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Le président russe Vladimir Poutine a signé vendredi plusieurs décrets pour augmenter les impôts pour les hauts revenus et les entreprises, une décision prise pour financer l'explosion des dépenses liées au coûteux conflit en Ukraine.
La Russie prévoit des augmentations d'impôts pour les hauts revenus et les entreprises, a annoncé mardi le ministère des Finances, quand le pays recherche des recettes supplémentaires pour financer le conflit en Ukraine.
Un collectif d’intellectuels, de représentants politiques et d’ONG, emmené par le président du Parti socialiste belge, Paul Magnette, et l’eurodéputée Aurore Lalucq, demande, dans une tribune au « Monde », à ce que la question de la justice fiscale soit remise au cœur du débat politique au sein de l’Union.
Le premier mandat d’Emmanuel Macron est passé à côté de ses objectifs pour le climat. Dans un rapport publié lundi 22 mai, deux économistes appellent au changement en misant sur des solutions concrètes, qui signifient inévitablement des sacrifices, tant pour les classes aisées, que pour les plus modestes, et plus généralement pour la communauté dans son ensemble.
ENTRETIEN avec Anne-Laure Delatte, chercheuse en économie au CNRS et autrice de “L’État de droit, Rebâtir l’action publique” (éditions Fayard) paru en en avril 2023. Alors que la défiance envers l’Etat quant à sa capacité à construire des solutions aux crises sociales et écologiques est grandissante, l’autrice pose la question : à qui profite l’Etat ? Une invitation à mieux comprendre la répartition actuelle des moyens, pour mieux les “récupérer”, au service de l’intérêt général.
Les EMMERDEMENTS COMMENCENT…
Dans une tribune publiée ce mardi, élus européens et experts financiers appellent à la création d’une taxation progressive afin de financer «des investissements nécessaires à la transition écologique et sociale».
Dans une lettre ouverte adressée aux participants du Forum économique de Davos, plus de 200 millionnaires et milliardaires réclament à payer davantage de taxes pour "le bien commun".
Dans une lettre publiée ce mercredi et relayée par Oxfam France, plus de 200 millionnaires demandent à payer plus d’impôts «pour notre bien commun».
L’OCDE a revu ses prévisions à la hausse à la suite de l’augmentation de la rentabilité des entreprises.
Shell va payer 2 milliards de dollars d'impôts exceptionnels au quatrième trimestre liés aux taxes décidées par l'UE et le Royaume-Uni sur les profits des groupes énergétiques dus à la flambée des cours des hydrocarbures après l'invasion russe de l'Ukraine.
Le fabricant britannique dit être à l’origine d’une première mondiale. Celui-ci a testé au sol un réacteur d’avion fonctionnant entièrement à l’hydrogène. Bien que cette nouvelle donne l’espoir de voir réellement l’hydrogène devenir le carburant zéro émission du futur, des doutes subsistent.
Le Réseau Action Climat a calculé les dépenses de l’État néfastes pour le climat et l’environnement. En 2023, 67 milliards d’euros d’argent public financeront des mesures délétères.
Les trois économistes Nezih Guner, Remzi Kaygusuz et Gustavo Ventura étudient, dans une tribune au « Monde », les scénarios permettant d’instaurer aux États-Unis un « revenu universel » versé à chaque Américain
La sortie du russe Rosneft se solde par une charge avant impôt de 25,5 milliards de dollars liée à la perte des revenus en Russie.
Cet impôt ne suffira pas pour réduire l’empreinte environnementale des milliardaires. Soyons plus ambitieux en taxant la consommation des produits haut de gamme polluants ou en instaurant des frais de notaires progressifs sur les biens immobiliers de prestige.
Dans une lettre ouverte publiée au cœur du sommet virtuel de Davos, dominé par les entreprises, 102 riches particuliers – dont des personnalités aussi éminentes que l’héritière Disney, Abigail Disney, et le spécialiste du capital-risque Nick Hanauer – avertissent que « l’histoire donne une image assez sombre de ce à quoi ressemble la fin de partie des sociétés extrêmement inégales. » « Pour notre bien-être à tous, riches et pauvres, il est temps de faire face aux inégalités et de choisir de taxer les riches », peut-on lire dans la lettre. « Montrez aux peuples du monde que vous méritez leur confiance. »
Le candidat écologiste à la présidentielle détaille pour « Les Echos » son programme économique. Environ 70 milliards d'euros de dépenses nouvelles pour les services publics y sont prévus, auxquelles s'ajoute un plan d'investissement annuel de 25 milliards. Le financement se fera par une imposition accrue des plus riches.
C'est une donnée qui n'est pas encore prise en compte dans les politiques publiques. Alors que les plus fortunés émettent bien plus de CO2 que les ménages les plus modestes, les politiques climatiques s'adressent à tous sans distinction, pesant même parfois davantage sur les plus pauvres. De nouvelles études récentes confirment le poids des plus riches dans la crise climatique et recommandent de prendre des mesures ciblées tels que des impôts progressifs en fonction des émissions et des revenus.
Une quarantaine de militants d'Attac ont "prélevé" symboliquement l'impôt de multinationales à Marseille samedi, en emportant des sièges bébé siglés d'un restaurant McDonald's et des oriflammes d'une station Total avant de les déposer devant la préfecture, a constaté l'AFP.
Les chefs d'Etat et de gouvernement du G20 ont approuvé samedi l'accord historique sur une réforme de la taxation internationale, qui ambitionne de mettre fin aux paradis fiscaux en instaurant un impôt mondial minimal de 15% sur les bénéfices des multinationales.
C'est l'impôt le plus progressiste que l'on puisse imaginer. Il concernerait un millier ou un peu moins des contribuables les plus riches des Etats-Unis.
Les subventions directes et indirectes aux combustibles fossiles se sont élevées à 5 900 milliards de dollars en 2020 dans le monde, soit environ 6,8% du PIB, a indiqué vendredi le FMI appelant à une "tarification efficace" pour réduire les émissions polluantes. Ces subventions devraient atteindre 7,4% du Produit intérieur brut mondial en 2025 selon le Fonds monétaire international, qui a publié vendredi un rapport à l'occasion du Dialogue de haut niveau consacré à l'énergie dans le cadre de l'Assemblée générale des Nations Unies.
En juillet, les pays du G20 ont adopté un impôt sur les multinationales d’au moins 15 %. Dans un entretien accordé à l’AFP, l’économiste Joseph Stiglitz a jugé ce pourcentage «trop bas», avançant plutôt celui de 25%.
Les ministres des Finances des pays riches ont signé un accord samedi à Venise. Attac et CCFD-Terre Solidaire rappellent les écueils de ce niveau d’imposition, jugé trop bas pour combattre efficacement l’optimisation fiscale.
Instaurer un impôt mondial d'"au moins 15%" sur les sociétés pour sonner le glas des paradis fiscaux et taxer les entreprises là où elles réalisent leurs recettes : ce big-bang fiscal dont les règles devraient être peaufinées d’ici octobre doit être mis en œuvre dès 2023.
Malgré la réticence de quelques pays, la plupart des membres de l’OCDE, ainsi que la Chine et plusieurs paradis fiscaux, ont signé un accord ce jeudi pour taxer les bénéfices des entreprises. Une étape importante avant le G20 mi-juillet.
C’est un accord historique. Pour la première fois depuis des années, les États membres du G7 sont capables de définir des règles pour le système international du 21e siècle. Après quatre ans de combat, il y aura bien une taxation des géants du digital, il y aura bien une taxation minimale à l’impôt sur les sociétés pour éviter l’évasion et l’optimisation fiscale
Les ministres des Finances du G7 espèrent annoncer un accord "historique" samedi sur un impôt mondial minimum et une meilleure répartition des recettes fiscales provenant des multinationales, particulièrement les géants du numérique, à l'issue d'une réunion de deux jours à Londres.
Les ministres des Finances du G7 espèrent annoncer un accord "historique" samedi sur un impôt mondial minimum et une meilleure répartition des recettes fiscales provenant des multinationales, particulièrement les géants du numérique, à l'issue d'une réunion de deux jours à Londres.
Le G7 Finances s'est engagé sur l'objectif d'un taux d'impôt minimal mondial sur les sociétés d'"au moins 15%", d'après un communiqué commun publié samedi à l'issue d'une réunion de deux jours à Londres.
Les ministres des sept grandes puissances se sont engagés samedi sur l’objectif d’un taux d’impôt minimal mondial sur les sociétés d’ «au moins 15%», d’après un communiqué commun publié samedi à l’issue d’une réunion de deux jours à Londres.
Les Etats-Unis ont salué, samedi 5 juin, l’accord obtenu par les ministres des finances du G7 ouvrant la voie à un projet de réforme de la fiscalité mondiale, et à un taux d’imposition minimal sur les multinationales.
Ce projet d’impôt, soutenu par les grandes puissances européennes, a été ravivé par l’administration du président américain Joe Biden. Il figure en haut de l’agenda de la réunion des ministres des finances du G7, qui s’ouvre vendredi.
Le débat s'intensifie sur l'opportunité d'introduire - ou de rétablir - un impôt sur la richesse pour renflouer les caisses des États vidées par la pandémie: tour du monde des taxes en place, des projets et des controverses qu'ils suscitent.
La secrétaire au Trésor cherche à réaffirmer le leadership américain dans la politique économique internationale, a annoncé le Financial Times.
L’affirmation de l’importance de la qualité de vie, la réhabilitation des frontières, l’assouplissement de la discipline budgétaire, la perspective d’un argent gratuit pour longtemps, le télétravail, le commerce en ligne, toutes les formes de "digitalisation", la peur de la promiscuité, dans un restaurant, un théâtre ou un avion, la priorité à la santé, nombreux sont les vecteurs potentiels de changements en profondeur.
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