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Asie
2025
De wereldwijde economische kost van invasieve soorten ligt tot 1600% hoger dan tot nog toe werd gedacht, blijkt uit onderzoek in het wetenschappelijk tijdschrift Nature. Europa is het zwaarst getroffen.
Aujourd’hui, le niveau d’enneigement de l’Hindou-Kouch-Himalaya est au plus bas, du jamais vu depuis plus de deux décennies. Or, une douzaine d’importants fleuves d’Asie dépendent en partie de cet enneigement. Malheureusement, cette situation pourrait à terme impacter près d’un quart de la population mondiale.
Tant qu’elles ont été maintenues sous l’éteignoir colonial, les économies asiatiques n’ont guère contribué au réchauffement planétaire : en 1950, l’Asie contribuait à hauteur de 6% aux rejets mondiaux de CO2 d'origine fossile. Leur émergence a totalement changé la donne : en 2024, l’Asie compte pour 56 % des émissions mondiales de CO2 d’origine fossile (production de ciment incluse). La Chine et l’Inde pour respectivement 32% et 9%. De leurs décisions dépendra largement la possibilité, ou non, de passer le pic mondial des émissions durant la décennie 2020.
Climate change deaths are largely underreported as the crisis impacts millions and strains an already overburdened healthcare system, according to a new Amnesty International report.
L'administration Trump prévoit d'imposer 3.521% de droits de douane -- soit des taxes correspondant à plus de 35 fois le prix -- à des entreprises chinoises basées au Cambodge, et jusqu'à 375% pour un concurrent installé en Thaïlande. Les panneaux solaires et cellules provenant de Malaisie se verraient imposer un taux d'environ 40%. Mais selon un expert, cette offensive pourrait faire bouger les lignes en Asie du Sud-Est. "Les droits de douane et la guerre commerciale devraient accélérer la transition énergétique en Asie du Sud-Est", explique Ben McCarron, directeur du cabinet de conseil Asie Research & Engagement, basé à Singapour. La Chine "redoublera d'efforts" sur les marchés régionaux, en faveur de politiques qui puissent "permettre l'adoption rapide d'énergies vertes dans la région", sous l'impulsion de ses exportateurs, poursuit-il. Les analystes préviennent de longue date que les pays de la région n'avancent qu'à petits pas sur le sujet, restant attachés aux énergies fossiles, à l'heu
Temperatures south Asians dread each year arrive early as experts talk of ever shorter transition to summer-like heat
Canicule en Asie et au Moyen-Orient : 49 °C au Koweït, 48 °C au Pakistan, 47,6 °C en Arabie saoudite
- Eléonore Disdero,Maximiliano Herrera,
En cette fin avril, les températures atteignent de nouveaux records en Asie centrale et au Moyen-Orient.La saison chaude commence à peine, que le mercure s’affole déjà sur le continent asiatique, de l’Irak à l’Inde, en passant par l’Arabie Saoudite et le Pakistan. «En trois siècles d’histoire climatique, rien ne peut être comparé à ce qui se passe actuellement en Asie», a alerté Maximiliano Herrera, climatologue et spécialiste des records climatiques, ce dimanche 27 avril sur le réseau social Bluesky. «Des dizaines de milliers de records sont battus avec des marges insensées dans toute l’Asie. Nous assistons à l’événement le plus extrême jamais observé», pointe-t-il.
For hundreds of millions of people living in India and Pakistan the early arrival of summer heatwaves has become a terrifying reality that’s testing survivability limits and putting enormous strain on energy supplies, vital crops and livelihoods. Both countries experience heatwaves during the summer months of May and June, but this year’s heatwave season has arrived sooner than usual and is predicted to last longer too. Temperatures are expected to climb to dangerous levels in both countries this week.
La réunion fut organisée en urgence en raison du contexte d’accélération des relèvements de droits de douane imposés par les États-Unis. Des ministres sud-coréens, japonais et chinois chargés de l’industrie ou du commerce se sont retrouvés, dimanche 30 mars à Séoul, pour renforcer leur coopération alors que l’économie de ces trois puissances asiatiques reste fortement dépendante de leurs exportations.
Le président américain Donald Trump a évoqué mardi devant le Congrès un "immense" projet de gazoduc en Alaska qui intéresserait le Japon et la Corée du Sud.Il s'agit du retour d'un ancien projet de gazoduc visant à transporter le gaz extrait du nord de l'Alaska sur 1.300 kilomètres jusqu'à un port du sud de l'Etat américain, où il serait transformé en gaz naturel liquéfié (GNL) et exporté par navire vers l'Asie.- Ce qu'a dit Trump