les Ressources Minières

OA - Liste

Les Ressources minérales (*)

Résultats pour:
barrage

2024

Les pays Balkans risquent d'endommager de façon irréversibles leurs milliers de kilomètres de rivières encore intacts, met en garde une ONG, pointant du doigt la multiplication des projets de barrages hydroélectriques et le non-respect des normes européennes."Les Balkans possèdent parmi les rivières les plus propres et sauvages d'Europe, des réserves cruciales pour la biodiversité du continent", souligne le rapport publié mercredi par l'ONG ClientEarth.
L'autorité de sûreté nucléaire (ASN) a mis en demeure jeudi Orano de remettre en état le barrage qui approvisionne en eau les installations de refroidissement de son usine de recyclage de combustibles usés de La Hague (Manche).Selon la mise en demeure du gendarme de la sûreté nucléaire, le spécialiste du combustible nucléaire doit "restaurer l'état des installations du barrage des Moulinets, qui assure l'approvisionnement en eau" du site d'Orano Recyclage.
Le démantèlement de retenues hydroélectriques sur le Klamath, le fleuve qui traverse la région, provoque la colère des habitants, convaincus que les objectifs environnementaux mis en avant par les autorités vont contre leurs intérêts.
Résident du petit village de Kapoulivka, situé sur la rive droite de l’immense fleuve Dniepr qui traverse l’Ukraine du nord au sud, Serhi Karnaoukh a passé toute sa vie à pêcher dans le réservoir d’eau formé par le barrage hydroélectrique de Kakhovka. Mais il y a un an, le 6 juin 2023, à l’aube, une explosion retentissait sur des dizaines de kilomètres. L’édifice de trente mètres de haut, construit dans les années 1950 sur le Dniepr, venait d’exploser, déversant les eaux du réservoir sur des dizaines de villes et villages côtiers situés en aval du barrage, dans les régions de Mykolaïv et de Kherson.
La branche armée du Hamas palestinien a dit dimanche avoir visé Tel-Aviv avec un "important barrage de roquettes" dans un message publié sur le réseau social Telegram.
Dans un état des lieux alarmant, l'Union internationale pour la conservation de la nature prévient mercredi que la moitié des écosystèmes de mangrove mondiaux sont menacés d'effondrement. En cause : la déforestation, le développement, la pollution et la construction de barrages. Mais aussi l'élévation du niveau de la mer et la fréquence accrue des tempêtes violentes associées au changement climatique.
La rupture d'un barrage à une centaine de kilomètres au nord-ouest de Nairobi, au Kenya, en raisons de fortes inondations, a fait lundi au moins 42 morts, selon la gouverneure locale. Cette catastrophe fait passer le bilan total de la saison humide (mars-mai) dans ce pays à 120 morts.
De nombreuses villes de l'Oural, en Russie, se retrouvent inondées après la rupture d'un barrage à Orsk voilà deux. Les autorités russes ont déjà fait évacuer des milliers de personnes et elles s'attendent à une dégradation de la situation au cours des prochains jours.
Le pic de la crue dans la ville proche de la frontière avec le Kazakhstan est attendu mercredi. Selon une première estimation, le coût des dégâts engendrés pourrait atteindre près de 2,1 milliards d’euros.
Les missiles ont infligé des « dégâts très importants » sans provoquer de danger immédiat. « Il s’agit de l’attaque la plus massive contre des installations énergétiques [ukrainiennes] » en 2024, selon le procureur général d’Ukraine.
La Cour des comptes demande des investissements supplémentaires pour adapter les 18 centrales nucléaires, les barrages et le réseau de distribution d'électricité français au réchauffement climatique.Le changement climatique "est largement intégré dans les référentiels et normes de sûreté, mais l'adaptation fait peser des exigences nouvelles pour les exploitants", en particulier la Compagnie Nationale du Rhône (CNR), gestionnaire de barrages, et EDF, souligne la Cour dans son rapport publié mardi.
EDF a signé une contrat avec l'Arabie saoudite pour bâtir une centrale hydroélectrique en plein désert afin d'alimenter la cité futuriste "The Line", qui doit voir le jour d'ici à 2030. En interne, la participation de l'énergéticien à ce projet suscite beaucoup d'interrogation chez les salariés, qui appellent à une droit de retrait.
Le projet de chantier déployé dans le cadre du projet Neom génère une forte opposition en interne, des salariés s’alarmant de son incompatibilité avec les engagements de l’entreprise pour l’environnement ou les droits de l’homme.
Le déploiement de petites centrales hydroélectriques sur les torrents alpins est en pleine croissance selon les données recueillies par Reporterre. Bien des maires sont ravis mais la biodiversité trinque.
Près de Luang Prabang, la construction d'un barrage sur le fleuve Mékong bouche l'avenir de la capitale touristique du Laos, où les défenseurs de l'environnement et du patrimoine peinent à se faire entendre."Aujourd'hui, le paysage est magnifique. Vous pouvez voir les rochers, le fleuve, les jardins sur la rive", décrit un guide conférencier, sous couvert d'anonymat, pour se protéger vis-à-vis du gouvernement autoritaire."Une fois qu'ils auront terminé le barrage, le Mékong sera différent", concède-t-il.
Le président vénézuélien Nicolas Maduro a juré de faire barrage au géant pétrolier américain ExxonMobil dans les eaux riches en pétrole du territoire administrée par le Guyana mais revendiqué par le Venezuela."On vous attend ici ExxonMobil, quand vous voulez, où vous voulez", a menacé M. Maduro dans des déclarations retransmises à la télévision lundi soir. Ajoutant "ExxonMobil n'entrera pas dans cette mer... il faut qu'il le sache".
C’est un chantier d’une ampleur inédite aux États-Unis : quatre barrages hydroélectriques construits le long de ce cours d’eau, sur la frontière entre l’Oregon et la Californie, sont en train d’être démantelés. Une bonne nouvelle pour la tribu amérindienne yurok, qui pourrait ainsi renouer avec son mode de vie traditionnel et voir revenir la faune et la flore endémiques, surtout les saumons, dont la population a été mise à mal par les ouvrages, rappelle le “Los Angeles Times”.

2023

Le gouvernement veut débloquer l'investissement dans les barrages hydroélectriques, toujours au coeur d'un bras de fer avec Bruxelles quant au respect du droit de la concurrence, a déclaré mercredi la ministre de la Transition énergétique, Agnès Pannier-Runacher."Nous avons engagé avec Bruno Le Maire (ministre de l'Economie et des Finances, NDLR) et les entreprises concernées des discussions avec la Commission européenne et je ne vous cache pas qu'elles ne vont pas être simples", a précisé la ministre.
Le projet de barrage hydroélectrique de Mphanda Nkuwa sur le Zambèze au Mozambique a franchi une nouvelle étape avec la signature annoncée mercredi d'accords entre le gouvernement mozambicain et le consortium choisi pour le projet, qui associe les groupes français EDF, TotalEnergies et japonais Sumitomo.Cette centrale au fil de l'eau, d'une capacité projetée de 1.500 MW, doit être implantée à environ 60 kilomètres de la ville de Tete (nord-ouest du Mozambique).
Une consultation publique sur un projet de barrage hydroélectrique sur le Rhône va être lancée vendredi, marquée déjà par une opposition forte en raison du site choisi, un des rares espaces non aménagés du fleuve en amont de Lyon.La Compagnie nationale du Rhône (CNR) a présenté mercredi, après une phase d'étude et avant la consultation, les contours du "projet Rhônergia" qui pourrait voir le jour d'ici 2033 entre l'Ain et l'Isère, si l'Etat donne son feu vert.
Kenneth Darlington, un ancien avocat et professeur, a abattu deux militants qui effectuaient un barrage routier au Panama.
Une ONG australienne a vu mercredi son action en justice contre la ministre australienne de l'Environnement Tanya Plibersek, qu'elle accuse de favoriser la poursuite de l'exploitation du charbon, aux dépens de la protection de l'environnement, rejetée.
Les deux barrages qui ont rompu à Derna, provoquant des inondations meurtrières dans l’est de la Libye, présentaient dès 1998 des fissures qui n’ont jamais été réparées, selon plusieurs rapports et études.
Le Caire demande à Addis-Abeba d’attendre un accord tripartite, avec le Soudan, pour exploiter cette infrastructure. L’Egypte s’inquiète grandement du barrage car elle dépend du Nil pour 97 % de ses besoins en eau.
C'est une énergie renouvelable sous-exploitée: sous l'impulsion d'EDF, la France veut libérer le "potentiel" de production électrique de ses barrages, un patrimoine national endormi du fait d'un vieux contentieux avec Bruxelles.Poids lourd historique et méconnu de la production électrique, l'hydroélectricité est au coeur d'une discrète bataille à Bruxelles où la Commission européenne presse depuis le milieu des années 2000 Paris de remettre en concurrence ses concessions de barrages.
Les inondations causées par l’explosion du barrage augmentent le risque de faire apparaître des maladies hydriques particulièrement dangereuses, dont le choléra ou la typhoïde.
Dans un communiqué publié dimanche 18 juin, la coordinatrice des Nations unies pour l'Ukraine, Denise Brown, déplore de ne pouvoir accéder à certaines zones.
Les Russes sont accusés par les Nations unies de bloquer les opérations de sauvetage internationales autour du barrage détruit de Kakhovka. Pour le Kremlin, il s’agit avant tout d’assurer la sécurité des représentants de l’ONU.
Le chef de l’Agence internationale pour l’énergie atomique est arrivé à Zaporijjia pour évaluer les dégâts suite à l’effondrement du barrage de Kakhovka.
L'AIEA a réitéré dimanche, face à des données divergentes, sa demande d'accès au site où est mesuré le niveau de l'eau du réservoir utilisée pour refroidir les réacteurs de la centrale nucléaire de Zaporijjia, dans le sud de l'Ukraine.Les experts de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), présents de manière permanente sur place, "ont besoin d'y accéder pour clarifier la raison de l'écart significatif observé entre diverses mesures", selon un communiqué de cette instance onusienne.
En cours d'évacuation, Kherson subit toujours les tirs d’artillerie russes, ininterrompus depuis des mois. Dans la zone occupée, où les inondations sont les plus graves, les secours russes trient parmi les habitants en détresse.
La destruction du barrage de Kakhovka, dans le sud de l’Ukraine, a inondé 48 localités le long du Dniepr. D’après les autorités russes, la montée des eaux pourrait durer encore 10 jours.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a appelé le monde à réagir, accusant la Russie d’un "écocide brutal" après la destruction du barrage de Kakhovka, près de Kherson, ce mardi 6 juin. Une nouvelle catastrophe qui laisse craindre de graves répercussions sur la faune et la flore locales.
La destruction mardi du barrage ukrainien de Kakhovka, attribuée à la Russie par Kiev et l’Union européenne (UE), pourrait entraîner “la pire catastrophe écologique en Ukraine depuis Tchernobyl”, selon les autorités. Le procureur général du pays a ouvert une enquête pour “écocide”.
La Russie a provoqué "l'une des pires catastrophes environnementales de ces dernières décennies", a affirmé mercredi le Premier ministre ukrainien Denys Chmygal après la destruction du barrage de Kakhovka, dans le Sud de l'Ukraine.
La destruction du barrage de Kakhova dans la nuit de lundi à mardi a fait de nombreux dommages collatéraux.
La destruction du barrage de Kakhovka, mardi dans le sud de l'Ukraine, pourrait avoir des conséquences environnementales et humaines "sans précédent", estiment mercredi plusieurs experts et associations de défense de l'environnement.
Un premier convoi d’une dizaine de tonnes de produits demandés de santé, d’hygiène et d’assainissement d’eau doit partir dans les prochaines heures.
Près de 5.900 personnes ont été évacuées des zones inondées à la suite de la destruction du barrage de Kakhovka dans le sud de l'Ukraine, ont affirmé mercredi les autorités ukrainiennes et celles d'occupation russe, qui contrôlent chacune une rive du Dniepr. La destruction de ce barrage hydroélectrique, dont Moscou et Kiev se rejettent la responsabilité, a inondé des villes et villages situés sur les deux rives du fleuve, dont des quartiers de la capitale régionale, Kherson.
Le déluge provoqué par l’explosion du barrage hydroélectrique de Nova Kakhovka ne provoquera pas seulement des destructions sans précédent, il risque de changer durablement les écosystèmes et le climat du sud de l’Ukraine, qui pourrait devenir un désert naturel et humain
Kiev accuse Moscou d'avoir fait exploser le barrage de Kakhovka
L’infrastructure située sur le fleuve Dnipro, dans le sud-ouest ukrainien, aurait été en partie détruite par une explosion ce mardi 6 juin au matin. De vastes inondations et des coupures d’électricité sont redoutées.
Le quotidien américain a authentifié des images de l’infrastructure endommagée par une attaque que les autorités ukrainiennes imputent à la Russie. Des évacuations sont en cours dans le sud du pays.
L'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) et la Russie ont estimé mardi que la centrale nucléaire Zaporijjia, occupée par Moscou, n'était pas menacée après la destruction partielle d'un barrage hydroélectrique, l'Ukraine affirmant au contraire l'existence d'un risque croissant de catastrophe.La Russie et l'Ukraine s'accusent mutuellement d'avoir fait exploser le barrage de Kakhova sur le fleuve Dniepr, dans la partie occupée par la Russie de la région ukrainienne de Kherson.
Le président du Conseil européen Charles Michel a affirmé mardi que la Russie devrait rendre des comptes après la destruction partielle d'un barrage hydroélectrique en Ukraine, évoquant un "crime de guerre"."Choqué par l'attaque sans précédent sur le barrage de Nova Kakhovka", a tweeté Charles Michel. "La destruction d'une infrastructure civile est clairement un crime de guerre et nous demanderons des comptes à la Russie et à ses affiliés", a-t-il ajouté.
Le chancelier allemand Olaf Scholz a estimé mardi que l'attaque contre le barrage de Kakhovka donnait à la guerre menée par la Russie contre l'Ukraine une "nouvelle dimension".L'attaque contre le barrage "s'inscrit dans la lignée de nombreux crimes que nous avons vus en Ukraine, commis par des soldats russes", a affirmé Olaf Schoz dans une interview accordée aux chaînes WDR et ZDF. Ces crimes "font partie d'une manière de faire la guerre qui a toujours visé des cibles civiles - des villes, des villages, des hôpitaux, des écoles, des infrastructures", a souligné M. Scholz.
Le barrage de Kakhovka, que Kiev et Moscou s'accusent mutuellement d'avoir attaqué mardi, est un ouvrage clé du Sud de l'Ukraine qui alimente en eau la Crimée annexée et se trouve sur la route des troupes ukrainiennes vers une reconquête des territoires occupés.Pris dès le début de l'invasion car cible prioritaire des Russes, ce barrage hydroélectrique situé sur le fleuve Dniepr est aujourd'hui sur la ligne de front entre les régions contrôlées par Moscou et le reste de l'Ukraine, au moment où Kiev teste intensément les défenses russes en vue d'une offensive d'envergure.
Une attaque sur un barrage dans le Sud de l'Ukraine, dont Moscou et Kiev se rejettent la responsabilité, a provoqué mardi des inondations et des évacuations d'habitants dans les zones alentour, occupées par la Russie, suscitant un tollé international.Elle a également causé de nouvelles inquiétudes pour la centrale nucléaire de Zaporijjia, située à 150 km en amont du barrage hydroélectrique de Kakhovka, construit le long du Dniepr dans la région de Kherson et qui assure son refroidissement.
Depuis le début de l'invasion russe en Ukraine, le barrage de Kakhovka, partiellement détruit dans la nuit de lundi à mardi, faisait l'objet de toutes les attentions car l'édifice représentait une cible stratégique à de nombreux égards.
Des modèles scientifiques réalisés avant l'incident montrent l'ampleur potentielle des dégâts.
Les réactions à l’international se multiplient ce mardi 6 juin après la destruction partielle d’un barrage dans le sud de l’Ukraine, provoquant des inondations et des évacuations d’habitants.
La centrale de Zaporijjia, occupée par l'armée russe, se retrouve en première ligne après la destruction partielle mardi d'un barrage du sud de l'Ukraine, dont l'eau est utilisée pour refroidir le combustible et éviter un accident nucléaire.L'attaque, dont s'accusent mutuellement Moscou et Kiev, a entraîné l'inondation d'une vingtaine de localités et l'évacuation de milliers de personnes, suscitant un tollé international.- "Pas de danger nucléaire immédiat" -
Potentiellement catastrophique, l’ampleur des dégâts causés par la rupture du barrage sur les écosystèmes du sud de l’Ukraine est pour l’heure difficile à évaluer.
Les évacuations continuent après la destruction du barrage de Kakhovka dans la nuit de lundi à mardi.
Quel impact va avoir la destruction du barrage ukrainien Kakhovka sur l'environnement?
les barrages, comme en témoigne leur histoire, ne sont pas réductibles au statut d’objets techniques. Ils sont – au contraire – des éléments constitutifs d’une « machine organique » où la technique, la géographie, la biologie, le politique et le social interagissent constamment. De ce fait, ils n’ont jamais fait consensus. Leur devenir, tout comme leur passé, n’est ni prédéterminé par une approche scientifique, ni figé dans une rationalité immuable.
Dans un contexte de sécheresses de plus en plus fréquentes, l'efficacité des barrages hydroélectriques en tant que source d'électricité est remise en question. Quels défis cette industrie devra-t-elle relever pour maintenir la production d'énergie ?
Une dizaine de villes, dont Casablanca, Rabat ou encore Marrakech et Settat, vont probablement connaître une pénurie d’eau potable l’été prochain. Les détails dans cette revue de presse tirée du quotidien Assabah.
Production d'énergie, agriculture, tourisme, industrie et consommation domestique: la concertation traditionnelle autour du partage de l'eau du lac artificiel de Serre-Ponçon s'est avérée cruciale pendant la sécheresse historique de l'été 2022, lorsque la ressource s'est raréfiée dans ce département montagneux.Les plages arides du lac de barrage créé dans les années 60 sur la Durance étaient devenues un des symboles du risque de pénurie, au plus fort de la saison touristique.
Une communauté autochtone du nord du Québec a annoncé mardi poursuivre en justice la compagnie publique Hydro-Québec pour avoir détruit son territoire lors de la construction d'un barrage dans les années 1960.Parlant des "impacts dévastateurs" de l'ouvrage et d'un "préjudice irréparable", le peuple innu de Uashat Mak Mani-Utenam réclame 2,2 milliards de dollars canadiens (1,5 milliard d'euros) à la société d'Etat.
Ce globe-trotter a disparu du Rhin dans les années 1950. Malgré les plans successifs, la date du retour du saumon atlantique dans les eaux suisses, en amont du Rhin, est constamment repoussée depuis 2000, alors que trois barrages français se dressent encore en obstacles insurmontables. Depuis cet automne, avec le lancement des travaux sur deux d’entre eux en Alsace, le compte à rebours est lancé.

2022

Un poisson mort à la main, Junior Pereira regarde avec tristesse une petite mare, vestige du fleuve Xingu, affluent de l'Amazone qui passait par là avant que son cours ne soit détourné par l'imposant barrage de Belo Monte. Entre rage, détresse et impuissance, cet indigène du peuple Pupekuri a du mal à contenir son émotion quand il évoque l'impact de Belo Monte, la quatrième plus grande centrale hydroélectrique de la planète, sur son quotidien.
Le gouvernement a demandé à EDF, et plus largement aux autres énergéticiens, de prendre des mesures pour débrider barrages et parcs éoliens afin de faciliter l'approvisionnement électrique du pays cet hiver, après l'annonce d'une indisponibilité prolongée de certains réacteurs nucléaires. Dans un courrier au PDG d'EDF daté de vendredi, la ministre de la Transition énergétique Agnès Pannier-Runacher lui demande "de tout mettre en oeuvre pour dégager de nouvelles marges de manoeuvre pour le passage de l'hiver", ce qui "passe, notamment, par la maximisation de la production renouvelable de l'entreprise". Cela signifie augmenter "de manière anticipée la puissance des concessions hydroélectriques".
Situé à une quarantaine de kilomètres de la ligne de front, le barrage de la centrale hydroélectrique de Kakhovka, dans la région de Kherson, aurait été "miné" par les forces russes, selon Kiev. Moscou dément et accuse l’Ukraine de vouloir détruire cette infrastructure hautement stratégique. Une menace qui fait craindre une "catastrophe de grande ampleur" au président Volodymyr Zelensky.
Les jours se suivent et se ressemblent en Ukraine, au 239e jour du conflit. Une série d'explosions a touché ce vendredi matin, les villes de Kharkiv et Zaporijia. La Russie poursuit sa "guerre du froid" en s'attaquant aux infrastructures énergétiques de l'Ukraine. Le gouvernement ukrainien a décidé de limiter la consommation en électricité de sa population et ses entreprises, notamment à Kiev, après plusieurs frappes russes ces derniers jours qui ont fortement endommagé ses infrastructures énergétiques, à l'approche de l'hiver.
Alors que les conditions météorologiques extrêmes dues au changement climatique entraînent des transformations importantes dans les cours d'eau du monde, le débat concernant le rôle que devraient ou non jouer les barrages s'intensifie.
Plusieurs vidéos montrent des maisons inondées à Kryvyï Rih, au centre de l’Ukraine. Une conséquence du bombardement d’un barrage hydraulique par les forces russes, mercredi 14 septembre, qui a provoqué la crue de la rivière Inhoulets et l’évacuation de civils dans la ville située à quelques kilomètres.
C’est une nouvelle épine pour les producteurs d’électricité. Après un été caniculaire et une sécheresse historique, les cours d’eau sont à sec. Conséquence : ils n’alimentent plus correctement les barrages et la production hydroélectrique française accuse le coup. Sur les trois premières semaines d’août, celle-ci a chuté de 40 % par rapport à l’an dernier, estime Le Parisien. La baisse était de 35 % en juillet.
Le mégabarrage sur le Nil bleu en Ethiopie, dont Addis Abeba a annoncé vendredi avoir achevé la 3ème phase de remplissage du réservoir, suscite des tensions régionales, notamment avec l'Egypte. - Dix pays - Avec ses 6.695 kilomètres, le Nil est, à égalité avec l'Amazone, le plus long fleuve du monde et une source d'approvisionnement en eau et en énergie hydraulique vitale dans une région d'Afrique largement aride. Le bassin du Nil couvre plus de trois millions de km2, soit 10% de la superficie du continent africain, traversant dix pays: Burundi, République démocratique du Congo, Egypte, Ethiopie, Kenya, Ouganda, Rwanda, Soudan du Sud, Soudan et Tanzanie. Son débit annuel est estimé à 84 milliards de m3.
Le Premier ministre éthiopien a démarré jeudi une deuxième turbine, sur les 13 prévues, du mégabarrage construit par l'Ethiopie sur le Nil Bleu, dont le troisième remplissage se poursuit en dépit des protestations du Soudan et de l’Égypte en aval. Abiy Ahmed a à nouveau tenté de rassurer Khartoum et Le Caire: le seul objectif du Grand barrage de la Renaissance (Gerd) est de "développer notre économie en produisant de l'électricité", il "ne vise pas à les mettre sur la touche et à leur nuire", a-t-il répété.
Un incendie s’est déclaré ce mercredi vers 13 heures sur une surface de 4000 mètres carré dans un bois à proximité du barrage.
Après plusieurs années de sécheresse, les barrages sont quasiment à sec et même Casablanca, la capitale économique du Maroc, pourrait connaître des coupures d’eau.
Symbole du savoir-faire de l'ingénierie américaine, le célèbre Hoover Dam, près de Las Vegas dans le Nevada, pourrait ne plus fonctionner d'ici quelques années en raison du réchauffement climatique.
Le fleuve Colorado produisant de l'électricité pour des centaines de milliers de foyers américains grâce au barrage Hoover près de Las Vegas est menacé par la sécheresse.
Après des pluies torrentielles, des rivières en crue ont submergé des pans entiers de terrain et des torrents d'eau se sont échappés du principal barrage de Sydney, la plus grande métropole d'Australie. Quelque 32 000 personnes ont été appelées à évacuer.
L’Union africaine (UA) s’est inquiétée mercredi 29 juin de la récente « escalade » militaire à la frontière entre l’Ethiopie et le Soudan, même si des responsables des deux pays ont démenti toute nouvelle offensive dans une zone frontalière contestée. ... Depuis lundi, le ton est monté entre Khartoum et Addis-Abeba qui ne sont jamais parvenus à un accord sur le tracé de leur frontière et s’opposent en outre depuis plus de dix ans au sujet du grand barrage de la Renaissance construit par l’Ethiopie sur le Nil Bleu, en amont du Soudan et de l’Egypte.
Le gouvernement éthiopien a appelé jeudi l'Union européenne (UE) a "revoir" sa récente position "partiale" en faveur du Caire concernant le méga-barrage éthiopien sur le Nil, source de contentieux avec les riverains du fleuve situés en aval, Egypte et Soudan.
Mardi, les comités en charge des Affaires économiques et de l'Environnement ont rejeté la décision de la Commission européenne d'inclure le nucléaire et le gaz dans la taxonomie, qui définit les activités considérées comme vertes. La Commission avait décidé le 2 février d'inclure sous condition le gaz et le nucléaire à la liste des investissements "verts", leur ouvrant des facilités de financement.
En 2021, l’Espagne a supprimé 108 barrages hydrauliques à travers son territoire, plus que n’importe quel autre pays en Europe. Malgré leur utilité pour l’irrigation ou encore la production d’énergie, beaucoup d’entre eux sont obsolètes, explique le journal “El País”.
Neuf tempêtes de sable en Irak et trois en Iran en cinq semaines, des milliers d’hospitalisations, la Turquie qui fait barrage sur le Tigre et l’Euphrate… Le changement climatique accroît les risques de drames humains et politiques.
Entre 1970 et 2016, les populations européennes de poissons amphiphalins (c’est-à-dire qui vivent entre eau douce et eau salée) ont baissé de 93 %. Les causes de cet effondrement sont « multiples et synergiques ». La FNPF pointe notamment le changement climatique, qui réduit le débit d’eau, favorise l’apparition de certaines maladies et affecte le cycle de migration et de reproduction de ces poissons. Parmi les autres responsables : la dégradation des milieux aquatiques, la pollution de l’eau par les pesticides, les perturbateurs endocriniens et les polychlorobiphényles (PCB), le braconnage… La FNPF évoque également les barrages, qui entravent voire bloquent le déplacement des poissons migrateurs. On en trouve en moyenne 1 tous les 5 kilomètres dans les cours d’eau français : une difficulté « insurmontable », selon la Fédération.
Les travaux d’enfouissement de 42 000 tonnes de déchets industriels à 550 mètres de profondeur sur le site de Stocamine, en Alsace, ont commencé mardi 10 mai. Un premier barrage en béton est en train d’être construit. Ils ne vont pas « compromettre la réversibilité potentielle du stockage des déchets » assure la MDPA (Mines de potasse d’Alsace), l’exploitant du centre de stockage, dans un communiqué.
Mais le facteur incontournable, c'est l'eau. Un enjeu ultra-sensible pour l'Irak et ses 41 millions d'habitants, qui ressentent au quotidien l'impact du changement climatique : désertification, tempêtes de sable à répétition, chute des précipitations et baisse du niveau des fleuves. C'est aussi un enjeu géostratégique capital. L'Irak partage les eaux de plusieurs fleuves, notamment celles du Tigre et de l'Euphrate, avec la Turquie et la Syrie, mais aussi l'Iran. Bagdad est vent debout contre la construction de barrages en amont chez ses voisins, qui réduisent le débit des cours d'eau à leur arrivée en Irak.
L'ouest des États-Unis est en proie depuis plusieurs années à une sécheresse historique qui menace l'approvisionnement en eau d'une grande partie de la population et a fait chuter de manière spectaculaire le niveau des lacs et cours d'eau. Alimenté par le fleuve Colorado, le lac Mead, gigantesque réservoir accolé au barrage Hoover Dam, a ainsi atteint son niveau le plus bas depuis 1937. Selon une étude publiée en 2020 par l'agence géologique américaine (USGS), le débit du Colorado a baissé en moyenne de 20% depuis un siècle, et au moins la moitié de cette baisse peut être attribuée à l'élévation des températures dans la zone.
Imaginée au début du XXe siècle par un ingénieur allemand, l’idée de relier l’Europe et l’Afrique via le détroit de Gibraltar est un vieux serpent de mer. Elle ressurgit de nouveau sous la pression du réchauffement climatique.
A l'extrémité sud du majestueux lac Kivu bordé de collines verdoyantes, une nappe compacte de déchets plastiques se forme en permanence, au point de bloquer les turbines de la plus grande centrale hydroélectrique de l'est de la République démocratique du Congo. Le barrage de Ruzizi attire comme un aimant les milliers de bouteilles, bidons et autres détritus jetés dans le lac qui s'étire sur quelque 90 km à la frontière entre la RDC et le Rwanda.
A perte de vue, des alignements de panneaux solaires flottent sur les eaux miroitantes d'un lac thaïlandais, symbole de l'objectif affiché par le pays d'Asie du Sud-Est d'atteindre la neutralité carbone d'ici à 2050. Installé dans le nord-est du royaume, le projet est présenté comme le plus vaste de ce type dans le monde: 720.000 mètres carrés, soit l'équivalent de 70 terrains de football. Couplé au barrage de Sirindhorn, dans la province d'Ubon Ratchathani (nord-est), le système peut fonctionner 24h/24 et est le premier des 15 projets de ce type que la Thaïlande prévoit de construire d'ici à 2037.
Quarante mille habitants de cet Etat ont reçu l'ordre d'évacuer pour échapper aux inondations, et vingt mille autres ont reçu des avertissements en ce sens, en particulier dans la banlieue ouest de Sydney, dans le bassin de la rivière George, et au nord de la ville où le barrage de Manly a commencé à déborder.
Ouvrage pharaonique au cœur d'un conflit diplomatique entre le Soudan, l'Égypte et l'Éthiopie, le grand barrage de la Renaissance a commencé à produire de l'électricité, dimanche, sous la supervision du Premier ministre éthiopien, Abiy Ahmed.
Le Grand barrage de la Renaissance ("Grand Ethiopian Renaissance Dam", Gerd) constitue, depuis le lancement du projet en 2011, une sérieuse pomme de discorde avec le Soudan et l'Egypte, tous deux tributaires du Nil pour leurs ressources hydrauliques.
Later this year, Egyptian engineering firm Arab Contractors is expected to complete the construction of the Julius Nyerere dam on the Rufiji River. Once completed, the $3 billion dam could be Africa’s fourth biggest by power production, producing up to 5920GWH of power annually, enabling Tanzania to close the gap between those with electricity and those who have no access.

2021

Au Brésil, le film "Arpilleras : en brodant la résistance" donne la parole aux femmes du Mouvement des personnes atteintes par les barrages. Celles-ci s'emparent de la broderie pour raconter les destructions qu'elles ont subies et réaffirmer leurs manières de vivre après la catastrophe.
Les autorités californiennes estiment que cette marée noire, qui heureusement a pu être partiellement contenue par des barrages flottants, peut atteindre jusqu'à 500.000 litres de brut, échappé d'un oléoduc passant à proximité.
Les barrages et les réservoirs représentent les plus grands dangers qui menacent la connectivité des fleuves et rivières à courant libre dans le monde
Fin juillet, les rivières Tshikapa et Kasaï ont été polluées par des substances toxiques après qu’un barrage de déchets miniers a cédé en Angola. Alors que cette pollution affecte durement les populations de la province du Kasaï dans le centre de la République démocratique du Congo, les autorités congolaises redoutent une crise environnementale à l’échelle régionale avec une probable contamination du fleuve Congo.
How Greta Thunberg became the target of a barrage of disinformation and conspiracies.
Un barrage financé par la Chine au Cambodge dans le cadre des "nouvelles routes de la soie" a affecté la vie de milliers de villageois, a déploré mardi l'ONG Human Rights Watch qui dénonce "un désastre" humanitaire. Le barrage hydroélectrique Lower Sesan 2, l'un des plus grands d'Asie, a été construit à la confluence de deux affluents majeurs du Mékong, dans le nord-est du Cambodge.
L'Ethiopie a procédé avec succès à la deuxième phase de remplissage de son méga-barrage sur le Nil (Gerd), source de tensions avec ses deux voisins situés en aval sur le fleuve, le Soudan et l'Egypte, a annoncé lundi à l'AFP un responsable éthiopien.
Deux barrages se sont effondrés en Chine, dans la région de Mongolie-Intérieure (nord-est), après des pluies torrentielles, ont annoncé ce lundi 19 juillet les autorités chinoises. Ces barrages, situés à proximité de la ville de Hulunbuir, se sont effondrés dimanche après-midi. Ils avaient formé des réservoirs d’une capacité combinée de stockage de 46 millions de mètres cubes d’eau, a indiqué le ministère des Ressources en eau.
Le GIEC a prévu une augmentation des pluies intenses, car le réchauffement accroît la vapeur d’eau dans l’air. La menace est généralisée, dès 2030 les trois-quarts d’Européens courant un risque d’inondation tous les cinq ans. D’autres prévisions indiquent que la moitié des maisons américaines sont menacées par les inondations, je vois aussi qu’au Canada, les 80% du territoire serait dévasté si tous les barrages cédaient.
Rapid filling of a giant dam at the headwaters of the Nile River—the world's biggest waterway that supports millions of people—could reduce water supplies to downstream Egypt by more than one-third, new USC research shows.
Le projet éthiopien de méga-barrage sur le Nil bleu, qui fait l'objet jeudi d'une réunion du Conseil de sécurité de l'ONU, suscite des tensions régionales, notamment avec l'Egypte qui dépend à 97% du fleuve pour son approvisionnement en eau.
Depuis mars, les déchets de la mine d’étain la plus riche du monde se sont déversés dans des rivières traversant une réserve indigène de l’Amazonie brésilienne, contaminant l’eau et tuant des poissons et des tortues. La contamination a déjà altéré la qualité de l’eau des rivières Tiaraju et Alalaú, dont les peuples autochtones dépendent pour boire, se laver et pour pêcher. Vingt-deux villages ont été touchés. Des morts de poissons et de tortues ont été signalées, et l’eau de la rivière dans la région serait trouble, dense et malodorante.
On y inclut « toutes les formes de prélèvements sur la nature » : agriculture industrielle et monocultures forestières « qui dépouillent les sols de leurs nutriments, les exposent à l’érosion et les détruisent » ; pêche intensive « qui vide les océans » ; grands barrages hydroélectriques « qui privent d’eau ou au contraire inondent des terres fertiles et anéantissent la biodiversité » ; industrie des boissons « qui pille les nappes phréatiques et accapare les sources d’eau » ; etc.
Le 1er mars est entrée en vigueur en Chine la loi interdisant de pêcher dans tout le bassin du fleuve Yangtsé (ses affluents et lacs inclus) durant dix ans pour préserver sa biodiversité.
Les cours d’eau sont eux aussi victimes de pollutions qui mettent en péril leur bonne santé et, indirectement, celle des riverains. Ainsi sur le lac de Potpecko, dans l’ouest de la Serbie, des déchets s’étendent à perte de vue. La défaillance du système de collecte est en grande partie responsable. Face à l’inaction des pouvoirs publics, la société civile se mobilise progressivement.
Egypte, Ethiopie et Soudan n'arrivent pas à se mettre d'accord sur le barrage éthiopien et la nervosité monte.

2020

En 2005, l’auteur et journaliste états-unien Jacques Leslie, autrefois correspondant de guerre pour le Los Angeles Times pendant la guerre du Vietnam, publiait Deep Water : The Epic Struggle over Dams, Displaced People, and the Environment, littéralement « Eau profonde : le conflit épique des barrages, des populations déplacées et de l’environnement ». Le livre a par la suite été — correctement (fait notable) — traduit et publié en français sous le titre La Guerre des barrages en 2008.
Imaginez une première digue de 161 kilomètres reliant l’ouest de la France, par le finistère, à la pointe sud-ouest de l'Angleterre et une seconde digue de 476 kilomètres reliant le nord de l'Écosse à l'ouest de la Norvège. Ce projet titanesque porte un nom : NEED (Northern European Enclosure Dam)... Mais si rien n’est fait pour corriger le réchauffement climatique, il pourrait s’agir du moindre mal afin de protéger environ 25 millions d’Européens..

2019

de nombreuses études montrent que l’efficacité des barrages est très réduite pour les sécheresses longues. Au Nord de la Chine, durant les 30 dernières années, les activités humaines ont amplifié la sévérité et la durée des sécheresses – certaines durant jusqu’à plus de deux ans. En Espagne, l’analyse des sécheresses entre 1945 et 2005 a mis en évidence que les épisodes secs les plus sévères et les plus longs avaient lieu sur les bassins les plus régulés par la présence de barrages.
Au moins trente-quatre personnes sont mortes et 300 disparues dans la tragédie, selon le dernier bilan des autorités de l’Etat du Minas Gerais. Le barrage avait été inspecté le 10 janvier.

2017

Parmi les nombreuses illusions vertes qu’on nous présente comme une « solution » qui nous permettrait de continuer à bénéficier du confort industriel tout en ne détruisant plus la nature, en la respectant, ou (et c’est surtout ce qui est mis avant) en ne déréglant plus son climat, on retrouve l’hydroélectricité produite par les barrages.

2016

Le Brésil lance des poursuites judiciaires à l'encontre des deux groupes, à qui il réclame 43,3 milliards de dollars de dédommagements suite à la rupture du barrage minier du Rio Doce