les Ressources Minières

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physique

2024

Une étude suggère qu'un phénomène quantique complexe fait du CO2 un gaz à effet de serre particulièrement puissant.
L'entropie est une mesure quantitative du désordre ou du chaos d'un système, mais de quoi parle-t-on précisément ?

2023

La physique quantique est une branche fondamentale de la physique qui se concentre sur la compréhension et la description des phénomènes à l'échelle atomique et subatomique.
La physique quantique est une branche fondamentale de la physique qui se concentre sur la compréhension et la description des phénomènes à l'échelle atomique et subatomique.
S’adapter à la nouvelle donne climatique est un sujet de stratégie. Les enjeux posés sont d’ordre variés : santé et sécurité des employé·es et client·es, continuité d’activité, coûts financiers, capacité à recruter et retenir ses employé·es, enjeu de réputation, voire dans certains cas pérennité du modèle économique. Pour espérer que les entreprises se saisissent véritablement du sujet, il faut accepter d’y passer du temps et d’y consacrer des moyens, car les approches qui semblent simples et suffisantes minorent en réalité l’éventail des risques encourus et des points à traiter :
Plusieurs problèmes de santé liés à la chaleur peuvent être évités en adoptant un mode de vie sain et actif. Mais la jeune génération est moins active que les précédentes, et donc plus vulnérable...

2022

Dans cette vidéo, je fais le bilan énergétique de la Terre pour comprendre son climat. Ce qui m'amène à expliquer le phénomène physique de l'effet de serre qui joue un rôle indiscutable dans la température à la surface de notre belle planète.
Ce titre provocateur exagère à peine la teneur du discours, martelé par la droite, que la technologie va nous sauver de la crise écologique. Objection ! La technologie sans la sobriété ne résoudra fondamentalement rien.
Contribution du Groupe de travail I au sixième Rapport d’évaluation du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat - traduction officielle
Météo, climat et GIEC Quel que soit l’endroit où nous habitons, nous vivons tous avec la météo : comment les conditions de notre atmosphère évoluent au fil des minutes, des heures, des jours et des semaines. Nous vivons également tous avec le climat, c’est-à-dire, en un lieu donné, l’ensemble des caractéristiques météorologiques moyennes sur plusieurs décennies. On parle de changement climatique lorsque ces conditions moyennes commencent à se modifier, du fait de causes naturelles ou du fait des activités humaines. La hausse des températures, les variations des précipitations, l’intensification de phénomènes météorologiques extrêmes sont autant d’exemples de changements climatiques, parmi bien d’autres caractéristiques
L'"intégrité physique de la centrale" nucléaire ukrainienne de Zaporijjia, occupée par les troupes russes "a été violée", a déclaré jeudi le directeur de l'Agence internationale pour l'énergie atomique (AIEA) Rafael Grossi après avoir inspecté cette installation.
Le soleil est un astre qui anime les humains depuis fort longtemps au travers d’histoires, de mythes, de religions, de discussions autour de la machine à café et de rêves de sociétés futuristes alimentées uniquement par son énergie infinie et sans conséquence. Toute la question est de connaître les éventuelles limites physiques à cette énergie primaire bas-carbone qui laverait nos sociétés plus vert que vert et disponible en senteur : dogmatisme, greenwashing ou sobriété. En effet, comme pour tout produit, il faut bien lire les petites lignes car, tôt ou tard, quelqu’un doit toujours payer l’addition.
Vers un nouveau paradigmeLa modernité s’est caractérisée par une sorte d’extraction de l’homme, de son organisation sociale, de ses fins, de la nature, raval...
Les sociétés humaines, qui n’existeraient pas sans l’apport de l’énergie solaire, sont soumises aux lois de la Physique. En particulier la Thermodynamique apporte un éclairage singulier sur l’évolution de l’humanité des chasseurs-cueilleurs à nos jours et donne des clés pour appréhender le futur.
Dans son dernier ouvrage, le physicien Guido Tonelli, qui a contribué à la découverte du boson de Higgs, relate sept moments décisifs de l’histoire de l’Univers, « faite d’aléas positifs et négatifs ».
Aurélien Barrau est astrophysicien, directeur du Centre de Physique Théorique Grenoble- Alpes et il est aussi un ardent défenseur de la planète. Il est l'auteur de "Il faut une révolution politique, poétique et philosophique" (éditions Zulma).
Quel est l’impact des rapports du Giec ? La société, les médias et les politiques s’en saisissent-ils assez ? La voix des climatosceptiques porte-t-elle toujours autant ? Analyse avec Valérie Masson-Delmotte, co-présidente du groupe de travail I du Giec, centré sur les constats physiques de l’évolution du climat.
L’industrie pétrolière consomme de plus en plus d’énergie pour son propre fonctionnement. Un signe qu’il faut accélérer la transition vers des énergies bas carbone et mettre l’accent sur la sobriété, expliquent les auteurs de cette tribune.
La fin de l’âge de pierre ne s’est pas terminée par la disparition des pierres. La fin de l’âge du pétrole ne se terminera pas par la disparition du pétrole. Cependant, les extractions de gaz et de pétrole, comme dans toutes les autres matières premières, nécessitent de plus en plus d’efforts et d’énergies. A l’image de la devise des jeux olympiques, la société humaine cherche son énergie plus profondément, plus loin et plus épars. L’efficacité technologique ayant également des limites, on se retrouve devant l’obligation de mettre de plus en plus d’énergies pour en obtenir de moins en moins en retour et ça… c’est ballot.
Depuis le début de l’invasion russe en Ukraine, la question de la dépendance de l’Europe au gaz, et plus généralement aux combustibles fossiles, a surgi dans les discussions publiques. Cette crise, ajoutée à l’urgence climatique, nous rappelle que notre système énergétique doit fortement se transformer. Mais aussi que la transition énergétique sera fortement dépendante des importations de métaux. Analyse de Greg de Temmerman, docteur en physique expérimentale et directeur général du think tank Zenon Research.
Nickel, aluminium, palladium. Toutes ces matières premières ont vu leur prix exploser et sont indispensables à la confection de batterie ou de carrosserie pour voiture. Pourtant, les sanctions occidentales n’ont pas encore visé les métaux au contraire du pétrole et du gaz (hors Union européenne qui n’a pas encore franchi ce pas). À cette contrainte inflationniste s’ajoute bien sûr la contrainte logistique en cours depuis la pandémie, avec les problèmes structurels de la chaîne d’approvisionnement et le manque de puces. L’industrie automobile en souffre et Tesla n’y échappe pas. L’action a perdu 25% de sa valeur depuis le début de l’année.
En 1972 paraissait un rapport scientifique qui fit l’effet d’une bombe. Le rapport Meadows, intitulé « The limits to growth », annonçait pour la première fois au monde les limites physiques de la croissance économique. Sa conclusion est formelle : la persistance du modèle de société actuel et l’épuisement des ressources qui en découle conduit inévitablement à un « crash » dramatique au cours du XXIe siècle. Pourtant, 50 ans plus tard rien ne semble avoir changé. Dans le podcast Dernières Limites, la journaliste Audrey Boehly fait le point en interrogeant des experts et des scientifiques de la question. Quelle marge de manœuvre nous reste-il pour inverser la tendance ? Quel avenir est encore possible à la lumière des ressources disponibles et des enjeux écologiques à venir ? Entretien.
Après le rapport du Groupe de travail I (WGI) en août 2021, le 2ème rapport est enfin sorti ! Alors que le premier rapport traitait de la compréhension physique du système climatique et du changement climatique, ce nouveau rapport (le 2eme sur 3) porte sur les impacts, l’adaptation et la vulnérabilité des sociétés humaines et des écosystèmes au changement climatique. Comparé aux précédentes versions, ce rapport intègre davantage l’économie et les sciences sociales, et souligne plus clairement le rôle important de la justice sociale dans l’adaptation au changement climatique.
Le second volet du sixième rapport du GIEC (Groupe intergouvernemental d’experts sur l’évolution du climat) vient d’être publié ce lundi. Après un premier rapport sur les bases physiques du climat, celui-ci s’intéresse aux impacts du dérèglement climatique ainsi qu’aux adaptations. Et plus que jamais, les nouvelles ne sont pas bonnes. Il s'agit même de l'avertissement le plus sévère jamais lancé sur les effets du changement climatique sur l'humain et la nature.
Plus la « transition énergétique » et la « croissance verte » patinent, moins ces concepts seront pertinents, plus il faudra compenser par de la sobriété plus ou moins souhaitée, de la décroissance plus ou moins démocratique, des pénuries, des rationnements, des guerres, des famines, des migrations, et de la géoingénierie solaire (tout cela ne s’excluant pas forcément). C’est comme ça, ce n’est pas moi qui invente les lois de la physique et de la biologie. Ce n’est pas moi non plus qui produis les statistiques permettant de suivre où nous en sommes. Cet article dresse un état des lieux par des graphiques et données clés à scruter de près. Il est accompagné d’observations personnelles faciles à identifier.
Le sixième rapport du Giec sur la physique du climat a été dévoilé au mois d’août 2021 après plusieurs années d’élaboration [1]. On rappelle que le rapport complet repose sur le travail de trois groupes :
Attendue depuis plus de dix ans, la loi sur l'agriculture biologique a été votée à la Chambre ce mercredi. Elle n'intégrera pas l'agriculture biodynamique, supprimée officiellement de la loi. Une véritable victoire pour la communauté scientifique italienne, qui s'y était fortement opposée. Au premier rang de cette lutte : la sénatrice à vie Elena Cattaneo et le prix Nobel de physique Giorgio Parisi.
L’Association des Encyclopédies de l’Environnement et de l’Énergie (A3E) a été créée sous les auspices de l’Université Grenoble Alpes et de Grenoble INP. Avec l’Encyclopédie de l’environnement & l’Encyclopédie de l’énergie, A3E diffuse des connaissances sous la forme d’articles rédigés par des experts reconnus de l’énergie et de l’environnement. Les membres des comités éditoriaux propres à chacune des encyclopédies veillent à ce qu’elles soient exprimées dans un langage accessible au plus grand nombre, avec la plus grande objectivité possible. A3E met ainsi à disposition du grand public, des enseignants de tous niveaux (écoles, collèges, lycées et universités) et des étudiants, ainsi que des entrepreneurs et de tous les autres acteurs potentiels, des connaissances et informations validées, objectives et accessibles sur les thématiques de l’environnement et de l’énergie. Toutes les disciplines scientifiques et techniques, de la physique à la biologie, l’économie et la sociologie, sont liées dans une vision tra
Il arrive que deux ou plusieurs noyaux atomiques légers s'unissent pour former un noyau plus lourd. On parle alors de fusion nucléaire. La fusion nucléaire est en quelque sorte l'opposé de la fission nucléaire - le phénomène physique exploité au cœur des centrales nucléaires - laquelle, consiste à briser un noyau lourd en deux noyaux plus légers. Pour déclencher une réaction de fusion nucléaire, il est nécessaire d'apporter une grande quantité d'énergie. Jusqu'à quelque 200 millions de degrés ! Car un tel rapprochement de noyaux ne peut avoir lieu que si les intenses forces de répulsions qui existent entre ces entités chargées peuvent être vaincues.
Étrange sujet que la fin du pétrole. Malgré ses limites physiques connues, tout un chacun (gouvernements, entreprises, particuliers) vit au jour le jour comme si elles n’existaient pas et que cette énergie devait rester abondante. Pourtant, la production de pétrole a amorcé un déclin inévitable, aux conséquences déjà visibles. (Renaud Duterme)
Industrie, agriculture, énergie, fret, mais aussi santé ou encore culture : le « Plan de transformation de l'économie française », dont le groupe de réflexion The Shift Project publie la synthèse chez Odile Jacob, propose des mesures concrètes pour mettre en oeuvre l'accord de Paris. Il fait de l'emploi, de la cohérence physique et de la résilience les paramètres clés.
Marc Müller, Jean-Marc Jancovici nous montrent comment les limites physiques qui viennent nous amènent tout droit vers une vie et une économie sous contrainte auxquelles on va devoir vite se préparer et s'adapter, n'en déplaise aux chantres de la croissance (verte...). Cela sous fond de critiques à peine caricaturale de la folie SUV qui gagne le monde par Thomas VDB
Conférence d'honneur, en ligne, le 2 décembre sur le "Cadre de pensée scientifique et interdisciplinaire pour aborder les enjeux planétaires" avec José Halloy, professeur de physique à l'Université de Paris - Laboratoire Interdisciplinaire des Énergies de Demain.
Plusieurs milliers de pages en tout, un résumé en à peu près 30 pages, un atlas interactif… Le rapport présenté par le GIEC en août 2021 contient une grande quantité d’informations. Dans cette Lettre, nous nous appuyons sur ce rapport pour répondre à 11 questions sur les aspects physiques du climat. L’ensemble forme un tout et peut être lu dans l’ordre proposé, mais si vous le préférez, cette présentation vous permet aussi de choisir ce que vous souhaitez lire.
Dans ce nouvel article, Greg de Temmerman, docteur en physique expérimentale et chercheur, revient sur la fuite de tritium détectée en décembre dernier par EDF sur le site de la centrale nucléaire de Tricastin. Le traitement médiatique de cette actualité est, selon lui, un bon exemple du manque maîtrise des unités de mesure de la plupart des commentateurs.

2021

Tabou, adulée, décriée... la notion de décroissance n'a jamais été si discutée à quelques mois des élections présidentielles. Or pour le polytechnicien et figure emblématique du climat, Jean-Marc Jancovici, la décroissance, celle qui est caractérisée par une "variation des flux physiques" a déjà commencé. Il appelle à "l'intégrer dans la réflexion" pour éviter le pire, en écartant le concept de croissance verte qu'il qualifie de "mythe".
Il y a 50 ans Dennis Meadows co-publiait le rapport « Meadows ». Ce rapport est aussi appelé rapport du Club de Rome, ou « limits to growth ». Il dit en bref qu’une croissance infinie dans un monde fini n’est pas possible et que tôt ou tard, nous allons atteindre des limites physiques et commencer à décroître. Et d’après les modélisations de l’époque, ce « tôt ou tard » arrive autour de 2030…
Le Nobel de physique 2021 a été attribué mardi à deux experts de la modélisation physique du changement climatique, l'Américano-japonais Syukuro Manabe et l'Allemand Klaus Hasselmann, ainsi qu'à l'Italien Giorgio Parisi, théoricien des systèmes physiques complexes.
L’Américain Syukuro Manabe, l’Allemand Klaus Hasselmann et l’Italien Giorgio Parisi ont été récompensés du prestigieux prix. Les deux premiers sont salués pour leur travail de modélisation du climat, le dernier pour ses recherches en physique fondamentale.
Le premier sommet mondial de la Terre, celui de Stockholm en 1972, avait déjà été consacré à des préoccupations majeures : comment vivre aussi nombreux sur une planète dont la démographie ne cesse de croître et une partie de ses ressources de décroître. Vingt ans plus tard, à Rio, ce sont pourtant les gaz à effet de serre et leur pouvoir de réchauffement, porteurs d’une problématique physique très différente, qui ont tenu le rôle principal. Et nous vivons aujourd’hui une étape nouvelle marquée par le caractère très largement irréversible des changements en cours.