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Le ministre de la Défense allemand, Boris Pistorius, affirme dimanche que son pays doit être prêt à être confronté à des attaques "hybrides" de la part de la Russie, dont des campagnes sur les réseaux sociaux pour aider les partis populistes et d'extrême-droite.
Lors de sa très longue conférence de presse annuelle à Moscou ce jeudi 19 décembre, le président russe s’est dit prêt à échanger avec Donald Trump, potentiellement autour d’un cessez-le-feu en Ukraine.
Les scientifiques affirment que la pollution de l’air est une « catastrophe sanitaire mondiale ». Seuls sept pays dans le monde ont atteint des niveaux de pollution atmosphérique sûrs en 2023, selon un rapport de la société suisse de technologie de la qualité de l’air IQAir. Le Rapport mondial sur la qualité de l’air, publié plus tôt cette année, s’appuie sur les données de plus de 30 000 stations de surveillance dans 134 pays, territoires et régions.
Les chefs de la diplomatie de six pays européens et l'UE ont réaffirmé jeudi soutenir l'Ukraine sur sa voie "irréversible" vers l'adhésion à l'Otan, estimant aussi que "la paix en Ukraine et la sécurité en Europe sont indissociables".
Si la poliomyélite a disparu d’Europe il y a plus de vingt ans, le virus qui la provoque, lui, réapparaît. Depuis plusieurs mois, il est régulièrement identifié dans les eaux usées de quelques pays. Sans que l’on sache d’où il vient ni comment il se propage.
Les émissions de gaz à effet de serre liées au tourisme représentent près de 9 % du total mondial, selon une étude publiée mardi dans « Nature Communications ». Ses auteurs mettent en garde contre cette croissance insoutenable pour le climat.
Les pays qui ont pris des mesures de restriction des contacts sociaux sans attendre la saturation de leurs hôpitaux ont sauvé plus de vies et davantage préservé leur économie, montre une étude inédite de l’Institut Pasteur, publiée lundi.
Une sécheresse inédite a vidé les barrages et oblige les Equatoriens à vivre avec des coupures d’électricité de plusieurs heures par jour, alors que le président, Daniel Noboa, espère se faire réélire en février.
Selon la Banque mondiale, les pays en développement sont condamnés au “purgatoire” sans allègement de leur endettement. Ils ont dépensé 1 400 milliards de dollars au titre du service de leur dette extérieure en 2023, les intérêts ayant atteint leur niveau le plus élevé depuis vingt ans.
Les 175 pays réunis à Busan, en Corée du Sud, ne sont pas parvenus à finaliser le texte dans les temps, ralentis par les pays pétroliers.
Les pays réunis en Corée du Sud se sont quittés dimanche sans trouver d’accord, en raison de l’obstruction d’un petit groupe d’Etats opposés à l’objectif de réduire la production. Les négociations doivent se poursuivre en 2025.
Une explosion a endommagé, vendredi, un canal vital pour deux centrales thermiques du Kosovo, menaçant son approvisionnement en énergie. Le chef du gouvernement a dénoncé une « attaque » dirigée par Belgrade, qui refuse de reconnaître l’indépendance du pays.
Dernière ligne droite pour les négociations sur un traité contraignant visant à réduire la pollution plastique.
Plusieurs régions du Royaume-Uni subissaient dimanche des pluies intenses et des inondations, causées par la tempête Bert.
Depuis des mois, ces deux pays d'Afrique australe n'ont qu'environ sept heures d'électricité par jour, la sécheresse ayant considérablement fait baisser le niveau d'eau du barrage de Kariba, principale source d'énergie hydraulique des deux pays.
Une centaine d’alertes aux inondations sont encore en vigueur en Angleterre, en Ecosse et au Pays de Galles, avec des routes fermées à la circulation et des trains annulés.
Les pays les plus pauvres et vulnérables au changement climatique ont laissé éclater leur colère samedi contre la présidence azerbaïdjanaise de la conférence de l'ONU à Bakou, estimant n'avoir pas été entendus sur leurs besoins financiers et promettant de continuer à se battre en prolongation.Après plus de 24 heures de retard, la séance de clôture de la COP29 a enfin débuté samedi soir, par un appel du président de la conférence, Moukhtar Babaïev, à ce que les pays surmontent leurs "divisions".Cette séance pourrait durer une partie de la nuit et inclure des suspensions.
La ministre des Affaires étrangères allemande, venue à Bakou pour le sprint final de la COP29, a accusé samedi la présidence azerbaïdjanaise du sommet des Nations unies sur le climat d'être sous l'influence de certaines puissances pétrolières, visant implicitement l'Arabie saoudite, sans la nommer.
L'Union européenne, premier bailleur mondial pour le climat, a relevé samedi son engagement financier pour les pays en développement, mais quoiqu'il arrive d'ici la nuit, nombre de pays semblent résignés à repartir mécontents de la conférence sur le climat de l'ONU à Bakou.La présidence azerbaïdjanaise de la COP29 prévoit de publier vers 14H00 (10H00 GMT) son ultime proposition de compromis, avant de le soumettre à l'approbation des près de 200 pays réunis ici vers 18H00 (14H00 GMT), 24 heures après la fin théorique de la conférence.
Les pays riches ont enfin abattu leurs cartes à la conférence sur le climat de l'ONU à Bakou en proposant 250 milliards de dollars par an pour l'action climatique dans les pays en développement, selon un projet d'accord. Ce dernier est jugé "inacceptable" par les pays africains et fustigé par les ONG engagées dans la défense de l'environnement. Les négociations se poursuivent vendredi soir.
Près d’un tiers des pays de l’OCDE ont enregistré une nette augmentation de l’immigration légale l’année dernière. Une tendance qui reflète la forte demande de main-d’œuvre dans les pays les plus prospères, explique le “Financial Times”.
Le groupe des pays arabes refusera tout texte ciblant "les énergies fossiles", a indiqué jeudi son représentant, le Saoudien Albara Tawfiq, à la conférence climatique de l'ONU à Bakou, à l'avant-dernier jour théorique de la COP29."Le groupe arabe n'acceptera aucun texte qui cible des secteurs spécifiques, y compris les combustibles fossiles", a déclaré en plénière ce négociateur saoudien dont le pays préside cette année le groupe arabe à l'ONU Climat.
Alors que Paris dénonce l'accord de libre échange avec plusieurs pays d’Amérique du Sud, d’autres pays membres de l’Union européenne émettent leur réserve. A l’inverse, certains y sont favorables. «Libération» fait le point.
A deux jours de la fin de la COP29 à Bakou, les pays riches se voient réclamer entre 440 et 900 milliards de dollars par an d'aide climatique pour le monde en développement, ont rapporté mercredi les ministres chargés de débloquer les négociations.Les pays développés sont pour leur part toujours silencieux sur le montant qu'ils sont prêts à contribuer, au-delà de leur promesse précédente de 100 milliards annuels, pour le "Nouvel objectif collectif quantifié" (NCQG selon son sigle anglais) de finance climatique que doit établir la conférence de l'ONU.
Des émissaires des pays développés sont réunis cette semaine à l'OCDE pour discuter de l'arrêt d'un soutien financier public aux industries fossiles, espérant une évolution de la position américaine avant l'arrivée du climatosceptique Donald Trump à la Maison Blanche en janvier.Ces discussions qui ont démarré lundi se poursuivent jusqu'à jeudi auprès de l'Organisation de coopération et de développement économiques, basée à Paris, "mais il est possible qu'elles se poursuivent après", a indiqué à l'AFP une source proche des négociations.
Vingt-cinq pays, riches pour la plupart, se sont engagés mercredi à la COP29 à ne plus ouvrir de centrale au charbon, dans l'espoir d'emmener d'autres pays vers la fin du charbon.Le Royaume-Uni, qui vient de fermer sa dernière centrale au charbon, le Canada, la France, l'Allemagne et l'Australie, très gros producteur de charbon, ont signé cet appel volontaire pendant la conférence sur le climat de l'ONU en Azerbaïdjan. La Chine, l'Inde et les Etats-Unis n'y sont pas.
Trente pays, dont la Belgique, se sont engagés mardi à la COP29 à Bakou, à réduire les émissions de méthane provenant des déchets organiques, a annoncé la présidence azérie de la COP29. Ces pays représentent, ensemble, près de la moitié des émissions mondiales de méthane (CH4) dues aux déchets organiques.
Alors que plus de 10 000 hectares ont brûlé en novembre, cette mesure, qui permet de mobiliser des ressources économiques, s’appliquera pour une période de soixante jours.
Aux côtés du Suriname, du Panama et du Bhoutan, Madagascar a lancé une alliance des pays neutres ou négatifs en carbone, ont rapporté des...
COP29: quatre pays neutres en carbone lancent le G-Zero et demandent une «reconnaissance» officielle
(18/11) - rfi,Alors que la COP29 bat son plein à Bakou, quatre pays, le Bhoutan, le Suriname, le Panama et Madagascar ont lancé mardi 12 novembre une alliance que peu d’autres États peuvent prétendre rejoindre : celle des pays neutres ou négatifs en carbone. Les pays de cette coalition baptisée G-Zéro pour obtenir un statut officiel et des fonds pour le maintenir, au risque pour Madagascar de perdre sous peu ce précieux rôle de puits de carbone.
La journée est dédiée à la science et la technologie à la COP29 de Bakou en Azerbaïdjan. Et, cette année, les représentants des technologies de capture de carbone sont venus en nombre : 480 lobbyistes sont présents selon les ONG, soit plus que l’ensemble des représentants de l’Union européenne (UE), Royaume-Uni, Canada et États-Unis. Ces technologies sont mises en avant par les pays développés et pollueurs. Mais, pour les défenseurs de l’environnement, ces technologies sont de fausses solutions qui s’apparentent à du greenwashing.
La déclaration a été faite à l’issue d’un sommet de la Ligue arabe et de l’Organisation de la coopération islamique en Arabie saoudite.
Tous les pays du continent s’alignent derrière une position commune endossée par les chefs d’Etat. A charge ensuite aux groupes des négociateurs africains de défendre leurs intérêts dans les discussions.
Il s'agit d'un élément central de l'accord de Paris de 2015 pour tenter de limiter le réchauffement de la planète : les différents pays ont jusqu'à février prochain pour déposer leurs nouvelles feuilles de route climatiques à l'ONU, comme vient de l'annoncer le Royaume-Uni.
Le géant pétrolier avait été condamné en première instance en 2021 pour son inaction climatique à la suite de la plainte d’une ONG soutenue par des milliers de citoyens néerlandais.
Du 11 au 22 novembre, la COP29 s’est donné pour objectif de trouver les financements nécessaires aux pays plongés dans la crise climatique. Aux premières loges, le continent africain subit de plein fouet des changements climatiques désastreux dont il n’est pas responsable, note “Le Djely”. Le titre guinéen appelle dès lors à un sursaut africain sur ces questions, tout en dénonçant l’impuissance de ces grands raouts climatiques.
Le "fonds pour répondre aux pertes et dommages" climatiques des pays les plus vulnérables, créé à la COP28, est désormais quasi opérationnel et s’apprête à débloquer ses premiers fonds en 2025, ont annoncé mardi à Bakou ses responsables.
Comme en France, des organisations d’agriculteurs dénoncent, en Belgique et en Pologne, l’accord de libre-échange négocié entre l’Union européenne et les pays du Mercosur. Des actions se préparent.
Les pays du monde entier ont jusqu'au 10 février 2025 pour soumettre leurs nouvelles feuilles de routes climatiques, selon les obligations de l'accord de Paris de 2015, duquel 195 pays sont membres, en incluant les États-Unis qui pourraient en sortir sous Donald Trump l'an prochain. Mais quelles sont les objectifs et obligations de chacun ?
Les crues qui ont fait plus de 56 000 déplacés dans la vallée du fleuve Sénégal mettent en péril la sécurité alimentaire du pays en noyant les cultures depuis près d’un mois.