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niveau de la mer

2024

De nombreux posts sur Facebook et X citent une étude, affirmant que ses conclusions démontrent que la superficie de certaines îles augmente et ainsi que le niveau des mers ne monte pas. Or, l’étude en question conclut que certaines îles ont gagné du terrain sur la mer, notamment en raison d’activités humaines, mais ne remet en aucun cas en question la hausse du niveau de la mer et son lien avec le réchauffement climatique.
L’Antarctique est-il proche d’un point de bascule, ce seuil menant à terme à une fonte massive et rapide, en raison du réchauffement climatique ? Ce scénario s’est en tout cas produit il y a 8000 ans, selon une nouvelle étude. Celle-ci “met en lumière la rapidité avec laquelle la glace de l’Antarctique pourrait fondre si les températures continuent de monter en flèche”, avertissent ses auteurs.
Ce rapport analyse les obstacles et leviers à la lumière de projets inspirants en matière d'adaptation des villes à l'élévation du niveau de la mer dans le Pacifique.
Alors que le ministre de la Transition écologique Christophe Béchu a annoncé mardi 23 janvier faire de "2024 l'année de l'adaptation", une nouvelle étude vient confirmer que sans préparation aux effets de la crise, la facture sera salée. Dans le pire des scénarios, le PIB de certaines régions littorales de l'Union européenne et du Royaume-Uni serait lourdement pénalisé, avec des pertes économiques estimées à 872 milliards d'euros d'ici à 2100. Et la France ne serait pas épargnée.

2023

Ce jeudi, le sort des villes côtières face à l’élévation de la mer est au menu d'un sommet à Paris. Théophile Bongarts Lebbe, à l’origine d’un projet qui réunit des chercheurs, estime qu’il reste beaucoup à faire pour adapter le littoral.
Une couche de glace épaisse de plus d'1,5 km a fondu au Groenland il y a 416.000 années, au cours d'une période de réchauffement climatique naturel modéré, signe de sa plus grande vulnérabilité qu'imaginée au changement climatique actuel, selon une étude publiée jeudi.
Il n'est pas toujours facile d'appréhender l'élévation du niveau de la mer. Une visualisation nous permet d'y voir un peu plus clair.

2022

Le rapport 2022 de Financité sur l’inclusion financière en Belgique pointe de nombreux manquements et une dynamique qui va dans la mauvaise direction.
Le niveau de la mer Méditerranée, qui borde l’État hébreu, devrait croître d’un mètre d’ici à 2050, selon une enquête menée par le journal israélien “Ha’Aretz”. Une catastrophe non seulement pour la majorité de la population du pays, qui vit dans la plaine côtière, mais également pour de nombreuses infrastructures vitales.
Selon une étude (en anglais) publiée lundi 29 août dans la revue Nature Climate Change et repérée par Franceinfo via l’AFP, à cause du dérèglement climatique, la calotte glaciaire du Groenland pourrait perdre au minimum 3,3 % de son volume d’ici à l’année 2100. L’une des conséquences « inévitables » de cette fonte des glaciers pourrait être une augmentation a minima de 27,4 centimètres du niveau de la mer… soit davantage que ce que le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (Giec) prévoyait dans son rapport de référence de 2021.
Dans la plaine céréalière d’Aunis, les mesures ont révélé des concentrations en prosulfocarbe dans l’air jamais observées en France.
L’Organisation météorologique mondiale (OMM), dans son rapport intitulé « Etat du climat mondial en 2021 » prévient, mercredi 18 mai, que le système énergétique mondial conduit l’humanité à la catastrophe. Quatre marqueurs-clés du changement climatique ont battu de nouveaux records en 2021, mentionne le document : les concentrations de gaz à effet de serre, l’élévation du niveau de la mer, la température et l’acidification des océans. « Notre climat change sous nos yeux », a déclaré le chef de l’OMM, Petteri Taalas.
Les rapports du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat le martèlent depuis des années : le niveau des mers monte. Une accélération de l’expansion de l’océan à laquelle s’ajoute une autre réalité, celle d’une population qui se masse de plus en plus sur les littoraux.
Wellington et Auckland, les deux plus grandes villes de l’archipel, pourraient connaître des inondations importantes chaque année dès 2040. Selon les autorités, la budgétisation de la relocalisation de certains habitants et infrastructures, est en cours.
L’élévation du niveau de la mer tient une place toute particulière dans le second volet du 6e rapport d’évaluation du GIEC publié en février 2022. Contrairement à d’autres variables climatiques telles que les températures et les précipitations, le niveau de la mer continuera à s’élever bien après la stabilisation des températures globales, puisque les glaciers de montagne et les calottes de glace en Antarctique et au Groenland mettront des siècles à s’ajuster aux nouvelles températures.
Après l’effondrement d’une barrière de glace sous l’effet de températures supérieures à la normale de 40°C en Antarctique oriental, les regards se tournent vers l’ouest où un glacier pourrait à lui seul faire monter le niveau de la mer de plusieurs mètres
La France vient de rehausser son niveau d'alerte en matière de dissuasion nucléaire. Désormais, trois des sous-marins dotés de cette arme sont en mer, une situation inédite.
Le niveau des océans devrait augmenter de 30 centimètres d’ici à 2050, qu’importent nos réductions d’émissions de carbone. À quoi est-ce dû et que pouvons-nous faire pour nous adapter ?
Un rapport, conduit par une série d’agences fédérales - dont la Nasa et la National Oceanic and Atmospheric Administration –, souligne que cette évolution entraînera une "augmentation significative" des inondations côtières, en particulier à marée haute, au cours des prochaines années.
Le prix de l'aluminium s'est approché de son niveau le plus élevé depuis treize ans, après que la banque américaine Goldman Sachs a prédit que le prix continuera à augmenter en raison des problèmes d'approvisionnement de la Chine vers l'Europe. Les prix de l'aluminium ont déjà augmenté de plus de 10 % cette année à Londres.
La déstabilisation du glacier Thwaites, situé en Antarctique occidental, inquiète fortement les glaciologues. Le dérèglement du fonctionnement des courants aériens et océaniques, exacerbé par les effets du réchauffement climatique, menace de causer la disparition de ce glacier. À lui seul, il aurait la capacité d’élever le niveau global des mers de 65 cm. Cependant, ce scénario catastrophe ne s’arrête pas là.
D’une taille comparable à celle de la Grande-Bretagne, le glacier Thwaites se détériore de plus en plus vite sous l’effet du réchauffement climatique. Sa disparition totale entraînerait à elle seule une augmentation de 65 centimètres du niveau des mers.
De nouveaux travaux de modélisation ont montré que si l’évolution actuelle du climat se poursuit jusqu’en 2100, la calotte antarctique pourrait contribuer jusqu’à plus de cinq mètres à l’élévation du niveau des mers les siècles suivants. Ces résultats, qui ne tiennent pas compte de la hausse liée à la fonte de l’inlandsis groenlandais et des glaciers de montagne, ont été publiés dans le Journal of Glaciology.

2021

D’ici 2100 au moins, l’humanité devra faire face au phénomène inéluctable de la montée du niveau de la mer. Ce phénomène va affecter de manière croissante le littoral et les zones côtières où se concentrent de nombreuses populations et activités économiques. La prévention des risques constitue ainsi un enjeu majeur des politiques publiques comme des acteurs privés. À l’aide des méthodes de l’analyse prospective, et en partant des principales projections du GIEC, les auteurs explorent les enjeux et les conséquences de plusieurs scénarios de montée du niveau de la mer à l’horizon 2100.
Les dangers et les enjeux stratégiques se multiplient avec le réchauffement climatique. Outre l'élévation du niveau des mers et des conditions météorologiques extrêmes, le changement climatique a ouvert de nouvelles zones de concurrence, comme l'Arctique. La compétition pour les ressources rares ne va, elle, probablement plus s'arrêter.
Même si l'humanité parvient à limiter le réchauffement à 1,5°C par rapport à l'ère préindustrielle, le niveau des mers va monter pendant des siècles, inondant des villes actuellement habitées par un demi-milliard de personnes, ont mis en garde mardi des scientifiques.
Des hivers plus rudes en Europe du nord (jusqu’à 10°C de moins au nord de la Norvège), une montée du niveau des eaux sur la côte Est de l’Amérique du Nord, des modifications des régimes de moussons de l’Amérique du Sud, à l’Inde en passant par l’Afrique… Voici les perturbations climatiques qui pourraient avoir lieu si la Circulation méridienne de retournement Atlantique (Amoc), un ensemble de courants marins de cet océan qui côtoie la France, continuait à se déstabiliser.
L’Alliance des petits États insulaires (Aosis), vulnérables aux effets du changement climatique, a ainsi appelé le monde à tout faire pour limiter la hausse de la température à 1,5 °C, alors que le rapport montre que l’accélération de la hausse du niveau des mers menace leur existence.
Après la publication, lundi 9 août, du rapport de l’ONU alertant sur le réchauffement de la planète et la hausse du niveau des mers, des dizaines de petits Etats insulaires vulnérables aux effets du changement climatique ont appelé le monde à sauver leur avenir.
Des dizaines de petits États insulaires vulnérables aux effets du changement climatique ont appelé le monde à sauver leur avenir, après la publication lundi du rapport de l’ONU affirmant que l’accélération du réchauffement de la planète et la hausse du niveau des mers menacent leur existence.
Mais ces inondations fréquentes ne sont que le signe avant-coureur d'un problème bien plus important. La ville de plus de 24 millions d'habitants pourrait bien devenir inhabitable d'ici la fin du siècle en raison de l'élévation du niveau de la mer, provoqué par le changement climatique.
Le problème a été détecté lors d'une opération de rechargement du combustible. Certains crayons, des tubes de 4 mètres de long, enfermant les pastilles d'uranium enrichi portent des traces blanchâtres, attribuées à de la corrosion.
Les vêlages d'iceberg peuvent cacher un phénomène bien plus inquiétant lié au changement climatique qui pourrait déterminer la hausse du niveau marin. Car l’Antarctique est entièrement recouvert d’un inlandsis, une étendue glaciaire qui s’étend sur l’océan pour y former de grandes plates-formes flottantes. Ces dernières se créent par écoulement gravitaire de la glace du continent vers l’océan et constituent un barrage de sécurité autour de l’Antarctique.
La vague de sécheresse souffle sur plusieurs Etats américains (l'Arizona, l'Utah, le Montana) mais la Californie est particulièrement touchée. Ses réserves d'eau diminuent dangereusement.
Le taux de retour énergétique (EROEI) de l’énergie solaire serait compris entre 22 et 52 pour 1, selon le niveau d’ensoleillement du site. Ce sont là les résultats d’une nouvelle étude américaine publiée le 1er juin dans la revue Progress in Photovoltaics.
SI vous vous êtes déjà demandé quel était le lien entre la montée du niveau des océans et le changement climatique, nous espérons que cette planche vous aidera à y voir plus clair. Nous avons bénéficié de l'aide d'Anny Cazenave, chercheuse CNES au LEGOS (Laboratoire d'études en géophysique et océanographie spatiales), membre de l’Académie des sciences et l’un des principaux auteurs du chapitre « Élévation du niveau de la mer » du 5e rapport du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC).
Aujourd’hui, la moitié de la population mondiale vit à moins de 200 km d’une côte, et une personne sur dix habite à moins de dix mètres au-dessus du niveau marin actuel. Aussi, la montée des eaux sera, pour les habitants de la planète, une des conséquences les plus impactantes du changement climatique. Mais pourquoi dit-on que ces deux phénomènes sont liés ? Le niveau de la mer n’a-t-il pas toujours fluctué ?
Les projections climatiques sont incertaines, mais avec des données de qualité et de bonnes pratiques ce n'est pas toujours un obstacle à l'adaptation
Une nouvelle étude de modélisation montre l’importance de limiter le réchauffement climatique pour éviter une fonte accélérée des glaces de l’Antarctique.
Températures moyennes, records de chaleur, émissions et concentrations de CO2 et de méthane, dégel du pergélisol, fonte des banquises et des calottes glaciaires, hausse du niveau de la mer, tempêtes, acidification des océans, courants marins, forêts, sols, biodiversité, incendies, sécheresses, inondations, déplacements de populations… Tour d’horizon d’une Terre en surchauffe.
L'élévation du niveau de la mer due au réchauffement climatique s'annonce catastrophique pour un certain nombre de populations côtières. Plus encore qu'on le pensait, avertissent aujourd'hui des chercheurs. Car, en parallèle, les activités humaines provoquent un affaissement des côtes.
Des chercheurs ont récemment comparé la hausse du niveau des mers réellement observée à celle anticipée par les modélisations climatiques sur la période la plus récente. Et ce, aussi bien à l’échelle globale que régionale. Les résultats ont été publiés ce 12 février dans la revue scientifique Nature communications.

2020

Des projections de l'élévation du niveau de la mer au cours des 10.000 prochaines années, réalisées par le glaciologue Jonas Van Breedam dans le cadre de son doctorat à la VUB, montrent le risque pour la Flandre et d'autres régions d'Allemagne, des Pays-Bas et du Danemark de se retrouver sous eau.
L’augmentation de la température des eaux amplifie l’accumulation de contaminants neurotoxiques comme le mercure organique (méthylmercure) chez certaines espèces marines. Aujourd’hui, la contamination de la vie marine et des réseaux alimentaires est en croissance à cause de l’action combinée de la pollution au mercure, des changements climatiques et de la surpêche. Cela a des implications évidentes pour les écosystèmes et l’océan, mais aussi pour la santé publique. Le risque de consommer du poisson et des fruits de mer contaminés au mercure augmente avec les changements climatiques.
Une étude publiée en mai dernier évalue les changements futurs du stress thermique. La hausse d’environ 1°C de la température globale au-dessus des niveaux préindustriels a déjà augmenté la population annuelle exposée à des niveaux dangereux de chaleur et d’humidité. L’exposition pourrait considérablement augmenter si le réchauffement global se poursuit.
Les scientifiques ont révélé l’année dernière que la glace du Groenland disparaissait sept fois plus vite qu’elle ne l’était dans les années 1990, ce qui fait grimper les estimations précédentes concernant l’élévation du niveau de la mer et expose 400 millions de personnes au risque d’inondation d’ici la fin du siècle.

2019

2018

2017

2016