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Valérie

2024

La climatologue et membre du Haut conseil pour le climat revient dans « À l’air libre » sur le rythme de surchauffe sans précédent de notre planète. Elle dénonce les conséquences délétères pour le climat et la transition écologique d’une arrivée de l’extrême droite au pouvoir.
A l’approche du 1er tour des législatives, 2 500 scientifiques, dont les climatologues Valérie Masson-Delmotte et Christophe Cassou, et le sociologue Didier Fassin, appellent à lutter contre le Rassemblement national. Ils dénoncent également les discours présentant le Nouveau Front Populaire comme une menace pour la République.
Table ronde lors du Festival "Les Traversées du savoir", 1er et 2 juin 2024 - Avec : - Valérie Masson-Delmotte, paléoclimatologue, ancienne coprésidente du groupe 1 du GIEC, directrice de recherche au CEA, - Harry Bernas, physicien spécialiste du nucléaire, - Vincent Mignerot, essayiste. Animation du débat : Olivier Vilain, journaliste.
Les produits pharmaceutiques modernes ont sauvé des millions de vies, mais on craint de plus en plus que ces médicaments posent un problème écologique pour la vie humaine et non humaine.
Dans le cadre des conférences ECHO organisées par Cap Sciences, Valérie Masson-Delmotte vous présente son ouvrage "Face au changement climatique" aux éditions CNRS. Entretien avec Alexandre Marsat.
Face au changement climatique - (EAN13 : 9782271150462) édité par CNRS Editions - Quantifier les variations passées du climat et du cycle de l’eau atmosphérique à partir d’archives naturelles, utiliser ces informations pour évaluer les
Faute de solutions suffisamment innovantes pour lutter contre le réchauffement climatique et modifier nos modes de vie, des changements radicaux, voire irréversibles, se profilent à l'horizon. La menace qu'ils représentent pour les écosystèmes naturels plane aussi sur les systèmes alimentaires, les ressources en eau ainsi que les réseaux de transport et d'information. Un nouveau rapport définit six points de bascule « interconnectés » que nous sommes en voie d'atteindre.
Le gaz liquéfié (GNL), dans lequel TotalEnergies notamment investit beaucoup, a aussi un impact sur le réchauffement climatique, pouvant même parfois "saper le bénéfice d'une conversion du charbon vers le gaz", a mis en garde lundi la climatologue Valérie Masson-Delmotte, interrogée au Sénat.
L’année 2023 a été la plus chaude jamais mesurée. Si 2024 ne bat pas ce record, elle n’en sera pas loin. Pendant ce temps, les sommets mondiaux sur le climat – les COP – avancent trop lentement. Ce serait pourtant tout bénéfice si on accélérait, juge la climatologue française Valérie Masson-Delmotte.

2023

Les deux climatologues estiment, dans une tribune au « Monde », que nous sommes encore très loin du « plan d’action solide » annoncé par le président de la Conférence des parties pour maintenir « à portée de main » l’objectif de l’accord de Paris.
Si des points de bascule du climat sont envisageables, le contrôle du réchauffement climatique reste possible, explique Valérie Masson-Delmotte. À condition d’un engagement politique dans le bon sens.
La paléoclimatologue a passé le relai en juillet dernier pour la co-présidence du groupe 1 du GIEC. Visite dans son laboratoire à l’université de Paris Saclay pour parler de son retour à la recherche fondamentale, de la situation climatique et de la « tiédeur » de l’action politique selon elle.
Et si nous étions tous les victimes et les coupables des dérèglements climatiques, s’interroge Valérie Decamp, directrice générale, groupe Mediatransports.
Mégafeux, canicules toute l’année ou inondations dantesques : les catastrophes naturelles se multiplient alors que le réchauffement climatique n’est que de 1,1°C au-dessus des températures préindustrielles. D’où cette question : à partir de 2°c, le climat risque-t-il de s'emballer ? Pour y répondre nous recevons Valérie Masson Delmotte, paléoclimatologue, chercheuse au CEA et à l’IPSL, co-présidente du groupe de travail 1 du GIEC consacré aux bases physiques du changement climatique entre 2015 et 2023 et membre du Haut Conseil pour le Climat
Scherp 's middags je hersenen aan met hot topics en een warme kom soep. Boeiende sprekers ontleden actuele thema's met een Brusselse invalshoek.
A l'occasion de la semaine inaugurale du Diplôme d'Université de l' @UniversiteParisSaclay "Agir pour le climat" organisée par l'Objet Interdisciplinaire AllCAN, Valérie Masson-Delmotte, chercheur au laboratoire LSCE (CEA) en paléoclimat, est venue expliquer les résultats les plus récents du GIEC ainsi que les perspectives qu'ils ouvrent.
Une majorité de Français se dit aujourd’hui très préoccupée du changement climatique. Mais la conversation sur le sujet est parfois difficile ou caricaturale face à l’ampleur du problème et sa complexité. Comment parler du climat de manière utile et efficace dans les conversations autour de nous ? Quels sont les bons exemples à utiliser, les points sur lesquels insister ? Comment ne pas tomber dans les pièges qui rendent le débat stérile ? Valérie Masson-Delmotte est chercheuse en sciences du climat à l’université Paris-Saclay. Elle est coprésidente du groupe 1 – qui étudie les aspects scientifiques du changement climatique – du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) des Nations unies depuis 2015. Elle est également membre du Haut Conseil pour le climat. Elle a notamment été invitée à former les ministres du gouvernement d’Elisabeth Borne aux enjeux climatiques au début de septembre.
Alors que la première semaine de juillet a été la plus chaude jamais enregistrée, selon l'Organisation météorologique mondiale (l'OMM), la paléo-climatologue Valérie Masson-Delmotte alerte sur l'urgence d'agir. Pour elle, il faut que les responsables politiques continuent de respecter leurs engagements.
Dans un tweet, la députée EELV Sandrine Rousseau a assuré qu’il faisait « 60 degrés en Espagne » , de quoi faire réagir plusieurs experts du climat.
Il y a cinquante ans, le club de Rome – un think-tank rassemblant des scientifiques, des économistes et des industriels de plus de cinquante pays – publiait un rapport qui allait bouleverser la vision de l’humanité sur le monde. « The Limits to Growth », surnommé le « Rapport Meadows », a été vendu à douze millions d’exemplaires en trente-sept langues. Il avait pour ambition d’examiner les problèmes complexes auxquels nos sociétés étaient confrontées pour essayer d’établir des projections sur ce vers quoi nous allions.
Dans cette tribune, la climatologue Valérie Masson-Delmotte rappelle l’évidence : les contestations des écologistes ne sont pas des menaces à l’ordre public. C’est bien le terrible réchauffement planétaire qui l’est.
La coprésidente du Giec a dénoncé, avec « gravité », les menaces de dissolution pesant sur le collectif écologiste « Les Soulèvements de la Terre ».
Environ 10 % de la population mondiale vit dans des pays où le stress hydrique est jugé élevé ou critique. La demande en eau des villes pourrait augmenter de 80 % d’ici 2050, au moment où des milliards de personnes sur le globe sont déjà aux prises avec des pénuries d'eau.
Valérie Masson-Delmotte est scientifique du climat. Depuis 2015, elle est co-présidente du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (Giec). Alors que le Giec vient de clore ce cycle avec la synthèse de tous les rapports publiés depuis 2018, la scientifique raconte à Vert les principales leçons de ce document majeur pour comprendre les bouleversements passés et futurs, et les moyens d’agir.
La paléoclimatologue, coprésidente du groupe I du Giec, revient pour « 20 Minutes » sur la synthèse du sixième rapport d’évaluation du Giec et sur la fin du cycle que ce rapport achève pour le groupe d’experts
Inégalités face aux risques, parité dans les comités de rédactions scientifiques, politiques publiques permettant des rééquilibrages… Valérie Masson-Delmotte revient sur quelques questions sur le genre et l’inclusivité en lien avec le changement climatique.
Aujourd’hui je vais te parler de la synthèse du rapport du GIEC de 2023 avec Valérie Masson-Delmotte présidente du rapport 1 du GIEC et Jean-Pascal van Ypersele, physicien et climatologue ancien Vice-président du GIEC.
Un livre coup de poing qui décrypte les discours autour du climat, de la politique à l’économie, en passant par les médias et les réseaux pour dénoncer leurs écueils et bâtir un récit raisonné, tourné vers l’action.
La paléoclimatologue Valérie Masson-Delmotte définit son engagement par une diffusion des connaissances scientifiques. Raison pour laquelle elle s’investit depuis 2015, sans compter ses heures, au sein du Giec. [Série 2/4] [Série 2/4] Vous lisez l’enquête « Crise écologique : la révolte des scientifiques ». Pour ne pas rater le prochain épisode, abonnez-vous à notre lettre d’info. Si la patience avait un visage, ce serait sans doute le sien. La paléoclimatologue Valérie Masson-Delmotte semble dotée d’un (...)
Valérie Mignon, professeure en économie à l'Université de Paris-Nanterre, évoque les superprofits des majors pétrolières et les investissements pétroliers.
Face au défi climatique, les collectivités territoriales, en prise directe avec le terrain, ont un rôle crucial à jouer. Des initiatives locales existent mais il est parfois difficile de les mettre en œuvre.
Des chercheurs ont noté une augmentation des publications niant l'urgence climatique sur les réseaux sociaux.
Tour à tour, les compagnies pétrolières annoncent des profits record pour 2022, les plus hauts qu’elles aient connus de toute leur histoire. Côté américain, 55,7 milliards de dollars de profits ont ainsi été enregistrés par ExxonMobil et 36,5 milliards par Chevron.
Claude Allègre n’est pas n’importe quel climatosceptique. C’est probablement l’une des personnes qui a le plus semé le doute quant à la responsabilité humaine dans le changement climatique. En 2010, un débat a lieu à Paris entre Claude Allègre et Valérie Masson-Delmotte, alors paléoclimatologue et déjà une scientifique spécialiste du climat reconnue. Claude Allègre y étale son arrogance, enchaînant tour à tour les arguments d’autorité et les arguments climatosceptiques.

2022

Alors que le gouvernement et les médias tendent à criminaliser de plus en plus le militantisme écologiste, qualifiant certains mouvements d’« écoterroristes » et d’« extrémistes », j’ai voulu rencontrer des membres d’Extinction Rebellion (XR) pour comprendre leur fonctionnement. Loin de l’image d’une bande d’écervelés violents, reflétée par le pouvoir en place au service des industriels et de l’agriculture intensive, j’ai découvert une organisation aux pratiques démocratiques selon moi irréprochables et dans laquelle non-violence et bienveillance sont prônées et appliquées.
Dans un message anonyme adressé au média en ligne Reporterre, des militants écologistes revendiquent avoir voulu scier un pylône supportant une ligne à très haute tension alimentant notamment le site chimique de Salindres. Le Réseau de Transport d'Electricité (RTE) confirme avoir porté plainte après le sabotage d'une de ses installations sur la commune de Saint-Just-et-Vacquières (Gard).
Dans le contexte de transition énergétique et numérique mondial, la demande en métaux est appelée à croître considérablement et rapidement dans les prochaines décennies. Tel est plus particulièrement le cas des métaux nécessaires aux batteries des véhicules électriques - cobalt, lithium, nickel - dont la demande pourrait, selon l’Agence internationale de l’énergie (AIE), être multipliée respectivement par 21, 42 et 19 à l’horizon 2040(1) dans un scénario climatique contraint (scénario de développement durable : SDS). Les matériaux stratégiques ou critiques constituent ainsi aujourd’hui un enjeu majeur des politiques de décarbonation mondiales qui impose de réfléchir à trois questions : la disponibilité géologique des minerais ; la dépendance stratégique des pays consommateurs ; la cartellisation de certains marchés de métaux, à l’image de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP).
Face à l’inertie politique, certains scientifiques n’hésitent plus à s’engager de façon plus militante. Une attitude qui fait débat, mais qui traduit une inquiétude partagée parmi leurs pairs. Valérie Masson-Delmotte témoigne.
Historienne des sciences et de l’environnement, chercheuse associée au laboratoire SPHere (sciences, philosophie, histoire) du CNRS et de l’université de Paris Cité, Valérie Chansigaud travaille sur les relations et perceptions de la nature par l’être humain dans les sociétés occidentales. Elle rappelle combien les enjeux environnementaux sont indissociables des questions sociales et démocratiques.
Selon les experts de l’OMM, des stratégies doivent être mises en place pour réduire les émissions de façon drastique.
Dans ce nouvel épisode du podcast « Chaleur humaine », la climatologue Valérie Masson-Delmotte partage son expérience de pédagogie sur les enjeux climatiques auprès de ministres, de grands patrons ou de lycéens.
Quels sont les liens entre changement climatique, santé mentale et bien-être?
Les grandes métropoles ont tout intérêt à partager leurs expériences afin d’élaborer une vision à long terme contre le dérèglement du climat, estime la paléoclimatologue et coprésidente du groupe de travail 1 du GIEC.
Sollicitée pour entrer au gouvernement, la coprésidente du groupe 1 du GIEC est devenue incontournable, alertant tant sur le dérèglement du climat que sur l’urgence à agir.
L’historienne des sciences et de l’environnement Valérie Chansigaud inaugure le cycle de conférence sur le thème du vivant proposé par la Cité des sciences et de l’industrie.
Une enquête menée par l’équipe d’#Investigation avec le soutien du fonds pour le journalisme révèle que certaines usines de Solvay ont contaminé des populations riveraines à des substances toxiques qualifiées de "produits chimiques éternels". Une pollution qui a impacté deux pays : l’Italie et les États-Unis. Des documents internes du géant de la chimie montrent que la société belge a remplacé certains produits chimiques controversés par d’autres qui seraient tout aussi toxiques. La multinationale le savait et continue à les utiliser depuis plus de 15 ans.
C l’hebdo - Invitée : Valérie Masson-Delmotte, climatologue, membre du bureau du GIEC, invitée vedette du séminaire gouvernemental de mercredi 31/08/22
Aurélien Barrau au Medef, Valerie Masson-Delmotte face au gouvernement, la semaine de rentrée des dirigeants économiques et politiques s’est faite sur le mode alerte générale. Les deux scientifiques, dans des styles différents, ont résumé l’urgence climatique et environnementale. Leurs discours largement diffusés sur les réseaux sociaux, restent en attente d’une réponse à la hauteur. Le premier conseil de défense sur l’énergie, organisé le 2 septembre, a appelé à une mobilisation générale autour d’une sobriété choisie, reposant sur les démarches volontaires des entreprises comme des particuliers.
Sommité mondiale de sa discipline, la climatologue Valérie Masson-Delmotte a depuis plusieurs années intégré l'équipe du GIEC, qui ne cesse d'informer dirigeants et grand public sur la réalité du dérèglement climatique. Dans une interview accordée à Yahoo, la lanceuse d'alerte fait le point sur la situation actuelle et esquisse des pistes d'actions pour s'adapter aux évolutions en cours.
En toute transparence, voici les points clés de ma présentation #climat au séminaire de rentrée gouvernemental
Plus de cinquante spécialistes des questions environnementales, parmi lesquels Samuel Cazenave, Jean Jouzel, Valérie Masson-Delmotte, Serge Tisseron ou Ophélie Gaillard, expliquent, dans une tribune au « Monde », qu’il faut réviser les attributions du ministre de l’éducation nationale et de la jeunesse, qui ne font aucune mention à l’éducation à la transition écologique.
Les habitants d’Europe de l’Ouest sont menacés directement par le réchauffement climatique, assure Valérie Masson-Delmotte, chercheuse en sciences du climat et coprésidente d’un des groupes de travail du GIEC, ce groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat.
La climatologue Valérie Masson-Delmotte pense que la prise de conscience et l’action contre le réchauffement « montent en puissance », mais que la réponse politique reste loin du changement d’échelle nécessaire.
En Italie, la sécheresse est de plus en plus préoccupante. Le niveau du fleuve Pò est à son minimum historique et plusieurs régions italiennes ont déjà décrété l'état d'urgence. Le rationnement de l'eau est déjà obligatoire dans le Piémont et en Lombardie.
En 2019, environ 15% des émissions de gaz à effet de serre d’origine humaine provenaient du secteur des transports. La croissance moyenne de ces émissions dues aux transports a été constante entre 2010 et 2019, d’environ 2% par an. En France, le poids des transports est de 30%
Craintes, difficultés à travailler, astuces pour supporter les chaleurs... Reporterre a rencontré des jeunes, retraités ou serveurs à Toulouse, où les températures frôlent les 40 °C.
Dans un entretien au « Monde », la juriste et spécialiste de droit international et humanitaire Valérie Cabanes explique pourquoi elle a participé à un comité de juristes internationaux qui propose une définition de l’écocide directement inspirée des crimes de guerre contre l’environnement.
Dans cette vidéo, Marine Calmet, co-fondatrice, présidente et juriste pour le Programme Wild Legal ainsi que Valérie Cabanes, juriste internationaliste de terrain, abordent la question de la protection de notre planète Terre au travers du prisme du droit. Toutes deux juristes et s'adressant à un public formé en Droit, elles ont pu faire un compte rendu détaillé et précis des nouveaux outils juridiques pour défendre notre système écologique.
N’apparaît-il pas aujourd’hui vital de mieux le préserver, à l’aune de la crise climatique et écologique en cours ? Reconnaître le bassin du Saint-Laurent comme une entité vivante, indivisible est un véritable sujet de droit qui permettrait, de la façon la plus efficace qui soit, de le préserver pour les générations actuelles et futures.
Dans son classement annuel, le magazine américain intègre la scientifique Valérie Masson-Delmotte, membre du Giec, et salue sa contribution à l’étude du «plus grand péril que la Terre ait jamais connu: le changement climatique».