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2023

Les concentrations de gaz à effet de serre, responsable du changement climatique, ont à nouveau battu des records en 2022, une tendance qui n’est pas près de s’inverser, a alerté l’Onu mercredi, appelant à réduire d’urgence la consommation de combustibles fossiles.

2022

La France peine actuellement à faire baisser ses émissions de gaz à effet de serre à cause d'un recours plus important aux énergies fossiles pour compenser les difficultés du parc nucléaire, mais aussi des transports.Sur les neuf premiers mois de l'année, ces émissions responsables du réchauffement climatique ont quasiment stagné (-0,3%) par rapport à la même période de 2021, selon des données provisoires du Citepa, organisme mandaté pour réaliser l'inventaire français des émissions.
Le mode de vie des plus riches est de plus en plus décrié pour son impact environnemental. Mais c’est leur patrimoine financier auquel s’est cette fois intéressé Oxfam. Dans un nouveau rapport, l’ONG met en lumière l’empreinte carbone liée aux investissements de 125 des milliardaires les plus riches du monde. S’ils aggravent aujourd’hui la crise climatique, ils pourraient jouer un rôle important dans la transition écologique en réorientant leurs actifs vers des activités décarbonées.
La concentration en CO₂ atteint une valeur inédite depuis plus de 2 millions d’années, selon l’Organisation météorologique mondiale. Les concentrations de méthane, deuxième gaz à effet de serre, ont connu une hausse « exceptionnelle ».
Alors que les gouvernements promettent de lutter contre le changement climatique, l'industrie pétrolière et gazière, elle, continue de lancer des méga-projets d'extraction d'énergies fossiles. C'est ce qu'ont découvert les journalistes d'investigation du Guardian.
Pour assurer notre sécurité énergétique, l'Union européenne se tourne vers le gaz naturel liquéfié (GNL). La Commission européenne vient de signer un accord avec les États-Unis pour assurer un approvisionnement stable jusqu'en 2030. De nouvelles infrastructures vont ainsi voir le jour sur le continent. Mais le GNL a un impact carbone plus important que le gaz transporté par gazoduc. Cette stratégie pourrait donc mettre à mal nos objectifs climatiques.
L’énergéticien Engie a décidé d’étendre son contrat d’importation avec l’Américain Cheniere Energy, spécialiste du gaz naturel liquéfié. Ce choix fait bondir les écologistes : le gaz de schiste est très polluant.
Le gaz émet 30% de CO2 en moins que le pétrole et moitié moins que le charbon; il pollue moins l'air ambiant (moins de soufre et d'oxydes d'azote). Mais il reste une énergie fossile, responsable d'environ 22% des émissions mondiales de CO2 en 2021, selon l'Agence internationale de l'énergie (AIE). Sa production génère aussi d'importantes fuites de méthane, gaz ultra-réchauffant.
La plateforme sur la finance durable critique le projet de la Commission sur la taxonomie. Ni le gaz, ni le nucléaire ne peuvent être considérés comme des activités vertes. C’est l’avis des experts de la plateforme sur la finance durable qu’avait sollicité la Commission européenne sur sa proposition de modifier le règlement de la taxonomie verte. Adoptée en juin 2020, cette législation établit les critères de durabilité des activités économiques...
Les sept années de 2015 à 2021 ont été de façon "nette" les plus chaudes jamais enregistrées, confirmant l'avancée du réchauffement climatique avec des concentrations record de gaz à effet de serre, a annoncé lundi le service européen Copernicus d'observation de la Terre.

2021

Six jours avant l’ouverture de la COP26, à Glasgow, l’Organisation des Nations unies (ONU) a émis, lundi 25 octobre, un nouveau bulletin alarmant : les concentrations de gaz à effet de serre ont encore atteint des records en 2020, et l’Amazonie perd de sa capacité à absorber le CO2.
La quantité d’émissions de gaz à effet de serre provenant de l’agriculture est plus importante que prévu, selon une nouvelle étude américaine. Et la viande a un bilan deux fois plus lourd que les plantes.
Je vais profiter de cette conférence de presse de Merkel et Poutine à Moscou pour vous parler de notre dépendance énergétique à la Russie.
Les combustibles fossiles (charbon, pétrole, gaz), sources de l'essentiel du réchauffement climatique, représentaient toujours 80,2% de la consommation d'énergie finale en 2019, contre 80,3% en 2009, pointe ce réseau d'experts dédié aux renouvelables. Dans le même temps, la part des énergies renouvelables (qui ont crû d'environ 5% annuellement) est passée de 8,7% à 11,2% du total, sur fond de croissance de la demande énergétique mondiale, indique ce rapport mondial 2021.
La concentration de CO2 dans l’atmosphère a atteint un record en dépassant les 420 parties par million (ppm), un taux qui n’avait pas été mesuré depuis 5 millions d’années. La trajectoire est telle que nous pourrions bientôt connaître les mêmes taux de dioxyde de carbone qu’il y a 15 millions d’années, quand les êtres humains n’existaient pas.
Quoique largement méconnu, les océans jouent un rôle crucial dans la régulation du climat en absorbant le CO2. Ce rôle pourrait toutefois s’atténuer voire s’inverser à l’avenir, a averti mardi l’UNESCO, ajoutant que les océans, qui sont aujourd’hui les « poumons bleus de notre planète », contribueraient alors à son réchauffement.
Comment va la Terre en 2021, un an après le déclenchement de l’épidémie de coronavirus ? Les confinements stricts décrétés dans plusieurs pays ont-ils vraiment eu un effet positif sur l’environnement ? Quel est l’état de santé de la planète bleue alors que se tient ces jeudi et vendredi un sommet mondial pour le climat à l’initiative du président américain Joe Biden et avant la Cop26 qui se tiendra en novembre à Glasgow ? Tour d’horizon des données actuellement disponibles.
Pascal Boniface a reçu Jean-Marc Jancovici pour une discussion sans détour sur les questions climatiques, les enjeux de gouvernance et les débats qui les entourent.
En février 2021, le réchauffement climatique a atteint environ 1,19°C au-dessus des niveaux préindustriels. Pour le GIEC, la limite des 1,5 °C sera atteinte en 2034. Ce, si la tendance au réchauffement se poursuit comme ces 30 dernières années. Copernicus lance une application pour suivre le réchauffement climatique en quasi temps-réel.
Dès le printemps 2020, le monde a connu une baisse drastique des activités humaines. Ceci avait entraîné une réduction des émissions mondiales de gaz à effet de serre (GES). Malheureusement, ces mêmes émissions sont revenues à la normale dès la fin de l’année.
Une étude majeure parue dans la revue Nature indique que l’Amazonie risque de devenir une source nette de carbone pour l’atmosphère d’ici une quinzaine d’années. En cause, la fragilisation grandissante de l’écosystème par la déforestation et le changement climatique. Une perspective inquiétante qui signerait la disparition d’un important puits de carbone, lequel absorbait jusqu’alors une partie notable de nos émissions de CO2. 
Météo-France dévoile de nouvelles modélisations de l’évolution du climat français à l’horizon 2100. Et elles font craindre des températures extrêmes, jusqu’à +6°C l’été.
L’industrie du gaz et du pétrole a émis 70 millions de tonnes de méthane dans l’atmosphère en 2020. Les fuites provenant de la production et du transport d’hydrocarbures sont équivalentes aux émissions de gaz à effet de serre liées à l’énergie dans l’Union européenne. Ces émissions sont en baisse de 10 % grâce au Covid, selon les conclusions du dernier rapport de l’Agence internationale de l’énergie. « Ces émissions ne sont pas nécessaires et sont inacceptables », a déclaré Fatih Birol, le directeur exécutif de l’Agence.

2020

La Commission européenne s’apprête à publier son mode d'emploi pour accélérer la décarbonation de l'Europe sans compromettre l’activité économique et l'emploi à long terme. Lors de son premier discours sur l'état de l'Union, ce mercredi, la présidente Ursula von der Leyen devrait défendre la proposition de réduire les émissions d'"au moins 55%" en 2030 par rapport à 1990. Pour appuyer cette proposition, son équipe doit publier une étude d'impact fouillée, assortie d'une note d'intention politique - que L'Echo a pu se procurer.
Bruxelles compte réhausser son objectif de réduction des émissions de gaz à effet de serre de l'UE pour 2030, actuellement fixé à -40% par rapport au niveau de 1990, à -55%, a indiqué samedi une source européenne à l'AFP. La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, doit dévoiler ce chiffre lors de son discours de l'état de l'Union, au parlement européen la semaine prochaine. Il était question jusqu'ici d'une fourchette entre 50 et 55%.
"Le Parlement est la première institution de l'UE à devenir 100% neutre en carbone." Depuis bientôt cinq ans, l'hémicycle européen arbore avec fierté l'écusson très couru de la neutralité climatique: les activités des eurodéputés et de leur administration ne contribuent pas au réchauffement climatique. La prouesse apparaît d’autant plus impressionnante quand on la met en regard de celle de la Commission européenne. Cette dernière doit présenter à l’automne un "plan d'action complet" pour devenir neutre en carbone... pour 2030. "Et nous sommes en train de découvrir que c’est un défi énorme. Énorme", concédait le commissaire au Climat Frans Timmermans en mars dernier. Le lièvre et la tortue?
Le réchauffement climatique pourrait mettre en danger plus de la moitié des grandes barrières de glace (prolongements en mer d'un glacier terrestre) soutenant les glaciers de l'Antarctique, selon une étude, alors que les alertes se multiplient sur la fonte accélérée des zones glaciaires.
Malgré sa durée de vie très limitée, le méthane a un pouvoir réchauffant beaucoup plus important que le CO2. Un récent rapport a montré que ces émissions sont en augmentation et la NASA a publié une modélisation 3D montrant parfaitement l’ampleur du problème.
Du méthane s’échappe en abondance d’anciens sites de forage destinés à l’extraction de gaz naturel et de pétrole en mer du Nord, alertent des experts du centre allemand de recherche océanographique de Kiel. Ces fuites sont probablement la cause principale de la présence de méthane en mer du Nord.
Si nous n’agissons pas contre le changement climatique, près de 20 % de la terre pourrait devenir difficilement vivable, avec des températures avoisinant celles constatées actuellement dans le Sahara. Près de 3,5 milliards de personnes pourraient se retrouver dans ces zones, principalement situées dans les pays en développement comme l’Inde, le Nigeria mais aussi la Guyane.
Les émissions de méthane, un gaz à effet de serre très puissant, flambent à cause de nos modes d’élevage, du traitement de nos déchets et de l’extraction d’énergies fossiles. Ce phénomène amplifie considérablement le dérèglement climatique et ses conséquences.
L’Organisation météorologique mondiale vient de publier son rapport sur le climat en 2019. Aux données physiques, elle ajoute quelques informations sur les risques climatiques.
La marche persistante d’un climat en réchauffement se manifeste par une multitude de changements continus et progressifs. Les niveaux de CO2 dans l’atmosphère. La teneur en chaleur des océans. L’élévation du niveau de la mer à l’échelle mondiale. Chacune s’élève d’année en année, alimentée par les émissions de gaz à effet de serre d’origine humaine. Et si les records climatiques sont régulièrement battus, l’impact cumulatif de ces changements pourrait également entraîner des changements radicaux et irréversibles dans des parties fondamentales du système terrestre.
YouTube a "mis en avant de façon très active" des vidéos de désinformation sur le changement climatique. C’est ce qui ressort d’un rapport publié par Avaaz, une organisation non gouvernementale internationale de cyber militantisme. Tout cela intervient alors que la plateforme vidéo vient d’émettre des règles plus strictes pour éviter que ses utilisateurs se retrouvent nez à nez avec des contenus liés à des théories conspirationnistes.
L’humanité mène « une guerre suicidaire » contre la nature qui réagit et « répond par des ouragans, des incendies et de graves sécheresses dans diverses régions du monde », a déclaré le Secrétaire général de l'ONU, António Guterres, lors de la cérémonie d’ouverture de « Lisbonne - Capitale verte européenne » qui s'est tenue samedi dans la capitale du Portugal.
l’Australie est un continent spécifique, avec une faune et une flore remarquables et endémiques (n’existant que sur ce territoire). Les images effroyables de koalas, kangourous et autres animaux emblématiques morts ou blessés ont fait le tour du monde. Des chiffres d’apparence colossale ont été cités pour caractériser cette terrible situation et repris par presque tous les médias : on annonce 500 millions puis, désormais, un milliard d’animaux morts dans ces incendies.
Des milliers de dromadaires qui ont semé le chaos dans des villages reculés en Australie ont dû être abattus. La sécheresse et la chaleur qui règnent actuellement sur l'île-continent poussent ces bêtes à entrer dans les communautés locales à la recherche d'eau. Elles provoquent cependant d'importants dégâts. Les autorités aborigènes de terres situées en plein coeur de l'Australie ont piloté cette opération de régulation de troupeaux, menée à l'aide d'hélicoptères.
Alors que les objectifs européens de CO2 sont de plus en plus contraignants pour les constructeurs automobiles, la moyenne CO2 des véhicules neufs immatriculés en 2019 en Belgique est à nouveau en hausse, ceci pour la deuxième année consécutive. Auparavant, elles n’avaient pratiquement fait que baisser pendant plus de 20 ans.
Les forêts brûlent, il s'agit là d’un phénomène naturel et généralement positif. Les incendies existent depuis 400 millions d'années, tout comme les plantes. Et le cycle vital de nombreux végétaux et animaux dépend de ces feux. Ils deviennent toutefois problématiques lorsqu'ils surviennent en dehors du régime historique auquel les forêts se sont accoutumées.
2020 sera l'année du climat mais aussi de la biodiversité. En octobre, les États du monde entier devront se fixer de nouveaux objectifs en matière de protection de la nature à la COP15 sur la biodiversité qui se tiendra en Chine. Un mois plus tard, ils se retrouveront au Royaume-Uni pour la COP26 sur le climat qui doit acter la relève de l'ambition conformément à l'Accord de Paris. Quelques rendez-vous cruciaux précéderont ces deux échéances.

2019

Depuis plus d'un siècle, les cris d'alarme se multiplient pour expliquer que la planète n'est pas faite de ressources infinies et que nos modes de vie - surpopulation, surconsommation - contribuent à la rendre de moins en moins viable. Notre monde physique n'est désormais plus synonyme d'expansion mais de contraction, écrit Jean-Marc Jancovici.
Si la pandémie de Covid-19 a mis à l’arrêt une grande partie des activités mondiales faisant baisser les émissions de C02 en 2020, ce répit pourrait être de courte durée. Ces dernières décennies, la crise climatique s’est aggravée et les pays les plus riches ainsi que les ménages les plus aisés en sont les premiers responsables. C’est le constat du nouveau rapport d’Oxfam qui met en lumière les inégalités en matière d’émissions de CO2. Les principales données sont résumées en une infographie.
La communauté internationale réunie à Madrid pour la COP25 a « raté une occasion importante » d’être à la hauteur de la « crise climatique », a regretté dimanche le secrétaire général de l’Onu, à peine la réunion terminée.
Le secrétaire général de l'ONU Antonio Guterres s'est dit "déçu" dimanche par la COP25, regrettant "une importante occasion ratée" après l'adoption par la conférence d'un accord a minima sur le climat.
Jean-Pascal Van Ypersele: C'était une année où l'on espérait que de nombreux pays allaient relever leur niveau d'ambition pour être enfin à la hauteur collectivement de ce qui est nécessaire pour limiter le réchauffement à 1,5 degrés au dessus du niveau préindustriel et ça ne s'est pas passé à Madrid.
La COP25, qui s'est terminée dimanche à Madrid, devait être "celle de la finalisation des règles de mise en œuvre de l'accord de Paris et du relèvement du niveau de l'ambition" mais elle a finalement été "la COP de la déception", a réagi le climatologue de l'UCLouvain, Jean-Pascal van Ypersele.
Les modèles de climat qui nous promettent le changement climatique le plus fort ont raison. C’est la conclusion d’une équipe de chercheurs de Corée du Sud et des Etats-Unis dans un article (1) paru hier dans la revue Sciences Advances. Une conclusion venue… du nord et du passé.
Alors que la COP25 sur le climat se tient à Madrid, le philosophe Bruno Latour, un des plus écoutés dans le monde, nous livre ses réflexions sur la catastrophe climatique. Face à la paralysie des politiques et à la perplexité des citoyens, il propose un regard lucide et différent sur la mutation en cours. En opérant une « révolution du détail » et en dissociant la « prospérité » - qu'il faut continuer à vouloir atteindre parce qu'elle est vitale - du « progrès », qu'il faut abandonner parce qu'il se révèle mortifère.

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