les Ressources Minières

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2024

Le régime d’indemnisation des catastrophes naturelles est dans le rouge en raison du changement climatique.
L’argent des Français placé dans des assurances-vie sert à financer des projets climaticides, dénonce Reclaim Finance dans un rapport. Il est temps de les réguler, selon Ariel Le Bourdonnec, de l’ONG. Saviez-vous que votre argent placé en épargne servait à financer des projets destructeurs de l’environnement ? Comme le très décrié projet pétrolier de TotalEnergies en Ouganga et Tanzanie, ou encore l’exploitation du gaz de schiste aux États-Unis ? C’est cette triste réalité que financent en partie les (...)
Face à l'explosion des catastrophes climatiques, certains biens vont s'avérer très difficiles voire impossibles à assurer d'ici 2050.
Le rapport remis au gouvernement préconise de revoir la surprime catastrophes naturelles pour éviter les "déserts assurantiels".
La moyenne des coûts des sinistres climatiques a presque doublé ces dernières années, selon France assureurs.
Avec l'augmentation du risque de catastrophes naturelles, les tarifs des assurances risquent d'exploser. Jean-Marc Jancovici explique l'importance de mettre en place des mesures de prévention.
L’explosion des dégâts dus aux catastrophes climatiques en 2023 pourrait pousser les assureurs à faire croître leurs tarifs. Pour Olivier Gayraud, juriste à l’association CLCV, cette hausse ne doit pas se systématiser.
Le numéro un de l'assurance français Axa et le réassureur Scor sont épinglés pour avoir assuré des projets de terminaux méthaniers de GNL aux Etats-Unis, particulièrement néfastes pour l'environnement.
Overall losses from natural disasters in 2023: US$ 250bn; more than 74,000 fatalities Insured global losses of US$ 95bn close to five-year average (US$ 105bn) and above the ten-year average (US$ 90bn) Earthquake in Turkey and Syria was the year’s most devastating humanitarian disaster Thunderstorms in North America and Europe more destructive than ever before: overall losses of US$ 76bn; insured losses US$ 58bn 2023 was the hottest year ever, with a large number of regional records broken
Alors que le Pas-de-Calais a encore les pieds dans l'eau, les communes touchées par ce nouvel épisode de crue vont-elles réussir à trouver un assureur quand il faudra renouveler leur contrat ? Rien n'est moins sûr. Il y aurait entre 1 000 et 2 000 communes en France privées d'assurance au 1er janvier 2024. Le marché est devenu très fragile à mesure que la sinistralité liée au changement climatique augmente. Cela oblige communes et assureurs à travailler main dans la main pour mieux identifier et prévenir ces risques.
La facture des catastrophes climatiques ne cesse de s’alourdir. Au point de faire craquer le système d’indemnisation français, basé sur une prise en charge à 50% par la Caisse centrale de réassurance et sur une garantie de l’État. Le gouvernement vient de décider d’une augmentation de la surprime sur les contrats d’assurance qui alimente ce régime en déficit constant depuis plusieurs années. Mais elle risque d’être insuffisante face à l’augmentation de l’intensité et de la fréquence des événements climatiques.
C'est ce qu'affirme le réassureur allemand Munich Re.
Vagues de résiliations, appels d’offres sans succès, hausse des cotisations… La multiplication des aléas climatiques pousse les assurances à se détourner du marché des collectivités, devenu peu rentable.

2023

La surprime qui finance le régime des catastrophes naturelles va passer de 12 à 20% au 1er janvier 2025. Ce système est en déficit depuis 2015.
Face aux risques climatiques, des millions d'Américains ne trouvent déjà plus d'assureurs privés. En cause, des coûts devenus exorbitants et l'abandon par les assureurs de certaines zones. Or selon un rapport de la First Street Foundation, cette situation pourrait s'aggraver. 39 millions d'habitations, soit près d'un quart du pays, ne paient pas encore le coût des risques actuels.
Libre Eco week-end | Le Dossier. Les épisodes climatiques extrêmes se sont multipliés cet été à travers le globe. Le dérèglement climatique s’impose à nous et la fréquence des sinistres s’accélère. Comment le monde de l’assurance va-t-il pouvoir affronter cette nouvelle réalité ? Et les assurés, vont-ils voir leurs primes flamber ?
Selon un rapport publié aujourd'hui par Greenpeace Afrique, Insure our Future, Reclaim Finance et Urgewald, toute entreprise ayant obtenu des droits d'exploration et d'exploitation dans le cadre des enchères pétrolières en République Démocratique du Congo (RDC) pourrait se retrouver sans protection financière.
Certaines des plus grandes compagnies d’assurance américaines viennent d’annoncer que les conditions météorologiques extrêmes les amènent à mettre fin à plusieurs de leurs garanties, à exclure les protections contre les catastrophes naturelles et à augmenter les primes. Les habitants de maisons situées dans des zones vulnérables aux catastrophes climatiques comme les feux ou les tempêtes, et il y en a beaucoup, ne sont plus couverts alors que les risques augmentent. Les assureurs français ne sont pas encore parvenus à cette extrémité, mais ils y pensent.
Le premier semestre 2023 s'avère dévastateur en termes d’événements climatiques extrêmes. Selon Swiss Re, le coût des catastrophes naturelles a atteint 120 milliards de dollars dans le monde, dont 50 milliards de coûts assurés. Pour le réassureur, des efforts d’adaptation au changement climatique doivent être faits. Mais l’ONG Reclaim finance pointe un double discours du secteur, qui continue de financer des projets d’énergies fossiles.
Invoqué par les militants écologistes, le coût de "l’inaction climatique" pourrait inquiéter les milieux de la finance. Au premier semestre 2023, les catastrophes climatiques ont coûté plusieurs dizaines de milliards de dollars aux assureurs. Mais ces derniers continuent d’assurer les activités liées aux énergies fossiles, qui alimentent justement le dérèglement climatique.