les Ressources Minières

OA - Liste

Les Ressources minérales (*)

Résultats pour:
israël

2024

Au dixième mois de guerre entre Israël et le Hamas à Gaza, les ONG tirent une fois de plus la sonnette d’alarme. Les Palestiniens, déplacés à plusieurs reprises dans l’enclave sur ordre de l’armée israélienne, s’entassent dans des zones surpeuplées où l’aide humanitaire n’entre plus.
Le titre pourrait paraître incongru, mais il ne l'est pas au regard de la haine et des mensonges déversés sur Israël. Pas un jour sans un graffiti, une déclaration, un post accusant Israël de génocide contre le peuple palestinien. L'accusation de génocide est d'autant plus grave qu'elle est à la fois absurde aux termes de la réalité du concept et des faits, et qu'elle vise surtout à stigmatiser, de la manière la plus infamante qui soit, les fils et filles de la Shoah, le génocide emblématique du XXe siècle. Près de sept millions de vies juives arrachées de Varsovie (98 % des 450.000 habitants) à Anvers (65 %) pour la simple raison d'être nées sous une mauvaise étoile.
Les experts des droits de l'homme de l'ONU ont accusé mardi Israël de mener une "campagne de famine ciblée" qui a entraîné la mort d'enfants à Gaza. "Nous déclarons que la campagne de famine intentionnelle et ciblée d'Israël contre le peuple palestinien est une forme de violence génocidaire et a entraîné une famine dans toute la bande de Gaza", ont déclaré dix experts indépendants des Nations Unies dans un communiqué, évoquant trois enfants morts récemment "de malnutrition et de manque d'accès à des soins de santé adéquats".
Le Hezbollah libanais a déclaré avoir tiré "plus de 200 roquettes de différentes sortes" sur cinq positions israéliennes jeudi en représailles à la mort dans le sud du Liban d’un haut commandant du mouvement chiite libanais, tué dans une frappe israélienne.
Les Israéliens se concentrent désormais sur la destruction des infrastructures du Hamas.
L'ONU a dénoncé mercredi des informations faisant état d'abus "inacceptables" voire de tortures subies par des détenus palestiniens depuis l'attaque du Hamas en Israël le 7 octobre et la guerre à Gaza, et exigé une enquête.
Israël continue de bombarder la bande de Gaza mardi, émettant des ordres d'évacuations qui ont contraint des centaines d'habitants à fuir à nouveau plusieurs secteurs du sud du territoire palestinien, déjà dévasté par près de neuf mois de guerre. L'agence de l'ONU pour les réfugiés palestiniens (Unrwa) estime "qu'environ 250 000 personnes ont été touchées par ces ordres".
Une enquête publiée ce mardi 25 juin par le consortium «Forbidden Stories» révèle que plus de cent journalistes, essentiellement palestiniens, ont été tués. Tsahal a affirmé «ne pas blesser intentionnellement des journalistes».
L’enjeu est de taille pour Benyamin Nétanyahou : l’opinion publique est favorable à la fin des exemptions, mais son gouvernement inclut deux partis religieux ultraorthodoxes, qui pourraient, s’ils quittent la coalition, déclencher de nouvelles élections.
Huit mois de guerre ont détruit plus de 55 % des structures à Gaza, selon le dernier rapport du centre satellitaire de l'ONU. Les principales villes de l’enclave ont été dévastées par les bombardements israéliens, les rendant presque totalement inhabitables. Pour de nombreux chercheurs, la situation actuelle s'apparente à un urbicide, littéralement, le meurtre des villes.
Depuis son installation en mai, la jetée temporaire installée par les États-Unis sur la côte de la bande de Gaza pour faciliter l'acheminement d'aide humanitaire enchaîne les difficultés. Déplacée la semaine dernière vers un port israélien en raison de mauvaises conditions météo, elle est de nouveau opérationnelle et les livraisons d'aide ont repris dans la nuit de mercredi à jeudi.
Le Haut-Commissariat des Nations unies aux droits de l'Homme a publié, mercredi, une évaluation de six opérations menées l'année dernière par l'armée israélienne à Gaza qui soulève "de sérieuses inquiétudes au regard du droit de la guerre, aux principes de distinction, de proportionnalité et de précaution".
L’armée israélienne a annoncé dimanche 16 juin l’instauration d’une pause humanitaire de onze heures chaque jour pour permettre l’acheminement d’aide dans le sud de la bande de Gaza. Aucun membre du gouvernement n’en avait, semble-t-il, été informé.
Les accusations d’antisémitisme proférées par les autorités israéliennes font mouche dans la population, prise dans les méandres de la politique israélienne sur fond de bruits de canons.
Le «Wall Street Journal» a eu accès à la correspondance entre le chef du Hamas à Gaza et ses divers représentants à l’extérieur de l’enclave, dans le cadre des discussions pour arracher une trêve.
Le secrétaire d'État américain Antony Blinken a qualifié la réponse du Hamas de "signe d'espoir".
“The Wall Street Journal” a eu accès aux messages de Yahya Sinwar envoyés aux membres du Hamas participant aux négociations autour d’une trêve avec Israël. Abondamment repris dans la presse israélienne, ils révèlent le “froid mépris pour la vie humaine” du cerveau des massacres du 7 octobre.
Benny Gantz, membre du cabinet de guerre israélien dirigé par Benjamin Netanyahu, a quitté le gouvernement dimanche. Il était en désaccord avec le Premier ministre sur la conduite de la guerre à Gaza. Sa démission intervient après la libération de quatre otages lors d'un raid dans la bande de Gaza.
Samedi 8 juin, Tsahal a libéré 4 otages israéliens grâce à une opération spéciale dans le camp de Nuseirat, situé au centre de la bande de Gaza. Selon les chiffres fournis par le Hamas, ce raid aurait néanmoins causé la mort d’au moins 274 Palestiniens, ce qui a provoqué de fortes réactions au sein de la communauté internationale.
L'ambassadeur israélien aux Nations unies a annoncé vendredi avoir été notifié de l'ajout de l'armée israélienne à la "liste de la honte" de l'ONU, qui doit être publiée le 18 juin et recense les responsables de violations des droits des enfants dans des zones de conflit. Le Hamas aurait également été inclus, rapporte une source diplomatique.
Le président colombien Gustavo Petro a annoncé samedi la prochaine suspension des exportations de charbon de son pays vers Israël tant que la guerre dans la bande de Gaza se poursuivra."Nous suspendrons les exportations de charbon à Israël jusqu'à ce qu'il arrête le génocide", a écrit sur le réseau social X ce dirigeant de gauche.
Le secrétaire général de l’ONU Antonio Guterres a appelé jeudi à la cessation des hostilités le long de la ligne de démarcation fixée par les Nations unies entre Israël et le Liban, s’inquiétant d’un risque de "conflit plus large aux conséquences dévastatrices pour la région".
Le bombardement par Tsahal d’un établissement scolaire géré par l’UNRWA à Nuseirat, soupçonné d’abriter une base du Hamas, a tué au moins 40 personnes. L’armée israélienne concentre ses forces sur le centre de l’enclave palestinienne, où sont massés des dizaines de milliers de déplacés fuyant les combats.
Plus de 230 artistes, dont Léna Situations, Renaud, DJ Snake, Leïla Bekhti et Angèle, interpellent Emmanuel Macron pour que la France reconnaisse officiellement l’Etat de Palestine, comme l’ont déjà fait 146 autres pays.
Alors que les médiateurs accentuent la pression pour qu'Israël et le Hamas acceptent un plan de Cessez-le-feu à Gaza, le ministre israélien de la Défense a affirmé que le mouvement islamiste palestinien ne pourrait gouverner Gaza et que l'État hébreu était en train de "préparer une alternative de gouvernement".
Plus de 20 experts indépendants de l’ONU demandent aux Etats qui ne l’ont pas encore fait, dont la Suisse, de reconnaître l’Etat de Palestine. Lundi à Genève, ils ont également appelé les gouvernements à utiliser toutes leurs ressources politiques pour aboutir à un cessez-le-feu dans la bande de Gaza.
Environ 55% des bâtiments de la bande de Gaza, pour la plupart des logements, ont été endommagés ou détruits dans la...
Le mouvement islamiste palestinien Hamas a jugé "positive" vendredi soir la nouvelle feuille de route israélienne en vue d'un cessez-le-feu dans la bande de Gaza et de la libération d'otages dévoilée par le président américain Joe Biden.
Le président français a appelé mercredi 29 mai le président de l’Autorité palestinienne Mahmoud Abbas à «mettre en œuvre les réformes indispensables» dans «la perspective de reconnaissance de l’Etat de Palestine», rapporte la présidence fra
La Défense civile de la bande de Gaza a annoncé mardi la mort de 21 personnes dans une frappe israélienne sur un camp de déplacés dans le sud du territoire palestinien, deux jours après un bombardement similaire à Rafah. La Maison-Blanche continue de juger qu’Israël n’a pas lancé contre cette ville du sud de la bande de Gaza une offensive “majeure”, susceptible de remettre en cause le soutien américain.
L'armée israélienne a annoncé mercredi avoir pris le contrôle d'une zone tampon entre la bande de Gaza et l'Égypte et a intensifié ses bombardements sur la ville frontalière de Rafah, devenue l'épicentre de la guerre contre le Hamas. Elle a également affirmé avoir découvert une vingtaine de tunnels dans le secteur frontalier.
Espionnage, piratage informatique, intimidations. Pendant neuf ans, l’État hébreu aurait agi dans l’ombre pour tenter de torpiller les enquêtes menées contre lui par la Cour pénale internationale, selon une enquête conjointe du quotidien britannique “The Guardian” et de deux médias israéliens. Cette même cour dont le procureur a récemment demandé l’émission de mandats d’arrêt contre des dirigeants israéliens et du Hamas pour crimes de guerre.
L’Autorité palestinienne a accusé Israël d’avoir perpétré « un massacre » dimanche, en frappant un centre pour personnes déplacées à Rafah. L’attaque, qui a fait au moins 35 morts selon les autorités de Gaza, a été confirmée par l’armée israélienne, qui assure avoir visé « un quartier général du Hamas ».
En bombardant un camp de déplacés dans la grande ville du sud de Gaza, faisant plusieurs dizaines de morts, l’État hébreu répond avec horreur à la Cour internationale de justice, qui lui a ordonné de suspendre ses opérations militaires, estime le journal palestinien “Al-Quds”.
La Belgique espère réunir un large groupe de pays européens afin d'aboutir à une reconnaissance de l'État palestinien dans le cadre d'un processus qui mettrait fin à la violence en cours depuis le 7 octobre, a expliqué lundi le Premier ministre, Alexander De Croo, à l'issue d'un entretien à Bruxelles avec son homologue palestinien, Mohammad Mustafa, en compagnie de la ministre belge des Affaires étrangères, Hadja Lahbib.
Après une frappe israélienne à Rafah, dans le sud de la bande de Gaza, qui a coûté la vie à 45 personnes, selon le ministère de la Santé à Gaza, l'État hébreu fait face à une vague de condamnations internationales.
Le secrétaire général de l'ONU Antonio Guterres a condamné lundi une frappe israélienne à Rafah qui a fait des dizaines de morts, soulignant que "ces horreurs doivent cesser".
La branche armée du Hamas palestinien a dit dimanche avoir visé Tel-Aviv avec un "important barrage de roquettes" dans un message publié sur le réseau social Telegram.
Le Premier ministre israélien s'est dit dimanche "fermement opposé" à la fin de la guerre à Gaza, au moment où s'intensifient les efforts diplomatiques en vue d'une reprise des négociations pour parvenir à une trêve dans le territoire palestinien.
La Cour internationale de justice a ordonné vendredi 24 mai à Israël d’arrêter son offensive militaire à Rafah, dans le sud de la bande de Gaza.
Le ministère des Affaires étrangères du gouvernement espagnol du socialiste Pedro Sánchez a averti samedi Israël que les ordonnances émises par la Cour internationale de justice (CIJ) sont "contraignantes" et a exigé leur respect.
Suite à une saisine de la part de l’Afrique du Sud, la Cour internationale de justice (CIJ) a sommé, ce 24 mai, l’État hébreu de mettre fin à ses opérations militaires à Rafah, ville de la bande de Gaza. En cas de non-respect de cette décision, Israël risque des sanctions.
La plus haute juridiction de l’ONU appelle également ce vendredi 24 mai l’Etat hébreu à laisser entre l’aide humanitaire par le point de contrôle de Rafah.
L’installation de la jetée temporaire américaine sur la côte de Gaza a permis le débarquement en une semaine de 97...
Plusieurs capitales européennes, dont Madrid et Dublin, annoncent ce mercredi leur intention de reconnaître un Etat palestinien ce mercredi 22 mai. Furieux, Israël a rappelé plusieurs de ses ambassadeurs.
Pollution des sols, sources d’eau contaminées, champs dévastés. En plus du lourd bilan humain, le préjudice écologique subi par les habitants de Gaza est immense. Des observateurs soulignent la nécessité de criminaliser la destruction de l’environnement à des fins militaires.
Avec l’annonce de l’Espagne, l’Irlande et la Norvège, 146 des 193 pays membres de l’Organisation des Nations unies reconnaissent officiellement l’Etat de Palestine.
Un nouveau convoi de camions transportant de l’aide humanitaire pour #Gaza a été bloqué par des colons qui ont détruit les colis, le 13 mai, au point de passage de #Tarqumia, en Cisjordanie. Deux activistes israéliennes pour la paix ont tenté de s’interposer. Elles les ont confrontés, prenant des soldats de l’armée israélienne à témoin, et ont tout filmé.
L’annonce par la Norvège, l’Irlande et l’Espagne de la reconnaissance officielle de l’Etat de Palestine, ce mercredi, affaiblit un peu plus Benyamin Nétanyahou, visé depuis lundi par une demande de mandat d’arrêt de la CPI.
Le procureur de la CPI a réclamé ce mardi des mandats d’arrêt contre deux dirigeants de l’Etat israélien, parmi lesquels le Premier ministre, et du Hamas.
Lundi 20 mai, Kharim Khan, le procureur de la Cour pénale internationale, a demandé que soient émis des mandats d’arrêt contre le Premier ministre israélien, son ministre de la Défense, le chef du Hamas à Gaza et deux autres responsables du mouvement palestinien. Un coup dur pour les dirigeants de l’État hébreu qui redoutaient cette décision et qui avaient tenté de s’y opposer, commente la presse internationale.
Un groupe de militants pacifistes israéliens ont tenté de protéger dimanche un convoi humanitaire à destination de la bande de Gaza, pour empêcher qu'il soit attaqué par des activistes israéliens comme d'autres ces derniers jours, a constaté une correspondante de l'AFP.
Réuni en sommet à Manama, à Bahreïn, la Ligue arabe a appelé jeudi au déploiement de "forces internationales de protection et de maintien de la paix de l'ONU dans les territoires palestiniens occupés" par Israël jusqu'à la mise en place d'un État palestinien. Un appel qui coïncide avec l'annonce par Israël de son intention d'"intensifier" ses opérations au sol à Rafah, dans le sud de la bande de Gaza.
La reconnaissance de la Palestine à côté d’Israël marquerait le refus absolu de la violence d’Etat pratiquée par le gouvernement Netanyahu. Et constituerait, pour l’Europe, l’opportunité de sceller sa rupture avec la part sombre de son passé.
La construction de cette jetée flottante avait été annoncée en mars dernier. Le 17 mai au matin, les premiers colis d’aide humanitaire à destination des Gazaouis ont commencé à être débarqués pour pouvoir être distribués.
Après des jours de blocage de l'aide humanitaire dans le territoire palestinien menacé de famine, les premiers chargements ont commencé à être débarqué vendredi par la jetée provisoire américaine arrimée la veille sur la côte de la bande de Gaza.
Madrid a refusé à un navire transportant une cargaison d'armes à destination d'Israël l'autorisation d'accoster dans un port espagnol, a déclaré jeudi le ministre espagnol des Affaires étrangères, Jose Manuel Albares.
Les Etats-Unis se sont dits lundi "préoccupés" et ont appelé leur allié israélien à enquêter après un reportage de CNN sur les conditions dégradantes auxquelles seraient soumis certains prisonniers palestiniens en Israël. A partir d’informations fournies par des lanceurs d’alerte, la chaîne d’information a diffusé un reportage choc vendredi dernier, au sujet de la base militaire israélienne de Sde Teiman, située dans le désert du Néguev, dans le sud d’Israël.
Le Commandement militaire américain pour le Moyen-Orient a annoncé avoir arrimé jeudi une jetée provisoire sur la côte de Gaza, devant permettre d'y acheminer plus d'aide humanitaire. À terme, les États-Unis espèrent l'arrivée de l'équivalent de "150 camions par jour" dans le territoire palestinien, soumis à d'intenses bombardements israéliens, et dont les principaux points d'entrée sont bloqués depuis plus d'une semaine.
De violents combats ont eu lieu lundi entre les soldats israéliens et le Hamas à Rafah et à Jabaliya, dans le sud et dans le nord de la bande de Gaza. Des Palestiniens ont continué de fuir des secteurs de Rafah, mais certains disent ne pouvoir partir faute de moyens.
Le Caire va s’associer à la plainte sud-africaine accusant Israël de génocide dans la bande de Gaza. Une décision prise après l’entrée de l’armée israélienne, le 6 mai, dans le “corridor de Philadelphie”, à la frontière entre l’Égypte et l’enclave palestinienne. Les accords de paix entre les deux pays seraient-ils menacés ?
Les bombardements israéliens ont largement mis à mal les infrastructures de santé dans la bande de Gaza. Le Comité international de la Croix-Rouge (CICR) a ouvert mardi un hôpital de campagne de 60 lits à Rafah avec 11 sociétés nationales.
Soixante-seize ans après la création de l’Etat d’Israël et face au désastre en cours dans la bande de Gaza, la reconnaissance d’un Etat palestinien pourrait contribuer à abréger la souffrance des Palestiniens et protéger l’Etat hébreu contre lui-même.
«The New York Times» s’est procuré sept dossiers des services de renseignement du mouvement islamiste entre 2016 et 2023. Via un réseau d’informateurs, le Hamas y compilait des renseignements sur des milliers de Palestiniens.
Une offensive terrestre israélienne sur Rafah conduirait à une "catastrophe humanitaire colossale", a prévenu vendredi le secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres, au moment où les opérations militaires contre le Hamas dans cette ville surpeuplée paralysent l'entrée de l'aide dans la bande de Gaza.
Dans cette lettre, adressée aux ministres européens des Affaires étrangères, ces personnalités, dont l’ancien diplomate Elie Barnavi, appellent à la reconnaissance d'un Etat palestinien, «une question de principe et de justice historique».
Tsahal a appelé ce lundi 6 mai les Gazaouis présents dans l’est de la ville à rejoindre des «zones humanitaires», assurant débuter une «opération d’ampleur limitée» dans la ville du sud de la bande de Gaza.
Le premier ministre israélien a déclaré que son pays « ne [pouvait] accepter » la demande du mouvement palestinien que l’accord prévoit la fin définitive des hostilités dans la bande de Gaza.
Les 88 parlementaires, auteurs d’une lettre adressée au président, précisent cependant que doivent être exclus de cette possible suspension de l’aide américaine les systèmes israéliens de défense antimissile, comme le Dôme de fer.
Le Hamas doit donner sa réponse à la contre-proposition de pause des combats amendée par Israël. Sous couvert d’anonymat, un membre du mouvement islamiste palestinien a affirmé qu’il n’y avait «aucun problème majeur» dans le texte.
Une proposition de cessez-le-feu dans la bande de Gaza a été présentée au Hamas, prévoyant une cessation des hostilités pendant 40 jours associée à la libération d’otages et de prisonniers, a déclaré lundi à Ryad le ministre britannique des Affaires étrangères, David Cameron.
Un port temporaire et une jetée en mer vont bientôt voir le jour sur la bande de Gaza, afin de faciliter la livraison de cargaisons au peuple palestinien.
L'ONU a réclamé mardi une enquête internationale sur les fosses communes découvertes dans les deux principaux hôpitaux de la bande de Gaza, soulignant la nécessité d'une enquête indépendante face au "climat d'impunité" actuel.
La défense civile à Gaza poursuit ses recherches de corps et de restes humains enterrés dans un charnier découvert dans la ville de l’enclave palestinienne, d’où les troupes israéliennes se sont retirées le 7 avril. Il s’agit de la deuxième grande fosse commune découverte en une semaine.
Les Etats-Unis pourraient imposer dans les jours à venir des sanctions au sulfureux bataillon Netzah Yehuda, accusé de violations des droits humains contre des civils palestiniens en Cisjordanie.
«Lutter contre le terrorisme des extrémistes palestiniens exige de s’attaquer aux causes qui sont à l’origine de leurs actions», selon Bernard Adam, ancien directeur du Groupe de recherche et d’information sur la paix et la sécurité.
Un responsable local parle d’une opération « sans précédent » dans le camp de déplacés de Nour Shams, en Cisjordanie. Ismaïl Haniyeh, chef de file du Hamas, a été reçu par le président turc, Recep Tayyip Erdogan.
Tous ces projets doivent revenir dans le courant de la semaine prochaine au Sénat, à majorité démocrate, avant d’être potentiellement promulgués par le président des Etats-Unis, Joe Biden.
L'Iran a fait état de trois explosions survenues vendredi à l'aube près d'une de ses bases militaires dans le centre du pays, dans la région d'Ispahan. Si Israël n'a pas revendiqué l'attaque, plusieurs sources américaines ont rapporté que l'État hébreu avait prévenu Washington à l'avance de la frappe, sans que les États-Unis n'approuvent l'opération.
Des responsables israéliens ont confirmé vendredi à la presse américaine avoir lancé une opération sur le territoire iranien, notamment dans la ville d’Ispahan, en réponse à l’attaque sans précédent de Téhéran contre l’État hébreu le week-end dernier.
« Le Moyen-Orient est au bord du précipice. Les derniers jours ont vu une escalade dangereuse, par les mots et les actions », a déclaré jeudi le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres. Il a dénoncé la situation des 2,4 millions de Palestiniens endurant « la mort, la destruction, le déni d’aide humanitaire vitale », et la faim.
Avec l’attaque menée le 13 avril directement contre l’État hébreu, la République islamique agit désormais à visage découvert, ce qui pourrait mettre en danger la survie du régime, analyse le corédacteur en chef de “L’Orient-Le Jour”.
Allié d’Israël sous le régime du chah, l’Iran, qui a lancé samedi une attaque de drones contre Israël, a basculé après la révolution islamique de 1979 dans le camp de ses ennemis jurés.
L’Iran a lancé plus de 200 drones et missiles contre l’État hébreu dans la nuit de samedi à dimanche, en réponse à une frappe contre son consulat à Damas. Menée pour la première fois directement contre le territoire israélien, cette attaque iranienne fait craindre une escalade régionale.
Le Hezbollah libanais a annoncé dimanche avoir bombardé le Golan occupé, pour la deuxième fois en l’espace de quelques...
Craignant un embrasement du Proche-Orient, la communauté internationale condamne les centaines de drones et de missiles lancés par Téhéran sur le territoire israélien samedi 13 avril dans la soirée.
L'armée israélienne a affirmé dimanche avoir "intercepté 99% des tirs" de l'attaque massive lancée par l'Iran dans la nuit de samedi à dimanche. Une défense aérienne rendue possible grâce à son "Dôme de fer" construit en 2011. Explications.
Dans la nuit de samedi à dimanche, Téhéran a lancé son opération “Vaste promesse” en représailles au raid contre le consulat iranien à Damas imputé à Israël. “The Guardian” publie une vidéo de cette attaque du régime des mollahs contre l’État hébreu, la première directe de l’histoire.
Peut-on parler d’une régionalisation du conflit ? "On est déjà dans une régionalisation du conflit depuis le 7 octobre, puisque tout une série d’acteurs ont été impliqués dans les opérations contre Israël. Pensons par exemple au Hezbollah, mais aussi aux Houthis qui ont frappé assez régulièrement différents bateaux dans la mer Rouge.
Le chef des forces armées iraniennes a affirmé dimanche que l'attaque menée dans la nuit contre Israël avait "atteint tous ses objectifs". Samedi soir, l’Iran a lancé des drones et des missiles contre Israël en réponse à une frappe contre son consulat au début du mois à Damas, une attaque qui fait craindre une explosion au Moyen-Orient. Il s’agit de la première attaque directe jamais menée par la République islamique d’Iran contre le territoire d’Israël, son ennemi juré.
Redoutée depuis plusieurs jours, l’attaque de Téhéran sur l’Etat hébreu a finalement eu lieu samedi 13 avril dans la soirée. Bien qu’inédite et vaste, cette opération a toutefois causé des dégâts limités, engendrant nombre d’interrogations.
Deux semaines après le bombardement de son consulat à Damas, l’Iran a lancé, dans la nuit de samedi à dimanche, des centaines de drones et de missiles contre Israël. C’est la première fois depuis 1979 que le régime des mollahs mène une attaque directe contre son ennemi israélien. Certains craignent désormais “une guerre totale”.
Israël possède l’un des systèmes de défense aérienne les plus sophistiqués et coûteux au monde. Sa grande force est de pouvoir répondre à des attaques multiples de projectiles.
Israël possède l’un des systèmes de défense aérienne les plus sophistiqués et coûteux au monde. Sa grande force est de pouvoir répondre à des attaques multiples de projectiles.
Il reste encore 129 Israéliens entre les mains du Hamas, dont 34 sont morts selon Tel Aviv. L’organisation islamiste palestinienne dit avoir besoin de «temps et de sécurité» pour les retrouver, car ils se trouvent détenus par «différents gr
« Si l’Iran mène une attaque depuis son territoire, Israël répondra et attaquera l’Iran », a résumé le ministre israélien des affaires étrangères, Israël Katz. Les Etats-Unis ont annoncé restreindre les mouvements en Israël des membres de leur personnel diplomatique.
La tension monte encore d'un cran entre les deux pays.
L’Union européenne a annoncé ce vendredi 12 avril avoir sanctionné les branches militaires du Hamas et du Jihad Islamique pour des pratiques «systématiques» lors de l’attaque terroriste du 7 octobre sur l’Etat hébreu.
Plusieurs médias aux Etats-Unis affirment ce mercredi 10 avril que Washington s’attend à voir Téhéran mener très prochainement des «attaques massives» contre Israël. Une offensive à laquelle l’Etat hébreu promet de «répondre».
Face aux destructions environnementales à Gaza et en Cisjordanie, le mouvement écologiste israélien est clivé. Alors que beaucoup soutiennent les efforts de guerre ou restent silencieux, certains luttent pour un futur partagé.
Après les frappes du 1er avril, imputées à l’armée israélienne, sur le consulat iranien à Damas, en Syrie, Téhéran a promis une riposte. Selon les renseignements américains, cités par le média “Bloomberg”, celle-ci devrait survenir “dans les prochains jours”.
L'Iran n'a pas bombardé Israël début avril. C'est pourtant ce qu'affichait la plateforme X (ex-Twitter), le 4 avril, dans son onglet de tendances récemment mis à jour, "Explore". La faute à Grok, son nouvel outil de curation basé sur l'intelligence artificielle : ce dernier a repris à tort de posts faux qui prétendant que l'Iran avait "attaqué Tel Aviv" début avril, en s'appuyant sur une vidéo décontextualisée de bombardements en Ukraine.
Lors d’un entretien téléphonique “tendu” qui s’est tenu le jeudi 4 avril, le président américain, Joe Biden, a averti le Premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, que le soutien américain à l’État hébreu allait désormais dépendre des “mesures concrètes” mises en œuvre pour protéger les civils et les travailleurs humanitaires dans la bande de Gaza.
Ancien ministre au Liban, professeur en relations internationales, ex-émissaire de l’ONU et essayiste, Ghassan Salamé est un observateur avisé du Moyen-Orient qui côtoie les acteurs du conflit israélo-palestinien depuis des décennies. À l’occasion de la sortie de son dernier ouvrage, il a accordé un long entretien à France 24. Ce premier volet est consacré au conflit à Gaza et à ses conséquences à long terme pour la région.
Àla une de la presse ce vendredi matin, une nouvelle information sur la guerre à Gaza : Israël a utilisé l’intelligence artificielle pour localiser 37.000 cibles. Nom du système : Lavende. Difficile, selon le Washington Post, de trouver un sobriquet plus aérien que celui-là. À l’origine de l’information, six officiers des services de renseignements israéliens qui ont témoigné dans une enquête détaillée par deux médias israéliens.
À cause de la surpopulation et du très faible niveau d’hygiène, de plus en plus de cas d’infection au virus de l’hépatite A sont enregistrés dans le sud de la bande de Gaza, où sont entassés des centaines de milliers de déplacés. Et la situation risque de s’aggraver, raconte le site “Daraj”.
Le président américain Joe Biden a pressé jeudi le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu de "conclure sans délai un accord" pour un "cessez-le-feu immédiat" dans la bande de Gaza.
La communauté internationale demande des comptes aux autorités israéliennes, qui attribuent la mort des employés de World Central Kitchen à une “erreur d’identification”, alors que les premiers éléments de l’enquête semblent indiquer un raid délibéré.
Selon un rapport, les dégâts causés aux infrastructures vitales de la bande de Gaza par l’offensive israélienne se montaient déjà fin janvier à quelque 18,5 milliards de dollars. Soit à peu près l’équivalent du produit intérieur brut des Territoires occupés, précise “Bloomberg”.
L'armée israélienne a annoncé lundi que 600 de ses soldats ont été tués depuis le 7 octobre 2023, date du début de la guerre avec le mouvement islamiste palestinien Hamas dans la bande de Gaza.
S’il est question maintenant de parler de la « réinvention de nos diasporas », c’est-à-dire, finalement, de réfléchir à ce que c’est qu’être juif, à ce qu’est le monde dans lequel nous vivons et à ce que doit être notre place dans ce monde, alors il est difficile, voire impossible, de ne pas prendre comme point de départ de cette réflexion, la violence inouïe qui se déploie en ce moment même à Gaza et les crimes qui y sont commis.
Depuis le début de la guerre civile en Syrie, en 2011, Israël a mené des centaines de frappes visant l’armée syrienne, mais aussi les groupes pro-iraniens qui combattent aux côtés du régime de Damas.
Le gouvernement israélien vient d'annoncer la saisie de la plus grande parcelle de terre en Cisjordanie occupée depuis les accords de paix d'Oslo en vue d'y bâtir de nouvelles colonies. La zone de 800 hectares se situe dans la vallée du Jourdain, région vitale pour un futur État palestinien.
Érosion du soutien de l’opinion en Occident, voix dissonantes au sein de la diaspora juive et rupture actée avec Joe Biden… Les réactions à la violence de la guerre à Gaza se multiplient. Et elles annoncent une défaite stratégique pour l’État hébreu, estime le rédacteur en chef de ce site panarabe.
La Cour internationale de justice (CIJ) a ordonné jeudi à Israël d'assurer "une aide humanitaire de toute urgence" à la bande de Gaza assiégée, où des combats opposent l'armée israélienne et le mouvement islamiste palestinien Hamas dans le secteur de plusieurs hôpitaux.
Le Hezbollah et son allié Amal ont annoncé mercredi soir huit morts dans leurs rangs, parmi lesquels des secouristes, dans des frappes israéliennes dans le sud du Liban portant à 16 le nombre de victimes d'une journée d'échanges de tirs transfrontaliers.
La perpétuation de la situation actuelle conduit la société israélienne dans une impasse autodestructrice.
Après des semaines de négociations, la résolution, qui exige également la libération des otages, a été approuvée par 14 des 15 membres. En s’abstenant, les Etats-Unis ont permis l’adoption du texte.
Le secrétaire général de l’ONU Antonio Guterres a salué lundi l’adoption par le Conseil de sécurité d’une résolution exigeant un cessez-le-feu "immédiat" à Gaza et la libération des otages, estimant que ne pas l’appliquer serait "impardonnable".
Le patron de l'ONU Antonio Guterres s'est rendu samedi aux portes de la bande de Gaza dévastée par la guerre et au bord de la famine, où il a appelé à un cessez-le-feu entre Israël et le mouvement islamiste palestinien Hamas pour mettre fin au "cauchemar".
Les Etats-Unis avaient déposé à l’ONU un projet appelant à un cessez-le-feu immédiat et durable, rappelant le risque de famine dans l’enclave palestinienne. Jusqu’ici, Washington, principal allié d’Israël, a mis son veto à plusieurs résolutions appelant à des cessez-le-feu.
Le gouvernement israélien a annoncé ce vendredi 22 mars la saisie de 800 hectares de terres dans la vallée du Jourdain, en Cisjordanie occupée.
L’armée israélienne mène depuis quatre jours une opération dans le complexe hospitalier Al-Chifa, dans la bande de Gaza, où elle a annoncé, jeudi, avoir déjà tué "plus de 140" combattants palestiniens.
Washington a confirmé lundi la mort du chef adjoint de la branche armée du groupe islamiste palestinien, Marwan Issa. C’est le responsable le plus haut placé tué sur ce territoire par l’armée israélienne depuis le début de la guerre.
Depuis plusieurs semaines, le risque de famine est évoqué dans la bande de Gaza, sans pour autant qu'elle ne soit décrétée. L'ONU a annoncé lundi que d'ici fin mai, en l'absence de mesures "urgentes", le nord de l'enclave basculerait au niveau le plus élevé d'insécurité alimentaire, tant en termes d'ampleur que de gravité. France 24 revient sur les critères stricts pour déclarer l'état de famine dans un territoire.
L’Organisation mondiale de la santé s’est, elle, dite « terriblement préoccupée » par les combats près de l’hôpital Al-Shifa. Le Hamas a dénoncé un « crime de guerre », affirmant que des milliers de personnes étaient réfugiées dans l’hôpital.
Le déchargement de 200 tonnes de vivres transportées par le navire Open Arms s’est achevé ce samedi 16 mars dans la bande de Gaza. C’est la première fois depuis le début de la guerre, que de l’aide humanitaire est acheminée par la mer.
Le mouvement islamiste avait critiqué la nomination de l’économiste Mohammad Mustafa au poste de premier ministre de l’Autorité palestinienne, susceptible d’« aggraver les divisions » entre Palestiniens.
Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahou a validé le plan d’invasion de Rafah. Son cabinet annonce vendredi que les préparatifs pour évacuer les civils peuvent débuter.
Un premier bateau chargé de vivres pour la population affamée par plus de cinq mois de guerre est arrivé vendredi au large de la bande de Gaza, au moment où les Palestiniens se rassemblaient sous tension pour la première grande prière depuis le début du ramadan.
La nomination d'un fidèle de Mahmoud Abbas au poste de Premier ministre palestinien va "renforcer les divisions" et prouve la "déconnexion de l'Autorité palestinienne de la réalité", ont dénoncé vendredi le Hamas, le Jihad islamique et d'autres formations.
Un premier bateau chargé de vivres est en route mercredi pour la bande de Gaza où la population est menacée par la famine, en plus des bombardements, après cinq mois de guerre entre Israël et le Hamas sans trêve à l'horizon.
Selon les chiffres du ministère de la santé de la bande de Gaza, administrée par le Hamas, plus de 12 300 enfants sont morts sur le territoire palestinien entre octobre et la fin du mois de février.
Israël doit faire de la protection des civils et de l’aide humanitaire dans la bande de Gaza sa priorité "numéro un", a déclaré mercredi le secrétaire d'Etat américain Antony Blinken. "Nous attendons du gouvernement israélien qu’il fasse de cette question une priorité. Protéger les civils, apporter aux gens l’aide dont ils ont besoin, voilà ce qui doit être la priorité numéro un, même s’ils font ce qui est nécessaire pour défendre le pays et faire face à la menace posée par le Hamas", a déclaré M. Blinken à la presse.
Une famine est "imminente" dans le nord de Gaza, prévient le PAM, le Programme alimentaire mondial. 2,2 millions de personnes, soit l’immense majorité de la population, sont menacées, selon l’ONU. Des personnes sont pourtant déjà mortes de faim. L’Organisation mondiale de la Santé (OMS) a récemment déploré le décès de 10 enfants qui n’ont pas survécu, faute de nourriture, dans un hôpital gazaoui. Le ministère de la Santé de Gaza, contrôlé par le Hamas, décompte "27 personnes mortes de malnutrition et de déshydratation dans des hôpitaux du nord de Gaza". Pourquoi la famine n’est-elle, dès lors, qualifiée que "d’imminente"?
Le couloir maritime vers Gaza pourrait permettre d'assurer un approvisionnement en aide "durable, régulier et fiable", a déclaré mardi la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, alors qu'un premier navire a quitté Chypre vers l'enclave palestinienne. C'est la première fois depuis 2005 qu'un bateau est autorisé à approvisionner Gaza en aide, a souligné Mme von der Leyen, qualifiant la livraison de "soutien vital supplémentaire".
Un couple et leurs deux enfants, membres de la milice chiite, vivaient dans la maison rasée par le raid israélien, à Kherbet Selm au Liban. Au moins neuf blessés ont par ailleurs été décomptés.
Le navire, qui s’apprête à quitter Chypre, appartient à l’organisation caritative espagnole Open Arms et transportera des denrées alimentaires fournies par l’organisation caritative américaine World Central Kitchen.
Bande de Gaza (Territoires palestiniens) (AFP) – L'Union européenne et les États-Unis ont annoncé, vendredi, l'ouverture prochaine d'un corridor maritime entre Chypre et Gaza pour acheminer l'aide humanitaire dans le territoire palestinien affamé et bombardé sans cesse par Israël, après cinq mois de guerre.
L’établissement et l’expansion de colonies israéliennes dans les territoires palestiniens ainsi que « la violence des colons et les violations liées aux implantations (…) risquent d’éliminer toute possibilité pratique d’établir un Etat palestinien viable », déplore un rapport du Haut-Commissariat des Nations unies aux droits de l’homme.
Une organisation caritative américaine a annoncé vendredi qu'elle chargeait de l'aide pour Gaza sur un bateau à Chypre. Il s'agirait de la première cargaison destinée à ce territoire dévasté par la guerre, via à un couloir maritime que la Commission européenne espère voir s'ouvrir ce weekend.
Engagée depuis des décennies pour protéger les civils des armes explosives, l’ONG Handicap International n'a de cesse de mettre en garde contre la contamination par les restes d’explosifs de guerre israéliens dans la bande de Gaza. Les conséquences sont très lourdes : pertes humaines, blessures complexes et invalidantes, traumatismes psychologiques, ou encore freins à l’acheminent de l’aide humanitaire et à la reconstruction...
Au moins 20 personnes sont mortes de malnutrition et de déshydratation à Gaza, a affirmé, mercredi, le Hamas. Depuis plusieurs mois, ONG et organisations internationales alertent sur les ravages de la malnutrition sur une population palestinienne privée d'accès aux soins. Jean-Raphaël Poitou, responsable Moyen-Orient à Action contre la Faim, s'inquiète d'une forte augmentation du nombre de décès si aucun accord de cessez-le-feu n'est rapidement trouvé entre Israël et le mouvement islamiste.
Ce port temporaire, qui prendrait la forme d’un ponton flottant, devrait permettre d’acheminer davantage d’aide humanitaire dans l’enclave, par voie maritime.
Selon le ministère de la santé du Hamas, 115 personnes ont été tuées, toutes par des tirs israéliens, dans le drame du 29 février, dont les circonstances restent encore loin d’être éclaircies.
L'établissement et l'expansion de colonies israéliennes dans les territoires palestiniens occupés relève "du crime de guerre" et "risque d'éliminer toute possibilité pratique d'établir un Etat palestinien viable", a mis en garde vendredi l'ONU.
Ce projet pour acheminer de l’aide humanitaire, annoncé par les Etats-Unis et l’UE, pourrait aboutir dès dimanche, selon la présidente de la Commission. Israël, qui assiège l’enclave et ne laisse entrer l’aide qu’au compte-gouttes depuis le 9 octobre, s’est « félicité » de ce projet.
Une trentaine d'artistes et universitaires belges ont lancé une pétition en ligne pour appeler au boycott d'Israël, alors que les bombardements et l'offensive terrestre menés par l'État hébreu ont fait plus de 30.000 morts à Gaza, en majorité des civils, selon le ministère de la Santé du Hamas.
Le président américain doit annoncer dans son discours sur l’état de l’Union ce jeudi 7 mars que les Etats-Unis vont mettre en place un moyen de distribuer davantage d’aide humanitaire dans l’enclave palestinienne guettée par la famine.
Ils sont une "toute petite minorité", leur voix est quasiment inaudible, et ils le savent. Mais quelques dizaines de jeunes activistes israéliens ont malgré tout organisé jeudi un très symbolique convoi d’aide alimentaire vers la bande de Gaza, vite refoulé par la police.
Depuis le début de l’offensive israélienne, les États-Unis ont procédé à plus de 100 livraisons d’armes à leurs alliés israéliens, malgré les inquiétudes croissantes sur les tactiques militaires employées à Gaza, souligne le “Washington Post”.
Cinq mois après le début de la riposte israélienne à Gaza en réponse aux massacres du Hamas, le 7 octobre 2023, l’étroite bande de terre palestinienne a été rendue en bonne partie inhabitable. Il est inutile d’invoquer la solution des deux Etats si ce territoire martyrisé reste un champ de ruines.
Tout comme le «oui mais» après le 7 octobre nous a meurtris, rien ne justifie une telle accumulation de morts civils, rien ne justifie de laisser la famine gagner la bande de Gaza,
Israël a autorisé la construction d'environ 3.500 maisons de colons en Cisjordanie occupée.
Symbole d'unité nationale dans le conflit face au Hamas, le cabinet de guerre israélien est secoué par la rivalité politique entre le Premier ministre Benjamin Netanyahu et le centriste Benny Gantz, en tête des intentions de vote.
Les rebelles yéménites ont attaqué le navire dans le golfe d’Aden ce mercredi 6 mars. Un responsable américain annonce deux morts et six blessés.
Critiquées régulièrement par Israël en raison de leur supposé silence sur le sujet, les Nations Unies documentent dans un rapport publié lundi 4 mars des violences sexuelles commises par le mouvement terroriste palestinien.
La vice-présidente américaine Kamala Harris a appelé dimanche à un "cessez-le-feu immédiat" pour "au moins six semaines" dans la bande de Gaza. "Etant donné l'ampleur des souffrances à Gaza, il doit y avoir un cessez-le-feu immédiat pour au moins les six prochaines semaines, ce qui est actuellement sur la table des négociations" entre Israël et le Hamas, a déclaré Mme Harris lors d'un discours commémorant une marche pour les droits civiques à Selma, dans l'Alabama.
Les tensions sont encore montées lundi entre Israël, qui a accusé l'UNRWA d'employer "plus de 450 terroristes" à Gaza, et l'agence onusienne qui a rapporté des "tortures" subies par ses employés arrêtés dans le territoire palestinien.
Le chef de l'UNRWA tire la sonnette d'alarme.