les Ressources Minières

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2024

Communiqué de presse co-signé par Canopea, la SSMG (Société scientifique de médecine générale), la Belgian Lung Fundation, la Fédération des maisons médicales. Une nouvelle étude (ici le briefing, ici l’étude) menée par le groupe environnemental Transport & Environment (T&E) indique que des milliers de cas d’hypertension artérielle, de diabète et de démence en Belgique et en Europe pourraient être liés aux minuscules particules émises par les avions.
Une vague de chaleur en Asie du sud-est a entraîné la fermeture de milliers d’écoles aux Philippines, confiné les Thaïlandais chez eux et poussé des fidèles musulmans à prier pour la pluie au Bangladesh.
Le sud-est de la France est touché samedi par un épisode de pollution aux particules fines en raison du passage d'un nuage de sable du Sahara, ont annoncé les préfectures de la région Provence-Alpes-Côte-d'Azur (Paca) et de l'Hérault.
Selon le rapport annuel de iQAir, seulement sept pays dans le monde respectaient la directive annuelle de l'OMS sur les particules fines et la qualité de l'air. Si certains sont européens, la France n'en fait pas partie.
La concentration en particules ultrafines, dix à cent fois plus petites que les particules fines, est aussi élevée à l’intérieur de l’aéroport francilien qu’au niveau du boulevard périphérique autour de la capitale, selon Airparirf.

2023

Les particules fines intoxiquent la plaine du Pô. La pollution de l'air atteint des pics en hiver dans cette région considérée comme le garde-manger de l'Italie. Reportage à Crémone, qui enregistre l'une des plus grandes concentrations de ces particules d'Europe.
Quelque 250.000 décès au sein de l’Union européenne (UE) en 2021 sont liés à une trop grande concentration de particules fines, communique vendredi l’Agence européenne pour l’environnement (AEE).
Des chercheurs américains montrent la dangerosité de la pollution au charbon, mais ils prouvent aussi l’efficacité des mesures de protection, comme l’installation d’épurateurs sur les cheminées des industries émettrices.
Policy-makers seeking to limit the impact of coal electricity-generating units (EGUs, also known as power plants) on air quality and climate justify regulations by quantifying the health burden attributable to exposure from these sources. We defined “coal PM2.5” as fine particulate matter associated with coal EGU sulfur dioxide emissions and estimated annual exposure to coal PM2.5 from 480 EGUs in the US. We estimated the number of deaths attributable to coal PM2.5 from 1999 to 2020 using individual-level Medicare death records representing 650 million person-years. Exposure to coal PM2.5 was associated with 2.1 times greater mortality risk than exposure to PM2.5 from all sources. A total of 460,000 deaths were attributable to coal PM2.5, representing 25% of all PM2.5-related Medicare deaths before 2009 and 7% after 2012. Here, we quantify and visualize the contribution of individual EGUs to mortality.
Juste avant, je leur avais montré une vidéo leur expliquant les conséquences sur le corps des particules fines et du dioxyde d’azote. D'ailleurs, saviez-vous qu’en Belgique, en moyenne sur une année, il n’existe aucun endroit où l’air est de “très bonne qualité” ? Ni même de “bonne qualité”?
Il n’y a pas d’amour, que des preuves d’amour. Alors qu’Emmanuel Macron déclarait dimanche au JT télévisé « adorer la bagnole », le gouvernement français a fait pression pour empêcher l’Union européenne d’abaisser les normes de pollution des voitures. Sûrement une illustration de « l’écologie à la française » vantée par le président de la République.
Plus il y a de particules fines dans l'air, plus les visites chez le médecin sont nombreuses, ressort-il d'une étude publiée par les Mutualités libres.
Énergie, industrie, transport, chauffage, agriculture... tous ces secteurs ont un dénominateur commun : leur contribution à la pollution atmosphérique.
Mémoire perturbée, difficultés de concentration et de prise de décision… Depuis plusieurs années, des chercheuses et chercheurs aux quatre coins du monde s’intéressent de près aux effets de différents types de pollution sur le cerveau humain, en particulier ceux liés à la pollution de l’air. Les premières études disponibles affichent des résultats préoccupants.
Une étude menée par des volontaires pendant plusieurs mois pour une émission de France 5 démontre que la pollution aux particules fines dans le métro parisien est largement supérieure à celle à l’extérieur.
La revue “Nature” met en avant dans sa dernière édition une étude qui se penche sur le lien entre inhalation de particules fines de polluants et cancer des poumons chez les individus ne fumant pas.
L’ensemble de la population terrestre est confrontée à des taux de pollution aux particules fines supérieurs aux recommandations de l’Organisation mondiale de la santé. Voilà le résultat d’une étude publiée le 6 mars dans The Lancet Planetary Health repérée par Actu Environnement.
L’épisode de pollution de l’air continue de sévir sur le pays. Le seuil d’alerte en particules fines PM10 (d’un diamètre inférieur ou égal à 10 micromètres) a été dépassé dans trois nouveaux départements le 15 février : le Cher, l’Indre-et-Loire et le Loiret. Les effets de la concentration très élevée de ces particules se font sentir tant chez les personnes vulnérables et sensibles, appelées à être particulièrement vigilantes, que chez les personnes en bonne santé : toux, gêne, essoufflement… Sur Franceinfo, Tony (...)
Depuis quelques jours, la France connaît un épisode de pollution aux particules fines. La physicienne de l’atmosphère Cathy Clerbaux explique les différentes pollutions de l'air et leur lien avec le réchauffement climatique.
Dans la région d’Arlit au Niger, deux filiales d’Orano (ex AREVA), la SOMAÏR et la COMINAK ont exploité des gisements d’uranium depuis la fin des années 70. En 2020, 34 % de l’uranium importé en France pour le fonctionnement des centrales électronucléaires provient du Niger. L’extraction du métal radioactif à partir des minerais y a entraîné la production de plusieurs dizaines de millions de tonnes de résidus radioactifs.

2022

La pollution de l’air continue de faire des dégâts. Selon l'Agence européenne pour l'environnement (AEE), l'exposition aux particules fines a encore entraîné 238 000 décès prématurés à travers l'Union européenne en 2020. Un rapport inquiétant, alors que la Commission européenne a adopté de nouvelles normes en matière de qualité de l'air en deçà des recommandations de l'Organisation mondiale de la santé (OMS).
La pollution de l'air a tué au moins 238 000 Européens en 2020, annonce l'Agence européenne pour l'environnement (AEE) dans un rapport publié jeudi. Un chiffre en légère hausse après plusieurs années de baisse, imputé notamment au Covid-19.
Alors que la sécheresse frappe toujours durement la Corse, des incendies viennent aggraver un taux de pollution de l’air aux particules fines déjà élevé sur l’île.
Des chercheurs du CNRS et de l’INSERM ont établi une corrélation quasi linéaire entre pollution aux particules fines et mortalité liée à la covid-19. Publiée dans la revue « Science of the Total Environment », cette étude lance un nouveau pavé dans la marre de l’inaction du gouvernement en matière de gestion de la qualité de l’air.
Sept millions de morts dans le monde chaque année. C’est la conséquence effarante de la pollution de l’air. Comment expliquer qu'un tel bilan suscite si peu de réaction ? Il suffit de mettre en perspective le million trois cent mille morts dus aux accidents de la route, ou les morts par armes à feu (environ deux cent cinquante mille à l’échelle du monde). S’il s’agissait de guerre ou de terrorisme, nul doute que les appels à faire cesser le carnage se multiplieraient.
Des chercheurs ont confirmé le lien entre pollution aux particules fines et cancer du poumon. Mais aussi du pharynx, du larynx ou de l’intestin grêle. Ils ont en outre mis en évidence le mécanisme sous-jacent.
Une équipe anglaise a annoncé, samedi, avoir découvert le mode d’action des PM2,5, responsables de centaines de milliers de morts par cancer du poumon.
La pollution de l'air aux particules fines, liée en majorité à la combustion d'énergies fossiles, raccourcit la durée de vie de plus de deux ans en moyenne dans le monde, selon une étude publiée mardi. "Réduire définitivement la pollution de l'air mondiale pour respecter les recommandations de l'OMS permettrait d'ajouter 2,2 années à l'espérance de vie moyenne", écrivent les auteurs du rapport Air Quality Life Index publié par l'Energy Policy Institute de l'université de Chicago.
Les voitures électriques ne sont pas la panacée contre la pollution de l’air. Tel est le résultat d’une étude de l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie (Ademe) publiée fin avril. Contrairement aux véhicules thermiques, les voitures électriques n’émettent ni oxydes d’azote, ni dioxyde de carbone, ni composés organiques volatiles. Elles émettent en revanche une quantité importante de particules fines. La cause : le poids important de leurs batteries, qui contraint les constructeurs à utiliser des pneus plus larges. En frottant sur la chaussée, ces derniers émettent des PM10 (des particules d’une taille inférieure à 10 micromètres), qui finissent leur course dans les poumons des riverains au péril de leur santé.
CO2, pesticides, particules fines, perturbateurs endocriniens, PFAS : avec la révolution industrielle, un nouvel univers chimique a été créé, qui n’est pas celui dans lequel l’humain avait évolué. Les conséquences sur la santé sont majeures, explique le chercheur Rémy Slama.