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27 octobre 2025
Vingt-huit projets d'extraction de pétrole, gaz ou charbon de grande ampleur sont entrés en exploitation depuis 2021 malgré leur catastrophique impact à venir sur le climat, selon des données publiées lundi par plusieurs ONG. Les "bombes carbone" ont été définies en 2022 dans un article de recherche comme des projets d'énergies fossiles capables de générer chacun plus d'un milliard de tonnes de CO2 sur leur durée de vie. Les auteurs en dénombraient alors 425 dans le monde. Les organisations autrices du nouveau décompte (Lingo, Data for Good, Reclaim Finance, Eclaircies) estiment que 28 projets de ce type ont démarré entre 2021 et 2025, et 12 ont été annulés. Leur décompte total est de 601, dont 365 projets dont les émissions sont encore évaluées à plus d'1 milliard de tonnes. La différence est due aux projets ayant été consommés ou réévalués. Leur analyse se fonde sur des bases de données des secteurs énergétiques et financiers.
À deux semaines de la conférence mondiale sur le climat au Brésil, un consortium d’ONG publie de nouvelles données sur les «bombes carbone», ces projets d’extraction fossile qui pourraient générer des quantités faramineuses de CO2 sur l'ensemble de leur durée de vie. Pétrole, gaz, charbon : les associations ont recensé 601 mégaprojets.
Le monde compte désormais 600 bombes carbone et plus de 2 300 projets fossiles, selon l'actualisation de la carte carbonbombs publiée ce lundi 27 octobre par quatre associations, dont Data for Good et Reclaim Finance. Une tendance à la hausse alors que le scénario 1,5°C de l'Accord de Paris impose la fin de tout nouveau projet fossile depuis 2021.
26 octobre 2025
Selon une récente étude, les forêts tropicales d’Australie sont les premières au monde à ne plus pouvoir assurer leur rôle de puits de carbone. Evidemment, ce phénomène inquiétant est en étroit lien avec l’actuel dérèglement climatique. De plus, l’étude révèle que d’autres forêts tropicales pourraient subir le même sort à l’avenir.
Dans cette conférence sur la chaîne France Nature Environnement Haute Savoie l’astrophysicien et philosophe Aurélien Barrau professeur à l’Université Grenoble Alpes directeur du Centre de Physique Théorique Grenoble Alpes et chercheur au LPSC CNRS explore la transformation nécessaire de notre modèle agricole et économique pour le rendre vivable pour les praticiens et soutenable pour la Terre il insiste sur la responsabilité collective la justice sociale la réduction du temps de travail la sobriété matérielle et l’importance d’une vision systémique au delà des réponses individuelles il évoque les enjeux de la formation des élites la critique de la croissance matérielle la place du vivant la solidarité locale et la recherche de sens mots clés écologie agriculture transition écologique décroissance modèle agricole CO2 emploi collectif politique public sobriété résilience effondrement formation élites université Grenoble sciences philosophie poésie
24 octobre 2025
C'est un grand ouf de soulagement. Jeudi 23 octobre, après de longs mois de blocage, les pays de l'Union européenne se sont accordés sur un objectif de réduction des émissions de gaz à effet de serre de -90% d'ici 2040. Un compromis qui aura nécessité de nombreux assouplissements sur la loi déforestation, l'interdiction des véhicules thermiques neufs en 2035 ou encore l'extension du marché carbone européen en 2027.
22 octobre 2025
Malgré les critiques, les Européens s’apprêtent à ouvrir largement la porte à l’utilisation des crédits carbone dans la réduction de leurs émissions. La Belgique est notamment très demandeuse.
Un conseil européen doit débattre, jeudi, d’un nouvel objectif de baisse des émissions de CO2 pour 2040. Mais cet ensemble de mesures environnementales pourrait ne pas résister aux demandes de flexibilité de plusieurs Etats, dont la France.
Om de opwarming van de aarde af te remmen zullen we actief CO2 uit de atmosfeer moeten halen, naast de inspanningen die we al leveren om de uitstoot van broeikasgassen te verminderen. Een nieuwe studie onder leiding van de Universiteit van Cambridge toont dat de combinatie van goedkope, op natuur gebaseerde oplossingen en duurdere technologie de beste kansen biedt.
21 octobre 2025
Les scientifiques alertent face à la métamorphose chimique que subit le grand bleu. Un «processus silencieux et invisible», mais très grave.
20 octobre 2025
Dopé par les réseaux sociaux et l’attrait du dépassement de soi, le trail est devenu un sport de masse. Mais derrière son image de communion avec la nature se cache un tourisme sportif délétère pour la planète.
18 octobre 2025
Les forêts tropicales humides australiennes sont désormais les premières à passer du statut de puits de carbone à celui de source d’émissions, selon une analyse s’étendant sur plusieurs décennies. Ce basculement serait lié à des températures toujours plus extrêmes et à des épisodes de sécheresse plus intenses, entraînant une hausse notable de la mortalité des arbres. Ces observations pourraient annoncer la trajectoire que suivront les forêts tropicales du monde au cours des prochaines décennies.
17 octobre 2025
Sous pression de Washington, les pays membres de l’Organisation maritime internationale (OMI) ont repoussé d’un an l’adoption d’un projet qui devait instaurer une tarification carbone sur le transport maritime mondial. Un revers pour l’action climatique internationale à quelques semaines de la COP30.
A climate-focused report out of Europe throws serious shade at plug-in hybrid electric (PHEV) cars, pointing out that they emit nearly as much carbon dioxide emissions as combustion engine-powered vehicles. In fact, it highlights how real-world emissions from supposedly greener PHEVs has increased over the years above officially recorded figures to nearly five times. Yikes! The findings come from the European Federation for Transport and Environment (T&E), a clutch of non-government organizations focused on sustainable transport policy across the continent. The report has been published ahead of a review of automotive CO2 emission standards, which would see Europe continue to sell plug-in hybrid electric vehicles beyond 2035, when they're set to be phased out in order to meet EU climate targets.
Nooit steeg de concentratie van het broeikasgas CO2 in onze atmosfeer zo hard door als in 2024. Dat blijkt uit een nieuw rapport van de Wereldmeteorologische Organisatie (WMO). "De laatste keer dat we met zulke hoge concentraties aan broeikasgassen zaten, was 3 tot 5 miljoen jaar geleden, nog vóór de moderne mensheid. Het was toen 2 tot 3 graden Celsius warmer dan nu, met een zeespiegel die tot 20 meter hoger was." Dat het nu nog niet zover is, komt door de traagheid waarmee de planeet reageert op de veranderingen.
L’année 2024 vient de marquer un tournant climatique que les scientifiques redoutaient depuis des décennies. Pour la première fois depuis le début des enregistrements, le dioxyde de carbone a atteint un niveau record qui ne laisse aucune place au doute : notre planète s’engage vers un réchauffement dont les effets se feront sentir pendant des siècles. Ce n’est pas une hypothèse, c’est un constat établi par l’Organisation météorologique mondiale.
L’accord, qui concerne les navires ayant une jauge brute supérieure à 5 000 tonnes, est en suspens à la suite des pressions exercées par Washington et plusieurs pays producteurs d’hydrocarbures, dont l’Arabie saoudite.
16 octobre 2025
Une étude de l'ONG Transport & Environnement affirme que l'impact carbone des biocarburants est pire que celui des combustibles fossiles. Mais cela dépend des pays et des types de biocarburants.
Décimées par les événements climatiques extrêmes, ces zones boisées ne peuvent plus jouer leur rôle de «puit de carbone», alerte une étude publiée mercredi dans la revue «Nature». D’autres forêts tropicales pourraient être touchées à l’avenir.
La concentration de dioxyde de carbone (CO2) dans l'atmosphère a connu l’an dernier sa plus forte hausse depuis 1957, a alerté mercredi l’Organisation météorologique des Nations unies (OMM). En cause, l’augmentation continue des émissions de gaz à effet de serre d’origine humaine, qui affaiblit la capacité des forêts et des océans à absorber le carbone.





