Jean-Pascal Van Ypersele

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2025

La réduction de la consommation d'énergies fossiles en Belgique reste insuffisante pour être en ligne avec l'objectif obligatoire de 2030 et un chemin vers la neutralité climatique, lit-on samedi dans Le Soir.
Un armateur norvégien a annoncé avoir modifié un de ses navires pour en faire "le premier au monde" doté à bord d'un système de captage et de stockage du CO2 à grande échelle afin de réduire ses émissions.Alimenté au fioul lourd, un carburant décrié pour ses émissions élevées de soufre, particules fines et dioxyde de carbone, le Clipper Eris devrait voir ses rejets de gaz à effet de serre (GES) réduits de jusqu'à 70%, a indiqué son propriétaire, le groupe Solvang.
Alors que la crise climatique frappe la Grande-Bretagne, nous devons renforcer la résilience au niveau local en réensauvageant, en économisant l'eau et en luttant contre les inondations.
C’est un mot en 9 lettres qui fend le ciel bleu que la météo hivernale (certes froide) nous offre depuis quelques jours : "exécrable". On ne parle évidemment pas de la lumière, carburant essentiel de nos réserves en vitamine D, mais de ce qui ne se voit pas au premier coup d’œil : la qualité de l’air. Or, elle est "exécrable" donc dans les principales villes du pays.
Dans un rapport publié ce lundi, l'ONG Transport & Environment estime que la trajectoire du monde de l’aviation met en péril les objectifs climatiques que l’UE s’est fixés. Et aimerait des mesures contre le développement des aéroports.
En quelques jours, les grands patrons français ont gagné autant que leurs employés en un an, tout en épuisant leur budget carbone annuel.
Alors que 2024 est officiellement la première année à avoir dépassé les 1,5°C de réchauffement et que l'objectif de se maintenir sous ce seuil de l'Accord de Paris semble de plus en plus inatteignable, certains s'interrogent sur la possibilité de revenir plus tard à des températures plus clémentes à grand recours de géo-ingénierie. Un scénario qui n'empêcherait pas certaines conséquences irréversibles du réchauffement climatique, alertent les spécialistes.
En seulement dix jours, les 1 % les plus riches de la planète ont émis, chacun, plus de 2 tonnes de CO₂. Soit la totalité du budget carbone annuel dont dispose chaque humain si l’on veut contenir le réchauffement climatique.
Les températures records mesurées en 2024 ne s’expliquent que partiellement par les activités humaines émettrices de gaz à effet de serre. Celles-ci surprennent jusqu’aux scientifiques.
La baisse a été de 3 % en 2024, grâce à une forte progression des renouvelables dans la production d’électricité. Le revers est une plus grande variabilité des prix, dans une économie en stagnation.