₂, posant un défi urgent pour la régulation climatique mondiale.
Climatologue, Peter Kalmus a vécu 14 ans près de Los Angeles, avant de partir face aux risques croissants d’incendies. Son ancienne maison vient d’être détruite. Il raconte sa colère, car « les feux n'étaient pas une fatalité ».
En septembre 2022, des explosions sous-marines ont gravement endommagé les gazoducs Nord Stream 1 et 2, libérant une quantité stupéfiante de méthane dans l'atmosphère. Les dernières études publiées révèlent que les émissions de méthane dues à cet incident sont plus du double des estimations initiales, posant un risque environnemental bien plus grave que ce que l'on croyait auparavant.
Les niveaux de dioxyde de carbone (CO2) dans l'atmosphère ont augmenté en 2024 à une vitesse jamais égalée auparavant, dépassant les prévisions du Bureau britannique de météorologique, a indiqué ce dernier vendredi.
Dans un rapport publié ce lundi, l'ONG Transport & Environment estime que la trajectoire du monde de l’aviation met en péril les objectifs climatiques que l’UE s’est fixés. Et aimerait des mesures contre le développement des aéroports.
Les températures records mesurées en 2024 ne s’expliquent que partiellement par les activités humaines émettrices de gaz à effet de serre. Celles-ci surprennent jusqu’aux scientifiques.
Les États-Unis, deuxième pollueur mondial, n'ont réduit leurs émissions de gaz à effet de serre que de 0,2% en 2024 par rapport à l'année précédente, bien loin de leurs objectifs climatiques, estime jeudi un rapport indépendant.Après un recul estimé à 3,3% en 2023, la baisse de ces émissions a quasiment stagné, selon une première estimation du centre de recherche américain Rhodium Group. Une projection qui écarte dangereusement les Etats-Unis de leur trajectoire, et ce avant même l'entrée en fonction le 20 janvier de Donald Trump, grand défenseur des énergies fossiles.
Les émissions de gaz à effet de serre de l'Allemagne, première nation industrielle d'Europe, ont poursuivi leur baisse en 2024, mais au ralenti, faute d'investissements suffisants des entreprises et des ménages dans des technologies plus respectueuses du climat, selon une étude publiée mardi.Après un recul très marqué d'environ 10% en 2023, la courbe de réduction des émissions allemandes s'est "nettement infléchie" l'an dernier avec une baisse limitée à 3%, indique le rapport annuel du groupe d'experts Agora Energiewende, un organisme allemand de référence.
Le président américain profite de ces derniers jours pour légiférer dans tous les sens. Il devrait annoncer ce lundi 6 janvier une vaste interdiction de nouveaux forages offshores.
Une étude sur les vêlages en Antarctique apporte des réponses, tout en mettant en lumière un aspect moins visible mais plus préoccupant.