les Ressources Minières

OA - Liste

Les Ressources minérales (*)

Une de ObsAnt

Résultats pour:
ozone

2024

Les quantités de HCFC, des substances destructrices de la couche d’ozone ayant une capacité de réchauffement 2 000 fois supérieure à celle du CO₂, sont en train de diminuer dans l’atmosphère. Une bonne nouvelle pour la couche d’ozone et pour le climat.
Grâce aux engagements internationaux, les hydrochlorofluorocarbures (HCFC), ces gaz climaticides utilisés dans les systèmes de réfrigération, de climatisation et les aérosols, sont en baisse, selon une étude publiée ce mardi.
Les engagements internationaux pour protéger la couche d'ozone portent leurs fruits alors que les concentrations dans l'atmosphère d'une famille de gaz nocifs, les HCFC, ont commencé à décliner plus vite que prévu, selon une étude publiée mardi.
L'ozone (O3) reste l'un des seuls polluants de l'air dont la concentration continue de croître. Et plus les émissions de gaz à effet de serre et la température planétaire en feront de même, plus cette variété instable de l'oxygène, à double tranchant, sera présente dans l'atmosphère. Cette logique, admise depuis longtemps, a été quantifiée pour l'une des premières fois dans une étude (1) publiée, le 2 juin, dans la revue Earth's Future. Quatre chercheurs américains et canadiens ont modélisé l'augmentation de l'O3 aux basses altitudes à l'horizon 2050 en fonction des projections du Groupe intergouvernemental d'experts sur le climat (Giec).
Selon une étude, la pollution à l’ozone en Europe provient en grande partie de la production de pays voisins. Les chercheurs plaident pour réglementation internationale.
Au début du mois dernier, le vortex polaire arctique — une masse d’air froid circulant au-dessus du pôle — a complètement inversé sa trajectoire.

2023

In 1987, the Montreal Protocol established a ban on substances responsible for destroying the ozone layer, which is essential for protection against the sun’s rays.
Une nouvelle étude réfute les évaluations précédentes et largement acceptées concernant l'état de la couche d'ozone (qui montraient qu'elle reviendrait à ses niveaux des années 1980 dès 2040).
En dépit de la diminution des chlorofluorocarbones, le trou au-dessus de l’Antarctique n’a pas encore été réduit de manière significative, selon une étude publiée mardi dans « Nature Communications ».
Depuis le début des relevés d’observations dans les années 1970, le trou présent dans la couche d’ozone n’a jamais été aussi important. Un résultat étonnant, car les dernières prédictions se montraient optimistes.