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2024

L’ouragan le plus précoce jamais enregistré par les services météorologiques américains a atteint le sud des Etats-Unis, et fait ses premières victimes au Texas.
Ce week-end et en début de semaine prochaine, la Californie et le sud-ouest des États-Unis vont connaître une vague de chaleur brutale et particulièrement longue, prévient la presse américaine. De nombreux records de température pourraient tomber.
Contrôler le climat, une solution à double tranchant ? Depuis quelque temps, la géo-ingénierie vient régulièrement à la rescousse du climat et de l’augmentation des températures à travers le monde. C’est à cette technologie que les États-Unis pensent de plus en plus à s’allier pour faire face aux vagues de chaleur qui font actuellement rage.
La chaleur extrême qui frappe l'ouest des États-Unis doit atteindre son point culminant jeudi, une vague qui annonce peut-être un été suffocant au moment où l'ONU prévient que la planète est en surchauffe. Las Vegas suffoque par 44 degrés Celsius et la région désertique de la Vallée de la mort doit s'approcher des 49 degrés, en raison d'un système météorologique anticyclonique oppressant. Selon les scientifiques, les canicules à répétition sont un marqueur sans équivoque du réchauffement de la planète et ces vagues de chaleur sont appelées à se multiplier, à durer plus longtemps et à s'intensifier.
L’État du Vermont a fait passer une loi, le 30 mai, pour réclamer de l’argent aux entreprises d’énergies fossiles, responsables de catastrophes climatiques. Une loi historique, pas si simple à mettre en place. Atlanta (États-Unis), correspondance Les groupes d’énergies fossiles devront payer. Du moins c’est ce qu’espère l’État du Vermont, dans le nord-est des États-Unis. La loi « Climate Superfund Act », première de ce genre dans le pays, est entrée en vigueur le 30 mai — d’autres États comme celui de New (...)
Des chercheurs ont effectué un essai de géo-ingénierie consistant à projeter des cristaux de sel dans l’atmosphère au-dessus de la baie de San Francisco. Ce type d’expérience étant largement controversé, les organisateurs sont jusqu'ici restés discrets afin de limiter les réactions.
Les Etats-Unis vont voir se développer d'ici 30 ans une "ceinture d'extrême chaleur" allant de la Louisiane, dans le sud du pays, au lac Michigan au nord, en traversant le Midwest américain, selon un nouveau rapport publié le 15 août. Cette zone, où vivent plus de 100 millions d'Américains et qui couvre un quart du pays, subira en 2053 au moins une journée d'extrême chaleur par an, avec une température ressentie de plus de 51°C, selon ce rapport de l'organisation à but non lucratif First Street Foundation.
Le phénomène mystérieux du “trou de réchauffement” qui concerne les États de l’Est américain s’explique en partie par la reforestation à l’œuvre depuis un siècle, d’après une nouvelle recherche.
Le gouvernement de Joe Biden a annoncé jeudi repousser à plus tard des mesures devant réduire les émissions de CO2 de centrales à gaz déjà existantes, annoncées l'année dernière mais qu'il dit désormais vouloir renforcer avant qu'elles soient adoptées.Cette décision risque toutefois de reporter la proposition de nouvelles règlementations plus strictes à après l'élection présidentielle de novembre.
La qualité de l’air risque de se détériorer fortement aux États-Unis dans les trois prochaines décennies en raison du réchauffement climatique et pourrait pousser des résidants des régions les plus touchées à déménager, souligne une nouvelle étude.
En 2012, deux auteurs d’extrême droite avaient dénigré les travaux du célèbre climatologue Michael E. Mann. Une victoire pour la science du climat, devenue la cible préférée du complotisme.
De jeunes militants de la lutte contre le changement climatique ont brièvement interrompu dimanche un meeting de...
Les émissions de gaz à effet de serre des Etats-Unis ont diminué de 1,9% en 2023, selon un rapport mercredi du centre de recherche Rhodium Group, une baisse qui doit tripler pour que la première économie mondiale puisse tenir ses objectifs climatiques de l'accord de Paris.Les Etats-Unis, deuxième plus gros émetteur mondial, se sont engagés à réduire de moitié leurs émissions d'ici 2030 par rapport à 2005. Pour l'instant, la baisse depuis 2005 est de 17,2%, selon cette estimation.
L’un des plus gros pollueurs au monde réenclenche la baisse de ses émissions de gaz à effet de serre, a dévoilé un centre de recherche américain mercredi 10 janvier. Mais cette baisse doit plus que tripler d'ici 2030.

2023

Au troisième jour du sommet mondial à Dubaï, vice-présidente Kamala Harris a annoncé ce samedi 2 septembre une contribution américaine dans le Fonds vert pour le climat. Une première depuis 2014.
Les Etats-Unis, deuxième plus gros émetteur mondial de gaz à effet de serre, se sont engagés à réduire de moitié leurs émissions d'ici 2030 par rapport à 2005, mais les mesures prises jusqu'à présent ne permettront pas, pour le moment, d'atteindre cet objectif, selon des analystes.
Les compagnies pétrolières américaines peuvent dire un grand merci à l’Arabie Saoudite et à la Russie. Les deux pays leaders du cartel baptisé Opep+ ont réussi pendant une bonne partie de l’année, au printemps et en été, à faire monter régulièrement les cours du baril de pétrole en réduisant l’offre. Une stratégie qui a fait le bonheur des producteurs américains de pétrole, notamment de pétrole de schiste, qui vont battre cette année leur record de production. Au total, les Etats-Unis devraient avoir produit en moyenne cette année environ 13 millions de barils par jour, un million de plus que l’an dernier, ce qui correspond exactement à la baisse de production de l’Arabie Saoudite depuis le printemps.
Les deux puissances rivales vont créer un groupe de travail commun sur le climat, une déclaration symbolique à deux semaines de l’ouverture de la COP28 à Dubaï. Mais elles continuent d’éluder le cœur du problème, les énergies fossiles.
La Chine et les Etats-Unis ont annoncé mercredi le lancement d'un groupe de travail commun sur le climat, les deux pays renforçant leur coordination à quelques heures d'un entretien entre leurs dirigeants à San Francisco.
Les Etats-Unis et la Chine, les deux plus grands émetteurs de CO2 au monde, vont tenir ce week-end des discussions en Californie en préparation de la conférence de l'ONU sur le climat, la COP28 de Dubaï, a annoncé jeudi le département d'Etat.
Fervent soutien de Donald Trump, Mike Johnson a été élu le 25 octobre président de la Chambre des représentants. Proche de l’industrie pétrolière, il a nié par le passé le changement climatique.
Face aux risques climatiques, des millions d'Américains ne trouvent déjà plus d'assureurs privés. En cause, des coûts devenus exorbitants et l'abandon par les assureurs de certaines zones. Or selon un rapport de la First Street Foundation, cette situation pourrait s'aggraver. 39 millions d'habitations, soit près d'un quart du pays, ne paient pas encore le coût des risques actuels.
De nombreuses organisations et experts environnementaux se sont insurgés jeudi contre les positions sur le changement climatique exprimées par des candidats républicains à la présidentielle américaine durant leur premier débat télévisé la veille.
Il y a peu, un groupe de jeunes vivant dans l'état du Montana (États-Unis) a remporté un procès climatique historique, le premier du genre.
Les jeunes Montaniens, âgés de 5 à 22 ans, qui accusaient l'État du Montana d'avoir violé leur droit à un environnement sain viennent de remporter une victoire historique. La juge leur a donné raison, invoquant la Constitution de l'État américain. Une première.
Les Etats-Unis ont annoncé vendredi investir 1,2 milliard de dollars dans deux projets de captage de CO2 directement dans l'atmosphère, "le plus gros investissement" jamais réalisé dans cette technologie, qui vise à lutter contre le réchauffement climatique mais reste décriée par certains experts. "Réduire nos émissions seul ne renversera pas les conséquences grandissantes du changement climatique; nous avons aussi besoin de retirer le CO2 que nous avons déjà émis dans l'atmosphère", a déclaré dans un communiqué Jennifer Granholm, la ministre américaine de l'Energie.
Le président américain Joe Biden a décrété jeudi l'état de catastrophe naturelle pour Hawaï, où des incendies fulgurants ont détruit une ville sur l'île de Maui et fait au moins 53 morts, ce qui va permettre de débloquer d'importantes aides fédérales pour l'archipel.
Le « York Fire » menace la biodiversité exceptionnelle du désert Mojave, notamment les arbres de Josué, emblématiques de l’Ouest américain.
La vague de chaleur qui traverse l’hémisphère Nord n’épargne pas les Etats-Unis, où plus de 1 500 records de chaleur ont été enregistrés en juillet. En Arizona, la température extrême du sol entraîne un pic de cas de brûlures.
Chaleurs étouffantes, incendies meurtriers, tempêtes de grêle et inondations : en ce mois de juillet, les aléas climatiques extrêmes se multiplient en Italie, en Grèce, aux États-Unis, au Canada ou encore en Algérie. Notre tour d’horizon en vidéo, pour mesurer l’ampleur de la crise.
La Grèce se trouve en “vigilance absolue” pour canicule samedi avec des températures attendues au-dessus de 44°C ce week-end, pendant que la vague de chaleur record frappant le sud des États-Unis risque de progresser à travers le pays.
Du Texas à l’Arizona, il y a des alertes aux températures élevées sans discontinuer aux Etats-Unis depuis 38 jours. Les hôpitaux parlent de dizaines de décès liés à la chaleur.
Du Texas à l’Arizona, il y a des alertes aux températures élevées sans discontinuer aux Etats-Unis depuis 38 jours. Les hôpitaux parlent de dizaines de décès liés à la chaleur.
Selon James Hansen – le scientifique des Etats-Unis qui a alerté le monde sur l’effet de serre dans les années 1980 – le monde est en train de basculer vers un climat surchauffé jamais vu l’existence de l’homme, parce que «nous sommes de sacrés imbéciles» pour ne pas avoir réagi aux avertissements concernant la crise climatique.
Dans l’hémisphère nord, des records de température sont atteints. La faute à des dômes de chaleur, boostés par l’influence humaine et dont la fréquence risque de s’intensifier.
Dôme de chaleur dans le sud des Etats-Unis, alertes rouges en Italie, au Japon ou en Roumanie, incendies en Espagne… une nouvelle semaine de canicule commence dans beaucoup de zones d’Europe, d’Amérique du Nord et d’Asie.
Dôme de chaleur aux États-Unis, la barre des 10 millions d'hectares brûlés franchie au Canada, des alertes canicules en Espagne, en Italie et en France avec plus de 40°C attendus, l’Acropole d’Athènes fermée en raison des fortes températures, coup de chaleur au Japon et record de température en Chine : l’été 2023 confirme que le changement climatique est bel et bien à l'œuvre et qu’il frappe l’hémisphère Nord de plein fouet.
Alors que les records pour la saison, voire absolus, sont battus sur plusieurs continents, les autorités mettent en garde contre le risque grave pour la santé que représentent ces périodes caniculaires.
Les températures s’envolent un peu partout dans le monde ces 14 et 15 juillet après le plus chaud mois de juin que la Terre ait connu. A Athènes, l’Acropole a même été fermée aux heures de pointe pour la santé des touristes.
De fortes températures sont attendues ce week-end dans plusieurs régions du globe : en Europe, en Asie, aux États-Unis ou encore en Afrique du Nord. Ces vagues de chaleur font craindre des problèmes sanitaires sur les populations, mais aussi des incendies à répétition.
Dans plusieurs régions du monde, des vagues de chaleur sont enregistrées, notamment dans l’hémisphère nord, alors que l’été ne fait que commencer
Un dôme de chaleur sévit depuis le début de la semaine au-dessus des Etats désertiques du Sud-Ouest, entraînant de sérieux risques pour la santé.
Inondations historiques dans le Vermont, canicule dans le Sud, record de température dans les eaux de Floride : les Etats-Unis vivent un début d’été marqué par les phénomènes extrêmes.
Personne n’est à l’abri. New York et le sud-ouest du Japon ce week-end, Saragosse en Espagne la semaine passée… Ces derniers jours, de violents orages et des pluies torrentielles se sont abattues aux quatre coins du monde, entraînant inondations et glissements de terrain. Retour sur une semaine de tous les risques alors que l’été 2023 s’annonce déjà hors norme.
Le dérèglement de ces courants d'air est probablement à l'origine d'événements météorologiques extrêmes. Aux États-Unis, 40 millions de personnes sont soumis à des températures caniculaires depuis plusieurs jours.
Seize jeunes de 5 à 22 ans attaquent l'État du Montana, dans le nord-ouest des États-Unis, pour avoir enfreint leur droit constitutionnel à un "environnement propre et sain". Le procès, qui a démarré lundi, pourrait avoir des répercussions dans tout le pays.
Plus de 111 millions de personnes étaient concernées jeudi par des alertes à la qualité de l'air dans une vaste partie du nord-est des États-Unis, en raison des feux de forêt qui continuent de ravager le Canada.
Le Québec, durement frappé par des incendies historiques, attend avec impatience des renforts internationaux, tandis que les fumées des quelque 400 brasiers canadiens touchent les Etats-Unis, où 100 millions d'Américains respirent un air de mauvaise qualité.
La crise climatique est en train de devenir une crise financière... Comme pour les incendies de forêt en Californie et les ouragans en Floride, le programme d’assurance contre les inondations est né de ce que les économistes appellent une défaillance du marché : les assureurs privés ne voulaient pas couvrir les inondations, ce qui ne laissait aucune option aux propriétaires. ...
Candida auris, un champignon dont la propagation rapide serait une conséquence directe du changement climatique, alarme les scientifiques. Lorsque le champignon est détecté, il est souvent résistant aux traitements antifongiques, et les spores peuvent survivre sur des surfaces extérieures à l’organisme pendant des semaines. Même si vous parvenez à éliminer le champignon, vous pouvez donc être réinfecté. Les CDC estiment qu’environ 30 à 60 % des personnes infectées par ce champignon sont décédées, mais soulèvent que de nombreuses victimes souffraient de problèmes médicaux préexistants.
Les États-Unis sont balayés par des tornades dévastatrices.
Aux États-Unis, l'EIA (Energy Information Administration) a nettement revu à la baisse(1) ses prévisions d'ici à 2050 des émissions américaines de CO2 liées à l'énergie (notamment pour prendre en compte
Davantage de joueurs, d’avions, de supporters... La prochaine Coupe du monde de foot, organisée aux États-Unis, Canada et Mexique en 2026, sera un fiasco écologique. Pire que celle au Qatar, très contestée. Après les stades climatisés, à usage unique, les « navettes » en avion et les ouvriers morts au Qatar, le foot-business prépare son nouveau « Mondial de la honte ». C’est désormais officiel : la Coupe du monde des hommes passe de 32 à 48 équipes à partir de l’édition 2026, avec des matchs éclatés entre les (...)
Une autre analyse statistique se penche sur l'incroyable vague de chaleur survenue en 2021 à Lytton, en Colombie Britannique. Les températures y ont atteint 49.7°C (le Temps), record absolu du Canada, plus de vingt degrés au-dessus des moyennes habituelles. Les auteurs déclarent en préambule qu'il est généralement reconnu que le réchauffement climatique augmentera considérablement l'intensité, la [...]
“C’est le changement climatique en direct” : dans plusieurs États américains, du Texas à New York, feuilles et fleurs surgissent, et les scientifiques constatent l’arrivée du printemps avec près d’un mois d’avance.
Cette région des Etats Unis plutôt habituée à de fortes chaleurs et à des incendies, vit l’une de ses pires tempêtes hivernales.
Avec des températures pouvant atteindre -50° de ressenti, les services météorologiques des Etats-Unis et du Canada redoublent d’avertissements catastrophistes face à la météo polaire.
La Californie a été placée en état de catastrophe majeure après des inondations et des tempêtes qui se succèdent depuis trois semaines, faisant déjà au moins 19 morts. Les États-Unis sont frappés de plein fouet par les impacts du changement climatique et les payent très chers. 150 milliards de dollars pour l'année 2022. Mais si ces intempéries sont particulièrement médiatisées, d'autres pays paient aussi un lourd tribut, humain notamment, en Asie et en Afrique.
Quarante-cinq tornades ont traversé le sud-est du pays, jeudi, frappant l’Alabama et la Géorgie.
Le Service météorologique américain (NWS) a lancé des alertes aux inondations pour une large partie de la Californie. Dans le centre de l’Etat, 130 mm de précipitations sont attendus, 107 000 foyers sont privés d’électricité. Joe Biden a déclaré l’état d’urgence.

2022

Cette datavisualisation n’est pas celle de l’éclairage public de nuit (même si on pourrait le croire en voyant la...
les relations entre les deux pays étaient dans une spirale descendante effrayante, avec des tensions à propos de Taïwan, tensions proches du point d’ébullition. Les diplomates espéraient, au mieux, une modeste réduction des tensions, ce qui, au grand soulagement de beaucoup, s’est produit. Aucune percée politique n’était cependant attendue, et aucune n’a été réalisée. Cependant, dans un domaine crucial, il y a eu au moins une lueur d’espoir: les deux plus grands émetteurs de gaz à effet de serre de la planète ont accepté de reprendre leurs négociations en suspens sur les efforts conjoints pour surmonter la crise climatique.
Selon des scientifiques, la sécheresse chronique qui frappe l’ouest des États-Unis, exacerbée par le dérèglement climatique, pourrait avoir raison du Grand Lac Salé de l’Utah. Sa surexploitation fait partie des autres raisons de son déclin et de sa possible disparition.
L'ouragan Ian, l'un des plus meurtriers à avoir frappé les États-Unis depuis le début du siècle, a fait au moins 107 morts en Floride et en Caroline du Nord, selon un bilan communiqué lundi, mais qui pourrait encore s'alourdir.
Après avoir fait au moins une dizaine de morts en Floride, l'ouragan Ian menaçait vendredi de frapper avec force d'autres Etats du sud-est des Etats-Unis, notamment la Caroline du Sud et la Caroline du Nord.
Après la canicule et les incendies, le Golden State a été tout près de connaître un phénomène rarissime sur la côte ouest, un ouragan, avant une rétrogradation en tempête tropicale.
Le sud-Ouest des États-Unis vit sa pire sécheresse depuis mille ans. Et elle dure depuis plus de 22 ans de sorte que le lac Mead, le plus grand réservoir des États-Unis, est en train de s'assécher. Les conséquences pourraient être catastrophiques.
Six inondations inouïes aux États-Unis depuis juin “Les chroniques anciennes rapportent qu’il y a des centaines d’années, un déluge s’est déversé sur la ville, les rues ont été inondées, les maisons submergées jusqu’aux toits, les habitants et le bétail ont péri. Il s’agit peut-être d’une légende, car des tels faits dépassent l’imagination”. Un tel événement est une crue millénale, survenant environ tous les mille ans.
Plus gros investissement jamais adopté aux États-Unis dans la lutte contre le changement climatique, le texte prévoit notamment des incitations financières destinées à faire évoluer l'économie américaine vers les énergies renouvelables, mais limite aussi le prix de certains médicaments et crée un taux d'imposition minimal sur les grosses entreprises.
ÉTATS-UNIS - Les États-Unis vont voir se développer d’ici 30 ans une « ceinture d’extrême chaleur » allant de la Louisiane, dans le sud du pays, au lac Michigan au nord, en traversant le Midwest américain, selon un nouveau rapport publié ce lundi 16 août.
Selon un rapport de l'ONG First Street Foundation, les États-Unis vont voir se développer en l'espace de trois décennies une "ceinture d'extrême chaleur" recouvrant une zone où vivent plus de 100 millions d'Américains. La chaleur est le phénomène météorologique qui tue le plus dans le pays, devant les inondations et les ouragans.
Les États-Unis vont voir se développer d'ici 30 ans une "ceinture d'extrême chaleur" allant de la Louisiane, dans le sud du pays, au lac Michigan au nord, en traversant le Midwest américain, selon un nouveau rapport publié lundi.
C'est la quatrième fois depuis le mois de mai que des restes humains sont découverts au lac Mead, le plus grand réservoir du pays, qui a atteint un niveau plancher sans précédent en raison d'une sécheresse qui dure depuis 22 ans. Le lac alimente en eau 25 millions de personnes et des millions d'hectares de terres agricoles dans plusieurs États du Sud-Ouest, dont la Californie.
Un gros coup de pouce pour le renouvelable, des médicaments moins chers et un impôt sur les sociétés: voici ce que prévoit le grand plan d'investissements de Joe Biden, débattu samedi au Congrès américain. - 370 milliards pour le climat C'est le plus grand investissement jamais vu aux États-Unis dans la lutte contre le changement climatique.
Depuis le 28 juillet, l’État du Kentucky (États-Unis) a été balayé par des pluies torrentielles d’une rare violence. Andy Beshear, le gouverneur de cet État rural situé à 1 000 km au sud-ouest de New-York, a déclaré lundi 1ᵉʳ août que 37 personnes avaient trouvé la mort, piégées par la montée des eaux. Des corps continueront à être retrouvés « pendant des semaines, dont beaucoup auront été emportés sur des centaines de mètres », a-t-il ajouté. Ce bilan provisoire devrait ainsi s’alourdir, au rythme du déploiement des secouristes dans les zones touchées encore inaccessibles.
Ces inondations, parmi les plus graves ayant jamais frappé le Kentucky, ont transformé des routes en rivières, emporté des ponts et balayé des maisons dans l’une des régions les plus défavorisées des États-Unis.
Un incendie de forêt près de la frontière californienne avec l'Oregon a ravagé près de 8.000 hectares et est devenu incontrôlable samedi, provoquant l'évacuation de communautés voisines.
Des pluies torrentielles, dont le cumul s’établit par endroits à plus de 20 centimètres en vingt-quatre heures, ont transformé des routes en rivières et ravagé des quartiers entiers. Le président, Joe Biden, a décrété l’état de catastrophe naturelle et débloqué des renforts fédéraux.
Moins de deux semaines après avoir paru enterrer un projet de loi pour le climat, Joe Manchin redonne espoir aux démocrates. Ce 27 juillet, le sénateur de Virginie-Occidentale s’est dit prêt à voter un texte renégocié. Ce dernier prévoit près de 400 milliards de dollars contre le réchauffement et pour la transition énergétique, ce qui en ferait “l’initiative la plus ambitieuse en faveur du climat jamais votée par le Congrès”, selon The New York Times. La proposition de loi prévoit également des mesures pour subventionner les soins de santé et faire baisser le prix des médicaments, ainsi que de nouvelles recettes fiscales afin de réduire le déficit fédéral.
Nathan Stephenson, biologiste et chercheur émérite à l’Institut d’études géologiques des États-Unis, explique, dans un entretien au « Monde », que 13 % à 19 % des séquoias géants de Californie, donc du monde, ont été détruits par le feu depuis 2020.
Les séquoïas du parc Yosemite aux États-Unis et les vautours du parc Dadia en Grèce sont menacés par des incendies consécutifs des vagues de chaleurs extrêmes provoquées par le changement climatique causé par l’activité humaine.
« Oak Fire » s’est déclaré vendredi dans le comté de Mariposa, près du Parc national de Yosemite et de ses séquoias géants, et s’est déjà déplacé sur plus de 2 500 hectares.
Les États-Unis sont déterminés à atteindre leurs objectifs de réduction d'émissions de gaz à effet de serre, malgré la récente décision défavorable de la Cour suprême, a affirmé vendredi à l'AFP John Kerry, l'émissaire de l'administration Biden pour le climat. "Nous sommes déterminés à atteindre nos objectifs. Nous pouvons les atteindre", a-t-il déclaré à propos de ces engagements officiels, au lendemain d'une décision de la très conservatrice Cour suprême américaine qui limite fortement les pouvoirs de l'Etat fédéral dans la lutte contre le réchauffement climatique.
Le 30 juin, la Cour suprême a rendu une décision contestant le pouvoir de l’Agence de protection de l’environnement (EPA) de réglementer les émissions de gaz à effet de serre. Si elle entrave l’EPA, cette décision ne l’empêche pas complètement d’agir.
La très conservatrice Cour suprême des États-Unis a limité jeudi les moyens de l’État fédéral de lutter contre les gaz à effet de serre, une décision qui pourrait avoir un lourd impact sur le réchauffement climatique.
Après avoir plombé le centre des États-Unis, une vague de chaleur se dirigeait lundi vers l’est, selon les services météorologiques, faisant craindre des températures potentiellement dangereuses pour les plus fragiles et des intempéries dévastatrices.
Le président américain Joe Biden a estimé vendredi, lors d'une conférence des grandes économies sur le climat, que l'invasion russe de l'Ukraine démontrait l'importance des énergies renouvelables pour la sécurité nationale ainsi que pour la lutte contre la crise climatique. "L'attaque brutale et non provoquée de la Russie contre sa voisine, l'Ukraine, a alimenté une crise énergétique mondiale et rendu encore plus clair le besoin d'atteindre une sécurité énergétique fiable et de long terme", a-t-il dit en ouverture de ce forum auquel il a convié les principales économies du monde. C'est la troisième fois que le dirigeant américain, sous pression aux États-Unis face à l'inflation galopante notamment tirée par la hausse des prix du carburant, réunit le Forum des grandes économies sur le climat et l'énergie (MEF).
Près de cent millions d’Américains, soit près d’un tiers de la population des États-Unis, sont placés depuis lundi 13 juin en alerte canicule par le National Weather Service. Des températures exceptionnelles ont été enregistrées sur une grande partie du pays, de la Californie à la Virginie, mais c’est surtout dans le Midwest que le mercure a atteint plus de 100 degrés Fahrenheit (37 ° C) plusieurs jours d’affilée.
Les catastrophes liées à la crise climatique ont lancé la saison estivale avant l'heure aux États-Unis. Une alerte à la canicule s'est abattue sur une partie du Midwest et du sud-est du pays, tandis que de graves inondations ont provoqué des dégâts dans le parc national du Yellowstone, fermé au public. Quant au sud-ouest des États-Unis, il est déjà ravagé par plusieurs incendies.
Une vague de chaleur inhabituellement précoce et intense se propage de l’Afrique du Nord à l’Europe. Près d’un tiers de la population des États-Unis subit actuellement des vagues de chaleur. Bien que ce ne soit que la mi-juin, les températures sont plus typiques de celles observées en juillet ou en août. Les épisodes en cours font suite à une vague de chaleur prolongée en Inde et au Pakistan en mars et avril. En raison du changement climatique, les vagues de chaleur commencent plus tôt et deviennent plus fréquentes et plus sévères en raison de concentrations record de gaz à effet de serre piégeant la chaleur.
Le Metropolitan Water District de Californie du Sud vient d’imposer des restrictions à environ 6 millions de clients à partir du 1er juin 2022 en raison du manque d’eau dans le lac Mead et le fleuve Colorado. Les restrictions interdisent aux habitants d’arroser les pelouses et les plantes plus d’un jour par semaine.
Le 23 juin 1988, en pleine sécheresse outre-Atlantique, James E. Hansen s’adresse au Congrès des États-Unis. Son discours déclenche une vague d’intérêt pour le réchauffement climatique dans le monde. Le 23 juin 2008, devant la commission parlementaire sur l’indépendance énergétique et le réchauffement global de ce même Congrès, cet homme libre a lancé un nouveau cri d’alarme à ses compatriotes, qui choisiront, lors d’une élection décisive pour le sort de la planète, leur nouveau président dans quelques semaines.
L'ouest des États-Unis est en proie depuis plusieurs années à une sécheresse historique qui menace l'approvisionnement en eau d'une grande partie de la population et a fait chuter de manière spectaculaire le niveau des lacs et cours d'eau. Alimenté par le fleuve Colorado, le lac Mead, gigantesque réservoir accolé au barrage Hoover Dam, a ainsi atteint son niveau le plus bas depuis 1937. Selon une étude publiée en 2020 par l'agence géologique américaine (USGS), le débit du Colorado a baissé en moyenne de 20% depuis un siècle, et au moins la moitié de cette baisse peut être attribuée à l'élévation des températures dans la zone.
Alors que l'Amérique du Nord subit une sécheresse sans précédent, le pire épisode enregistré depuis 1200 ans, au sud du continent, le Chili se prépare à un rationnement d'eau. Le centre du pays subit un déficit de pluviométrie record. En France, le pire est à craindre alors que plusieurs régions subissent elles aussi des sécheresses historiques. Pour l'hydrologue Emma Haziza, "si nous ne changeons pas de cap, nous allons droit dans le mur".
On ne le croirait pas à écouter Fox News ou les élus républicains, mais même aux États-Unis, l’opinion publique est résolument en faveur de politiques d’aide aux énergies renouvelables, et ne doute plus de la nécessité d’agir contre le réchauffement climatique.
Le gaz liquéfié et la fracturation hydraulique sont soudain considérés comme des technologies d’avenir. La demande européenne provoque un boom inattendu. En raison de la guerre en Ukraine, les exportations de gaz liquéfié en provenance des Etats-Unis doivent «libérer» l’Union européenne des importations en provenance de Russie. C’est en tout cas ce que prévoit la «déclaration sur la sécurité de l’approvisionnement énergétique européen» annoncée (le 25 mars 2022) par Joe Biden et la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen.
Joe Biden recule sur une promesse clé de son programme. Le président américain qui a fait de la lutte contre le changement climatique une de ses priorités, avait peu après son arrivée à la Maison Blanche en janvier 2021 proclamé un moratoire sur l’octroi de nouvelles concessions pour des forages pétroliers et gaziers sur les terres et les eaux appartenant au gouvernement, dans l’attente d’une révision.
Le dernier rapport de l’Agence internationale de l’énergie le confirme : l’appel à une sortie de crise sanitaire climato-compatible n’a pas été entendu. Malgré des restrictions d’activité encore en cours, l’année 2021 a vu un tel rebond des émissions de CO2 liées aux énergies fossiles que le creux de 2020 est déjà effacé. Plus 6% et un total de 36,3 milliards de tonnes envoyées vers l’atmosphère. Un chiffre boosté par l’effet prix : en 2021, le gaz a commencé la hausse aujourd’hui explosive de ses prix, ce qui a reporté la production d’électricité vers du charbon, encore plus émissif en CO2, notamment aux États-Unis et en Europe.
La très conservatrice Cour suprême des États-Unis examine lundi un dossier environnemental aux énormes enjeux, susceptible de compliquer la lutte du gouvernement de Joe Biden contre le réchauffement climatique. L'audience portera sur la capacité de l'Agence pour la protection de l'environnement (EPA) à réguler l'émission de gaz à effet de serre des centrales à charbon, qui produisent près de 20% de l'électricité aux Etats-Unis.
Une rencontre virtuelle des principaux pollueurs mondiaux organisée jeudi par les États-Unis n’a pas permis de relancer une dynamique entravée par les préoccupations nationales des gouvernements.
Selon l’autorité de surveillance financière des États-Unis (GAO – Government Accountability Office), le département de l’Énergie a investi environ 1,1 milliard de dollars entre 2009 et 2015 dans neuf projets de capture et séquestration du carbone (CCS).
Les records de chaleur, mais aussi de froid, se sont multipliés aux États-Unis au cours de l’année passée. Pour le New York Times, ces extrêmes donnent “une image frappante du changement climatique”.
Près de 700 personnes sont décédées à cause de catastrophes météorologiques en 2021 dans les Etats américains, ..., un niveau qui n'avait pas été atteint depuis 2011, selon le rapport d'une agence fédérale publié lundi.

2021

Le recul des glaces de mer en Arctique apporte des conditions de plus en plus favorables à la survenue d’incendies de forêt dans l’ouest des États-Unis. C’est du moins ce que révèlent de récents travaux publiés dans la revue scientifique Nature Communications.
Le président américain Joe Biden a demandé mardi au Congrès des Etats-Unis de ratifier un amendement à un traité international visant à fortement réduire les hydrofluorocarbures (HFC), des gaz à effet de serre extrêmement nocifs pour le climat.
Pour mieux comprendre le présent et espérer prévoir l'avenir, il faut en savoir plus sur le passé. C'est en partant de ce principe que des chercheurs de l’université de l’Arizona (États-Unis) se sont penchés sur les évolutions de températures au cours des 24.000 dernières années. Et leurs travaux montrent que la vitesse à laquelle se produit le réchauffement climatique anthropique est tout simplement « sans précédent ».
Huit pays dont la France se sont engagés à éliminer l’exploitation des énergies fossiles de leur territoire. Mais cette nouvelle alliance ne comprend pas les principaux États producteurs d’hydrocarbures dans le monde, comme les États-Unis, l’Arabie Saoudite et la Norvège.
L’accord annoncé mercredi à la COP26 par la Chine et les États-Unis pour renforcer leur ambition climatique est "un pas dans la bonne direction", a salué dans la foulée le secrétaire général de l’ONU Antonio Guterres. Le vice-président de la Commission européenne, Frans Timmermans, a également salué cette annonce.
A l’issue du dixième jour des discussions de la 26e Conférence des parties (COP) pour le climat des Nations unies, la Chine et les Etats-Unis ont conclu une « déclaration conjointe sur le renforcement de l’action climatique », a annoncé l’émissaire pour le climat chinois, Xie Zhenhua, mercredi 10 novembre. « Les deux parties reconnaissent l’écart existant entre les efforts actuels et les objectifs de l’accord de Paris, donc nous renforcerons conjointement l’action climatique », a-t-il ainsi déclaré devant la presse depuis Glasgow, en Ecosse.
La coopération dans l’environnement et au nom de l’environnement a toujours eu ses limites. En 1962, les États-Unis et l’U.R.S.S. ont conclu leur premier accord concernant l’environnement : un instrument qui prévoit la coordination du lancement par les deux parties de satellites météo et l’établissement de liens de communication entre les centres météo des deux parties. Mais il ne fallait pas leur en demander trop : il y a les limites au confidentiel défense. Au « classified ». Certes, les services de renseignement des États-Unis étaient fort bien informés au sujet des dérèglements climatiques depuis la fin des années 70. Même auparavant d’ailleurs, ne serait-ce que pour procéder à des opérations comme Popeye.
L'Australie a refusé de rejoindre le "pacte méthane" proposée par l'Union européenne et les États-Unis, qui vise à réduire les émissions mondiales de ce gaz à effet de serre de 30% d'ici à 2030 par rapport aux niveaux de 2020.
Plusieurs pays européens, dont le Danemark, la Norvège et les Pays-Bas, ont déployé des efforts courageux pour réduire leurs émissions afin d’atteindre l’objectif de 1,5 degré, donnant ainsi l’exemple à des nations aux économies bien plus importantes. Mais aussi admirables soient-ils, ces efforts ne suffiront pas à sauver la planète. Seuls les Etats-Unis et la Chine, de loin les deux premiers émetteurs de CO2 au monde, sont en mesure de le faire.
Sacrés coups de pelle. Les mineurs américains de bitcoin, qui permettent la validation des transactions et la création de la cryptomonnaie, sont désormais les premiers producteurs au monde, selon une étude publiée ce mercredi par l’université de Cambridge. «Les nouvelles données, qui courent jusqu’à fin août, montrent que les Etats-Unis concentrent 35,4 % [de l’activité], contre 16,8 % fin avril», commente dans un article Michel Rauchs, auteur de l’étude. En deuxième position, on trouve le Kazakhstan (18,1 %), suivi de la Russie (11 %).
La Terre se dirige tout droit vers un climat plus chaud de 2,7 °C, si aucune nouvelle ambition n’est adoptée à la COP26, fin octobre, en Écosse. La Chine et les États-Unis ont les cartes en main.
Le nouvel oléoduc controversé du groupe Enbridge, baptisé "Line 3" et qui transportera du pétrole de l'ouest canadien vers le nord des Etats-Unis, va entrer en service vendredi après des années de construction.
L'Union européenne et les Etats-Unis ont appelé samedi d'autres Etats à rejoindre leur projet d'accord sur une réduction des émissions de méthane afin de limiter le réchauffement climatique, à quelques semaines de la COP26.
Le gouvernement de Joe Biden a présenté, jeudi, un plan qui mise principalement sur la production de carburants non fossiles.
L'administration Biden a affirmé mercredi que le soleil pouvait produire 45% de l'électricité dans le pays d'ici 2050, et jouer ainsi un rôle majeur dans la lutte contre le changement climatique, à condition d'accélérer vivement les investissements dans l'énergie solaire.
L’énergie solaire pourrait, à certaines conditions, fournir 45% de l’électricité des Etats-Unis d’ici 2050, contre environ 3% en 2020, affirme mercredi un rapport de l’administration Biden. Pour arriver à cet objectif, il faut toutefois "des réductions de coûts importantes, le soutien des politiques publiques et une électrification à grande échelle" de l’énergie solaire, explique le ministère américain de l’Energie.
Les chercheurs sont formels, d'après une étude publiée jeudi, le réchauffement climatique dans l'Arctique est responsable des vagues de froid polaire en hiver dans l'hémisphère nord, en Asie mais surtout aux États-Unis. Comme celle qui a balayé le Texas en février dernier, faisant des dizaines de morts et des centaines de milliers de dollars de dégâts. Une découverte qui soulève l'urgence à mieux se préparer à des ondes de froid extrême, même si de façon générale le globe se réchauffe.