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Milton, Helene, Beryl, Boris, Kong-rey, Kirk… Ces noms résonnent pour les assureurs et les pays comme des gouffres à milliards, causés en l’espace de quelques heures par des inondations et des intempéries extrêmes. L’Europe, l’Asie et le nord de l’Amérique, aucun territoire n’est à l’abri. Ces événements mettent en question la viabilité et la pérennité des régions touchées au hasard des vents. Si le nombre de morts reste pour l’instant supportable par la communauté, les coûts financiers explosent et la quantité d’hydrocarbures et d’électricité nécessaires à la remise en état grimpe de manière exponentielle.
Ethnobotaniste et directrice de recherche à l’Institut de recherche pour le Développement, Geneviève Michon dénonce le développement de l’industrie de la forêt, encouragé par une supposée «transition verte».
Les soixante-trois projets de terminaux d’exportation de GNL prévus d’ici à 2030 pourraient émettre plus de 10 milliards de tonnes de CO2 à cet horizon, quasiment l’équivalent des émissions annuelles des centrales à charbon, selon l’ONG Reclaim Finance.
Avec l’ONG Reclaim Finance qu’elle dirige, Lucie Pinson œuvre à convaincre les institutions financières de repenser leurs investissements. Objectif: qu’elles abandonnent les énergies fossiles en faveur de projets durables.
Nous ne pouvons plus dissocier, ainsi que je l’ai erronément cru trop longtemps, l’économie et l’écologie, car l’âpreté de la consommation et de l’enrichissement entraîne un saccage de la nature. Ceci n’est pas encore intégré dans les marchés financiers dont les rendements exigés et l’horizon de temps semblent incompatibles avec les limites planétaires.
Des militants se sont réunis mercredi à Paris devant les bureaux de deux banques impliquées dans le financement d'un projet controversé d'exploitation pétrolière de TotalEnergies en Afrique de l'Ouest, dans le cadre d'une journée d'action organisée dans plusieurs villes dans le monde. Une trentaine de jeunes activistes réunis sous la bannière "Stop Total" ont manifesté dans le 8e arrondissement devant les locaux parisiens de la banque japonaise Sumitomo Mitsui Banking Corporation (SMBC) et de la britannique Standard Chartered.
La COP27 s'ouvre ce dimanche 6 novembre à Charm-el-Cheikh, en Egypte. Pour cet évènement historique, la Loss & Damage Collaboration a publié un rapport soulignant les impacts financiers et humains massifs des catastrophes climatiques. Alors que leur nombre a doublé depuis 1991, la question du financement des pertes et dommages sera au centre des débats.
Tous les flux financiers se dirigent vers les États-Unis, provoquant de fortes secousses dans le reste du monde.
Le secteur financier comme les institutions internationales se préparent à une recrudescence sans précédent des troubles sociaux aux quatre coins du monde. La flambée des prix de l’énergie et des denrées alimentaires fait grimper le coût de la vie à des niveaux astronomiques.
Le Bélarus va rembourser certains de ses créanciers internationaux dans sa devise nationale, le rouble bélarusse, le pays étant restreint dans l'utilisation de devises étrangères par les sanctions imposées à Minsk et Moscou pour l'offensive russe en Ukraine. Cette résolution a été adoptée jeudi par le gouvernement, en collaboration avec la Banque nationale du Bélarus, a indiqué dans un communiqué le service de presse gouvernemental. Le Bélarus risque ainsi, comme son voisin russe, de faire défaut sur sa dette extérieure, ce qui coupe un pays des marchés financiers et complique son retour pour des années.
L'UE a débranché sept banques russes du système financier international Swift, mais a pris soin d'épargner deux gros établissements financiers très liés au secteur des hydrocarbures, en raison de la forte dépendance de plusieurs Etats européens au gaz russe.
L'invasion de l'Ukraine intervient à un moment délicat pour l'économie mondiale, qui commençait à peine à se remettre des ravages du Covid. La guerre enclenchée par la Russie pourrait avoir des conséquences économiques considérables, alors que les marchés financiers s'effondrent et que le prix du pétrole s'envole.
Dix-sept pays européens ont répondu positivement aux demandes ukrainiennes de livraisons d’armes, selon Josep Borrell, chef de la diplomatie européenne. A cela s’ajoute l’envoi de moyens humanitaires ou financiers.
Le deuxième sidérurgiste mondial ArcelorMittal a prévenu ce jeudi que la décarbonation de ses activités, surtout en Europe, constituait un "risque" financier, après un bénéfice net record en 2021.
Alors qu’il est demandé aux populations de faire, climatiquement et à juste titre, des efforts ainsi que de demander l'engagement citoyen, de leur côté les gouvernements changent in extrémis les règles du jeu avec un aplomb qui donne l’impression de se faire rouler dans la farine. Les contorsions de Maired McGuiness, la commissaire européenne des services financiers, venue défendre l’indéfendable, n’ajoutent qu’au malaise. Seuls, l’Autriche, le Luxembourg, l’Espagne et le Danemark s’y sont opposés.
Le minage de bitcoins devrait être interdit sur le sol de l'Union européenne, a déclaré mercredi le vice-président de l'Autorité européenne des marchés financiers (ESMA), Erik Thedéen, lors d'une interview donnée au journal britannique Financial Times. Le régulateur craint que le minage de cryptomonnaies ne mette à mal la réalisation des objectifs climatiques de Paris.
Par rapport aux deux années précédentes (210 milliards de dollars en 2020 et 166 milliards de dollars en 2019), les dégâts financiers liés aux inondations, incendies et tremblements de terre ont été beaucoup plus élevés. Selon Munich Re, l'année 2021 a été la troisième année la plus coûteuse en termes d'indemnisations. L'année 2011, avec le séisme au Japon et la catastrophe de Fukushima a coûté le plus aux assureurs (355 milliards de dollars).
Les conséquences du réchauffement climatique sont en effet de plus en plus palpables partout dans le monde et nous en avons nous-mêmes ressenti les effets en 2021 avec notamment de graves inondations dans de nombreuses parties du pays. La recherche de durabilité et d'une économie neutre en CO₂ occupe donc de plus en plus une place centrale dans les programmes de soutien nationaux et supranationaux et les politiques fiscalo-budgétaires.
Le message de la science, tant pour les gouvernements que les financiers privés, est clair : il faut effectuer une transition économique rapide. Une chronique signée Kees Vendrik, économiste en chef de la Banque Triodos.
Et pas à des financiers spéculateurs ! Pour l’affirmer une fois de plus, l’artiste Bernard Tirtiaux, « le passeur de lumière », est passé du vitrail à l’enchâssement de seaux d’eau pour nous offrir une magnifique allégorie de l’eau propriété de l’humanité, de l’eau qui ne peut être spoliée, de l’eau qui nous fait vivre et qui devient un bien tellement menacé de pollution, de diminution voire de disparition dans certaines zones du monde.
Après une première semaine riche en annonces plus ou moins significatives, la COP26 entre dans le dur. Les négociations sur le climat, qui doivent s’achever vendredi, deviennent plus techniques. Les dirigeants sont en train de bûcher sur «de nouveaux plans climatiques d’ici 2023 pour maintenir 1,5°C à portée de main, les flux financiers, les règles de reporting et le fonctionnement des marchés mondiaux du carbone», résume l’European Climate Foundation. Avec trois mauvais élèves qui tentent de freiner les actions ambitieuses : l’Arabie saoudite, le Brésil et l’Australie. Libération fait le point sur trois dossiers brûlants.
Environ 450 acteurs financiers se sont engagés, mercredi 3 novembre, à atteindre la neutralité carbone d’ici à 2050. Mais ces promesses laissent sur leur faim les organisations non gouvernementales.
Selon Marek Hudon, professeur à l’école de management Solvay à l’ULB (qui forme les futurs financiers et les futurs banquiers) les banques et les fonds d’investissement ont les leviers en mains aujourd’hui pour changer les choses
Le « capital naturel » est une nouvelle façon de concevoir la nature où celle-ci est considérée comme un ensemble de services rendus aux êtres humains, tout le reste étant inutile et ne méritant pas d’être préservé. Cette approche considère qu’il faut mettre un prix sur la nature pour la sauver. Elle promeut par ailleurs la création de marchés financiers où les entreprises destructrices de l’environnement peuvent s’échanger des permis de détruire.
Le Consortium international des journalistes d’investigation (CIJI) travaillait depuis un an sur ces informations : pas moins de 11 millions de documents, provenant de quatorze cabinets financiers, basés dans des paradis fiscaux comme le Panama, les îles Vierges, Dubaï… Et concernant plus de 29.000 sociétés offshore. L’enquête est baptisée "Pandora Papers", en référence à la boîte de Pandore.
La secrétaire au Trésor des Etats-Unis, Janet Yellen a vigoureusement plaidé dimanche 19 septembre pour que le Congrès relève le plafond de la dette au risque de provoquer « une crise financière historique ». Dans une tribune publiée dans le Wall Street Journal, Mme Yellen prévient : « Le défaut pourrait déclencher une flambée des taux d’intérêt, une chute brutale des cours des actions et d’autres troubles financiers », écrit la ministre des finances de Joe Biden.
La Commission européenne va émettre jusqu’à 250 milliards d’euros en obligations vertes à partir du mois d’octobre. Destinés à financer le plan de relance européen Next Generation EU, ces titres financiers soutiendront des projets environnementaux.
Malgré une catastrophe climatique qui grève déjà leurs revenus, les acteurs financiers ne sont guère incités à renoncer aux investissements dans les énergies fossiles. À l’approche de la COP 26, il faut amplifier la lutte.
La directive de Bank Al-Maghrib relative au dispositif des risques financiers liés au changement climatique et à l’environnement est mise en œuvre depuis le printemps. Le Maroc se positionne ainsi à l’avant-garde sur le continent. Les banques ainsi que leurs filiales doivent produire un rapport annuel et un reporting périodique sur l’intégration du risque « climat » dans leur politique de crédit.
Le risque climatique en finance a deux composantes principales : le risque physique et le risque de transition. Le risque physique, ce sont les coûts économiques et financiers subis en raison de la gravité et la fréquence croissante des aléas climatiques physiques. Le risque de transition résulte des changements de politiques gouvernementales, des changements technologiques et des changements de comportements des investisseurs et consommateurs.
Ce printemps 2021 a été marqué par le retour dans les champs de betteraves des insecticides à base de néonicotinoïdes. Après 20 ans de débats, ils avaient été interdits en France en 2016 (pour une application en 2018), avant de l’être également dans l’Union européenne en 2018.Comment s’explique ce revirement de la part du gouvernement français ? Au cœur de ce débat emblématique entre impératifs économiques et urgence environnementale, les deux camps ont mobilisé des valorisations financières comme fer de lance de leurs revendications.
L'Espagne, l'Autriche, le Danemark et le Luxembourg ont rejoint le camp de l'Allemagne pour affirmer que les investisseurs préoccupés par le stockage des déchets radioactifs pourraient perdre confiance dans la classification européenne sur les produits financiers dits "verts" s'ils incluaient l'énergie nucléaire à leur insu.
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