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Les pays du monde sont réunis en ce moment en Colombie pour la COP sur la biodiversité, et on ne parle pas suffisamment de ces enjeux, estime François Gemenne.
En 2024, le jour du dépassement est le 1er août, selon l’ONG Global Footprint Network. A compter de cette date, l’humanité prélève plus de ressources que la planète ne peut générer en un an. Natacha Gondran répond à nos questions.
Avec humour et bienveillance, le biologiste et naturaliste Marc-André Selosse déconstruit les préjugés qui nous ont empêchés de comprendre la nature (y compris humaine) et d’ajuster nos actions en conséquence. Il nous montre de plus près ce monde que nous pensions connaître, en contant les histoires des microbes, des plantes et des animaux qui nous entourent depuis fort longtemps. Intelligence des plantes, compétition naturelle, autonomie, équilibres naturels, séductions humaines et parades animales... Le lecteur ressort enthousiaste de ces explorations, parfois troublé dans ses convictions quotidiennes, et enfin relié à cette nature qu’il pensait éloignée de lui.
Aux Etats-Unis, la Cour suprême à majorité conservatrice a annulé, ce vendredi 28 juin, la «doctrine Chevron» qui imposait aux tribunaux de suivre les recommandations des agences gouvernementales.
Sauver les herbiers de posidonie arriverait comme une solution supplémentaire pour lutter contre le réchauffement climatique.
Dans un état des lieux alarmant, l'Union internationale pour la conservation de la nature prévient mercredi que la moitié des écosystèmes de mangrove mondiaux sont menacés d'effondrement. En cause : la déforestation, le développement, la pollution et la construction de barrages. Mais aussi l'élévation du niveau de la mer et la fréquence accrue des tempêtes violentes associées au changement climatique.
LUXEMBOURG - Plusieurs espèces présentes au Grand-Duché vont disparaître.
Malgré les menaces que l’humanité fait peser sur son environnement, le gouvernement tient des discours déconnectés du réel et pratique la course de lenteur, fustige un collectif de 260 scientifiques, dont le climatologue Jean Jouzel, dans une tribune au « Monde ».
Le Réseau Action Climat distribue les bons et mauvais points. Le 9 avril, la fédération d’associations environnementales a publié un « décryptage » des votes des eurodéputés français durant ce mandat.
Le président français Emmanuel Macron a martelé mercredi au Brésil que l'accord commercial négocié entre l'Union européenne et le bloc sud-américain du Mercosur était un "très mauvais accord" et appelé à en construire "un nouveau".
Depuis la signature des accords de Paris en 2015, les principaux groupes bancaires de l'Union européenne ont octroyé un total de 256 milliards d'euros de crédit aux entreprises qui menacent les forêts, les savanes et d'autres écosystèmes confrontés à des situations climatiques critiques, selon un rapport du cabinet d'études néerlandais Profundo, rendu public par Greenpeace International, Milieudefensie, Harvest et Global Witness.
A l’aube d’un soulèvement des terres et des hommes qu’incarnent aujourd’hui les luttes écologiques, comme celle contre l’A69, la précarité du «Droit vivant» n’a jamais été aussi forte. Dans son essai du Contrat Social, Rousseau nous renseignait sur la nécessité d’une association entre citoyens pour atteindre une société légitime et égalitaire œuvrant pour le bien commun. Avec le dérèglement climatique, les effondrements et les délitements socio-économiques provoqués par le capitalisme, il demeure essentiel de redéfinir les contours de ce bien commun et de l’intérêt général pour construire une société écologique et vivable.
Pablo Servigne, effondriste, a inventé le concept de collapsologie. Après les crises climatiques, environnementales, financières qu'il annonce, il se réjouit, avec la jeunesse, de passer à un autre monde : “On va pouvoir créer quelque chose de nouveau”.
Le président équatorien Daniel Noboa a annoncé son intention d'ignorer le référendum mettant fin aux forages pétroliers dans le parc national Yasuni, afin de financer la guerre qu'il mène contre le crime organisé. Une marche arrière qui inquiète les associations environnementales.
Comment les ours polaires mangent-ils lorsqu’ils doivent se réfugier sur la terre ferme pendant l’été ? Pas bien du tout, indique la nouvelle étude d’une équipe de chercheurs nord-américains. La difficulté à trouver de la nourriture peut entraîner d’importantes pertes de poids.
Surpêche, abrasion des fonds, émissions de CO₂… Une étude rendue publique mercredi 24 janvier analyse, à l’initiative de l’association Bloom, les performances des différentes catégories de flottilles françaises, des plus vertueuses au moins rentables, dans l’Atlantique Nord-Est.
La déforestation de l’Amazonie brésilienne a sensiblement diminué en 2023, une “grande victoire” pour le président Lula et son gouvernement. Mais l’écosystème du Cerrado, qui abrite 5 % de la biodiversité mondiale, a en revanche subi des pertes de végétation record.
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De la sécheresse en Espagne aux inondations dans la Corne de l'Afrique, en passant par la fonte de la banquise en Antarctique et les incendies au Canada… Comme l'année dernière, 2023 a été marquée par de nombreux records alarmants pour la planète. Mais, en parallèle, les derniers mois ont aussi été marqués par quelques avancées importantes dans la lutte contre le dérèglement climatique. France 24 retrace l'année du climat.
L’avion à fond, de la pêche dans les aires protégées et des JO plein de plastique… Alors que s’accentue l’urgence climatique, Reporterre distingue ceux qui se sont fait remarquer pour leurs positions anti-écologiques.
La crise environnementale est à la fois complexe et conséquente. Quels sont les risques à long terme, de la crise de l'eau ?
Pour en finir avec les success stories pétrolières, voici une histoire des territoires sacrifiés à la transformation des hydrocarbures. Elle éclaire, à partir de sources nouvelles, les dégâts et les luttes pour la santé au XXe siècle, du Japon au Canada, parmi les travailleurs et travailleuses des enclaves industrielles italiennes (Tarento, Sardaigne, Sicile), auprès des pêcheurs et des paysans des « Trente Ravageuses » (la zone de Fos / l’étang de Berre, le bassin gazier de Lacq), ou encore au sein des Premières Nations américaines et des minorités frappées par les inégalités environnementales en Louisiane.
Les discours des femmes et hommes politiques qui participeront aux Fêtes de Wallonie “100ème édition”, qui se tiennent actuellement à Namur, s’inscriront à coup sûr dans la perspective des élections qui se profilent. Canopea compte participer à la fête en proposant aux futur·e·s candidat·e·s de quoi développer des Déclarations de politiques imprégnées d’une réelle volonté de relever les défis climatiques et de la biodiversité.
La Fabrique des Consom'Acteurs: vers une déconsommation des productions industrielles, pour un consommation active, citoyenne, raisonnable et respectueuse de notre environnement.
Certes, certaines mesures s’avéreront couteuses. Mais, comme on l’a vu par le passé, une politique communautaire ambitieuse porte ses fruits. Alors que l’Escaut figurait parmi les fleuves les plus pollués du continent dans les années 80, la qualité de ses eaux s’est améliorée du fait que les États riverains ont été obligés d’atteindre un bond écologique des eaux en 2015.
Ses propos font écho à la « pause réglementaire européenne » souhaitée par Emmanuel Macron, qui a créé une certaine inquiétude à Bruxelles et chez les défenseurs de l’environnement.
Près de 50 chercheurs ont identifié les limites à ne pas franchir pour assurer la "résilience du système terrestre". Toutes sont déjà dépassées sauf une.
L'humanité était-elle vouée à détruire la nature et à saccager l’environnement ? Contre le récit officiel de l’Anthropocène relatant une prise de conscience commune de l’humanité quant à sa responsabilité dans le changement climatique survenue dans les années 70, les historiens Christophe Bonneuil et Jean-Baptiste Fressoz arguent, tout au contraire, que cette approche est naturalisante, dépolitisante et inopérante pour répondre à l’urgence écologique.
Entre l’accord de Paris sur le climat, celui sur la biodiversité et les objectifs de développement durable, les avancées étaient loin d’être gagnées dans un contexte de multiples crises. Mais les promesses restent insuffisantes et leur mise en œuvre pose question.
Les médias à la plus forte audience doivent avoir un traitement des enjeux environnementaux à la hauteur de la situation. Pour les y aider, un collectif de médias, dont Reporterre, et de journalistes a élaboré une Charte pour un journalisme à la hauteur de l’urgence écologique.
Lézard au vieillissement accéléré, oiseau au bec allongé ou au corps rétréci, ces modifications sont causées par le réchauffement climatique. Mais selon Nicolas Dubos, chercheur en écologie, il ne s'agit pas d'adaptations évolutives. Du moins pas encore.
Résolution adoptée par le 91e congrès de la LDH, Marseille – 4, 5 et 6 juin 2022 L’exercice des droits et des libertés suppose aujourd’hui la préservation des écosystèmes, car il est de plus en plus affecté, directement et indirectement, par les dégâts causés à ce que les êtres humains voient comme leur environnement. En effet, l’humanité est devenue une « force géologique » majeure et cause agissante de bouleversement des écosystèmes. Les dangers immédiats que représentent les changements climatiques d’origine humaine, l’effondrement de la biodiversité et plus largement le franchissement en cours des limites planétaires menacent directement les conditions de vie et donc l’exercice des droits de tous et toutes.
L’association spécialisée dans le droit environnemental a lancé une campagne de lobbying pour sensibiliser les futurs élus de l’Assemblée nationale aux enjeux climatiques et de biodiversité. A grande et petite échelle.
Plus de 1 000 km2 ont été déboisés pour le seul mois passé, le double d’avril 2021. Pour des défenseurs de l’environnement, ces chiffres sont «terribles, effrayants et révoltants».
Longtemps négligés par les responsables politiques lors des grandes réunions sur l'environnement, les océans jouent pourtant un rôle primordial dans la régulation du climat. Et sous le poids du réchauffement climatique et des activités humaines, ils sont sous pression.
Jean-Marc Jancovici est ingénieur et président de The Shift Project, une association qui oeuvre en faveur d’une économie libérée de la contrainte carbone. Nous revenons avec lui sur les enjeux liés à la transition écologique : comment élaborer un nouveau modèle économique et social pour limiter le réchauffement de la planète et la sixième extinction en cours.
De toutes parts, un constat est partagé : en quelques années, la crise climatique a quitté le cercle scientifique et écologiste pour s’imposer dans l’agenda politique et médiatique. Une prise de conscience générale dont n’a pas bénéficié la crise de la biodiversité, l’autre urgence environnementale. Pourquoi ? Et comment visibiliser cet enjeu ? Retour sur l’histoire d’un oubli collectif. Cet article est paru dans le numéro 146 (septembre-octobre 2021) d'Imagine.
Savez-vous que les arbres, au cours de leur longue vie, subissent des myriades d’agressions et de stress ? Ils luttent contre les insectes ravageurs, les microbes pathogènes, les plantes compétitrices ou parasites. Les forêts souffrent également des dérèglements climatiques et des changements environnementaux catastrophiques provoqués par les activités humaines : vagues de chaleur, tempêtes et tornades, sécheresses à répétition, maladies émergentes et exploitation excessive.
La lutte contre les émissions de gaz à effet de serre et le dérèglement climatique qu’elles provoquent est désormais placée au centre du jeu politique. Mais les autres enjeux environnementaux – préservation de la biodiversité et des ressources en eau, régénération des sols… – semblent quant à eux relégués au second plan.
Comme en témoigne la COP26 qui se tient en ce moment à Glasgow, en Écosse, la lutte contre les émissions de gaz à effet de serre et le dérèglement climatique qu’elles provoquent est désormais placée au centre du jeu politique. Les autres enjeux environnementaux – préservation de la biodiversité et des ressources en eau, régénération des sols… – semblent quant à eux relégués au second plan. Comment l’expliquer ? Est-il encore possible de corriger ce déséquilibre ?
Le Vénézuélien Gregorio Diaz Mirabal, qui représente 3,5 millions d'autochtones en Amérique du sud, a insisté samedi sur la nécessité de préserver 80% de l'Amazonie, à la veille de l'ouverture à Glasgow (Ecosse) de la COP26, la conférence de l'ONU sur le climat.
Adoptée en 1992, la Déclaration de Rio sur l’environnement et le développement proclame que les êtres humains sont au centre des préoccupations relatives au développement durable et qu’ils ont droit à une vie saine et productive en harmonie avec la nature. Cette idéologie qui place l’humain au centre des préoccupations contraste avec celle des droits de la nature qui représente une vision intégrée et holistique de toute vie et de tous les écosystèmes.
La lutte contre le dérèglement climatique et pour la protection de la biodiversité doit se faire en synergie, défend le directeur d’une organisation de recherche environnementale à but non lucratif basée à Pékin, dans un article publié par The Guardian.
Le géant des réseaux sociaux a annoncé vendredi l’interdiction de la vente, sur ses sites, de parcelles situées dans des zones protégées de la forêt amazonienne. Une “petite victoire” contre la déforestation, pour les défenseurs de l’environnement.
Pour le plus grand soulagement des défenseurs de l'environnement, aucune offre n'a finalement été formulée pour les blocs de la baie Potiguar (nord-est), à proximité de sanctuaires de biodiversité comme les archipels de Fernando de Noronha ou Atol das Rocas.
En 2022 se tiendra à Kunming (Chine) la quinzième Conférence des parties sur la diversité biologique (COP15) – à ne pas confondre avec la COP26 sur le climat, prévue à Glasgow en novembre 2021.
Peu importe le scénario, les résultats sont relativement inquiétants.
Les feux de forêt qui touchent la Russie ont ravagé, depuis le début de l’année, l’équivalent de la moitié de la superficie de l’Allemagne, selon une estimation de Greenpeace. L’organisation de protection de l’environnement a calculé que 17,6 millions d’hectares de forêts et de steppes étaient partis en fumée, battant ainsi le record de 2012 lorsque 16 millions d’hectares avaient brûlé.
Les peuples autochtones ont officiellement demandé au congrès mondial de la nature de se prononcer sur leur principale revendication, la protection de 80% de l’Amazonie d’ici 2025, ont indiqué dimanche leurs représentants.
Suite aux inondations qui ont touché la Belgique cet été, IEW, Natagora et le WWF-Belgique lancent ce lundi 6 septembre une vaste mobilisation pour interpeller les politiques : nonaturenofuture.be.
La plus grande organisation de protection de la nature, l’UICN, a lancé vendredi son congrès mondial sur des appels à s’attaquer de front aux crises « jumelles » de la biodiversité et du changement climatique.
D’après le PNUE et la FAO, face à la triple menace du changement climatique, de la pollution et de la perte de la nature, le monde doit respecter son engagement de restaurer au moins un milliard d’hectares de terres dégradées au cours de la prochaine décennie. Cette surface représente la superficie de la Chine.
Le monde se rapproche de en plus plus d’un précipice : de multiples points de basculement environnementaux – changement climatique, effondrement de la biodiversité, destruction des écosystèmes naturels… – demandent une action concertée des États et des citoyens. Dans ce mouvement, la Chine occupe une position charnière et paradoxale de deuxième économie mondiale et premier pollueur en agrégat : il est donc inconcevable que des solutions puissent être trouvées aux défis environnementaux mondiaux sans des efforts importants de la part de Pékin.
Un nouveau rapport du Programme des Nations unies pour l’environnement (PNUMA), Faire la paix avec la nature (2021), souligne « la gravité de la triple urgence environnementale de la Terre : le changement climatique, la perte de biodiversité, et la pollution ». Ces « trois crises planétaires que nous nous infligeons font courir un risque inacceptable au bien-être de la génération actuelle et des futures générations », dit le PNUMA. Cette alerte rouge, publiée à l’issue de la Journée mondiale de l’environnement (5 juin), a été élaborée tandis qu’avait lieu la Journée internationale de lutte anti-impérialiste.
Des scientifiques pressent les dirigeants du monde entier d’accélérer sur l’adoption d’un traité en faveur de la haute mer, ces vastes zones océaniques qui ne sont placées sous l’autorité d’aucun État. Un texte permettrait de les protéger contre des risques environnementaux de plus en plus préoccupants.
Ecole Polytechnique : Conférence d'Aurélien Barrau
Aurélien Barrau, est intervenu face aux étudiants de l'École polytechnique le 6 mai 2021, dans le cadre des conférences Coriolis pour l’environnement. Le thème de la conférence : Face à la catastrophe écologique, ne pas être radical a-t-il encore un sens ?
Une seule baleine dans l’océan pourrait faire autant de bien à la planète que plusieurs milliers d’arbres. Sur une période d’un an, un arbre ne peut absorber en moyenne que 21 kilos de CO2, principal gaz responsable de l’effet de serre provoquant le réchauffement climatique. À titre de comparaison, le corps d’une baleine bleue, le plus gros animal vivant à notre époque, peut stocker jusqu’à 33 tonnes de dioxyde de carbone.
La diversité biologique est également essentielle pour le bon déroulement de notre société ; elle nous offre des moyens de subsistance (approvisionnement en nourriture, filtration de l’eau, production d’oxygène), des remèdes, des matières premières et autres. La biodiversité joue également un rôle essentiel dans le climat. En effet, il existe un lien très étroit entre le climat et la biodiversité.
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Les infographies de Bon Pote
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Le changement climatique et la perte de biodiversité ont un coût financier pour l’ensemble de la chaîne d’approvisionnement mondiale, souligne un rapport du CDP. Il en coûtera 120 milliards de dollars supplémentaires aux entreprises d’ici 2026, selon l’organisation qui collecte les données environnementales (climat, forêt, eau) de 8 000 fournisseurs. L’industrie manufacturière, l’alimentation et la production seraient les plus touchées.
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Le documentaire Une fois que tu sais, réalisé par Emmanuel Cappellin en collaboration avec Anne-Marie Sangla, sortira le mercredi 22 septembre 2021. Le jeune réalisateur a passé une partie de sa vie à voyager à l’étranger, et ce sont ses réflexions sur la transformation du monde qui l’ont conduit à réaliser son premier long-métrage.
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Pour l’aborder avec justesse, elle devra se renforcer, se transformer, et se fixer une stratégie. État des lieux. Une carte blanche de Pierre Defraigne. Directeur exécutif du Centre Madariaga-Collège d'Europe; directeur général honoraire à la Commission européenne.
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Le Parlement Européen reconnaît l’écocide et demande son inscription à la Cour Pénale Internationale
(21/01) - Laurie Deboveabs_empty
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Avec le report de tous les événements prévus l'année dernière en raison de la pandémie de Covid-19, c'est finalement l'année 2021 qui sera cruciale pour la planète. Sur le plan français, nous attendons une ambitieuse loi climat tandis que la Commission européenne concrétisera à la fin du premier semestre son Green Deal. Au niveau international, la fin de l'année verra la tenue des COP sur le climat, la biodiversité et la désertification, avec de forts engagements attendus de la part des Etats.
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Les meilleures sources sur l’Environnement et le Climat - tous niveaux confondus !
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Un groupe de chercheurs, dirigé par un scientifique de l’UNSW spécialisé dans le développement durable, a passé en revue les discussions universitaires existantes sur le lien entre la richesse, l’économie et les impacts associés, pour arriver à une conclusion claire : la technologie ne nous mènera pas loin dans la voie du développement durable – nous avons besoin de changements profonds dans notre mode de vie et de paradigmes économiques différents. Dans leur étude, publiée dans Nature Communications et intitulée « Scientists’ Warning on Affluence », les chercheurs ont résumé les preuves disponibles, en identifiant les solutions possibles.
Le climat se réchauffe, la biodiversité s’effondre, mais il est pourtant difficile de prendre conscience de l’ampleur de la crise environnementale. La raison ? Notre amnésie environnementale. Analyse d’un mécanisme psychologique essentiel mais ignoré.
Médecine environnementale - liens entre santé et environnement - Docteur Coquelicot est un projet de vulgarisation de la Société Scientifique de Médecine Générale . Son équipe de rédaction fait partie de la Cellule environnement qui creuse les sujets de santé environnementale.
La crise actuelle va-t-elle mener à un virage écologique ? Les réticences sont considérables, constate Isabelle Martinez qui montre comment beaucoup d’entreprises, sommées par la loi d’informer de leur impact environnemental, s’ingénient à générer du brouillard.
La question des limites environnementales a traversé les XIXe et XXe siècles sans vraiment parvenir à s’imposer. La donne serait-elle en train de changer en ce début de XXIe siècle ? Face à la multiplication des atteintes portées au « système Terre », la communauté scientifique s’est lancée depuis quelques années dans un projet aussi urgent qu’ambitieux : proposer aux décideurs et au grand public un aperçu des principales variables qui déterminent l’équilibre des écosystèmes à l’échelle planétaire. Au-delà du climat et de la biodiversité, ces travaux abordent également des questions moins connues du grand public, comme le déséquilibre des cycles biogéochimiques, le changement d’affectation des sols, l’introduction de polluants d’origine anthropique dans les écosystèmes ou encore l’acidification des océans. Autant d’enjeux pour lesquels la communauté scientifique essaie aujourd’hui de déterminer des frontières à ne pas dépasser si l’humanité veut éviter les risques d’effondrement.
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L’humanité mène « une guerre suicidaire » contre la nature qui réagit et « répond par des ouragans, des incendies et de graves sécheresses dans diverses régions du monde », a déclaré le Secrétaire général de l'ONU, António Guterres, lors de la cérémonie d’ouverture de « Lisbonne - Capitale verte européenne » qui s'est tenue samedi dans la capitale du Portugal.
Parce que, pour préserver les grands équilibres planétaires, les manifestations, pétitions, élections ou blocages ne suffiront pas plus que les changements du quotidien menés de manière individualisante et culpabilisante, nous nous engageons à adopter dès à présent, selon nos possibilités, jusqu’à dix résolutions fortes, afin d’avancer ensemble vers un mode de vie soutenable.
Le Parlement européen a décrété l’urgence climatique et environnementale, jeudi 28 novembre. La résolution, adoptée à une large majorité (429 pour, 225 contre et 19 abstentions), affirme l’engagement du Parlement pour « limiter le réchauffement de la planète à 1,5ºC et éviter une perte massive de biodiversité ». Il fait suite à des votes similaires dans plusieurs parlements nationaux de l’UE, notamment au Royaume-Uni ou en Autriche.
Environnement, Écologie, Économie, Société.
Face à l’urgence environnementale, faut-il revenir à l’idée de nature, et rompre avec l’imaginaire moderniste selon lequel l’homme peut avoir un contrôle total sur elle ? Faut-il, comme le préconise F. Neyrat, en finir avec le « constructivisme » ? Rien n’est moins sûr, selon P. Charbonnier.
La protection de l’environnement devient un marché particulièrement juteux. On connaît déjà le business du développement durable et de la croissance verte. Un pas supplémentaire est toutefois en passe d’être franchi : désormais, les terres, les forêts, les animaux et les végétaux sont transformés en produits bancaires et financiers. De fait, selon le vieil adage « tout ce qui est rare est cher », les espèces vivantes en voie de disparition, les terres et les écosystèmes menacés prennent de la valeur. La nature devient alors un capital sur lequel il est possible de spéculer.
Sous l'écorce de chaque arbre bat un ingénieux système vasculaire qui transporte tous les jours des centaines de litres d'eau vers l'atmosphère. Ce système hydraulique repose sur un mécanisme unique mais très instable car sans cesse soumis aux contraintes de l'environnement. Des chercheurs de l'INRA associés à un groupe de recherche international ont montré que la plupart des arbres fonctionnent à la limite du point de rupture de ce système hydraulique.