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protoxyde

28 octobre 2024

L'Organisation mondiale de la météorologie (OMM) publie ce lundi 28 octobre son relevé annuel des différents gaz à effet de serre présents dans l'atmosphère. Si le CO2 pèse pour 65 % dans le réchauffement climatique, le méthane (CH4) et le protoxyde d'azote (N2O) sont également impliqués dans le réchauffement planétaire. Un autre rapport de l'ONU-Climat demande aux pays d'augmenter l'ambition de leurs plans climat pour s'aligner sur la trajectoire climatique de l'Accord de Paris.

12 juin 2024

Dans les esprits, gaz à effet de serre rime souvent avec CO2. De plus en plus aussi avec méthane. Mais la réalité scientifique est qu’il existe d'autres gaz à effet de serre. Parfois très puissants, même. Et les émissions de l’un d’entre eux dont on parle encore très peu, le protoxyde d'azote, ont littéralement explosé.

26 octobre 2022

Le niveau de ce puissant gaz à effet de serre a fait un bond sans précédent dans l’atmosphère l’an dernier. Le CO2 et le protoxyde d’azote continuant également à battre des records, a révélé mercredi l’ONU.

11 janvier 2022

La méthode utilisée est basée sur des calculs « input-output », issus des tableaux entrées-sorties symétriques de la comptabilité nationale, et prend en compte les 3 principaux gaz à effet de serre (GES) : le dioxyde de carbone (CO2) fossile, le méthane (CH4) et le protoxyde d’azote (N2O).

25 octobre 2021

Dans son bulletin annuel, l’Organisation météorologique mondiale révèle que les rejets de CO2, de méthane et de protoxyde d’azote ont été à des niveaux inégalés en 2020. Le taux d’augmentation annuel des gaz responsables du réchauffement de l’atmosphère dépasse désormais la moyenne de la dernière décennie.

31 juillet 2021

Ce phénomène naturel de piégeage par l’atmosphère de la fraction du rayonnement solaire ré-émis par la Terre, l’effet de serre, est amplifié par les rejets excessifs de gaz majeur : gaz carbonique (CO2), méthane (CH4), protoxyde d’azote ou d’oxyde nitreux (N2O), d’ozone (O3) et de gaz mineurs comme l’hexachlorofluorocarbone (HCFC), les perfluorocarbures (PFC) et l’hexafluorure de soufre (SF6). Ou, les concentrations des trois gaz majeurs « ont crû de façon notable du fait des activités humaines depuis 1750 »

12 juillet 2021

L’une des études menées par Brett Jameson et son équipe nous apprend que ces zones mortes peuvent également avoir un effet néfaste sur l’atmosphère terrestre. Car les sédiments produisent du protoxyde d’azote, puissant gaz à effet de serre..

27 juin 2021

Pourtant, le N2O est environ 300 fois plus puissant que le dioxyde de carbone pour réchauffer l'atmosphère. Et comme le CO2, il a une longue durée de vie, puisqu'il passe en moyenne 114 ans dans le ciel avant de se désintégrer.

18 décembre 2020

Communément dénommé "gaz hilarant", le protoxyde d’azote n’a rien d’amusant. C'est en effet le troisième gaz à effet de serre le plus présent dans l'atmosphère, responsable du changement climatique mais aussi de la destruction de la couche d'ozone. Et sa concentration ne cesse de croître : + 30 % depuis 1980 en raison de l'explosion de l'utilisation d'engrais azotés dans l'agriculture. En France, les citoyens de la Convention climat appellent à taxer leur utilisation.

19 juin 2020

L’agence américaine NOAA estime que la concentration de gaz à effet de serre dans l’atmosphère (dioxyde de carbone, méthane, protoxyde d’azote, halocarbures) a atteint l’an passé 500 parties par million en équivalent CO2. Les chances de limiter le réchauffement à +1,5°C fondent en dessous de 30%. Et au rythme actuel, celles de le limiter à + 2°C passeront inévitablement sous la barre des 50% dans quelques années, à 530 ppm équivalent CO2.

20 mai 2020

25 novembre 2019

De récentes mesures montrent que la concentration atmosphérique en protoxyde d’azote, un gaz à effet de serre notable, augmente bien plus rapidement qu’attendu. En cause, l’utilisation grandissante d’engrais et de fertilisants synthétiques à l’échelle globale. Des résultats rendus publics le 18 novembre dernier.

31 décembre 2018

Tous les scénarios envisagés par la communauté scientifique sont alarmistes et une augmentation de +5 °C se profile à l’horizon 2100 si rien n’est fait pour l’empêcher. Problème, non seulement ce scénario est, tel quel, catastrophique, mais il pourrait être décuplé par un autre phénomène : la fonte du permafrost.


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