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viande

2024

Les ventes d'une ferme d'élevage à Stabroek seront fortement réduites après que l'Agence fédérale pour la sécurité de la chaîne alimentaire (Afsca) a détecté des concentrations de substances per- et polyfluoroalkylées (PFAS) dans la viande, a confirmé jeudi le bourgmestre de la commune flamande, Rik Frans.
L'Ademe, en partenariat avec l'Obsoco, vient de publier le tout premier baromètre sur la sobriété et les Français. Tous les chiffres à retenir dans une infographie.
Jean-Marc Gancille est l'auteur d'un essai paru cette année aux éditions Rue de L’Échiquier : Comment l'Humanité se viande. Le véritable impact de l'alimentation carnée. Récemment ulcéré par l'annonce du "plan gouvernemental pour reconquérir notre souveraineté sur l'élevage", qui sous couvert de réappropriation agricole se révèle écocidaire et rétrograde, il nous a transmis un tribune
L'Ademe publie le résultat d'une enquête sur nos habitudes de consommation, et tout ce qui fait notre quotidien y passe : déplacements, logement, achats, alimentation, etc, avec 256 pages de résultats détaillés
Alors que les protéines animales ne sont plus nécessaires à la nutrition d’une majorité d’humains, des centaines de millions animaux sont tués chaque jour pour être mangés. Le débat autour de l’alimentation carnée se focalise généralement sur le plan de l’éthique et de la morale, partant du constat que les animaux sont des êtres capables de ressentir la douleur, le plaisir et diverses émotions. Mais cette exploitation de masse constitue aussi un risque écologique majeur qui met en péril l’habitabilité de la planète et la survie de l’humanité.
Que devraient manger les Français pour respecter les engagements environnementaux de leur pays ? Moins de viande, mais de meilleure qualité, répondent la Société française de nutrition et le Réseau Action Climat, qui espèrent peser sur les recommandations officielles.
Une étude du réseau Action Climat et de la Société française de nutrition publiée affirme que réduire la consommation actuelle de viande en France de 50 % permettrait d’atteindre les objectifs climatiques fixés pour le pays.
Réduire de moitié la consommation actuelle de viande en France, pour tomber à 450 grammes maximum par semaine, permettrait d'atteindre les objectifs climatiques fixés pour le pays, affirme une étude du réseau Action Climat et de la Société française de nutrition publiée mardi.

2023

Produite à partir de cellules en prolifération dans des bioréacteurs, la « viande de culture » est présentée comme une solution à la demande grandissante en protéines animales sans certains des inconvénients de l’élevage. Ce premier article décrit les qualités sanitaires, nutritionnelles et organoleptiques à partir des connaissances disponibles. Un point d’attention concerne la composition et le coût du milieu de culture, notamment concernant les alternatives au sérum de veau fœtal. L’innocuité de ce nouvel aliment fait débat entre les scientifiques, avec, d’un côté ceux qui affirment que la consommation de la « viande de culture » sera plus sûre que celle de la viande conventionnelle, et ceux qui, au contraire, sont plus prudents, considérant que les risques sanitaires ne sont pas entièrement connus.
Cultured meat is an emerging biotechnology that aims to produce meat from animal cell culture, rather than from the raising and slaughtering of livestock, on environmental and animal welfare grounds. The detailed understanding and accurate manipulation of cell biology are critical to the design of cultured meat bioprocesses. Recent years have seen significant interest in this field, with numerous scientific and commercial breakthroughs. Nevertheless, these technologies remain at a nascent stage, and myriad challenges remain, spanning the entire bioprocess. From a cell biological perspective, these include the identification of suitable starting cell types, tuning of proliferation and differentiation conditions, and optimization of cell–biomaterial interactions to create nutritious, enticing foods. Here, we discuss the key advances and outstanding challenges in cultured meat, with a particular focus on cell biology, and argue that solving the remaining bottlenecks in a cost-effective, scalable fashion will req
Remplacer seulement la moitié de la consommation mondiale de viande et de lait par des aliments à base de plantes permettrait de couper le tiers des émissions de gaz à effet de serre (GES) liées à l’agriculture, révèle une nouvelle étude parue dans Nature.
Avec 84,9 kilogrammes équivalent carcasse consommés par habitant en 2022, la consommation française se situe dans la moyenne européenne
Cell-based food production, which is the field of growing animal agricultural products directly from cell cultures, has been explored as an alleged sustainable alternative to the conventional livestock agricultural system. As commercial cell-based food production continues to expand, the urgency increases to address one of the most important questions of consumers, the question of food safety. Thus, the Food and Agriculture Organization of the United Nations (FAO), in collaboration with the World Health Organization (WHO), has developed the present document to engage with respective Members and relevant stakeholders by proactively sharing the current knowledge to identify concrete ways to inform consumers and all other stakeholders about the food safety considerations for cell-based food products. This document includes a literature synthesis of relevant terminology issues, principles of cell-based food production processes and the global landscape of regulatory frameworks for cell-based food production.
La viande est considérée comme l'aliment le plus polluant de tous. Mais est-elle vraiment le produit le plus gourmand en ressources ?
La viande artificielle afficherait une empreinte carbone entre 4 et 25 fois supérieure à celle de la viande classique.
Plus le PIB par habitant d’un pays est élevé, plus la quantité de viande avalée par personne a tendance à augmenter, montre cette infographie du journal suisse “Le Temps”.
La viande d’élevage va-t-elle être remplacée par de la « viande » fabriquée, in vitro, dans des bioréacteurs ? Souvent financées par des investisseurs déjà présents dans l’agrobusiness, quelque 200 start-up dans le monde tentent de mettre au point le processus industriel qui permettrait cette révolution alimentaire. Le biologiste Eric Muraille (ULB) questionne un certain discours technico-optimiste relatif à « cette pâte de cellules qui imite la viande »
La production de nos aliments dégage des gaz à effet de serre qui augmentent le réchauffement climatique. Un nouvelle estimation établit que les émissions de l’agriculture accroîtront l’effet de serre d’un degré en 2100. Les températures de la Planète sont déjà montées d'un degré avec des graves conséquences météorologiques. Ces gaz à effet de serre [...]
Alors que le passage à des régimes plus faibles en produits animaux est l’un des leviers les plus puissants pour lutter contre la crise climatique, ce sujet n’est encore que timidement abordé au Salon de l’agriculture. .
Alors que la consommation de viande est le principal responsable des émissions de gaz à effet de serre liées à l'alimentation, adopter des habitudes plus durables nécessite de changer le contenu de nos assiettes. Et pour les éleveurs, cela implique de réfléchir à de nouveaux modes de production.
Ils ont arrêté la viande, la clope ou l’avion par conviction écologique. Et, croyez-le ou non, tous se disent plus heureux qu’avant! Le plaisir ne serait-il finalement pas la clé de l’engagement et de la sobriété?
« Chaleur humaine ». L’impact climatique de la viande à l’échelle mondiale impose de repenser la production agricole et le contenu de nos assiettes, explique la chercheuse Carine Barbier, dans un entretien au « Monde ».

2022

Dans une récente note, la Fabrique Ecologique estime qu’on ne parle pas assez du méthane, puissant gaz à effet de serre.Mais elle ne se soucie pas de scarabées ni d’antibiotiques…
"Reforester, réensauvager, arrêter de manger de la viande". Dans la marche pour la nature organisée le 10 décembre à Montréal (Canada), Sylvain Rolland avait un message pour les négociateurs rassemblés au Palais des congrès pour la COP15 biodiversité. "Le moyen d'avoir un impact positif le plus important pour la biodiversité et le climat, c'est d'arrêter de manger de la viande", revendique cet aide à domicile de 55 ans.
L’agence américaine chargée de la sécurité alimentaire a pour la première fois donné le feu vert pour la commercialisation de viande cultivée en laboratoire.
En 2019, le GIEC publiait un rapport intitulé « Climate Change and Land », montrant que nous ne parviendrons pas à atteindre les objectifs de l’Accord de Paris sans réduire nos émissions dans le domaine de l’alimentation. Or la moitié de son impact est lié à notre consommation de viande. Celle-ci doit impérativement être réduite, en particulier dans les pays développés.
Selon un rapport sur le climat publié mercredi dernier et qui sera présenté à la prochaine COP 27 en novembre prochain, il faudrait manger de la viande maximum deux fois par semaine pour espérer éviter les pires effets des changements climatiques.
Un trajet en jet privé émet-il plus qu’une année de repas carnés ? Quel est l’impact carbone d’un jean neuf ? Testez vos connaissances avec notre quiz.
En Angleterre, une ville s’est engagée à remplacer les produits animaliers par des substituts végétaux pour réduire son empreinte carbone. Grâce à un traité international, elle est loin d'être la seule. On l'imite ?
Impact de l’alimentation : analyse des études scientifiques ! Viande et des produits laitiers, zéro déchet, bio, local, de saison ? Analyse avec des graphiques du site Our World In Data
A l’œuvre depuis plusieurs années dans la filière allaitante, la décapitalisation s’accélère aujourd’hui suite à la sécheresse et aux fortes chaleurs de l’été, souligne l’Institut de l’élevage dans ses dernières Tendances Lait et Viande. Une décapitalisation qui commence à affecter la production.
Des chercheurs ont analysé les publications des lobbies de la viande en Grande-Bretagne. Ils révèlent les stratégies de communication et de fabrication du doute.
Selon une étude publiée par la revue Nature il y a quelques jours, si les humains remplaçaient seulement 20 % de leur consommation de bœuf par un substitut de viande d’ici 2050, on pourrait réduire de moitié la déforestation et les émissions de gaz à effets de serre associées à l’agriculture, mais changer la viande pour les protéines, implique de grands changements dans le monde agricole.
Une étude de l'université de Bonn en Allemagne explique que cette réduction de la consommation aurait des effets non seulement sur l'environnement mais également économiques et sur la santé.
La guerre en Ukraine a aggravé une situation déjà tendue. Le prix de plusieurs produits alimentaires de base a atteint un record en mars. Une crise mondiale se profile tandis que le bétail et les biocarburants continuent de détourner une part importante de la production céréalière.
Les législateurs de l’Union européenne, tous partis confondus, ont demandé à la Commission européenne de cesser de promouvoir la consommation de viande alors que la guerre en Ukraine a des répercussions sur l’approvisionnement alimentaire mondial et entraîne des pénuries de nourriture pour animaux dans l’UE.
Si elle se transmet à l’homme principalement par des aliments contaminés, comme de la viande hachée crue ou mal cuite, la bactérie ne survit pas à une température de 70°C. Les experts cherchent donc à savoir comment les contaminations ont pu se produire malgré la cuisson des pizzas Buitoni incriminées dans l’épidémie.
Selon un décret publié dimanche soir, une licence décernée par les autorités ukrainiennes est désormais nécessaire pour exporter le blé, la viande de volaille, les oeufs, l'huile de tournesol, a indiqué l'agence de presse Interfax Ukraine, citant une décision des autorités. Des quotas ont également été introduits pour l'exportation de bétail, de viande de bétail, de sel, sucre, avoine, sarrasin, seigle, millet.
Peut-on lutter contre le changement climatique et la déforestation et manger de la viande ? Peut-on être écolo en mangeant des animaux ? Outre les problèmes de santé des animaux et des humains et la catastrophe environnementale liée à cette consommation, comment continuer de participer à la tuerie massive d'animaux d'élevage fabriqués pour notre soif de protéine ? Le débat est lancé
Si la conscience des conséquences négatives de la viande sur la santé et l’environnement progresse, les comportements peinent à suivre. La consommation d’animaux est toujours auréolée de prestige, particulièrement dans les classes populaires.
Les grosses entreprises et institutions financières mondiales n’agissent pas, ou pas assez, pour lutter contre la déforestation liée à la production et la consommation d’huile de palme, de soja, de viande de bœuf, de cuir, de bois et de papier, dénonce une ONG britannique ce jeudi.
La production mondiale de viande devrait croître d’environ 4 % en 2021 par rapport à 2020, pour s’établir à 353 millions de tonnes. En Chine, elle a progressé de 16 %, à 90 millions de tonnes, et la hausse serait forte aussi en Inde, au Pakistan et au Vietnam, sous l’effet d’une demande accrue.

2021

Grâce aux techniques d’ingénierie tissulaire, il est possible de fabriquer des steaks artificiels identiques en goût et en texture à de la viande bovine. Le secteur, toujours en phase de recherche, est voué à une expansion inévitable.
Selon l’Institute for Agriculture and Trade Policy, trente-cinq des plus grandes sociétés de ces secteurs ont été responsables, en 2018, de 7 % des émissions de l’Union européenne. L’ONG appelle les gouvernements à « réglementer l’agrobusiness ».
D’après les perspectives agricoles de l’OCDE-FAO, la consommation de viande par habitant dans les pays développés va augmenter de 0,24% par an. Si nous savons que l’industrie de la viande est source de pollution, nous sommes cependant moins familiers à l’impact des excréments des consommateurs de viande sur les écosystèmes côtiers.
Ce que mangent les hommes émet 41 % plus de gaz à effet de serre que ce que mangent les femmes, a calculé une équipe de chercheurs britanniques. En cause notamment : les quantités de viande qu’ils ingèrent.
Selon les données de l’Institut national de la statistique, entre juillet 2020 et juillet 2021, l’indice harmonisé des prix à la consommation a augmenté de 4,7 %. Et dans le détail, certains produits comme la viande ou le poisson ont connu des envolées dépassant les 10 %.
Le gouvernement irlandais s’est engagé dans l’accord sur la baisse des émissions de méthane signé à la COP26 et doit annoncer des objectifs au sujet des gaz à effet de serre secteur par secteur, qui font craindre aux éleveurs bovins une réduction du cheptel national.
D'après une étude publiée en 2018 par l'Institute for agriculture and trade policy (IATP), et GRAIN, une ONG internationale, les grands producteurs de viande et de produits laitiers « pourraient devenir les plus grands pollueurs climatiques de la planète » à l'horizon 2050.
Een meerderheid van de Europeanen is voorstander van snelle actie om de klimaatcrisis te stoppen, blijkt uit onderzoek in zeven Europese landen. Maar zelf de eet- of reisgewoonten veranderen, ligt moeilijker.
S’attaquer au défi climatique implique de remettre en cause les stéréotypes de genre, qui s’incarnent notamment dans l’alimentation. « Au même titre que le féminisme, le végétarisme est perçu comme un perturbateur social qui déstabiliserait une "identité nationale" primitive largement fantasmée et menacerait donc la masculinité hégémonique ; ce qui est vrai, concernant cette dernière, la viande étant le symbole ultime de la domination de l'être humain, et de l'homme en particulier, sur la nature : je te mange, donc je suis le plus fort.
La quantité d’émissions de gaz à effet de serre provenant de l’agriculture est plus importante que prévu, selon une nouvelle étude américaine. Et la viande a un bilan deux fois plus lourd que les plantes.
L’Amazonie et la région du Cerrado font face à des destructions dévastatrices pour exporter de la viande et du soja à bas prix. Un rapport inédit pointe la responsabilité des entreprises européennes.
L'industrie d'élevage animal représente une part importante des émissions de gaz à effet de serre. Pourtant, la part de production de viande dans le monde pourrait encore augmenter de 13 % entre 2019 et 2029, pour une production totale de 366 millions de tonnes de viande, estiment des ONG.
Publié par trois associations de défense de l’environnement, un rapport explique que 20 entreprises d’élevage émettent plus de gaz à effet de serre que des pays comme l’Allemagne, le Royaume-Uni ou la France.
Depuis plusieurs semaines la société de biotechnologie israélienne Future Meat commence à produire de la viande cultivée à partir de cellules animales à échelle industrielle. Ce “nouveau marché”, qui représente l’avenir, intéresse évidemment les grands noms de l’agroalimentaire, dont le géant suisse Nestlé.
Les efforts visant à réduire la quantité de gaz à effet de serre par kilogramme de protéines produites sont susceptibles d'avoir un impact plus important sur l'atténuation du changement climatique que persuader les gens de manger moins de viande, d'œufs et de produits laitiers.
Growing global meat consumption threatens to derail the Paris Agreement, but that hasn’t stopped the meat industry insisting it is part of the solution to climate change.
Selon les calculs de chercheurs, fabriquer des protéines à partir d'air et d'électricité permettrait d'économiser 90 % d'espace sur Terre par rapport à l'agriculture, et ainsi de diminuer la pression environnementale sur la Planète. Après la viande sans boeuf fabriquée in vitro, voici le soja sans plante, généré en laboratoire. Autrement dit, un champ de un hectare de terrain, destiné à de la culture in vitro permettrait de produire l'équivalent de dix hectares de soja planté en plein champ.
En 2050, nous aurons 10 milliards de bouches à nourrir. Quelles solutions existent pour baisser la consommation de viande et poisson, et donc préserver les ressources planétaires ? Protéines végétales et substituts de viande peuvent-elles remplacer les protéines animales ? Mettront-elles un terme à l’élevage intensif, la déforestation, la pêche industrielle, etc ? Focus sur les différents types de protéines du futur, leurs développements et leurs limites.